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18 Mars

Grosse queue
"Plan à 3"
"handgag"

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Origine et première fois d'une Sissy

Alors voilà, je me lance pour vous raconter ma première fois avec un homme, de plus en étant travesti.
Je me présente, je m'appelle Jules et j'avais 20 ans au moment des faits. Je n'étais clairement pas un tombeur auprès des filles même si je n'étais pas laid. Je pense que j'étais plutôt banal, cheveux Châtains court, yeux bleus, 1m75 pour 60 kilos, je n'étais pas bien épais de plus j'étais plutôt blanc de peau. Mon unique relation sexuelle avec une femme datait d'un an, en ayant marre des moqueries de mes amis je m'étais décidé à recourir aux services d'une pro, j'en garde un plutôt bon souvenir. Mais depuis plus rien, n'étant pas du genre à faire des rencontres à tout-va et étant plutôt réservé, je n'avais pas une bonne estime de moi, ce qui m'empêchait de m'imposer et de plaire, à la gent féminine.

À cause de cela j'étais vraiment frustré dans ma vie sexuelle, je passais mon temps à regarder du porno... de plus en plus hard. J'aimais que sa claque, la soumission et surtout l'anal. J'aimais vraiment l'anal et, à force de dérive, j'en suis venu à regarder des vidéos de shemale, de transsexuelles se faisant sauter, elles étaient magnifiques, je rêvais de m'en faire une. Puis je suis tombé sur des vidéos d'hypnoses et de féminisation, le monde des sissy pour les connaisseurs. Ces vidéos reprenaient les transsexuelles que j'affectionnais tant et me plaçais du point de vue de celles-ci tout en m'humiliant et en implorant de me faire prendre par tout les trous. Ces vidéos étaient toutes devenues mes favorites et elles m'ont beaucoup influencé. J'y trouvais toute l'attention sexuelle dont j'avais besoin, je me reconnaissais dans le rôle du jeune mec sans intérêt qui ne méritait pas de faire l'amour à des femmes.
Je me laissais de plus en plus envouter et je me suis finalement décidé à m'acheter un gode, en effet, j'en étais venu à vouloir me faire prendre et l'anal que j'appréciais tant en vidéo prenait tout son sens si je pouvais au moins l'expérimenter de cette façon. J'en voulais un assez long, mais surtout large, je n'avais pas froid aux yeux ahah. Après des heures de shopping en ligne, je m'en suis trouvé un qui me satisfaisait : 20 cm de long sur 5 de large et en plus avec une ventouse ! Je me voyais déjà le coller sur tous les murs de mon appartement et le chevaucher. Quelques jours plus tard, je le reçus ainsi que du lubrifiant et un préservatif cadeau. Je me suis dit que ça me servirait peut-être un de ces jours.

Ne me faisant pas prier, j'entrepris de lancer une de mes vidéos favorites tout en m'allongeant sur le dos les jambes écartées. J'étais nu, en train d'étaler du lubrifiant sur mes doigts et mes fesses, puis je me caressais mon petit trou. Enfin, je commençais à me doigter, directement deux doigts ! J'étais déjà assez excité et il fallait bien que mon nouvel ami puisse se frayer un passage. Le lubrifiant aidait, j'ai pu alors glisser un troisième doigt en moi, puis après quelque temps, je me saisis de mon tout nouveau gode il était de couleur chair j'en voulais un black, mais ils étaient tous trop gros ahah. Après l'avoir bien lubrifié, je me le suis inséré et j'ai commencé à m'amuser avec. J'étais terriblement excité et après plus d'une heure, j'étais rassasié. En effet, j'avais décidé de ne pas me masturber, il ne fallait pas que je bande pour concentrer mon attention sur le plaisir anal, en tout cas, c'est ce que mes vidéos recommandaient.

Ce n'était que le début, et je ne le savais pas encore. Je me suis mis à fantasmer de plus en plus sur ces vidéos qui m'incitaient à me soumettre et à me faire sauter par d'énormes queues, bien souvent noires. J'utilisais de plus en plus mon jouet, pratiquement tous les jours... J'en suis même venu à m'exhiber en cam avec des inconnus, je fantasmais sur leurs queues pendant que je me godais, je les regardais se branler jusqu'à l'orgasme, puis je coupais la vidéo. J'étais toujours excité cela venait surement du fait que ne me masturbais presque plus, en effet, j'essayais d'atteindre le graal des sissy, l'orgasme anal qui ferait couler mon jus sans que je ne me touche. Mais j'étais encore loin de l'atteindre... Enfin, je le croyais.

Plus tard, je me suis mis alors à me commander des vêtements, des collants, des porte-jarretelles, des jupes, des talons (j'adorais les chaussures de femmes.), une belle perruque brune (j'étais vraiment impatient de la recevoir.), un kit de maquillage. Une fois que mes commandes furent toutes arrivées, je n'en pouvais plus je me suis enfermé le soir seul chez-moi et je savais que j'allais passer une longue et délicieuse soirée. Je mangeai un morceau rapidement, j'étais vraiment impatient. Direction la salle de bain ! Je laissais couler l'eau, je me relaxais quelque temps puis m'attaquai à me raser tous les poils qui étaient en dessous de mes yeux jusqu'à mes pieds. Je n'étais pas vraiment poilu de toute façon. Une fois propre et totalement imberbe, je décidai de m'amuser à m'habiller en fille, ma tenue en plus de la perruque et je ressemblais déjà à quelque chose, je m'excitais. Cela faisait tellement longtemps que je n'avais pas vu de femme dans ce genre de tenue... J'avais une érection en pensant que j'étais tellement frustré par le fait de ne pas faire l'amour à une femme que je voulais qu'on me le fasse comme tel. Je me suis alors attaqué au plus compliqué, le maquillage, je regardais depuis quelque temps des vidéos sur YouTube pour apprendre comment faire. Cela m'a pris une bonne heure et demie, mais j'obtenais un résultat satisfaisant, mes yeux étaient magnifiques. Mon rouge à lèvres, je l'avais choisi bien brillant et rouge, j'avais envie de m'embrasser en me regardant dans le miroir, je trouvais le résultant vraiment convaincant.

J'avais en face de moi une jolie brune aux yeux bleus, habillé d'une jupe courte plissée rouge foncé qui se tenait sur une paire de collants. J'avais mis un soutien-gorge assorti à ma culotte, un ensemble sexy en dentelle noir, j'avais fait exprès de m'acheter un chemisier blanc transparent et évidemment, c'est ce que je portais, le tout sur une jolie paire d'escarpins noirs qui me laçait les chevilles.

