Mon premier plan en forêt

Dans la forêt de chantilly près des étangs de commelles il y a de nombreux coins sympas.
Mais ce jour-là je n'y allai pas pour cela, je faisais du vtt, et j'avais déjà 15 km dans les jambes de chemins sablonneux, aussi je m'arrêtais à l'aire de repos du carrefour de la table ronde pour souffler un peu, boire et changer de t-shirt, car il faisait chaud.

Personne dans cette aire de repos, juste une voiture de garée avec un quinquagénaire à l'intérieur.
Je posais mon vtt contre un arbre à côté d'une table avec deux bancs pour les pic-niqeurs.
je retirai mon polo, m'essuyai et avant d'enfiler un t-shirt sec, mais je restais torse nu profitant du soleil.
Après quelques minutes, je fis quelques assouplissements des jambes, et puis du dos, en prenant appui sur la table, cul bien tendu je m'étirai.

Bonjour !!
Je sursautais et me retournais.
c'était le conducteur de la voiture.
Grand, grisonnant, avec des lunettes, très bien habillé un homme bien fait qui me souriait.
Bonjour répondis-je.
Il fait chaud pour faire du sport non ? On serait mieux à prendre le soleil, allongé nu ?
Heu oui effectivement je m'étirais dis je un peu surpris par la tournure de sa phrase sans comprendre de suite.
Alors il faut en profiter me dit il il y a une clairière discrète un peu plus loin où je vais parfois.
Ha bon ? je n'avais pas de répartie bien utile, mais j'étais un peu sous son emprise je ne savais pourquoi.
Venez me dit-il en me prenant par l'épaule.
Je ramassais mes affaires et torse nu je le suivais en poussant mon vélo.
Nous marchâmes une dizaine de minutes dans les bois. C'était calme et de nombreuses branches me gênaient avec mon vtt, et puis il n'y eu plus de chemin, mais il semblait bien connaitre la forêt.

Après m'avoir aider à traverser d'épais buissons, je découvrais une petite clairière de sept ou huit mètres au plus, de large avec du sable fin comme il y en a beaucoup dans cette forêt.
Vous voyez on est tranquille ici vous pouvez bronzer nu tranquille !!!
Je ne sais plus comment, mais je me retrouvais nu, mon cycliste sur les chevilles, et lui derrière moi en train de m'écarter les fesses avec les mains et de me lécher la rondelle. Sa langue me pénétrait, et j'ondulais au rythme de ses coups de langue. Il était très bien rasé, le piquant des poils des hommes qui d'habitude me rebute, était pour une fois absent et j'appréciais son oeuvre, que dis-je, je la savourais, j'en devenais l'esclave tellement il le faisait bien. Mes jambes étaient molles et je prenais appui sur le tronc de l'arbre devant moi. Sa langue me fouillait, et bientôt mon anus se dilatait sous son action et il entrait de plus en plus en moi, m'arrachant de petits cris de femelles en rut.
Je m'arrachai un instant à sa langue pour retirer mon cycliste et me mettre en levrette, lui facilitant ainsi l'accès à mon intimité. Il reprit de plus belle son action et entra plus profondément en moi, et une main passa entre mes jambes et me titilla doucement les mamelons. Avec deux doigts il tournait dessus en faisant de petits cercles, pendant que sa langue me fouillait les entrailles.
J'avais l'anus trempé de salive et totalement dilaté. Brusquement, il cessa de me lécher pour se glisser entre mes jambes et il avala mon sexe, tout en m'introduisant un, puis deux doigts dans le cul.
Il tournait doucement ses doigts tout en me fouillant pour caresser ma prostate et sa langue s'activait à présent sur ma queue. Il me poussait en avant pour m'empêcher de me soustraire à cette divine fellation.

Je fus pris d'un orgasme qui me secoua avec des spasmes et j'éjaculais en de longs jets continus dans un rale sourd. Mon sexe emprisonné dans sa bouche où il avalait tout mon jus, et mon anus se contractait autour de ses doigts.
Il se retira et vint me recracher mon jus dans ma chatte. Avec ses doigts il récupérait tout ce qui débordait et me le réintroduisait dans l'anus.
Tu as bien joui me dit il c'est à moi de prendre du plaisir n'est-ce pas ???
Oui bien sûr répondis-je!!!

Il ouvrit sa braguette et sortit le plus gros sexe que j'ai vu. Il le mit contre mon anus et tenta de me pénétrer, mais il était vraiment trop gros, au moins aussi large qu'une canette je lui dis et il insista, mais me faisait vraiment mal donc il cessa et il me le tendit à sucer. J'ouvris la bouche le plus possible, mais seul le gland entra, il était imprégné de mon sperme, de sa salive et de la transpiration de mon anus et son odeur de mâle. À défaut je le léchais en le masturbant et après quelques minutes de ce traitement il me retourna brusquement et gicla énormément de sperme sur mes fesses et mon dos. Je restais là, sans force après ce plan imprévu lorsqu'il prit son portable et fit quelques clichés de son sperme sur moi et de mon cul. Je le laissais faire en gardant mon visage entre mes bras et mon côté exhibe se délectait de ces prises de vues. (surtout de ses commentaires). Je fus tiré de mon plaisir par un liquide chaud sur mon cul, il me pissait dessus en promenant le jet de manière à arroser toutes les parties où il y avait du sperme. Je me retrouvais à quatre pattes le cul et le dos dégoulinant de pisse et de sperme. J'étais ennuyé, car je sentais l'urine et le sperme et l'excitation étant passée je partais pour un long moment de nettoyage, heureusement que j'ai toujours un petit paquet de lingettes nettoyantes. Je le sortis de mon sac et je commençais à me frotter les fesses et le bas du dos. Il prit une lingette et m'aida tout en me demandant si j'avais aimé, si je passais souvent, etc..
Il me dit en rigolant qu'il serait plus facile que je reprenne la position de la levrette pour me nettoyer. ce que je fis, il fit la remarque que j'étais bien obéissante et si je voulais je pourrais venir chez lui il n'habitait pas très loin. Pourquoi pas, mais cet après-midi je dois rentrer !! Répondis je.
mais la situation était bizarre j'étais en levrette en train de me faire nettoyer le cul et le dos en pleine nature par un homme.
Il insistait particulièrement sur ma rosette et j'avoue que j'appréciais ce traitement. Une fois nettoyé, il me raccompagna au parking, et après m'avoir donné son numéro de téléphone, nous nous séparames.

Intéressante expérience....