C'était un vendredi soir, après une fin de semaine plutôt longue et fatigante. J'avais eu une semaine de cours bien rempli. Haa les joies de l'université...
Je devais me rendre à mon rendez-vous chez le dermatologue. Comme-ci ma journée n'avait pas été suffisamment longue, je devais me taper en plus de cela un rendez-vous à 19 H. À cette heure d'habitude je suis devant un bon film avec de la bonne bouffe. M'enfin où je vis le soleil est plutôt fort toute l'année, je me devais donc de me faire contrôler toutes les tâches et grains de beauté de mon corps. J'ai beaucoup de grains de beauté et de plus en plus de tâches à cause du soleil.
Même si j'ai une peau plutôt fragile, je ne suis pas vraiment à plaindre. C'est vrai que je suis de nature plutôt paresseuse, mais j'ai un corps qui reste tout de même très beau à voir, je pratique depuis longtemps la natation. Avec ma taille de 1m70 et mes 60 kilos, je suis mince avec les muscles dessinés, le corps en V et les cheveux bruns avec les yeux noisette.
Lorsque je suis arrivé au cabinet, j'ai été accueilli par le dermatologue lui-même, l'assistant était déjà parti depuis le début d'après-midi, il était malade, m'avait dit le dermatologue et il compléta en me disant :
" Je finis avec une patiente et c'est à vous ".
Je n'avais pas vraiment compris que c'était lui le dermatologue et que c'était lui qui allait m'ausculter ! Mon père m'avait conseillé ce cabinet. Plus jeune, j'ai quelques fois accompagné mon père, je dois surement tenir de lui cette peau fragile. Mon père n'était jamais tombé sur un remplaçant, mais toujours sur une dame sympathique et très professionnelle, c'est pourquoi il m'avait conseillé ce cabinet.
Le remplaçant était très grand, je dirais 1m90, dans la 40ene avec les cheveux grisés. Ses vêtements étaient proches de son corps, il avait une chemise qui laissait dépasser une toison brune de son torse. J'avais l'impression que sa chemise allait exploser au niveau de ses bras, ses bras remplissaient totalement la chemise. J'ai également gardé longtemps sur ma main la sensation de la poignée de main qu'il m'avait faite pour m'accueillir.
Je m'étais donc placé sur une chaise à attendre mon tour, je ne pouvais pas enlever sa silhouette de rugbyman dans ma tête, je commençais à avoir une érection que j'essayais de calmer tant bien que mal.
Sans que je m'y attendisse, la porte s'ouvrit :
" C'est à vous ", m'a-t-il dit.
Je me suis donc dirigé vers la chaise à son bureau, il me posa des questions banales, pour quelle raison j'étais là, s'il y avait des cancers de peau dans ma famille, etc. ... Je ne pouvais pas m'empêcher de continuer à l'observer, sa voix était douce et virile, il parlait avec calme, on pouvait également voir les traces de fatigue sur son visage. On en venait au sujet de mes grains de beauté, et je lui dis qu'il y en avait un plutôt bizarre dans mon dos.
Dermatologue : " [...] bon on va voir tout ça ! déshabillez-vous et rejoignez-moi près de la table d'auscultation " la salle était spacieuse, grande et très bien éclairer, son bureau était face à la porte séparant la salle d'attente de la salle d'auscultation.
Il se dirigea vers la table d'auscultation, je ne pouvais plus le voir. En effet, la table d'auscultation se cachait sur la gauche de la pièce qui était construite en L. j'avais donc une vue que sur des fenêtres vitrées à jalousie qui recouvrait toute la hauteur du mur à la gauche du bureau. En bas des fenêtres contre le mur se trouvait un lavabo et une petite armoire en métal gris, pas très loin il y avait une chaise de bureau noir à roulette.