J'étais vraiment content du résultat et très excité, j'avais très envie de me baiser, mais je ne pouvais pas ! La seule chose à laquelle je pensais, mon gode ! Seul, lui pouvait me satisfaire et me rapprocher de ce qu'était le sexe. Il était alors aux environs de 21h quand je décidais de me lancer dans un marathon pour calmer mon excitation. Cela faisait maintenant plusieurs mois que j'avais dérivé dû à mes frustrations et j'en étais arrivé à me travestir et me goder pour assouvir mes besoins. Je ne me masturbais même plus cela faisait au moins 10 jours que je n'avais pas éjaculé...
Au fond, tout cela m'excitait ces vidéos m'avais bien remises à ma place, c'était la seule façon correcte pour moi de me faire du bien, j'étais vraiment un loser quasi-vierge dont aucune femme ne voulait baiser, pas même par pitié. Je mis alors en route une vidéo d'instruction pour les sissy et l'anal. Pour une fois, j'avais entièrement suivi la vidéo, j'étais habillé, maquillé, j'avais un gode, du lubrifiant. Je suivais attentivement les instructions, fellation, doigt, missionnaire, levrette, doucement puis plus violemment... Après 30 minute, la vidéo se finissait sans orgasme classique évidemment, ce n'était pas la façon correcte. La vidéo se termina alors et la voix dit :

Trouve-toi un homme, un vrai, avec une énorme queue et laisse-le te baiser. Arrête de renier ce que tu es, fais-le !

Je fermais alors la vidéo complètement chamboulée par ses paroles. Encore follement excité et mon sexe coulant de plaisir dû à l'énorme engin dans mon derrière, je décidai d'aller sur un tchat local où on peut utiliser sa cam, afin de m'exhiber pour la première fois en tant que travesti. Après tout autant me montrer, je n'allais pas être le seul à en profiter.

Je me suis alors connecté sur ce site, sous le pseudo de LucieTravestie, j'entrais mon âge, 20 ans, ainsi que mon code postal.
J'allais être connecté à des gens locaux et cela m'excitait au plus haut point.
Je traînais dans les divers salons, non sans avoir reçu plein de messages, mais aucun n'avait retenu mon attention.
Je rejoins alors un salon dédié au travesti, et puis après quelque temps, je me suis dit : " Hmm, je devrais peut-être prendre une photo de moi pour la poster "
Je me suis alors mis à faire plusieurs photos dans mon appartement en prenant diverse pose sexy, je restais soft et habillé, j'aimais le cul que ma jupe et mes talons me faisaient. Je branchai mon téléphone à mon ordinateur portable, choisis les meilleures et en postai quelques-unes dans le salon de discussion. J'eus alors droit à un tas de compliments, tout le monde me trouvait très sexy, je n'avais pas caché mon visage, je n'avais pas peur d'être reconnu de toute manière, j'étais vraiment différent, et puis c'était tellement excitant, j'étais vraiment heureux, enfin plutôt heureuse, tout le monde m'appelait Lucie. Bien sûr je reçus aussi tout un tas de message privé. Je les lisais alors et répondais à d'autres. Certain me montrait des photos d'eux, de leurs bites, me demandait de mettre ma cam et se branlerait pour moi, etc...
Mais un en particulier retenu mon attention.
Son pseudo était Black23cm, il avait 43 ans et il était de la même ville que moi.
Je lisais son message :

- Alors, salut Lucie, tu fais la pute en ligne. Tu cherches une bite pas loin de chez-toi ou t'es le genre à faire ta chaudasse uniquement en ligne ?

J'ai eu un petit coup de stress en lisant ce message, plein d'idées se chamboulaient dans ma tête, je me disais : pourquoi t'es venu sur ce site ? Après tout, t'as mis ta vraie ville, t'aurais pu en mettre une fausse. Tu veux le faire... Vas-y répond lui ! Purée un black en plus... 23 centimètres, c'est vachement grand, c'est trop même... Oh purée 23 cm, je dis oui prends moi. C'est trop beau pour être vrai, c'est ton fantasme, c'est irréel. Laisse tomber, tu ne vas pas vraiment faire ça... Je suis vraiment trop excité aussi et j'aimerais bien essayer... Merde alors je le fais ou pas. Sur cette dernière pensée, je me décidai à répondre :

- Salut, j'en sais rien moi pourquoi je voudrais te voir ?

- Parce que t'es une grosse salope blanche et je sais que c'est ton genre les grosses queues de black rien qu'à ta façon de t'habiller.

(j'étais vraiment excité)

- ah, ouais, tu crois ça ? T'es vraiment black et aussi bien monté ? Tu peux très bien tout inventer.

(je répondais un peu choqué par sa façon de me parler)

Sur ce, il me lança une invitation à un cam to cam

Je redescendais ma jupe, m'assis sur mon gode, me regardai dans le miroir, j'étais toujours aussi charmante, j'avais le coeur qui battait la chamade. Et j'acceptai.

Je vis alors un homme vraiment imposant ! Une carrure très sportive, un bel homme black de 40 ans, le crâne rasé, de belles lèvres, et il me regardait, moi, j'étais vraiment gêné d'être vu comme ça.

Il m'écrivit alors :

- T'es vraiment une belle petite salope.

- Ah, tu trouves, toi t'es vraiment pas mal, vraiment, tu mesures combien ?

- 1m96, 105 kilos, 23 centimètres

- Mmm ça donne envie

- Ah, ouais, tu veux me chauffer, tu voudrais voir mon énorme queue ?

- Oui montre-la-moi, je t'en supplie

- Vas-y excite moi, d'abord.

Sur ce j'entrepris de faire un show cam privé rien que pour lui, je me touchais par-dessus mes vêtements sur tout le corps, je me suis levé, je me suis retourné pour lui montrer mon cul dans ma culotte, derrière lequel était enfoncé mon gode. J'avais relevé ma jupe tiré ma culotte sur le côté et me baisais avec mon gode. Puis j'arrêtai rapidement et lui demanda sa part du marché.

- T'es vraiment une chienne en chaleur, mais j'te montre rien, moi, j'veux que du vrai, personne ne voit ma bite en cam. Donne-moi ton adresse, et j'te montrerais comment ça se passe.

- Mais euh, non, je ne te connais pas, et puis en vrai je n'ai jamais rien fait avec un mec, c'est la première fois que je m'habille en fille.

- Ouais ouais sale pute, casse-toi, tu chauffes les mecs sur internet et tu fais la sainte ni touche. Comme si t'en avais pas envie, je suis sûr que t'en crèves.

Après avoir parlé avec lui plus longtemps, il s'était calmé et il me demanda mon numéro. J'ai hésité quelques minutes puis je lui ai donné.

Il m'appela et j'entendis sa voix très grave, il parlait sèchement. On a discuté quelques minutes, il m'a dit qu'il serait doux au début, qu'il ferait attention, il me chauffait terriblement au téléphone sa voix s'était adoucie et il était plutôt charmeur. À tel point que je lui ai finalement donné mon adresse, après lui avoir fait promettre d'être doux avec moi. Il me répondit qu'il serait là dans 30 minutes et il raccrocha soudainement.

