Le patron du centre médical n'a qu'à se servir...
Le docteur - et directeur - d'un centre médical où j'étais employé aux bains thermaux de 34° m'a un jour dit qu'il pourrait m'ausculter en fin de semaine. Pourquoi pas ? Je n'en voyais pas la nécessité, je ne me sentais pas malade, mais être ausculté par le spécialiste me paraissait une aubaine.
C'était un Monsieur légèrement enrobé, proche de la retraite, barbe courte et cheveux gris, avec l'autorité naturelle de son âge et de son poste : Un patron dont on ne discutait pas les ordres.
En retrouvant des amis, une dame m'a dit " ah, ça ne m'étonne pas, ce vieux cochon est PD à fond. Il veut te tripoter. Ne quitte jamais ton short sous aucun prétexte ".
Ça m'a fait peur. Contradictoirement ça m'a en même temps développé l'envie de poser semi-nu devant lui :). Ce serait une première pour moi, je découvre qu'être maté pourrait m'exciter. Bon, j'avais déjà remarqué son attirance vers moi, parceque'une fois il était venu me voir à la piscine médicale et m'avait fait faire des mouvements à recommander à un des patients : D'abord il m'avait fait mettre à 4 pattes sur une natte de gym placée sur un banc du vestiaire, et creuser le plus possible le dos. Cette position cambrée fait ressortir les fesses. Il avait mis sa main sur mon dos pour suivre le mouvement. Ensuite, mouvement contraire, il fallait arrondir le dos, le plus haut possible. Sa main était alors sous mon ventre. J'étais avec ma tenue de piscine, en short, torse nu. Le médecin s'était placé derrière moi. J'avais dû accomplir sous ses ordres une dizaine de fois le mouvement. Il avait rectifié mes positions, plaçant sa main contre mon ventre pour que j'arrondisse encore plus la position, puis pressant doucement et fermement sur mes reins pour que je creuse plus le mouvement. Il a aussi rectifié la position de mes jambes pour qu'elles restent verticales et que je cambre le plus lentement possible jusqu'au maximum de mes articulations. Il avait ralenti mes mouvements en gardant la pression sur mon dos. Mon appareil génital était serré par mon short. Tous ces mouvements n'arrêtaient pas de faire bouger mes attributs mâles sur les côtés de la couture, les compressant de plus en plus fort à chaque creusement du dos... et c'est justement quand la compression était au plus fort qu'il me disait de garder la position un instant !
Ce short, c'est le vêtement que je mettais quand mon maillot de bain était mouillé, pour être au sec, mais ça ne convenait pas du tout pour ces mouvements complets. C'était un short en coton blanc, pas du tout souple, mais confortable quand on ne fait pas ces mouvements, et surtout un vêtement sec quand je quittais mon maillot de bain humide. Je ne mettais pas de caleçon en dessous parce que personne ne pouvait le remarquer et que c'était plus facile pour changer rapidement. Et le contact du coton sec était agréable. L'atmosphère tropicale de piscine thermale était très chaude. Porter juste le short à même la peau était agréable. Mes testicules bien pendants par cette chaleur y trouvaient leur place naturelle, d'un côté ou de l'autre de la couture. Parfois une de chaque côté.
Mais aujourd'hui, elles étaient compressées à chaque creusement de rein, à la limite de la douleur, et reprendre la position du dos rond était comme un refuge. J'étais bien content quand il a arrêté l'exercice, parce que je ne pense pas qu'avoir les testicules autant triturés par le short, soit bon pour la santé. Le docteur était venu à la fermeture quand il n'y avait plus personne pour me faire ces mouvements. Je venais de mettre les lumières du bain en veilleuse. Je suis sur qu'il venait se rincer l'oeil avec le petit nouveau de 19 ans que j'étais, en me faisant bouger les fesses devant lui. (c'est lui qui m'avait embauché en m'abordant au bar proche du centre de cure).
