Mon bac fraichement en poche je décide de m'installer à Toulouse pour y poursuivre mes études. A 18 ans, je suis plutôt beau mec, fin et assez viril. Pourtant, j'ai toujours été attiré par les mâles virils et dominants. Ne trouvant pas encore d'appart, mes parents trouvent l'idée de m'installer chez un oncle à moi le temps d'emménager.
Mon oncle s'appelle Abdel et aux diners de famille il m'est souvent arrivé de fantasmer sur lui. 50 ans, 1m90, pas gros, mais tout de même bien garni. Il dégageait une sorte d'autorité naturelle qui le rendait particulièrement intimidant. Venant de divorcer, il a été décidé qu'un peu de compagnie ne lui ferait pas de mal. Le jour de mon arrivée, Abdel s'est montré particulièrement avenant. Il m'a montré ma chambre, au début du couloir puis la sienne, tout au fond. " Si tu as besoin de quoi que ce soit " me disait-il... Après m'avoir préparé à manger, il était sorti avec des amis et m'a laissé seul à la maison histoire de déballer mes affaires.
La cohabitation s'est passée tranquillement pendant les deux premiers jours. On ne se croisait pas trop, car il avait pour habitude de sortir tous les soirs et ne se levait pas avant midi.
Un dimanche en début d'aprèm, je sors dans un coin du jardin pour fumer ma clope et je tombe sur lui en train de fumer un pétard. Apparemment, tout comme je me cachais de lui pour la clope, il se cachait de moi, car il avait peur que je répète à mes parents ou qu'ils croient que c'est un mauvais tuteur. Je me dirige vers lui et lui souris en disant " ne t'en fais pas je fume aussi ". Je lui prends le pétard et tire dessus en guise d'exemple. Il se met à rire. J'ajoute " je suis bien plus ouvert d'esprit que tu ne le crois ne t'inquiètes pas ".
Depuis mon arrivée, je n'arrêtais pas de fantasmer sur lui. J'ai toujours imaginé qu'il avait un membre énorme entre les jambes, qu'il laissait parfois se balader dans le survêt' gris qu'il portait quand il restait à la maison. Lui me parlait tout le temps des femmes qu'il baisait, que se marier est une connerie. Qu'il n'y a rien de plus satisfaisant que de remplir des culs avec son sperme de macho. Ce matin-là, je ne sais pas trop ce qu'il m'a pris. Pendant qu'on fumait tranquillement debout en discutant, j'aperçois une protubérance énorme au niveau de son paquet. Sans trop réfléchir, je mets la main dessus alors qu'il m'avouait qu'il était un peu en manque.
Après un petit silence, il me regarde d'un air vicieux et me dit " alors comme ça t'es une petite salope ". Je lui souris sans rien répondre. Sa bosse grossit de plus en plus.
Je me baisse alors et libère la bête. La prendre en main est déjà une épreuve. Il a une teube énorme, bien bronzée, veinée et au gland imposant. Ses boules sont vachement grosses, lourdes et poilues... Un vrai mâle rebeu mature.
L'odeur de la weed se mêlant à celle de sa virilité, je ne me retiens plus de le sucer goulument. C'est exquis. Il lâche de gros râles de plaisir et moi je continue de l'aider à se détendre. Je le pompe avec passion, il le sent. Il me prend la tête et commence à accompagner les va-et-vient. Tout en continuant à fumer comme un pacha, j'étais en dessous en train de servir son pénis.
Au bout d'une dizaine de minutes, il m'attrape violemment la tête et me baise la bouche plus rapidement jusqu'à expulser une dose assez conséquente de foutre blanc dans ma bouche et sur mon visage. " Petite pute, tu n'as pas idée de ce que tu viens de faire "
Venant de satisfaire l'un de mes fantasmes, sucer mon oncle, je ne comprends pas encore la teneur de ses paroles. Ni une, ni deux, son manche est de nouveau dur et bien droit. Il m'attrape d'un trait par le bras et me traine à l'intérieur.
Il me jette violemment sur le canapé du salon et me baisse mon short. Allongé sur le ventre, le cul à l'air. " T'inquiètes, Tonton va bien s'occuper de toi ". Il cracha d'un coup sur mon trou et y porta sa langue musclée pour commencer à me bouffer sans retenue. Un animal sauvage. En même temps, il pousse des grognements et sa bite ne semble pas dégonfler. Il porte encore son survêt ", baissé juste en dessous des couilles. Sans prévenir, il enfonça son pieu en moi.
Jamais je ne me suis senti aussi déchiré, ouvert de l'intérieur. La douleur est vive, mais l'excitation l'est encore plus. Après s'être enfoncé jusqu'aux testicules, il commença à me baiser sauvagement. Je n'étais plus qu'un trou, un cul. Un garage à bites. Mais surtout la sienne.
Mon trou tout serré avait été dilaté au-delà de toutes proportions raisonnables... il n'était plus qu'une chatte mouillée et gourmande, accueillant sa lance comme dans du beurre. La défonce dura environ 20 minutes, il était tenace le cochon. En me baisant, il me traitait de tous les noms.
" petite chienne " " je vais te dresser à mon zob " " tu vas payer ton loyer comme ça dorénavant "
Il vint en moi et libéra une autre flaque de jus chaud que j'eus du mal à contenir... 1m90 venaient de se vider en moi en m'utilisant comme un sextoy. Son changement d'attitude était également ettonante, de bienveillant à dominant... Il se releva et me laissa comme ça, sur le canapé, rempli de foutre et endolori. Mon cul était béant, baveux et me brulait. Lui grogna et retourna simplement dans sa chambre pour faire la sieste.
La cohabitation prenait dorénavant une toute autre dimension, mais ça encore, je sous-estimais à quel point...
Fin de l'épisode 1.
La suite dans le prochain épisode.
Lamperouge
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