Horreur ! J'étais totalement paniqué ! Merde qu'est ce que j'allais faire, ça y est, c'est pour de vrai, putain, la crise d'angoisse. Un inconnu allait venir chez moi dans l'intention de me baiser, j'étais habillé en fille ! Ou plutôt comme une pute ! Mon gode toujours au fond de mon cul ! Et si ça tournait mal !? Vu sa carrure, je ne faisais pas le poids... Je chassai cette dernière pensée de mon esprit et me suis rué vers ma salle de bain. J'ai allumé l'eau de ma douche, me déshabilla rapidement et entrepris de me rincer de façon expresse, j'en ai profité pour me faire un lavement bien que je l'avais déjà fait en début de soirée, mieux valait être prévoyant.
Je me suis alors regardé dans le miroir, nu, uniquement maquillé et coiffé de ma perruque, j'avais un corps fin qui allait avec mes traits, de jolies fesses dont je n'ai jamais eu à me cacher, j'étais plutôt mignonne on pouvait presque croire que j'étais une vraie fille, si seulement j'avais eu des seins, j'aurais été une trans tout à fait correcte. Cependant, je voulais me faire sexy, et aussi me distraire afin de ne pas stresser. Je suis alors parti choisir ma tenue, je voulais quelque chose de vraiment sexy, et j'avais tout de même une jolie collection. J'ai alors sélectionné mes vêtements :
- Un porte-jarretelle noir avec des collants de la même couleur. J'appréciais vraiment le contact qu'ils avaient sur ma peau douce.
- Un ensemble culotte soutien-gorge très sexy assorti à mes bas.
- Par-dessus, j'avais enfilé une sorte de nuisette, qui je dois le dire m'avait vraiment séduit.
- Enfin une paire de talons noirs lustrés de 10 cm
Wouaw le résultat était époustouflant, j'aurais aimé de plus hauts talons, mais j'étais déjà plutôt grande ahah ! Je regardais l'heure, zut ! 23h37 ! Il me restait uniquement quelques minutes, j'aurais aimé pouvoir retoucher mon maquillage, ou bien le changer totalement de façon à ce que ça soit plus vulgaire ! Mais c'était impossible...
J'avais le trac et j'ai commencé à faire les 100 pas dans mon appartement (enfin, comme je le pouvais, c'était la première fois que je portais de si hauts talons) je fixais l'heure sur mon téléphone, mon coeur s'arrêtant à chaque minute qui passait.

23h48 Bzzzzzzzzzzzz

Mince, c'était lui qui sonnait à l'interphone ! J'avais un trac incroyable ! Je me suis forcé à ouvrir et les secondes qui le séparaient de mon étage me parurent interminables. Je l'entendais se rapprocher, puis une sonnette retentit à nouveau. Cette fois, c'était celle de ma porte.
Je regardai par le judas, et je vis le même homme que j'avais vu plus tôt sur internet.
Je pris une longue inspiration et lui ouvrit la porte. Non sans gêne de ma part.

Je reculais d'un pas une fois la porte ouverte. Je fixais son visage sans un mot. Il m'intimidait, c'était le genre de type qu'on n'avait pas envie de croisé seul dans une ruelle la nuit au vu de sa carrure et de son air sévère ! Il était en jogging, avec un polo et une paire de basket. Il me scruta de haut en bas, il faisait bien 10 centimètres de plus que moi malgré mes chaussures.
Je parvins à bredouiller d'une voix que je voulais féminine :


- Euh... Bonjour, rentre...

Sans un mot, il rentra en avançant vers moi et sans se retourner, il ferma la porte et la verrouilla.
Il avança encore d'un pas, il était vraiment proche de moi, mon coeur était sur le point d'exploser. Il plaça ses mains sur mes hanches, ce qui me provoqua un léger sursaut.

- Alors ? Doucement ma belle ! Je ne vais pas te faire de mal, t'es vraiment bandante tu le sais ça ?

- Mmm... Merci, marmonnai-je en baissant les yeux

- Ahah t'as l'air vraiment timide dit moi, ajouta-t-il en riant.

Il me saisit doucement par le menton et me releva la tête pour me regarder dans les yeux.

- T'as peur ?

- Euh non, juste... Enfin... C'est que... je n'ai jamais fait ça...

- Pourtant, t'es très jolie, détends-toi, laisse-toi faire...

Sur cette dernière parole qu'il me chuchotait, il s'approcha et m'embrassa.
J'étais surprise ! Mes yeux se sont écarquillés puis je les ai fermés et je répondis à son baiser, d'abord, du bout des lèvres, les siennes étaient vraiment douces ! Puis il devint un peu plus aventureux et il enfonça sa langue dans ma bouche.
Mmmm, il embrassait bien, l'excitation remplaçait doucement le stress plus le baiser devenait passionné. Sa main gauche, soutenant toujours mon menton et sa main droite qui était sur ma hanche, se décala doucement vers mes fesses. Il me saisit d'un coup par les fesses et me colla à lui. Je fus surprise et je plaquais mes deux mains et mes avant-bras contre son torse sans arrêter de l'embrasser.
Ses deux mains étaient à présent en train de me caresser les fesses, j'étais incroyablement excitée, rien que de penser à ma tenue et à lui en train de me toucher me provoqua une érection d'enfer.
Ses mains caressaient mon corps, il m'embrassa dans le cou, m'arrachant un petit gémissement.
Prise d'un sursaut de courage, j'ai caressé son torse par-dessus son haut. Il était vraiment musclé, je ne pensais pas que ça me plairait autant. Mes mains s'aventuraient de plus en plus bas et je me suis mise en quête de l'objet de tous mes désirs. Je frôlais son pénis avec ma main, puis je le saisis doucement au travers de son jogging, il était vraiment gros ! Il n'avait certainement pas menti, en plus, je sentais qu'il était loin d'être à fond !
Puis au bout d'un moment, il me caressa la tête en me poussant doucement vers le bas.
Message reçu ! J'en mourrais d'envie et je n'osais rien faire !
Je me retrouvais chez moi à genoux devant un inconnu en étant travesti.
Il brisa alors le silence :

- Vas-y chérie, sens comme tu me fais de l'effet.

Mes mains caressaient ses cuisses et son entrejambe puis je me suis décidé à attraper l'élastique de son jogging et à le baisser. Je vis alors son caleçon blanc qui contrastait avec sa peau chocolat et surtout la forme massive de sa bite qui commençait à être à l'étroite dans sa prison de tissu.
Il me susurra alors :

- T'n'arrêtes pas bébé

Je lui baissai alors son caleçon doucement, ne voulant pas gâcher le moment. Son pénis s'exposant au fur et à mesure devant moi, j'étais ébahie. Enfin, j'en voyais un et j'allais le toucher et plus encore ! Mon Dieu quelle bête ! Pensais-je. Juste devant mon visage pendait un monstre de chair, si je savais la taille de son engin en revanche, je ne connaissais pas sa largeur ! Simplement énorme ! Je l'ai directement saisi de ma main droite le pointant vers mon visage. Je l'avais enfin dans ma main ! Je ne pouvais même pas la refermer autour, il était bien plus gros que mon gode et bien sûr que mon propre pénis ! Je la contemplais, je la soulevais, comme si je n'en avais jamais vu de ma vie et que son étude dépendait de ma survie. En fait, c'était le cas, je n'en avais jamais vu une autre que la mienne, j'étais plutôt pudique, et je n'avais jamais rien fait auparavant avec un autre homme.

- Ouais, c'est bien, branle-moi ma belle, me dit-il en m'arrachant à ma contemplation

Je me suis alors mise à faire des mouvements de haut en bas sur sa colonne. Je le caressais doucement, je jouais avec ses testicules de mon autre main, elles étaient incroyablement douces, il devait s'être rasé il y a peu. Elles étaient surtout bien plus grosses que les miennes, il n'avait vraiment pas à rougir, on pouvait aisément comparer son service trois-pièces à ceux des acteurs pornos les mieux montés. Après quelques instants, il était fièrement dressé et sensationnel.