Bref, fin de séance, il s'en va. Je change de tenue pour mettre un caleçon cette fois-ci et mon pantalon. Je remarque que la porte du vestiaire employé se fermait lentement... l'imaginer m'observer de loin m'a donné une mini-érection immédiate. J'ai pris le temps de chercher mon sous-vêtement. J'étais entièrement nu. La porte restait à peine entrouverte, immobile. Immobile comme lui, que je devinais dans la pénombre de l'accès aux bains. Ma verge pendait, mais avait déjà pris du volume. Je me retournais et cherchais fictivement dans mon sac, courbé en deux pour lui présenter de loin mes fesses et mes testicules pendants. En me relevant, je me retournais et poussais le vice à décalotter entièrement mon gland comme si le prépuce me dérangeait. Je m'habillais enfin, et c'est là que la porte s'est entièrement fermée. Je voyais le mouvement très lent de la poignée reprendre position, silencieusement. Il avait tout maté et connaissait maintenant chaque détail de mon anatomie.
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Le jour du rendez-vous chez mon patron-médecin-voyeur, je suis venu directement de la piscine avec (exprès) le short blanc le plus court que j'avais, mes claquettes et un t-shirt comme seuls vêtements. Je m'étais déjà exhibé devant lui, alors je contais bien continuer à lui apporter ses petits plaisirs visuels.
En arrivant dans son bureau je sentais mon coeur battre fort, et tentait de ne pas avoir d'érection.
" Enlevez votre t-shirt " puis il prend mes mesures, taille et poids. J'étais sur la balance face au mur. Ses mains prennent ma taille pour me retourner vers lui et leur contact sur ma peau rendait encore plus difficile le contrôle de mes sensations.
" Enlevez votre short et posez-le là "
Cette fois-ci j'avais mis un slip blanc. Je l'avais choisi exprès un peu large, et comme je suis plutôt mince, les béances laissaient voir la naissance de mes testicules. Ses mains se posent à nouveau sur mes hanches pour me retourner, puis il dit de me pencher lentement, le plus loin possible vers le bas. Ses mains glissaient lentement sur ma colonne vertébrale, auscultant chaque vertèbre.
" Ne bougez plus "
Je le sens se reculer pour voir de plus loin si j'avais une déviation vertébrale. J'étais totalement courbé, lui derrière moi, me regardant. J'étais immobile dans cette position soit médicale, soit soumise. Ça a duré un moment, dans le silence le plus complet. Bon, il m'avait déjà vu dans cette position quand il m'espionnait du vestiaire, mais j'étais totalement nu.
" Redressez-vous "
Il est toujours derrière moi. Une de ses mains se pose sur ma hanche, et l'autre effleure le milieu de la colonne vertébrale. " Vous avez des douleurs là ? "
- non -
" Asseyez-vous sur la table d'auscultation "
Je monte les 2 petites marches du tabouret en aluminium et m'assieds sur le rebord de la table, jambes pendantes. Il s'assied devant moi et prend une de mes jambes pour ausculter le pied. Je place vite mes deux mains en arrière pour ne pas basculer. Il donne un lent et grand mouvement de cercle à la jambe puis la relâche sur le côté. Il prend alors l'autre jambe, la relève et lui fait décrire également un cercle, puis la repose latéralement, écarté aussi. J'étais alors incliné vers l'arrière, les deux bras derrière moi pour ne pas tomber, mes deux jambes maigres écartées avec le slip très ample. Lui assis devant moi, une main sur chaque cuisse pour maintenir l'écartement de mes membres... Moi qui contais en arrivant lui apporter quelques plaisirs visuels, je vois que c'est lui qui se servait lui-même ! Un véritable self-service pour mater ce qu'il a envie de voir. Je n'avais aucun scénario à apporter pour m'exhiber, juste à suivre ses indications " médicales ".
" rapprochez-vous du bord "
Je me glisse alors sur la table pour aller juste au rebord. Cela a eu 2 effets : d'abord, mon slip a comprimé mon entrejambe, et je sentais nettement que cette compression ne maintenait pas tout mon appareil génital. Un de mes testicules s'était échappé de la protection du slip. L'élastique séparait en deux mes bourses. Une dedans, une dehors. Le deuxième effet, c'est que je me suis rapproché de sa chaise, la distance est devenue minimale. Dans cette position offerte, il a massé mes cuisses, glissant ses mains avec pression des genoux jusqu'au slip. D'abord une jambe, puis l'autre. Par surprise, à deux ou trois occasions, ses doigts en fin de mouvement ont effleuré le testicule hors du slip. J'ai ressenti immédiatement le déclenchement de mon érection. Chaque effleurement me paraissait donner un centimètre de plus au sexe. Mais dans la position où j'étais, je ne pouvais pas voir. Ni vérifier. Je sentais juste que mon testicule était sorti et que je bandais maintenant comme un âne.
