Comment ... | Histoire Gay

Comment j'ai dépucelé un jeune

Je me présente. Laurent, 47 ans. Cette histoire est arrivée il y a environ 5 ans. Le mois d'aout arrive, et cette année-là je n'avais rien organisé. Tout le monde part et je me retrouve tout seul a Paris. Je visualise sans grande joie un mois bien solitaire quand un des amis me propose de venir passer quelques jours avec eux en Normandie. Je dis oui tout de suite et pars avec eux.
La maison est grande, le jardin aussi. Une belle piscine, et beaucoup de terrain. Nous nous installons et nous donnons rendez-vous pour l'apéro sur la terrasse. Je prends une douche, me change et descends. Quelle n'est pas ma surprise de découvrir, assis avec mes amis un jeune homme. Je lui donne 20 ans, maximum. Il a l'air plutôt timide et me dit bonjour du bout des lèvres.
Mes amis m'expliquent qu'il s'agit de leur neveu, qui est là pour quelques jours. Nous commençons l'apéro et buvons quelques verres en parlant de tout et de rien. Le jeune homme, Bruno, semble s'ennuyer, et se lève pour aller vers la maison.
Mon ami me dit qu'il est un peu solitaire, et souvent un peu taciturne, que cela n'a rien à voir avec moi.
Nous passons une très bonne soirée. Bruno ne réapparait que pour nous dire bonne nuit.
Le lendemain matin, mes potes ne paraissent pas et je me retrouve face à face avec Bruno. Nous parlons un peu, enfin, c'est plutôt moi qui fais la conversation. Il me regarde bizarrement, et se contente de me répondre par oui ou par non. Ce gamin me fait un peu de la peine. Il a l'aire de s'ennuyer a mourir.
- puisque Brigitte et Paul ne se lèvent pas, que dirais-tu d'une balade à vélo ?
À ma grande surprise il accepte, et a pris avoir fait deux petits sandwichs, nous voilà partis sur les routes ensoleillées. Nous roulons une bonne heure, puis comme la chaleur arrive nous nous arrêtons sous un arbre pour boire un coup.
C'est un endroit magnifique. Chants de oiseaux, bruissement du vent, nous nous allongeons et chacun se perd dans ses pensées.
Nous restons là un moment, puis je me relève et je constate qu'il s'est endormi.

Je le regarde, prenant mon temps pour le détailler. Mon regard descend le long de son torse, essayant de deviner ses formes sous son t-shirt, puis j'arrive vers son short, et je remarque que mon jeune Bruno a une belle érection qui lui déforme le short. À quoi rêve-t-il, je me demande...
Je m'assois à côté de lui et regarde sa respiration. Je crois qu'il dort vraiment. Je sens le désir monter en moi, l'envie de voir sa belle queue jeune sous son short. J'approche ma main et effleure sa bosse. Il ne réagit pas. Je pose doucement ma main sur son érection et je sens, à travers le tissu, son sexe vibrer. Aussitôt mon sexe se durcit et mon esprit ne pense plus qu'à ça. Tout doucement, je remonte et entre la main dans son short. Je vais pas à pas, pour ne pas le réveiller et enfin ma main rencontre sa belle tige. Elle est si douce et si dure que je ne peux résister. Je la prends en main et, m'approchant doucement, je baisse son short pour la faire sortir.
Je tire lentement sur sa peau pour faire apparaitre son gland. Il est beau, comme cette belle queue ni trop grosse, ni trop fine. C'est trop. je n'en peux plus et je le prends en bouche. C'est merveilleux de le sucer comme ça.
Il se met à gémir et ouvre les yeux. Je sens son sursaut. Ses mains se posent sur ma tête pour m'écarter.
- Mais qu'est-ce que tu fais ? dit-il, arrête !
Je résiste à sa poussée et tout en le gardant en bouche je passe ma langue tout autour de son gland. Je sens sa poussée faiblir, et son plaisir. Il garde sa main sur ma tête, mais ne me repousse plus vraiment. Je me mets alors à le sucer doucement, flattant son gland qui pulse dans ma bouche. J'entends son souffle court. Je sens ses mains qui agrippent mes cheveux.