J'approchai mon visage en me levant doucement et je laissai échapper un filet de salive, je me suis alors mise à lui masser le gland avec, puis à bien lubrifier toute la longueur.
J'avais une érection douloureuse tellement j'étais surexcitée !
Je sentais qu'il appréciait mon traitement, mais j'en voulais plus, j'avais vraiment laissé le stress de côté et l'excitation prenait le pas.
J'ai alors sorti ma langue et lui ai lapé le gland. C'était délicieux ! Je léchais le haut de son pénis comme une glace, puis je le gobai entièrement. Ce n'était clairement pas mince affaire, je m'entrainais sur mon gode, mais là, on parlait d'un tout autre niveau. Mais ça ne m'empêchait pas d'apprécier le moment. J'aspirais, je jouais avec ma langue, je suçotais, je faisais des ronds dans un sens puis dans l'autre. Quelques va-et-vient légers dans ma bouche, je m'appliquais à ne pas lui mettre un coup de dent par mégarde, j'avais vraiment envie de bien faire. Je savourais mon trophée, je l'entendais pousser des soupirs de satisfaction, je devais bien m'y prendre finalement. Je me suis alors rapproché le plus possible et me suis mise à genoux assise sur mes talons totalement serrés entre ses jambes. Je gobais ses couilles, en frottant son pénis couvert de ma salive sur mon visage. J'en mourrais d'envie de faire ça, frotter une bite contre ma tête m'imprégner de son odeur, et c'était génial, la sienne m'enivrait j'avais l'impression de sentir ce qu'était un vrai mâle. Il avait l'air de réellement apprécier.
Il me saisit par les cheveux et me tira en arrière. J'ai failli tomber à la renverser.

- T'es une bonne petite pute, t'aimes ça la bite, surtout la mienne. Dis-moi que t'aimes ça.

Surprise, j'étouffais :

- Oui j'adore ça, elle est vraiment énorme et j'adore son odeur.

- Salope, tu vas la bouffer maintenant, me grogna-t-il

Il força alors son énorme engin dans ma bouche tout en me tirant par les cheveux. J'avais peur qu'il me retire ma perruque ! Et d'un autre côté, j'étais forcé d'avaler sa queue. Il poussait bien plus loin que ce que j'avais réussi à prendre. J'avais la bouche écartelée et il poussait, je toussais et il en profita pour s'enfoncer. J'ai alors eu un haut-le-coeur et il se retira directement. Je reprenais ma respiration, et il recommença sans prévenir. Elle était bien trop grosse pour moi, malgré ses efforts, j'arrivais à peine à la moitié, c'était principalement dû à la largeur, je pense qu'elle devait faire 6 ou 7 centimètres de diamètre, sérieusement, il ne pouvait pas espérer mieux de moi malgré toute ma bonne volonté. Après deux ou trois poussées supplémentaires afin de perforer ma gorge, il se retira pris sa queue en main et me gifla avec, il la frottait sur mon visage, il me donnait de petit coup. Je poussais un petit gémissement.

- T'es une vraie chienne en chaleur, t'arrives pas à sucer profond, mais j'espère que ce n'est pas le cas de ton cul sinon tu vas passer un sale quart d'heure, me menaça-t-il.

Stupeur ! Il voulait me baiser ! Avec ça ? Pas possible ! Jamais, jamais ça ne rentrera !
J'étais vraiment comme bloqué dès l'instant ou j'ai compris ce que ses mots signifiaient.
Il m'attrapa par le cou et me releva doucement, il plaça son visage en face du mien, il me regardait en souriant.

- Parce que maintenant que tu m'as chauffé, ne crois pas que tu vas t'en tirer comme ça. Me dit-il d'un regard sombre.

Soudain, il me gifla, j'étais bouche bée, complètement perdue. Puis une autre plus forte. Je me retenais, j'étais totalement humiliée, impuissante, je ne savais pas où j'étais, ce que je faisais.
Il me retourna et me poussa sur toute la longueur de mon appartement, jusqu'à mon lit. J'étais comme zombifiée, j'ai avancé puis dans une dernière poussé, je tombais à genoux sur mon lit.

- Quel cul de pute, t'es vraiment sapé comme une chienne, tu ferais le trottoir que ça m'étonnerait pas.

J'étais en porte-jarretelle, collant et culotte en dentelles noir à quatre pattes devant lui toujours en portant mes talons. Il me claqua une fesse. Je poussais un petit cri d'étonnement. Il alternait entre me malaxer et me claquer les fesses. Mon pénis dans ma culotte était vraiment à l'étroit et tout le devant était humide tellement je mouillais d'excitation. J'étais en porte-jarretelles, collant et culotte en dentelles noir à quatre pattes devant lui toujours en portant mes talons.
Puis doucement, il écarta ma culotte, et me caressa mon petit trou avec ses doigts. La chaleur de ses mains à cet endroit là où personne ne m'avait jamais touché me fit frissonner. Il cracha sur mon cul, et y enfonça un doigt. Il est facilement rentré, après tout, j'avais commencé la soirée par me goder. Il continua quelque temps puis en inséra un deuxième. Ça commençait à être serré, je n'étais plus lubrifié et il avait d'assez gros doigts. Il a dû sentir que ça coinçait et il vit le tube de lubrifiant posé sur mon bureau, à côté de mon ordinateur. Il s'en saisit et en appliqua généreusement sur ses doigts et mon trou. C'était bien mieux comme ça, et je commençais à prendre du plaisir. Il força alors un troisième doigt :

- Voilà prends le celui-là, si t'y arrives pas, tu verras ce que ça sera après

Je me tendais un peu, mais le lubrifiant et le fait que je m'étais déjà godé m'ont permis d'accepter facilement ses trois doigts. Il me frappait à l'entrée avec son pénis, ainsi que sur mes fesses :

- Met un préservatif lui dis-je en couinant

- Je n'en ai pas, j'suis clean et toi j'suis sûr que t'es puceau. Me répondit-il ?

- Euh, non désolé, j'ai déjà euh... Fais l'amour à une femme...

- Alors t'es aussi lesbienne ahahah ria t-il.

- J'en ai un dans le tiroir du bureau, pointais-je du doigt

Il fit un pas vers le bureau, saisi la capote dans le tiroir, déchira l'emballage et commença à l'enfiler.
Purée, c'était monstrueux, j'ai eu une dernière frayeur en l'observant à ce moment-là et je ne pus m'empêcher :

