Bonjour à tous.
Je me présente : Franck, 45 ans, 1,78 m, 81 kg, trapu, cheveux châtains courts.
J'habite dans une grande ville du sud de la France.
Coté cul, j'aime bien les plans Domi/Soumis, Voyeur/Exib, Humiliation, Dressage, etc.
Je suis à 90 % domi et quelques fois soumis.
Je fais des plans en réel et aussi des plans au téléphone. Je suis en contact avec un bâtard depuis des années et nous avons déjà passé des heures à jouer au téléphone avant de nous vider et de nous endormir.
Je lui ai déjà fait subir pas mal de choses et ayant eu les preuves par photo, je sais qu'il les a réellement effectuées :-).
Il a passé des nuits en cage de chasteté, il s'est élargi le cul avec différents godes, il a porté un plug pendant de longues heures. Il a été dominé chez lui, au travail, a été obligé d'aller faire des courses ou de prendre le bus avec des jouets, etc.
Je me suis aussi quelques fois servi de lui pour me dominer lorsque j'étais dans cet état d'esprit.
Mais les rôles restent tout de même bien définis, il reste mon bâtard et je reste son Master.
Jusqu'à présent, les rares fois où je lui ai confié les opérations, j'étais chez moi.
Début juillet, j'ai eu envie de tenter autre chose.
J'ai pu m'échapper, en revenant de chez des potes, et je me suis arrêté en pleine campagne.
J'ai pris un petit chemin et au bout d'environ 1 km me suis retrouvé dans une clairière.
J'ai garé la voiture et j'ai ouvert la portière.
Immédiatement mon cerveau pervers a commandé à ma queue de durcir.
Initialement, je pensais aller faire un tour sur le réseau téléphonique habituel, puis, je me suis dit que la meilleure solution consistait à appeler directement ma lope attitrée.
À peine avais-je commencé à taper les 10 chiffres de son numéro, que ma vraie envie devenait plus forte : ce soir-là, ce qui me faisait kiffer était d'être dominé, là, en pleine nature.
Il a décroché à la deuxième sonnerie. Avec mon assurance habituelle, je lui demande ce qu'il fait, dans quelle tenue il est, depuis quand il n'a pas baisé, à quand remonte sa dernière branle, etc. Bref, je prends les nouvelles habituelles en n'oubliant pas de finir chaque phrase par un " Bâtard " ou une " Lope ".
Il répond à chacune de mes questions et je le vois bien campé dans sa position préférée de lope aux ordres.
Au détour d'une de ces questions, je lui annonce, toujours avec le même ton assuré et déterminé, où je me trouve, et surtout je lui dis que ce soir, je veux être dominé et humilié. J'ajoute un dernier point : je ne veux pas juter.
Je le vois marquer un temps d'arrêt, mais, assez vite, il reprend ses esprits et comprend sa mission.
Je ne lui donne que les informations strictement nécessaires, mais il me connait un peu, et donc ça devrait rouler.
Assez vite, je me retrouve à poils. Les mecs habitués à des plans hards diront qu'il n'y a rien là d'extraordinaire, mais pour moi, domi dans l'âme, me retrouver, là, à poils dans cette forêt, à minuit, c'est un mélange d'excitation, de peur et de jubilation qui s'empare de moi.
En quelques minutes, je me retrouve avec une bite dure comme du bois.
Les prochains ordres reçus sont de m'éloigner de la voiture. Ô putain, j'en rêvais, il le fais. A chaque pas, les compteurs s'affolent, à la fois l'excitation et la trouille que quelqu'un pourrait avoir décidé de balader son chien ou de venir sauter sa copine dans ce coin. Ma queue se solidifie encore un peu plus.
Il me questionne, je réponds.
Juste après, il décide justement de s'occuper de ce point : il veut la ramollir. Commence une série de maltraitances de mes couilles.
Je suis obligé de les frapper... d'abord doucement, mais de façon soutenue : " tap, tap, tap, tap ", puis je reçois l'ordre de donner des coups plus forts. Je ne peux m'empêcher de pousser de petits cris et sur certains coups de petits hurlements.
Je dois ensuite attraper les couilles à pleine main, les écraser, les tourner, les malaxer, les étirer, en gros... je déguste.
Et je suis toujours là, à 20 mètres de la voiture, putain de putain, ma cervelle est en surchauffe.