Sans lui répondre au " déshabillez-vous " et sans vraiment savoir ce que je pouvais enlever et garder ; j'enlevai mes chaussures, mes chaussettes et mon t-shirt. J'étais en short, un petit short de sport qui m'arrivait au niveau des cuisses, je me suis donc dit à moi-même (bon il est petit, ce n'est pas la peine de l'enlever, aller je le garde) je suis plutôt pudique et je n'aime pas me montrer nu.
Lorsque qu'il m'a vu me diriger vers lui il me dit : " et ben voyons, ne soyez pas timide, nous sommes entre hommes, vous pouvez enlever votre short, garder le boxer pour l'instant si cela vous gêne d'être nu ".
J'avais donc enlevé mon short pour laisser paraître un slip blanc, clair, (en fait, très clair) voire même trop clair ! (Je m'en voulais tellement de ne pas avoir pris quelques choses de noir. N'importe quoi, un boxer, un caleçon... long et noir ! Mon slip était très collant, c'était presque comme une seconde peau, on pouvait y voir la forme de mes testicules et de mon gland. Vous savez, c'est ce genre de slip pour faire du sport, ceux faits avec un tissu respirant. Le tissu respirant est présent sur tout l'arrière du slip, on pouvait distinguer à travers les trous du tissu la peau de mes fesses.
Je me dirigeai de nouveau vers lui et cette fois-ci il me dit avec sourire " ton slip est très clair, il ne cache rien, tu aurais dû directement te mettre nu cela aurait évité de perdre du temps, en plus je ne comprends pas pourquoi tu as honte d'être nu, vu le joli petit paquet que tu as hahah ".
Son sourire était magnifique et charmeur, je me suis senti rougir sous ses compliments, un compliment un peu pervers pour une personne de sa profession, mais je me suis senti rassuré et mis en confiance. Je me suis dit qu'il voulait surement relâcher un peu la pression de la semaine et d'une après-midi sans repos, ce qui expliquait sa manière de parler. Le fait qu'il me tutoie ne m'a pas vraiment dérangé était donnée notre différence d'âge, en effet je pense que je devais avec la moitié de son âge.
Je me suis assis sur la table d'auscultation, il posa sa main sur mon dos. Il avait de très grandes mains viriles. Je sentais son regard se poser sur mon dos. C'était comme si j'étais un livre qu'il était en train de lire à l'aide de sa main et il parcourra toutes les régions de ma peau.
" Ne bouge pas, je prends mes lunettes, j'ai une p'tite fatigue ". J'ai profité de l'occasion qu'il s'éloigne pour mater ses cuisses et son cul bien bomber, ses cuisses comme ses bras étaient tellement musclés qu'on aurait dit que son jeans aller exploser. À chaque pas qu'il faisait, je pouvais voir les muscles de ses jambes se contracter sous son jeans. Après être revenu vers moi, il continua de me regarder avec précision il regarda d'abord mon visage, mon cou, puis mon torse, mon ventre... toujours assis il me dit : " allonge-toi sur le dos, je continue avec tes jambes ".
J'avais les poils tondus sur les jambes et le torse. Je suis très poilu normalement, là il pouvait voir facilement chacun des petits détails de ma peau. Une fois qu'il avait fini de me regarder les jambes, au lieu de me demander de me retourner et de m'allonger sur le ventre, il me souleva la jambe pour regarder l'arrière de ma cuisse. Il me prit de la main droite la cheville et de la gauche la cuisse et la souleva, ensuite il regarde de haut vers le bas et je sentais sa main droite descendre vers ma cuisse.
Sentir sa main sur mon corps m'excitait de plus en plus et mon sexe commençait à durcir. J'étais vraiment gêné, je ne savais plus où tourner mon regard, si je devais continuer à le regarder lui, son corps, ses bras, son cul bombé... ET LA ! je me concentre je regarde autre chose, le sol, le plafond, je ne sais plus quoi faire pour ne pas bander davantage.
Mon regard croisa le sien et j'ai lu sur son visage un sourire, il savait l'effet qu'il était en train de me faire et il en jouait le pervers !