- S'il te plait, fait doucement, implorais-je d'une voix sexy

- T'en fais pas ça va rentrer

Il s'approcha derrière moi, les secondes duraient une éternité. Il avait pris le tube de lubrifiant et il s'en enduisait entièrement, la capote luisait sur son pénis dressé. Soudain, un contact m'électrisa, c'était son gland à l'entrée de ma chatte. J'étais une pute et allais me faire baiser comme telle. Toutes ses vidéos que j'avais regardées, je me retrouvais enfin dedans. Moi un travesti, une sissy.
Puis il commença à s'enfoncer doucement. Je couinais en serrant les dents, heureusement qu'il ne voyait pas ma tête ni moi d'ailleurs, je fermais les yeux. Mon gode faisait certes 5 centimètres de diamètre en tout cas au niveau du gland. Mais lui, il en faisait pratiquement 2 de plus à ce même endroit. Malgré tout, je le sentais progressé, il s'enfonçait doucement, je soufflais et essayais de me détendre. Arrivé à la moitié, il commença à se retirer doucement jusqu'au gland puis il s'enfonça de nouveau, mais cette fois-ci plus profond. Il recommença ce manège plusieurs fois.
En attendant, je vous décris ça, maintenant, plus tard, une fois que cela s'est passé. Mais je ne saurais pas retranscrire par les mots les milliards de pensées qui traversaient mon esprit à cet instant précis :
Ça y est, je me fais baiser ! Oh mooooon dieu, elle est énorme, j'ai une queue dans le cul, non, dans ma chatte, putain, je fais vraiment la salope, c'est vraiment bon cette douleur m'excite. Purée, c'est incroyable, je suis tellement excité.
C'est plus ou moins ce genre de pensées multiplié par cent qui m'envahissait dès ses premiers mouvements dans mon cul.
Enfin, il est arrivé à buter contre mes fesses. J'étais tellement remplie ! Heureusement qu'il n'était pas beaucoup plus long que mon gode parce que je n'aurais pas été préparé à ça.
Si je n'avais jamais été plus loin que mes doigts, j'aurais été incapable de prendre ce monstre en moi.

Il restait en moi quelques instants, puis il me claqua les fesses.

- Ça y est ma petite Lucie, je t'ai dépucelé. Alors t'aimes ça avoir un énorme chibre dans ta chatte ?

- Oh putain, oui, tu m'écartes tellement, bouge plus reste comme ça.
- Ah, ouais, tu ne veux pas que je bouge, me narguai-il en faisant de tout petits mouvements de bassin, claquant contre mes fesses.
Ton petit cul de pute m'excite, t'es plus Lucie la vierge, t'es Lucie la pute, je vais te souiller.

- Oh oui, baise-moi, je suis ta pute, je me suis surprise à m'exclamer de bonheur.

Il commençait alors de petits mouvements de va-et-viens, je couinais de plaisir, j'avais vraiment mal au pénis tellement j'étais excitée, je sentais quelques gouttes perlées de mon gland pour s'écraser contre ma culotte. Je n'en pouvais plus je l'ai libéré de son emprise. Je bandais comme jamais, mon pénis n'était pas exceptionnelle il devait faire 12 ou 13 centimètres pour 3,5 centimètres de large. Mais là, il me paraissait plus gros. Je n'avais jamais été autant excité de toute ma vie, c'était normal après tout. Même avec une femme, je n'avais pas ressenti ça. Un long, mais fin filet de liquide séminal coula de mon pénis au moment où je le sortais.

- Tu mouilles comme une chienne, tu fais ça pour m'exciter salope

- Oh oui je l'ai fait exprès. Je ramassais le liquide et le léchai.

Il commença alors à faire des aller-retour entiers dans mon cul, il avait dû prendre ça pour une invitation. Mais je n'étais pas prête ! Je poussais de petits cris, mais cela ne faisait qu'accentuer ses coups. Il me baisait lentement, mais assénait de violents coups contre mes fesses, ses cuisses claquaient contre mon joli cul.
Au bout de quelques minutes, seulement, je m'étais habitué, et l'inconfort se transformait en plaisir, ce qui m'a déchaînée. Je me suis mis alors à lui réclamer :

- Mmmm vas-y baise moi, baise ta pute, j'ferais tout ce que tu veux, mais baise, moi plus fort, je t'en supplie, baise-moi, baise moi, baise moi !

À cet instant il commença à devenir furieux et faisait des aller-retour entiers tellement rapides et puissants. Je m'extasiais, je gémissais comme une fille.
Quelques moments après, il s'affala sur mon dos de tout son poids et je me retrouvais étouffée sur mon lit, les jambes qui dépassaient avec mes talons. Il faisait de petits cercles avec son bassin. C'était le bonheur absolu. Il se retira, se releva, se déshabilla entièrement, m'enleva mes talons, il me souleva par les dessous-de-bras, j'étais encore allongé sur le ventre, et me jetai entièrement sur le lit. J'étais une vulgaire poupée dont il disposait comme il le souhait.

- S'il te plait, remets-la-moi, implorais-je, j'en veux encore, je t'en prie, je t'en supplie

- Calme toi, tu vas pleurer, je vais te baiser le cul jusqu'à que tu puisses plus marcher.

Sur ces paroles, il s'allongea de nouveau totalement sur mon corps, en s'enfonçant entièrement en moi. J'ai poussé un long gémissement de satisfaction. Il recommençait ses mouvements circulaires de bassin, il m'embrassait dans le cou, je sentais le contact de sa peau contre ma nuisette, j'aurais voulu la retirer, mais peu importe, je sentais la chaleur à tous les endroits découverts de mon corps, je me suis retourné et je lui ai dit :

- Embrasse-moi, fais-moi l'amour

Il s'est immobilisé bien au fond de moi et on s'est embrassé. J'avais déjà embrassé quelques personnes dans ma vie, malgré ma faible expérience, mais c'était et cela restera surement le meilleur baiser de toute ma vie. Le sentir en moi, sentir une queue pour la première fois en moi, avoir un mec plus vieux qui me dominait, un black de surcroît, réalisé tout mes fantasmes de travesti, tout était combiné, c'était sincèrement l'extase.
Il arrêta de m'embrasser et me lécha l'oreille puis me chuchota :

- J'ai dit que j'allais être doux, mais t'as pas arrêté de me chauffer depuis le début, maintenant, je vais vraiment te baiser.

Il me prit alors les épaules et m'enfonça la tête très profondément dans le matelas, il avait sorti entièrement sa queue de moi en soulevant son bassin. Et puis il me pénétra à nouveau de toutes ses forces, un énorme claquement et mon cri de joie se mélangèrent. Quelques secondes au fond de ma chatte et il se préparait déjà pour un nouveau coup. Il allait de plus en plus vite et de plus en plus fort, il rebondissait sur le matelas et sautait littéralement sur mon cul. Je hurlais de plaisir, je lui criais de me baiser sauvagement, toujours plus fort, jamais, je n'avais été autant vulgaire. Cela dura un long moment de pur délice. Puis il me retourna face à lui, me déshabilla, il retira ma nuisette, j'ai retiré ma culotte, il ne me restait plus que mon soutien-gorge et mes porte-jarretelles avec mes collants.
Il mit mes pieds sur ses épaules, j'avais le cul entièrement offert à sa vue, avec mon érection incontrôlable. Il s'enfonça de nouveau en moi, je le caressais en même temps, ses pectoraux musclés, ses abdominaux dessinés, il était vraiment bien foutu. Et il a recommencé à me pilonner sauvagement, durement, violemment. J'avais pris ses fesses en mains et je les serrais, je le tirais vers moi à chaque fois qu'il était au fond de moi. Il se déchainait, j'adorais ça. Il a ensuite commencé un petit jeu que je ne pouvais pas supporter, il se retirait quelques secondes, puis s'enfonçait entièrement et recommençait sans cesse. Je ne pouvais plus supporter ce vide. Je le suppliais, il faisait probablement ça pour se retenir, pensais-je. Je l'excitais trop, c'était évident. Je plaçai alors mes jambes autour de sa taille et je l'enserrais, l'empêchant ainsi de pouvoir se retirer.

- Alors c'est comme sa petite pute, tu veux jouer.