" Allongez-vous sur la table d'auscultation "
Ahhh, je le remercie, parce que ça devenait trop incontrôlable pour moi.
Je me mets sur le ventre, évidemment, parce que ma verge avait de l'ampleur, et que je me sentais trop exhibé. C'est moi qui décide de me montrer, pas lui qui décide ce qu'il va mater !
Il ausculte alors mon dos, puis descend lentement la colonne jusqu'à atteindre le rebord de mon slip " relevez légèrement les hanches " et il me baisse d'un coup directement le slip jusqu'à la moitié des fesses ! Surpris, mais excitant. Ses doigts pressent alors chaque vertèbre jusqu'à atteindre l'extrémité du coccyx, très bas donc, puis il écarte chaque main tirant sur la peau de mes fesses chaque côté, ses mains m'enserrant la chair. Une sorte de massage, très agréable, se rapprochant plus d'un malaxage des fesses. Quand il était au plus près du coccyx, je sentais ses pouces très très près de l'anus, l'étirant sauvagement à chaque écartement. Il a continué ce massage un moment, j'ignore combien de temps. Au début cette sorte d'écartèlement était désagréable, ça me tirait fort la peau, mais avec la chaleur des frictions mes chairs se sont adaptées aux tiraillements et sont devenues plus souples. Je ressentais ça presque agréable. Je devais surement avoir l'orifice qui s'ouvrait légèrement à chaque pression de ses pouces. Comme s'il voulait ouvrir un sachet qui ne s'ouvre pas, il continuait à étendre ma peau en écartant de plus en plus franchement de chaque côté.
" Vous êtes contracté, je vais vous mettre cette huile, ça va vous détendre " En effet, c'était mieux avec la goutte d'huile, et ça sentait bon. Il a massé longtemps le même endroit, et je dois reconnaitre que c'était super agréable. Je découvris que mes fesses étaient une partie du corps qui procurait de bonnes sensations. C'est un peu comme quand un coiffeur vous nettoie les cheveux. Son massage du cuir chevelu dépasse le traitement capillaire et provoque - à moi, en tout cas - des sensations plus profondes.
" Retournez-vous "
En me plaçant sur le dos, je remarquai la ligne de mes poils pubiens débordant largement dehors du slip. Il m'allonge les bras au-dessus de la tête. Je me sentais offert à son regard et à ses mains. Il pose alors une main sur ma hanche et la fait glisser vers l'aine. Il descend 2 doigts dans le sillon de l'aine, jusqu'aux poils pubiens, puis s'arrête. Ses deux doigts massent en petits cercles cette zone, effleurant à peine à chaque tour le côté de ma verge. Je fais des efforts de dingue pour minimiser mon érection. Je suis quand même totalement offert à lui, les bras allongés au-dessus de la tête, l'anus presque distendu, le slip à ras des poils, et 2 de ses doigts qui me massent à l'intérieur du slip ! Il change d'aine et s'en prend maintenant de l'autre côté, mais avec la même main. Du coup, ses petites rotations des 2 doigts font leur travail de massage, mais les autres doigts heurtent à chaque tour la base de ma verge. Et de plus en plus franchement. Quand il a changé de sens de rotation, j'ai clairement ressenti la peau de ma verge qui était tirée en arrière, à chaque tour, et de plus en plus distinctement : Mon gland se décalottait chaque fois plus. Je sens que je perds le contrôle sur mon sexe ! C'est là heureusement qu'il s'arrête.
Il sort sa main et la glisse sur ma hanche. De son autre main, il soulève mon genou, jusqu'à toucher mon épaule. En baissant mon regard, je vois que plusieurs gouttes ont déjà perlé à travers le tissu de mon slip. Ma verge est tendue dans une bonne érection, sa forme très visible sous mon slip semi-baissé. Le relief de mon gland moulé par le slip ne laisse aucun doute sur sa dureté, son rebord est devenu large, et c'est justement sa forme anatomique qui ressort le plus nettement. Quand je bande, j'ai un énorme champignon, le rebord de mon gland fait comme un angle droit et déborde de près d'un centimètre de chaque côté :) Je devine une large échancrure quand je remarque son regard à la base de ma jambe, imaginant mon testicule encore une fois totalement offert à sa vue. C'est lui qui se sert, pas moi qui m'exhibe !