Pour la deuxième jambe, il fit de même sauf que, cette fois-ci, il se plaça à côté de la table d'auscultation, beaucoup plus proche de moi, en me laissant la vue sur son cul. Il était placé dans le sens contraire de ma jambe. Il avait donc une main entre mes jambes et l'autre descendit du haut vers le bas. La main entre mes jambes était toute proche de mon sexe, il faisait mine de temps en temps de regarder la peau sur ma cuisse intérieure et bougea un de ses doigts près de mon pénis.
" Pour ton signe dans ton dos ne t'inquiète pas, j'avais le même sur la cuisse, il n'est pas dangereux, et tu peux le faire enlever si tu veux. Mets-toi debout. "
J'avais réussi à me contrôler et à faire baisser un peu mon érection malgré ses petits doigts coquins, je me suis donc levé sans gêne ou honte.
D'un geste rapide, il prit une chaise à roulette pas très loin de la table d'auscultation et il se mit assis et il vint glisser juste en face de moi. " Bon maintenant on enlève tout " dit-il en même temps qu'il posa les mains sur les côtés de mon slip.
J'avais eu le temps de ne rien dire, il avait déjà saisi mon slip de ses mains viriles. Cela m'avait fait perdre un peu mon équilibre, j'ai dû faire un pas en avant vers lui pour ne pas tomber. Il tenait chaque côté de mon slip et il le descendit ensuite lentement dans une caresse imperceptible. Ses mains étaient plaquées contre mon corps. Les côtés de mon slip se trouvaient entre ses pouces et ses majeurs. En descendant mon slip, ses mains s'éloignaient de mon corps et dans la même continuité ses doigts me caressaient lentement les anches puis les cuisses, l'arrière des cuisses... Il fit également attention à ne pas me faire tomber lorsque je levais le pied pour qu'il prenne mon slip dans les mains. À ce même moment son téléphone s'est mis à sonner.
Il me laissa nu là, debout dans le coin de la pièce. J'avais mon pénis qui était maintenant au repos, qui pendait sur mes grosses couilles.
La table d'auscultation du côté gauche de la salle ne laissait aucune possibilité de voir son bureau. En se dirigeant vers son téléphone, il emporta avec lui mon slip. J'avais donc décidé de me déplacer discrètement pour voir ce qu'il faisait. Dos à moi, dans le reflet de la fenêtre près de son bureau, je le voyais porter le slip secrètement à son visage, il était en train de sentir l'odeur que mon pénis y avait laissé. Il déposa ensuite mon slip sur mes vêtements qui était sur l'une des chaises face à son bureau. Il ouvrit ensuite un tiroir qui était fermé à clé, au même moment il raccrocha son téléphone. La clé était liée à un collier qui était autour du cou d'une statuette sur le meuble derrière son bureau. Je n'ai pas vraiment eu le temps de voir ce qu'il prenait, je me suis replacé ou j'étais et j'ai fait semblant d'attendre sans rien avoir vu. À ma grande surprise, il était revenu les mains vides, mais avec une blouse blanche et me dit qu'il la porte pour plus de facilité, il y met dedans ses lunettes, une petite lampe, des gants, etc....
Dermato : " mais avec toi, je n'ai pas besoin d'utiliser de gant "
Moi : " mais pourquoi ça ? "
Dermato : " tu es le dernier de la journée, je laverai mes mains après, et en plus, contrairement à la plupart des gens que j'ai eus aujourd'hui tu n'as pas de problème de peau. Et cerise sur le gâteau tu sens très bon ! "
Moi : " haha si vous le dites. Oui, je me suis tout juste douché avant de venir ! "
Dermato : " [...] bon tout a l'air normal ici, tu as de petits grains de beauté sur les testicules, je vais les regarder de plus près " à ce même moment, il mit ses lunettes et prit la lampe dans la poche de sa blouse. Je me demandais pourquoi sa lampe était mise à double tour dans le tiroir, si c'était bien une lampe qui était dans ce tiroir ? Je ne savais pas vraiment quoi penser. M'enfin sur le coup je ne m'étais pas posé plus de questions.