- Ahah, je te lance au défi

Mes jambes autour de sa taille l'empêchaient de se retirer trop loin et donc ses coups étaient moins forts, mais c'était beaucoup plus sensuel. Il m'embrassa en même temps qu'il me baisait. Puis il saisit mes jambes et m'écarta les cuisses. C'était vraiment une position obscène, mon pénis toujours dressé. Il entreprit de nouveau de me pilonner. Mais cette fois-ci, ma position plaçait son gland face à ma prostate. À chaque coup de butoir, je sentais qu'il touchait mon point sensible. Je couinais, j'avais comme une envie d'uriner. Je sentais une légère chaleur m'envahir dans tout mon bas-ventre, elle se transforma rapidement en fièvre.

Et soudain, je jouis.

De grandes saccades giclaient de mon pénis, des jets puissants qui s'écrasaient sur mon torse, mon ventre, mon soutien-gorge n'étaient pas épargnés, je m'en suis même pris dans le cou, j'avais la tête en arrière, mais je me serais presque fait une facial à moi même. J'avais joui du cul, c'était bien plus incroyable que ce que j'avais pu imaginer, je l'ai senti dans tout mon corps, des vagues de plaisirs me submergeait. Je l'avais vraiment cherché, c'était révélateur, je comprenais enfin pourquoi les sissy l'élevaient au rang du plaisir ultime.
Pendant que j'étais en train d'éjaculer des jours entiers d'abstinence masturbatoire, mon beau daddy black continuait de me baiser férocement. Imaginé alors le plaisir que je ressentais à ce moment-là. Je me souviens alors que j'ai vu trouble, et je me suis mise à trembler, je faisais de petits sursauts de haut en bas, il avait arrêté son mouvement, mais j'étais en extase et je le sentais à chacun de mes soubresauts. Je me suis finalement calmé et hoquetais de plaisir. Quant à mon beau mâle, il reprit doucement ses mouvements quelques instants, mais s'arrêta net et plaça ses mains et ses bras sous mon dos. Il se pencha et me dit :

- Ne crois pas que c'est parce que t'as joui que je vais m'arrêter. Ça s'arrête quand, moi j'ai fini.

Il me souleva alors et sortit du lit en me portant. Il me plaqua contre un mur sa queue toujours en moi et il me prit sauvagement en appuyant sa tête à côté de moi contre le mur. Mon pénis était redevenu flasque et j'étais trempée de mon propre jus. Il se collait peau à peau à moi et nos peaux glissaient l'une sur l'autre, aidé par le mélange de sueur et de ma propre semence, il m'a ensuite fait sauter sur ses cuisses, mes jambes entremêlées dans son dos et mes bras me tenant fermement, je m'accrochais à son cou de plus belle et je hurlais de plaisir. C'était incroyable, je venais probablement de battre mon propre record d'éjaculation et pourtant, j'en voulais encore, c'était vraiment un orgasme différent.
Au bout d'un moment interminable que je savourais pleinement, il me posa à terre et me retourna violemment en me plaquant contre le mur. J'avais la face écrasée contre le mur, il m'appuyait sur la tête, j'étais totalement cambrée, les jambes légèrement écartées. Bien plus humilié que jamais, mon cul béant était offert à sa vu. Il était bien plus grand que moi et son pénis me pénétrait en s'enfonçant vers le bas, ce qui le remit directement en contact avec ma prostate. J'en tremblais d'excitation alors qu'il commençait à me culbuter. C'était incroyable, je ne sais pas où il allait chercher toute cette énergie, il se défoulait totalement sur moi. Je n'en pouvais plus, mon sexe pitoyablement flasque s'est mis à couler. De nouveau, des torrents de mon sperme coulaient hors de moi. J'étais totalement heureuse, humiliée, heureuse de jouir comme une femme, humiliée d'avoir un jour pensé que j'étais un homme.
Je me suis mise à vaciller, et je ne me souviens pas bien ce qu'il s'est passé à ce moment-là. J'ai repris mes esprits quelques instants plus tard, j'étais à quatre pattes par terre les jambes écartées, le torse allongé sur mon lit et mon beau mâle en rut en train de m'achever.
Dans du long et violent mouvement, il souffla :

- Oh putain sale pute, c'était excellent j'ai jamais vu ça, je vais jouir prépare toi à me sucer !

Il me tira par les cheveux me retourna, j'étais assise par terre dos face à mon lit. Il mit un pied sur le lit à côté de ma tête. Ota le préservatif de son pénis et l'enfonça aussi loin qu'il pouvait dans ma gorge. J'étais tellement exténué par cette baise que je me laissais faire totalement soumise. Je cherchais simplement de l'air quand il le fallait, je le laissais baiser ma gorge comme bon lui semble, je n'étais qu'un trou, un sac à foutre. Il grognait depuis quelque temps déjà, quand soudain dans un hurlement bestial, il s'enfonça au fond de ma gorge. J'étouffais en le sentant jouir par énorme saccade directement dans mon oesophage. Je lui claquais les cuisses pour le supplier de m'accorder de l'air, mais il me tenait fermement la tête en grognant de plaisir. Je sentais la chaleur de son si savoureux liquide se déverser en moi. Malgré tout, j'étouffais et je recrachais un peu de son sperme par le nez, j'étais vraiment humilié. J'ai compté, enfin plutôt senti une dizaine de jets. Il se retira enfin ! Tout en déposant une rasade de sperme dans ma bouche. Enfin, je respirais totalement paniquée. J'ai fermé les yeux, ainsi que la bouche, j'ai savouré le gout de son sperme quelques instants, en essayant de mémoriser cet instant à tout jamais. Je me souviens ensuite avoir escaladé mon lit tant bien que mal et me jeter tête la première dans mon oreiller. Je m'étais endormie, évanouie, je repris mes esprits quelques instants plus tard. J'étais totalement perdue, je me demandais ou j'étais, je regardais autour de moi, oui, c'était chez moi, je me touchais les fesses, et je sentis mon trou béant coulant de jus et de lubrifiant. Je me retournai sur le dos et je vis mon beau mâle nu assis sur ma chaise de bureau ne me faisant pas face. Je m'assis tant bien que mal, le cul endoloris par notre baise si incroyablement intense. Je sentais que ça coulait de mes fesses, j'aimais la sensation. J'admirais le beau dos de cette homme noir musclé quarantenaire. Je me mordais la lèvre, je sentais encore mon rouge à lèvres, j'espérais ne pas être si défiguré que ça. J'aperçus ce qu'il faisait, il se roulait un joint !
Il jeta un coup d'oeil vers moi et me dis :

- On se réveille ? Pas trop dure ta première fois ma jolie ? J'ai été doux t'as vu ?

D'une voix exténuée, mais que j'essayais tant bien mal de féminiser, je lui répondis :

- Oooh, c'était incroyable, merci merci merci, c'était génial, je m'en souviendrais toute ma vie.

Je le pensais sincèrement ça avait été un des moments les plus incroyables... Non, c'était le meilleur moment de ma vie. Il rigola.

- Au faite, moi c'est Samuel, mais tout le monde m'appelle Sam. Tu devrais faire gaffe à faire venir des inconnus chez toi, tu ne savais même pas mon nom. Me conseilla-t-il de sa grosse voix grave.