Mais à peine a-t-il fini de le dire qu'il se répand en moi. De longs jets de semence m'emplissent la bouche. Je les bois tendrement tout en le branlant doucement. Il gémit, tête en arrière, tout a son plaisir. Je continue à le sucer lentement, accompagnant ses soubresauts de plaisir, jusqu'à ce que sa belle queue devienne un peu molle. Je suis super excité, ma queue me fait mal dans mon pantalon, mais je réalise soudain que la situation est vraiment gênante.
Je me détache de lui et lui dis, gauchement
- Pardon, je suis désolé... je..

il se relève vite, remet son short et prend son vélo sans me répondre et évite mon regard.
Je le suis et nous roulons rapidement vers la maison.
Que va-t-il se passer ? va-t-il tout raconter a ses oncles et tante ? Ce sont mes amis, ils ne savent même pas que je suis bi... toutes ces pensées trottent dans ma tête. J'essaie de le rattraper, mais il reste obstinément devant moi.
Nous arrivons a la maison. Il range son vélo et va se plonger dans la piscine.
- Alors, bonne promenade ? me demande mon ami depuis la terrasse ?
Je ne sais pas quoi répondre et me contente d'un " oui, oui ".
Bruno sort de la piscine, va vers la terrasse, prend un croissant et file vers la maison.
Je me sens rassuré qu'il ne me dénonce pas à mes amis...
- C'est sympa que tu sois allé faire du vélo avec lui, me dit mon ami, je crois qu'il s'ennuie un peu avec nous. Merci.
Je n'ose pas répondre et vais vers la piscine.

Bruno ne réapparait pas avant le soir et l'heure du diner. Il est assis en face de moi et évite mon regard. Je tremble toujours un peu de savoir s'il va dire quelque chose, mais rien ne se passe. Nous parlons de différentes choses, buvons tranquillement. Vers 23h, Bruno nous laisse pour aller se coucher. Nous restons un moment sur la terrasse puis faisons de même.
Je me couche dans mon lit, repensant a cette journée, au plaisir de sentir sa queue dans ma main, dans ma bouche, sa semence qui explose sur mes lèvres... tout cela me met rapidement dans un état second et je commence a me toucher.
Je suis aussitôt interrompu par des coups légers frappés a ma porte.
Je rabats prestement mes draps sur mon sexe bien dur et dit
- oui ?

La porte s'ouvre doucement et je vois mon Bruno en pyjama qui entre. Il a l'air mal à l'aise, et ondule d'un pied sur l'autre. Il y a un moment de silence, puis il s'approche de moi et assoie sur mon lit. J'attends qu'il dise quelque chose, je lui laisse les premiers mots.
Mais sans rien dire, ni vraiment me regarder, je vois son bras qui s'approche de moi, sa main qui descend et se pose là ou doit se trouver ma jambe sous le drap. Ce contact m'électrise et je reste sans bouger. Je le sens gêné et excité à la fois, il est vraiment mignon avec ses yeux baissés. Je n'y tiens plus et ma main se pose sur sa cuisse. Je remonte lentement en le caressant et sa respiration s'accélère. Ma main arrive à son entrejambe et je sens sa queue toute dure. Je prends alors sa main et la pose sur mon sexe à travers le drap. Il commence. Découvrir mon sexe, dur a en craquer, remonte le long de ma tige, redescend puis finalement le prend en entier.
Je bascule, je n'en peux plus. Je remonte son t-shirt, lui enlever et remet a embrasser son torse, son ventre, descendant vers son sexe. mais avant que j'y arrive il me devance, écarte le drap et approche la bouche de mon sexe. Il sort sa langue et se met à le lécher un peu maladroitement. Je le vois fondre, et je me sens fondre aussi. Puis d'un coup, comme s'il se mettait à l'eau, il prend mon gland dans sa bouche en gémissant. Je manque de jouir de suite tellement je suis excité tellement c'est inattendu. Il se ment a me sucer frénétiquement, maladroitement, comme si sa vie en dépendait. Je dois l'arrêter, car je ne veux pas jouir trop vite.
- tu n'aimes pas ? dit-il timidement
- si... beaucoup... trop... je lui réponds.
- je n'ai jamais fait ça, me dit-il.
- Je suis désolé pour ce matin, j'aurais dû aller plus doucement.
- j'ai....j'ai beaucoup aimé... dit-il faiblement.