Il relâche la pression sur cette jambe puis change de place et s'en prend à l'autre, m'écartelant au maximum et découvrant là encore l'autre testicule. Il fait même des mouvements latéraux à ma jambe repliée, l'ouvrant au maximum, cherchant l'extrémité de ma mobilité. Je suis presque dans la position de la grenouille prête à disséquer.
Me savoir regardé au plus intime m'excite tellement que je sens l'érection se développer encore plus, sans même pouvoir la cacher par une position plus décente. Je dois avoir une belle barre, et mon slip doit être tendu sous ce pilone de chair, mais je n'ose pas regarder. Je le regarde lui, mais furtivement de peur de croiser son regard.
Il repose ma jambe. De toute évidence, il ne peut manquer d'observer mon état fébrile. Quand sa main glisse sur l'intérieur de ma cuisse en allongeant ma jambe, je sens mon muscle tressaillir, comme en tremblement nerveux, incontrôlable. Il retire alors sa main et me dit de me relever.
Mon slip semi-baissé et mouillé ne laisse aucun doute. Je le laisse tel quel de peur de faire apparaitre encore plus ma bandaison devenue hyper tendue. J'aperçois un filet de liquide s'allonger doucement depuis mon slip, comme un miel transparent. Mais j'évite de regarder mon sexe, pour ne pas avoir honte de mon état d'excitation. J'ai quand même honte de laisser voir que ça m'a plu d'être tourné, retourné, touché, étiré, massé, écartelé, exhibé et observé.
Il s'assied en face de moi. Je suis debout. Il remonte mon slip par les côtés, un peu trop haut, laissant apparaitre le relief de ma verge tendue encore plus présent. Il met son stéthoscope et écoute mon coeur, puis différents endroits du ventre, et s'approche à nouveau des aines, cet endroit si sensible. Tout cela dans un grand silence sauf celui tambourinant de mon coeur emballé. Sa tête était presque contre mon ventre, ses cheveux frôlaient mon plexus. Je sentais le souffle de sa respiration sur mon nombril. Rien de calmant ! J'imaginais son regard à quelques centimètres de mon appareil génital, juste protégé par la fine toile du slip imprégné de sécrétions lubrifiantes. J'étais tendu, raide, immobile, à la merci de son auscultation. Je n'avais pas suivi le conseil de ne jamais quitter mon short sous aucun prétexte, et ça me plaisait bien comme ça.
Il me fait assoir et prends ma tension. Aucun commentaire, mais j'ai surement battu le record de pression.
" Rhabillez-vous. Vous viendrez la semaine prochaine à la fin de votre service, je vous indiquerai les mouvements correctifs pour votre dos "
C'est vraiment un self-service pour lui de se servir de son cabinet médical pour assouvir son penchant vers un de ses employés.
Je me demande toujours si ce docteur se masturbe de son côté en pensant à l'employé docile qui se laisse ausculter jusqu'à se laisser écarteler les jambes, toucher l'intérieur des cuisses, qui se laisse baisser le slip jusqu'à apercevoir ses attributs, le gland gonflé versant son liquide, tout en respirant à quelques centimètres l'odeur de mon érection ?
Et pourquoi rester silencieux sur mon érection, sans aucun commentaire ?
J'oserai lui confier lors du prochain rendez-vous qu'un de mes testicules remonte jusqu'à disparaitre quand je suis proche du coït, dans l'espoir qu'il veuille observer ce phénomène. J'ai déjà rêvé mille fois qu'il me masturbait pour voir ce testicule remonter. Je lui dirais, pour que sous le couvert médical il me manipule les testicules pour de bon, cette fois-ci.
Je suis retourné le voir pour les mouvements correctifs. J'avais trop peur qu'il me sodomise de force quand je me déshabillerai totalement.
À 19 ans tu es naïf
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