- Euh, oui, c'est vrai, je... Euh... J'avais même plus pensé à te demander. Minaudais-je intimidée ?

- Ahah tant que tu tombes que sur des détraqués sexuels ça ira pour toi, plaisanta-t-il

Il avait fini de rouler son joint. Il prit avec lui le cendrier qui était posé sur mon bureau ainsi que son briquet. Il se dirigeait vers le lit et je lui fis une place. Il s'allongea à côté de moi et me dis :

- J'aime bien fumer après une bonne baise, on ne peut pas être plus détendu après ça.

- J... Je... J'étais trop excitée... Bégayais-je.

- Quoi ? S'étonna-t-il ?

- J'étais trop excité, c'est pour ça que je n'ai pas pensé à votre prénom.

- Ahahahah, il s'exclafait, t'avais vraiment le feu à la chatte ma salope. Et tu me vouvoies maintenant ? Pendant qu'on baisait, tu ne te gênais pas ?

- Euh... Oui pardon...

- Soit pas gêné, après ce que je viens de te faire, t'as plus de quoi l'être.

Il passa un bras autour de moi et me serra contre lui. J'en profitais pour me coller totalement à lui, je posais ma tête sur son torse ma main sur son autre pectoral. J'étais en manque d'affection féminine parce que je n'avais pas de copine. Alors j'étais devenu cette copine que je désirais tant.

- C'était vraiment bon merci, j'ai adoré, c'est tout ce dont je rêvais et plus encore, merci d'avoir fait de moi une femme ! Je me suis surprise en lui lançant ce discours.

- Oui, c'était bon moi aussi, j'ai adoré, je suis fier que tu sois devenu ma pute, tu m'appartiens maintenant. Annonça-t-il fièrement ?
D'un ton plus calme, il ajouta :
- Désolé pour tout à l'heure, j'étais vraiment en manque de sexe ça faisait plus de deux semaines que je n'avais pas joui. J'étais trop agressif sur le chat. Qu'est-ce qui t'a fait vouloir me parler ?

Et il me saisit une fesse qu'il malaxait comme bon lui semble pendant que l'on parlait.

- Bah... Euh... C'est que j'aime bien les mecs plus âgés et pis les blacks aussi et qui n'aime pas une grosse bite ahahah. Et puis j'avais vraiment envie d'essayer, j'étais juste une fille en manque de sexe.

- Je vois, me dit-il en allumant son joint

La discussion se poursuivait et je lui racontais mes fantasmes et comment je voyais les choses. Puis il me proposa de fumer, j'acceptais volontiers. ça ne pouvait pas être mieux, j'aimais fumer cela m'excitait encore plus.

- He la, doucement, ce n'est pas la merde que tu fumes d'habitude, fais gaffe. Me dit-il en me prenant le joint des mains ?

- Oh, c'est bon, j'ai déjà fumé, rigolais je.

Il tira quelques lattes puis me le repassa. Je lui dis en tirant :

- En tout cas, tu m'impressionnes t'as tenu longtemps, c'était une de mes craintes que ça finisse trop vite pour ma première fois.

- C'est la capote, il me reprit le joint, je tiens moins longtemps sans capote, mais je préfère, c'est meilleur.

- Oui, mais bon, on ne se connaît pas, désolé, mais je fais attention...

- Oui, t'inquiètes, je comprends, je fais pareil, mais je croyais que t'étais vierge, je pensais rien risquer et je suis safe je passe souvent des tests. Je pensais que ça ne risquait rien pour moi en tout cas.

- Et bah salaud, tu penses qu'à toi... Moi aussi, j'ai fait des tests, de toute façon, je n'ai pas eu beaucoup de... enfin bref depuis le temps... Euh, je veux dire, j'ai fait les tests et je n'ai pas eu de rapports depuis.

La discussion retournait à d'autres sujets pendant que l'on finissait de fumer. Après quelques instants, je me sentais vraiment bien, il avait raison, c'était vraiment fort. Je me sentais totalement excité de nouveau. Je le caressais depuis tout ce temps, mais je restais soft, jusqu'au moment ou ma main sur sa cuisse à dérapé et j'ai commencé à lui caresser le pénis à nouveau. Je le regardais dans les yeux tout en le masturbant. Il me disait à quel point, j'étais une salope. Comme il m'avait baisé tellement bien pour ma première fois, j'allais avoir de trop hautes attentes, je ne serais jamais satisfaite et que j'allais devenir dépendante, je ne pourrais plus m'en passer et d'autre formule du genre qui m'ont terriblement envouté. Il m'excitait follement, je l'ai embrassé sauvagement, c'était un baiser de remerciement pour avoir fait de moi une femme. Puis j'ai commencé à descendre sur son torse, je l'embrassais, le léchais, je lui mordillais les tétons, enfin je suis descendu progressivement entre ses jambes. Je m'allongeais face à son entrecuisse en le regardant dans les yeux et je saisis son pénis flasque. Il était vraiment imposant même au repos. Sans détourner le regard, je l'ai enfoncé dans ma bouche puis dans ma gorge, je le faisais glisser du mieux que je pouvais au fond de ma gorge. Je le sentais s'exciter en me regardant, il durcissait dans ma gorge, j'étais vraiment relaxé et je me sentais chienne. Avoir fumé me donnait des envies de faire l'amour.

Je bavais consciencieusement sur son pénis de nouveau en érection. Puis toujours en le regardant je me suis mis assise sur son ventre et je me frottais sur sa queue bien dure, je la maintenais contre mon cul en faisant des vas-et-viens. Ses mains maintenaient mes hanches et il accentuait les mouvements. Je repensais en un éclair à notre conversation précédente. Et puis n'en pouvant plus, j'ai soulevé mon bassin, frotter son gland à l'entrée de mon cul. Les sensations étaient différentes, j'appréciais ce moment. Mais n'y tenant plus, je tâchai de m'empaler dessus, je descendais doucement sur son gland, puis je me laissai tomber et pris tout le reste d'un coup. Il poussa un petit gémissement de satisfaction, j'en profitais pour poser mes mains sur son torse, et je me suis mis à faire des mouvements de bassin avant arrière. Mon pénis, qui s'était dressé pour l'occasion, frottait, pris au piège entre nos deux ventres. Ça m'excitait énormément, je ne m'étais pas masturbé depuis je ne sais plus combien de temps. Après un long moment, je me suis retourné pour être dos à lui, je me suis mis en position squat et c'était reparti. Je voulais vraiment lui faire plaisir, et là, il avait une vue imprenable sur mon fessier. Il gémissait, il semblait bien plus calme que la fois précédente. Mais n'y tenant plus mon pénis me faisant mal de l'avoir frotté juste avant, je me suis mise à genoux assise sur ce monstre de chair que je vénérais et j'entrepris de me masturber tout en continuant mes mouvements. Il ne fallu pas plus de deux ou trois minutes pour que j'éjacule de puissants jets, ils s'envolèrent loin devant moi, j'avais des spasmes, mon cul se contractait, je sentais toutes les veines de son pénis coulisser à l'intérieur de moi.

Je restais immobile quelques instants, appréciant mon orgasme, puis je remontais doucement le long de son pénis, j'avais l'intention de le finir dans ma bouche.
Sur ce, soudainement, il se releva, me poussa, me plaqua à plat ventre sur le matelas :

- Pas question, t'as commencé, tu finis, tu crois que je ne le connais pas ce plan ? Tu voulais me finir à la main ou quoi ? S'énerva-t-il.