Il prit mes testicules d'une main, et éclaira mes grains de beauté. Ensuite il rangea la lampe. Et il continua à me toucher les testicules.
Dermato : " ça va, je ne te fais pas mal ? Tu as des testicules très imposante, et le pénis long au repos, tu ne devrais pas porter de sous-vêtement autant serré toute la journée, ce n'est pas bon pour les testicules. De plus une peau saine c'est une peau qui respire mon petit ".
Moi : " non pas tu tout, c'est parfait " en bégayant je rajoute : " je voulais faire un footing ce soir, pour relâcher la pression de la semaine, ne vous inquiétez pas je ne porte pas souvent ce genre de sous-vêtement. " heu... (c'est parfait), mais pourquoi ai-je dit cela ? Cette situation devenait de plus en plus gênante pour moi. J'avais l'impression que les secondes étaient des heures. Je commençais à bander légèrement et il me prit le pénis entre les mains, il me décalotta et se mit à éclairer mon gland.
Dermato : " de ce côté-là aussi tout va bien, j'ai juste l'impression que tu as la peau un peu sèche, je vais te mettre de la crème, allonge-toi sur la table, tu seras plus confortable "
Je me suis donc allongé et il sortit une crème d'une autre poche de sa blouse. Il commença par me mettre de la crème sur le gland, il me décalotta au maximum jusqu'à ce que la peau soit la plus tendue possible, et il me mit de la crème. Ses mains étaient chaudes et viriles. Une fois qu'il avait fini avec le gland il continua avec l'ensemble de mon pénis, qui était en train de durcir sous son touché. Il prenait son temps, et faisait de petits va-et-vient discrets, ensuite il continua sur mes testicules. Et il revenait à nouveau me masser le gland [...] Parfois il insistait sur mon frein, et le trou de mon gland, à chaque fois qu'il faisait cela, j'avais des frissons dans tout le corps. Je n'en pouvais, plus, il était en train de m'exciter comme un malade. Au moment où j'allais jouir, il s'arrête, c'était comme s'il le savait. Et il me dit :
Dermato : " tourne-toi, et allonge-toi sur le côté, je vais vérifier la peau de ton anus "
Sans réfléchir et toujours excité comme jamais, je fais ce qu'il me dit. Il commença par éclairer mon petit trou avec sa lampe, et passa son doigt crémeux sur ma rosette.
Dermato : " tu as l'air d'être très serré " au même moment il m'enfonce d'un coup son majeur dans le fion.
Je râle un petit cri de douleur similaire à celui d'une souris. " Vous faites quoi là ? "
Dermato : " ne t'inquiète pas, tu vas t'y habituer, j'ai vu ton regard sur moi, laisse-moi t'aider à te mettre à l'aise ".
Il commença à me doigter avec son majeur, et de son autre main, il était en train de me caresser la vierge. Il prit une autre crème de sa blouse, un lubrifiant, je crois, et il l'utilisa sur mon petit trou. Un doigt, puis 2. Au début cela m'avait fait mal, mais ensuite, je ressentais du plaisir, il savait bien s'y prendre le vieux. Je me suis donc laissé aller. Il prit ensuite quelque chose d'autre de sa blouse.
Dermato : " bon, ça risque de te faire un peu mal au début, on va éviter que l'on t'entende crier "
Moi : " eh, quoi ? Non, arrêt... " je n'avais pas eu le temps de finir. Une partie de moi voulait qu'il continue et une autre craignait ce qu'il allait faire.
Il mit sa main devant ma bouche, sa main recouvrait tout le bas de mon visage. Et de l'autre main, il me mit d'un coup sec, un dildo lubrifier dans mon cul. Sa main avait couvert le bruit de mon cri.
Dermato : " eh ben, tu vois que ce n'était pas aussi douloureux que ça ".
