Premier épisode | Épisode précédent
Le lendemain matin, Romain pense à une " revanche " à prendre sur Pascal. Il est d'accord pour cet aprèm. Pareil il fait beau et on aura fini le plus gros du travail ce midi.
Juste avant déjeuner, Romain termine ses préparatifs et après le café il attaque les festivités.
Romain : monte, je t'attends au grenier
Pascal : au grenier ! Drôle d'idée...
Je sis debout face à Pascal et lui enlève ses vêtements un à un. Une fois totalement nu, je lui demande de s'allonger sur un matelas, la tête vers le mur, au pied de deux grosses poutres de la charpente. Je lui attache un poignet à une corde reliée à une poutre. Pareil pour l'autre. Il a les bras légèrement écartés.
Je continue par les jambes en attachant les chevilles de la même façon.
Allongé et attaché sur le matelas, je vais pouvoir commence mes occupations...
Tout d'abord, comme il m'a fait, je vais le raser. Il n'aime pas ça et râle... Je commence, je vire deux grosses touffes sous les bras : ce n'est pas pour rien. Mousse sous le nombril, rasoir, enlever inspecter, recommencer ; j'arrive aux beaux poils blonds du pubis ; rasés ! Les couilles : méticuleusement enlever tous poils, hum c'est drôle et excitant. C'est fou ce que le rasage lui donne une gueule de gamin, un sexe de môme et un côté exhibitionniste pervers, un plus gros sexe qui ressort bien !
Pascal : T'as vu ! J'ai l'air de quoi ? Une tafiole en chaleur ? Je n'ai rien contre, mais ce n'est pas mon style, mec !
Ensuite avec mes ficelles, je lui attache les jambes plus hautes. Il est sur le dos, attaché des 4 membres, jambes relevées et écartées au-dessus de sa tête. J'ai une vue imprenable sur son cul qui me permet de raser cet endroit à la perfection. Sympa le rasage de son cul, j'en profite en passant pour le doigter un peu, il réagir vigoureusement.
Une fois rasé, je commence à lui lubrifier le cul et y enfoncer 1 doigt, 2, manche fin tourne visse, manche plus gros. Il a un peu mal, je continue doucement. Je bande et suis à 4 pattes devant son trou du cul, en érection. Ma bite a envie de se retrouver dans son trou, elle a hâte... Je remets du gel, met fièrement un préservatif (ça y et je vais baiser, pour de bon !) et l'approcher de son cul. Quel plaisir de toucher son cul du bout de ma bite, sans les mains ! Des soubresauts animent ma bite, je suis fou de joie et d'excitation. J'approche encore, appuie et pour la première fois de ma vie, mon sexe commence à entrer dans un autre humain, et pas n'importe lequel : Pascal !
Il gémit puis crie... Arrête !
J'arrête pour qu'il s'habitue puis continue, il gémit encore et me demande de nouveau d'arrêter. J'enfonce, j'enfonce jusqu'à ce que mes couilles fassent un câlin aux siennes ! Je suis hyper content, mon sexe dans un autre, mon sexe serré, branlé, sans mes mains... Je me penche à la rencontre de ses lèvres, lui roule une jolie pelle. J'ai l'impression de le pénétrer par ma langue et par ma bite ! Suis hyper content et excité, je le pénètre avec délectation, fierté, sexuellement....
J'alterne vas et viens et pauses, car j'ai peu d'expérience et ne veut pas jouir tout de suite ! Pascal ne serait pas contre que je jouisse, car, attaché, le cul tendu vers moi, c'est un peu humiliant, ça fait " pute à dispo "....
J'arrête, me retire, me lève et le regarde. Hum mignon, provoc avec son sexe glabre et son cul tendu, à dispo..... Ça m'excite, je me remets à 4 pattes devant lui et enfonce ma verge dans son rectum, direct, et je le bourre. Il est surpris et gémit de douleur. Je bourre encore plus, il se calme, excité !
Je me remets debout, j'ai l'impression de rêver, j'ai là un bomec, attaché, totalement à ma dispo, allongé sur le dos, jambes attachées vers le haut. Je n'ai qu'à me baisser pour le niquer et lui rouler des pelles... Alors qu'il y a une semaine, rien de ça, qu'en rêve !
J'en profite : ma bite est dressée. Je me baisse, l'encule à fond un moment, l'embrasse puis repars. Au bout d'un moment je descends dans la cuisine, bois un café, en érection en pensant à Pascal qui est au grenier, le cul en l'air à attendre, attaché... Mais j'ai vraiment envie d'éjaculer, je remonte au grenier en courant, le pénètre délicieusement et lui dis que je vais jouir. Pour cela, en même temps je le branle. C'est parti, ma bite est à la recherche des grandes profondeurs du camarade, ma main fait des allers-retours sur sa bite, je sens mon plaisir monter, monter, je fais tout pour le faire jouir en premier, c'est fait. Dans de grands râles, attaché, baisé, embrassé, il jouit énormément. Mais moi, par sadisme je continue à le branler. Cela s'appelle " post cum torture " en anglais. En français on pourrait dire torture après éjaculation ? Au début, il ne s'en aperçoit pas, car il est toujours dans ses contractions éjaculatoires. Bientôt il commence à moins apprécier, essaye d'échapper à ma masturbation, mais il est attaché. Je continue, puis caresse le gland. Il s'excite grave, me hurle d'arrêter ; se débat comme un fou, essaye d'arracher ses liens, mais ne fait que les resserrer. Je continue à le branler, caresser, tout en le pinnant. Il devient fou, car ma bite dans son cul l'excite et ma main branlant sa bite lui procure tellement d'excitation que cela lui fait mal. Tous les garçons connaissent ça : après l'orgasme, la pause ! Moi aussi cela m'excite terriblement, enculer un bomec rasé, ligoté, qui se débat et hurle, car je lui tripote le sexe, cela me produit une énorme éjaculation dans son petit cul que j'adore... Puis je me couche sur lui, immobile, lui aussi, on sommeille, imbriqués.
Après une petite sieste, je le détache, il se remet debout. Ça lui fait tout drôle d'avoir été enculé... il est un peu perturbé, gêné, plus doux avec moi ! Je lui fais une bise, lui pareil, puis en descendant du grenier à notre chambre il me met un bras sur les épaules, sans rien dire, tendrement ! On s'habille pour aller travailler, calmement, en silence, rêveurs, pensifs, un peu gênés de ce qui se passe entre nous...
Stéphane