- Pardon, je suis désolé, s'il te plait arrête

J'avais joui, un orgasme normal, ma prostate était gonflée, j'avais instantanément débandé et je perdais mon excitation. Mais il était là sur moi toujours fièrement en moi.

- T'as joui, c'est pas mon problème, je te l'ai dit tout à l'heure ça fini quand JE veux ! S'écria-t-il ?

J'étais vraiment apeuré, il commença à me bourriner violemment comme lors de la première fois, ma prostate était gonflée, j'étais trop serré, je le sentais, j'avais encore des spasmes anal. Je poussais de petits cris aigus à chaque fois qu'il allait particulièrement, fort. Je me sentais vraiment sale à ce moment, en pensant à la situation, je voulais que ça s'arrête, c'était vraiment inconfortable, je me sentais souillée :

- Mmmm Mmmm, je m'exprimais, t'aimes ça me souiller, j'suis ton sextoy, tu te sers de moi comme d'un objet

Il allait plus fort encore.

- Ça finit quand je le décide, lâcha-t-il en exhalant

- Mmmm Mmmm, j'enfonçais la tête dans le matelas, je suis ta chienne

Je me sentais horriblement souillée à tel point que ça m'a excité, je n'avais plus envie du tout de jouir, tout ce qui m'importait, c'était qu'il m'utilise pour son propre plaisir.

- Vas-y plus fort ! C'est tout ce que tu peux faire ?

Il me sautait dessus de tout son poids depuis mes dernières paroles et dans un dernier saut s'écrasa sur moi, cette masse de plus de 100 kilos m'enfonçait dans le matelas ! Dans un long, râle, je sentis son pénis ce contracté en moi, durcir plus qu'il ne l'était déjà et à ce moment-là déverser des litres de foutre en moi. Je sentais des jets de chaleur à l'intérieur de moi ça m'excitait terriblement, ça calmait la douleur que j'avais pu ressentir, je me suis mis à remuer mes fesses afin de lui arracher tout son précieux nectar. Il resta un long moment à reprendre son souffle, écrasé, anéanti, il faisait de petits mouvements pour bien profiter de sa jouissance. J'en étais presque de nouveau excité ; mais j'étais surtout épuisé. Il reprit conscience et il commençait à enfin me libérer quand il s'enfonça de nouveau en moi.

- nnnh ! S'il te plait, je t'en supplie laisse moi, je gémissais.

Il recommença deux ou trois fois puis enfin se retira, je m'affaissais la tête dans le matelas.
J'étais très fatigué, je sentais son jus couler, je mis ma main sur mes fesses et je me doigtais doucement pour sentir ce qui restait de mon cul. Il était à genoux en train de me malaxer les fesses et de se branler doucement. Je mis ma main sous mes fesses et je poussais doucement, je récupérais une partie de son sperme dans ma main et entrepris de le lécher goulument tout en le regardant.

- Hmmm ma boisson préférée !

- Salope ! Insatiable !

Et il se laissa tomber allongé sur mon lit, je me suis mise à côté de lui et il me passa un bras autour du cou. J'étais étendu à côté de lui, la tête sur son épaule.
La fatigue me gagna et je me suis senti partir.

À mon réveil Sam n'était plus là, il avait dû me poser délicatement.
Je me levais engourdie, je regardai mon portable machinalement 5h22, un nouveau message :

4h46
C'était vraiment sympa ce soir, je t'ai laissé dormir, je suis parti en douce, je t'ai laissé un cadeau sur ton bureau.

Wouaw, je m'étais fait baiser pendant presque 5 heures, ce fut ma première réaction en voyant l'heure à laquelle j'avais reçu son message. Puis je me suis dirigé vers mon bureau et je vis qu'il m'avait laissé de quoi me rouler un joint. C'était vraiment sympa de sa part. Je m'empressai de le préparer. L'alluma et m'allongea sur mon lit tout en le fumant.
Ce soir avait vraiment été merveilleux, j'étais encore sous le choc. J'étais une femme, je ne regrettais pas du tout, même pas la fin, j'avais joui comme jamais. Le sexe était vraiment mieux quand on recevait, j'en étais désormais convaincue. Je finis de fumer, posai mon cendrier à côté de mon lit, puis je me caressai le cul. J'étais tellement ouverte, mon trou était encore juteux, je savais que j'avais encore de son sperme en moi, et cette pensée m'excitait terriblement. Mais j'étais épuisé, je m'endormis immédiatement.

Si j'avais pu me voir à ce moment. Une fille aux cheveux bruns totalement décoiffés, un maquillage totalement souillé qui la rendait vulgaire. Un soutien-gorge noir avec des traces blanches suspectes sur les bonnets. Un porte-jarretelle et un collant filé. Sans oublier de préciser que ce corps de femme possédait un pénis, ratatiné d'avoir pleinement joui de sa soirée. Souillée, en sueur, couverte de sperme. Le tableau était magnifique.

Je me réveillais le lendemain en début d'après-midi, j'étais en weekend. Mais au moment ou j'ouvris les yeux, j'étais surtout complètement reposée, relaxée comme jamais je ne l'avais été. Satisfaite était le mot parfait. Je contemplais la scène un sourire aux lèvres. Ravie à la fois de m'être laissé aller, d'avoir dépassé mes craintes et de m'être lâchée pleinement.
Puis en bougeant, je fus pris de douleurs, de courbattures, houla, la nuit avait laissé des traces. Je me levai tant bien que mal et me dirigeais vers la salle de bain. Je me contemplais dans le miroir. Désastreux, totalement décoiffés, le maquillage et la tenue n'en parlons même pas. J'avais l'impression de contempler une actrice porno après un bukkake avec des dizaines de mecs. Je me tournais doucement, et oh surprise ! J'avais des bleus sur les fesses et les cuisses. Wouah ! M'exclamais-je, en me caressant doucement, il n'y a pas été de main morte ! Puis je m'insérai mon majeur, ça glissait vraiment facilement, à vrai dire mon doigt flottait sans aucun mal en moi. Je me suis mis à pousser et oh gloire ! Tout ce que j'espérais ! Une substance blanchâtre liquide coula sur ma main. Je me suis jeté dessus comme une chienne. Je léchais avidement, que c'était bon, tellement délicieux, le gout de sa queue, de son foutre, du lubrifiant et de mon cul mélangé, c'était un cocktail de bonheur.

N'ayant plus une goutte à savourer, je me suis déshabillé entièrement, retira ma perruque, elle tenait plutôt solidement, j'en étais content cela m'avait sauvé hier soir.
Je me glissai dans ma baignoire, je pris un bon bain réparateur. Je me nettoyai et me démaquillai correctement. Puis j'entrepris de ranger mon appartement et toutes mes affaires de sissy. Je me suis assis à mon bureau, et je suis resté dans un état rêveur toute la journée, je n'ai pas résisté à me soulager aussitôt que le besoin se faisait ressentir, c'était l'après-coup. Ma vie sexuelle me satisfaisait enfin ! Je pouvais me masturber à nouveau. Je savais au fond de moi que je me lasserais vite pour pouvoir recommencer.

Bumi88

hommedefeu@yahoo.fr

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