Je suis dans un kiff de première classe.
Il décide ensuite de s'occuper de ma queue.
Le traitement sur les couilles lui a fait reprendre des proportions beaucoup plus raisonnables.
Je reçois l'ordre de la refaire bander en la branlant.
Une fois bien durcie, je dois la comprimer au maximum pour la vider de son sang. Le gland doit aussi être écrasé pour le ratatiner. Wow.
Je suis toujours uniquement en skets, car lors du déshabillage, j'ai reçu l'ordre de virer les chaussettes.
Je dois aller en cherche une et la passer autour de la queue en prenant soin d'y enfiler également les couilles.
Il me fait marcher sur le petit chemin comme ça. Très vite, ma bite durcit à nouveau et reprend une bonne position horizontale.
Je dois faire une photo de la chaussette tendue et l'envoyer par mail à mon bâtard.
Au bout d'un moment, je reçois l'ordre de retirer la chaussette et de vérifier s'il y a de la mouille ou pas à l'intérieur. Même si, habituellement, je ne mouille pas beaucoup, là, il y a une petite dose en cadeau.
Il me dit de la recueillir sur mes doigts et me les fait sucer.
Prochain exercice, je dois remettre la chaussette et faire un petit trou dans l'herbe.
Oh le salop, je capte immédiatement ce qu'il va me demander de faire. Il ne va pas oser ?
Ca ne rate pas, je dois m'allonger par terre, la queue enchaussettée, la mettre dans le trou et il me donne l'ordre de baiser le sol en me disant que, ce soir, je ne peux baiser que ça.
Il ajoute un petit scenar où plusieurs mecs sont là, autour de moi, en train de se foutre de ma gueule en me voyant essayer d'enculer la terre. Putain, ma tête prend feu. Je me lâche vraiment. Ça monte. Il m'arrête. Je dois marcher sur le petit chemin histoire de faire retomber la pression.
Au bout de quelques minutes, je dois m'immobiliser au milieu du chemin, écarter les pattes et retirer la chaussette qui couvre toujours ma bite et mes couilles.
Là, debout, il me demande de pisser et de faire une jolie flaque sur cette terre asséchée. Il faut que je me concentre pour arriver à pousser alors que ma queue est encore à moitié dure.
Finalement après quelques minutes, je finis par lâcher la pisse qui vient s'étaler à grand bruit sur le sol, sans oublier d'éclabousser un peu mes skets.
Je commence à me calmer un peu et à " redescendre ". Mais il semble que le trip ne soit pas fini.
Je dois me mettre à 4 pattes dans l'herbe. Le cul bien relevé. Une bordée d'insultes et ma bite est à nouveau raide comme du bois.
Je reçois l'ordre de jouer avec mon trou. Je dois le tapoter, pousser comme un malade, je dois y enfoncer de doigts puis le plaquer. Ma teube n'en peut plus, elle est dure comme du fer.
Putain, ce salop ne va quand même pas oser ?
Si, il se lâche (comme je l'espérais intérieurement lol) et il demande de mettre la gueule par terre, dans l'herbe et là... il me demande de faire le cochon.
Merde de merde, moi son domi régulier, je suis là à 4 pattes dans cette clairière à grogner, à imiter un cochon et me déplacer sur les genoux et une main.
Ma tête explose, ma queue est raide raide raide, mon esprit est en feu et ma bite ne pense plus qu'à une chose exploser.
Ça en est trop.
Je me mets sur le dos et je reçois l'autorisation de me libérer.
Putain, je voulais garder ma jute, mais là, sur le coup, j'en suis incapable.
Il faut que mes couilles se libèrent, il faut que ce jus trop contenu sorte.
Quelques coups de poignet plus tard, de bonnes grosses trainées de jute me zèbrent le ventre et un râle déchire la nuit.
Merde de merde de merde. Quel pied.
Il me faut plusieurs minutes pour me remettre les idées en place.
J'ai pris un pied comme rarement.
On parle encore quelques minutes puis je dois reprendre la voiture pour rentrer.
Cà, c'est de la soirée que je ne suis pas près d'oublier.
Mais comme toutes bonnes choses ont une fin, la prochaine fois cette lope reprendra sa place de bâtard.
Non, mais !
Franck de Nice
franck_de_nice@hotmail.com
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