Je venais de réussir un concours, et partir en stage de formation d'un an dans le sud-ouest de la France, avant de rejoindre mon poste d'affectation. J'ai dû donner congé de l'appartement que j'occupais.
Le dernier soir, j'aurais dû dormir à l'hôtel si mon patron m'avait proposé de manger et dormir chez lui.
J'ai sonné à sa porte vers 19 heures. Sa femme est venue m'ouvrir en me disant qu'elle devait partir chez ses parents pour quelques jours, son père étant malade. Elle a attendu que son mari arrive avant de partir.
Nous étions que tous les deux. Il me proposa de prendre une douche. J'acceptais volontiers après cette journée harassante. Il me montra le peignoir accroché au mur. L'eau très chaude me fit le plus grand bien. Une fois lavé, j'ai mis un slip et le peignoir.
En rentrant dans la salle de séjour, je m'enquerrais de savoir si cela le gênait que je reste en peignoir.
Après l'apéritif de rigueur, nous sommes passés à table. Très bon repas que sa femme avait concocté, agrémenté de bons vins. Le problème, c'est qu'il ne m'en faut pas beaucoup pour le souler. Bien qu'un peu pompette, je pouvais encore me contrôler à la fin du repas.
Nous avons dégusté un dernier petit verre en regardant la télé, assis l'un à côté de l'autre sur le canapé.
J'ai senti sa main s'introduire dans le pan du peignoir pour la poser sur ma cuisse. J'ai serré les cuisses. Étonnement, je n'ai pas bougé lorsqu'il l'a caressée. Prenant ma passivité pour un accord, il a dénoué la ceinture du peignoir, écarté les deux pans. J'étais presque nu - j'avais encore mon slip -.
Il a posé ses mains sur mon torse entièrement glabre, massant légèrement mes tétons, puis il a remonté vers mes épaules pour faire glisser le peignoir, dégager mes bras des manches. Mon slip avait du mal à contenir mon érection par la bosse très visible.
Il a glissé ses mains dans mon dos pour retirer entièrement le peignoir, puis descendu doucement vers mon slip, a mis les mains de chaque côté pour l'enlever. Je lui ai facilité la tâche en soulevant mon bassin.
Une fois dégagée de son enveloppe de coton, ma verge a jailli comme un diable de sa boite pour se coller sur mon ventre. Mon prépuce était gonflé par mon gland turgescent, laissant juste apparaitre l'urètre où perlait du lubrifiant.
Une fois mes pieds retirés de mon slip ôté, j'étais entièrement nu face à mon patron.
Il m'a écarté les jambes, mes boules étaient détendues. Il a saisi mon membre pour le décalotter à fond au point de me faire mal, maintenu ainsi avec son doigt, il a étalé le lubrifiant sur tout mon gland, puis autour du frein, ce qui a calmé la douleur.
Avec ce traitement, mes testicules s'étaient rétractés, laissant l'accès à mon périnée, ce qui lui permit de le masser avec deux doigts.
Je contrôlais autant que je pouvais mon excitation pour ne pas jouir.
Il me fit comprendre de me mettre debout. Il voulait admirer ma chute de reins et mes fesses bien rondes qu'il malaxait plutôt que masser. Il les écarta pour regarder ma rondelle vierge bien formée exempte de tout poil. Je sentais son souffle chaud.
Après cette inspection, il me fit m'assoir sur le canapé, releva mes jambes qu'il me demanda de les maintenir de la sorte, bien écartées. Dans cette position, il avait une vue panoramique sur mon anus. J'ai senti un fluide tiède dégouliner sur ma raie pour atteindre ma rondelle. J'ai senti ses doigts étaler sa salive.
J'ai senti un doigt pénétrer dans mon intimité. Bien que j'aie l'habitude de me doigter, j'ai grimacé, ses doigts étant plus gros que les miens. À force de mouvements de va-et-vient, mon sphincter s'est détendu. Je ne sais pas combien j'allais tenir avant de lâcher la purée.
Avec toujours son doigt bien enfoncé, il a pris ma queue dans sa bouche pour me sucer. Là, je n'ai pas tenu longtemps avant de lui dire que j'allais jouir. Il se retira juste au moment où les premiers jets puissants jaillirent sur mon torse. Je n'ai jamais joui aussi puissamment et autant.
Mon corps s'est détendu, ma queue aussi. Il est allé chercher un gant tiède pour me nettoyer. J'étais vidé. Il m'a remis mon slip. Je suis allé me coucher.
Le matin aux aurores, le petit-déjeuner était prêt. Il m'a posé la question :
- Tu as bien dormi ?
- Comme un bébé répondis-je.
Après un long silence, il m'a demandé :
- Pourquoi tu t'es laissé faire hier soir ?
- Parce que je savais que tu en avais envie depuis longtemps, comme je ne reviendrai pas ici, je voulais te faire ce cadeau d'adieu.
J'ai chargé mes bagages, mis le moteur en route et je suis parti vers de nouvelles aventures.
Aurige
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