Le dildo était maintenant en moi. Lorsque je croyais que c'était enfin fini, ce n'était en fait que le début. C'était un dildo vibrant. Il le mit sur la puissance la plus faible et me laissa un temps pour m'y habituer. Quand il a vu que je commençais à aimer ça il força peu à peu la puissance. Je n'en pouvais plus, ce dildo était en train de me masser la prostate d'une manière tellement exquise. De nouveau, il m'empêcha de jouir, et l'enleva juste avant que je vienne.
Dermato : " pas maintenant ma petite cochonne "
Il me plaça sur le dos, et se mit à me sucer la bite. J'ai une bite plutôt grosse, 18,5 avec un diamètre de 5,8 et pourtant il me l'avala entièrement. Il faisait des va-et-vient avec sa bouche sur ma bite. Et il me doigta en même temps.
Par la suite, il arrêta tout d'un coup, me regardant pendant 30 bonnes secondes, nu, sur la table d'auscultation, je lui suppliais du regard de continuer, il resta là, sans rien faire. Ensuite, il me fit le même sourire que plus tôt, un petit sourire pervers. Et il se déshabilla. Je croyais que j'avais une grosse bite. Mais la sienne était énorme. Proportionnelle aux muscles de son corps et à sa carrure. Elle devait faire un bon 25 cm avec un diamètre plus gros que 6, surement quelque chose proche de 7. Il présenta son monstre proche de ma bouche et me défonça la mâchoire et me traita en même temps de tous les noms. " Salope, pute, petite cochonne, suceuse de bite ". Ensuite il me dit : " au tour de ton cul maintenant " Je ne pouvais plus bouger, n'y vraiment formuler de phrase, j'avais la mâchoire qui me faisait mal et la gorge remplie de mouilles.
Je m'étais dit (bon au moins c'est une bonne chose qu'il mouille, ça me fera moins mal)
Dermato : " bon pour ton cul, je vais être gentil et doux, tu es bien serré, je vais bien m'occuper de toi, je vais faire de toi une bonne passive "
Il mit son gland à l'entrée de mon petit trou. Et força tout doucement, il s'inséra en moi avec délicatesse, c'était bon, doux et viril. Il y était en entier, ses 25 centimètres étaient en moi. Il resta un moment sans bouger, pour que je m'y habitue. Et il continua en faisant de petits mouvements de va-et-vient, accompagné d'un cri presque inaudible et viril. Il me caressait en même temps le corps, me tenait quelques fois les cheveux, il m'embrassa tendrement, j'avais l'impression d'avoir à faire à quelqu'un de totalement différent et pourtant [...]
Il était tellement musclé, il me leva de la table, et il continua à m'enculer debout, il me soulevait et me lâchait sur son membre. Il me plaça sur les meubles à côté de la table d'auscultation et continua à me la mettre profonde, à m'embrasser et me branler.
Et je lui dis : " je préfère largement cette version douce de toi ".
Il me répondit : " t'inquiètes petit, tu t'y habitueras aussi à l'autre ".
Sur ses mots il juta en moi, je sentais mon corps rempli d'une chaleur, je sentis son jet puissant m'envahir, c'était une sensation indescriptible, il y en avait tellement. Il se retira lentement de moi, je lui dis que j'allais jouir aussi, à cet instant même, il mit son doigt dans mon trou qu'il avait fait sien, et se pencha sur mon pénis pour que je jouisse dans sa bouche, il avala tout, me la rendant propre, il enleva ensuite son doigt et fini en la mettant dans ma bouche, pour que je le lui nettoie et que j'enlève tout son foutre qui s'y était collé.
J'espère que cette histoire vous aura plu, je vous confie mon premier écrit, soyez sympa x) ! j'ai pris beaucoup de plaisir à l'écrire, j'espère que vous en aurez autant à le lire. :-)
Pablo_le_beau
pablolebeau974@gmail.com
Autres histoires de l'auteur : Mon dermatologue bien chaud