Je le trouve trop craquant. Je le prends dans mes bras, le déshabille entièrement et prends son sexe en bouche. Nous nous caressons, nous touchons, et le sens pivoter pour venir me sucer également. Sa bouche est merveilleuse, douce, chaude et fraiche et mon bassin se met à aller et venir en lui. Je le suce doucement et lui caresse les fesses, puis la raie, et enfin, tout doucement son petit trou. Ses fesses sont trop belles, presque imberbes, bien ferme, et je me mets sur lui pour le sucer bien à fond tout en lui caressant son trou. Lui gémit sans interruption. Ses jambes s'écartent de plus en plus en une belle invitation. Je mouille mes doigts et commence doucement a le pénétrer. Il se raidit et je dois le tranquilliser en suçant doucement son gland. Enfin il se détend et me laisse le pénétrer. Mon doigt va et vient et je le sens qui s'ouvre de plus en plus. Nous continuons a nous sucer ainsi, moi lui doigtant le cul tendrement jusqu'à ce que de lui-même, il se retourne, à bout de souffle, tremblant, pour m'offrir ses fesses.
Je n'y résiste pas. Je me place derrière lui et pose mon sexe dur comme du bois sur son petit trou. Je pousse doucement, par petits mouvements, et je le sens qui s'ouvre doucement. Mon gland le pénètre et à peine, passé la porte, il se raidit, pris par la douleur. Je sens son sexe qui se ramollit sous mes doigts.
- tu veux que j'arrête ?
- non, je veux...

Je ressors de lui doucement, me penche en dehors du lit vers ma trousse de toilette pour y attraper mon gel, m'en mets une bonne dose sur la queue et reprends ma progression dans son beau cul serré. Cette fois l'entrée est plus facile, c'est délicieux, il est serré et gémit doucement la tête enfoncée dans l'oreiller. Je continue doucement et mon excitation grimpe de plus en plus. Je commence à le prendre doucement, faisant des va-et-vient progressivement plus grands. Lui respire fort et tremble quand je m'enfonce en lui. Enfin j'arrive au fond. Je m'arrête pour savourer ce contact total. Il se met à bouger ses fesses sous moi, déclenchant une énorme excitation. Je ne peux plus me contrôler. Je commence a le prendre pus fort, mordant son épaule pour ne pas crier de plaisir. Lui mord l'oreiller tout en poussant ses fesses a ma rencontre. Je vois qu'il aime vraiment ça et je me mets a le prendre bien en caressant son sexe redevenu bien tendu. Soudain je sens qu'il se met à jouir et inonde ma main de son sperme. Son cul se serre et s'en est trop pour moi. Je me mets à jouir comme un fou tout au fond de lui et je le sens accompagner chaque giclée par un mouvement profond. La jouissance parfaite infinie. Nous restons encadrés, sans mots pour dire le plaisir, sans pouvoir bouger.

Je crois que c'est un des plus gros orgasmes de ma vie. Lui respire doucement et me caresse le dos et me serre contre ses fesses.
Nous nous sommes endormis comme ça, l'un dans l'autre.
Le soleil se levant nous a réveillés et je n'ai pu résister, avant de le laisser partir à boire une dernière fois sa semence en le faisant jouir dans ma bouche.

Quelles belles vacances nous avons passées après cela !