L'été après mon bac, mes parents travaillant durant l'été, je restais des-oeuvré à la maison.
À l'époque, nous étions encore à la campagne et il n'y avait pas grand-chose à faire.
Alors je passais mon temps devant la télé ou j'allais jouer aux jeux vidéos avec Bruno, le fils des voisins.
Il était plus un peu plus âgé que moi de 3 ou 4 ans.
Un jour, qu'on était chez lui, il m'a demandé si je voulais aller jouer dehors.
Je lui ai répondu pourquoi pas, pensant que ce serait du foot ou autre jeu classique.
Aussi quand il m'a dit de me mettre dos à un arbre au tronc imposant, dans un coin encaissé du terrain, limite de la forêt, je n'ai pas trop compris. Mais comme il insistait, me disant que ce serait marrant, j'obéissais.
Là il me dit de passer les bras autour de l'arbre histoire de bien prendre appui. L'arbre étant assez grand, je ne pouvais à même joindre mes mains derrière l'arbre.
À peine avais-je mis mes bras en arrière que je sentis Bruno, qui était passé derrière, passé un lien autour de mes poignées. Trop rapidement pour que je puisse retirer mes mains.
Aussi je me mis à hausser le ton pour demander à Bruno ce que c'était que ce bordel.
Il me répondit d'attendre que j'allais aimer.
Je tentais de tirer sur les liens pour me libérer, mais en vain, la corde épaisse résistait.
Je pouvais juste tourner autour de l'arbre.
Bruno passa devant moi et commença à vouloir me passer une seconde corde autour d'un pied. Je fis mine de me débattre, mais il me dit de me calmer et de me taire sinon il allait me donner un coup entre les jambes.
Ne voyant pas ce que je pouvais faire, je le laissai m'attacher, d'abord un pied puis en passant encore derrière l'arbre, il m'attacha l'autre pied par la même corde.
Il avait tellement tiré la corde que je ne pouvais plus bouger, les jambes légèrement écartées.
Il me demanda si j'étais bien installé avec un sourire étrange, mais avant que je puisse répondre il me mit un bâillon en tissu dans la bouche.
" Voilà, tu commences à être bien préparé " me dit - il.
" On va pouvoir bien jouer. "
Et là il commença à me retirer ma veste, la tirant le plus possible. Avec les liens, il ne put que glisser la veste sur mes bras.
Il remonta mon pull et mon t-shirt par-dessus ma tête, exposant mon torse nu. Bruno passa une main dessus, en profitant pour me pincer légèrement mes tétons.
Je ressentis un frisson ne sachant pas si cela venait de l'air un peu frais ou des sensations d'être ainsi déshabillé et caressé.
" T'aimes ça, hein, salope ! " dit-il en tirant encore un peu plus sur mes tétons, puis en commençant à défaire mon jean, qu'il fit glissait sur mes jambes le plus possible en tirant aussi mon slip.
La sensation du vent caressant mon sexe habituellement bien au chaud me déclencha un début d'érection.
Bruno, qui regardait mon engin, vit que je commençais à être excité.
" Toi, t'aimes bien être à poil hein ! Tu vas être une bonne chienne "
Puis il partit en direction de la maison, me laissant nu, exposé au vent.
Il revient quelque instant plus tard, avec un sac qui semblait bien rempli.
" Voilà tes vêtements de lope, tu vas devoir te changer ".
Il sortit du sac, un collier de chien en cuir qu'il me passa autour du cou et qu'il attacha avec une chaine et un cadenas autour de l'arbre. Cette fois j'étais incapable de bouger la tête, sauf pour la tourner de droite à gauche.
Il défit le lien autour de mon poignet gauche et m'avertissant
" Attention, ne fait pas le con, je te libère les bras pour que tu puisses enlever complètement tes vêtements. Si t'essayes de faire autre chose, je te tape et là je vois précisément où taper hein ! "
Allez vas y, termines d'enlever ta veste, ton pull ".
N'ayant pas trop d'autres choix, j'obéis. Quelque part au fond de moi, cela m'amusait un peu.
Il libéra mes jambes et j'occupais lui-même de terminer de me retirer chaussures, jean et slip.
J'étais cette fois complètement, juste vêtu d'un collier de chien.
Il mit mes vêtements dans un sac et sortit un appareil photo et commença à me prendre des photos sous différents angles.
Il en profita pour me branler un peu pour accentuer mon érection. Il ne du pas trop insister pour me faire bander bien dur.
Il continua à prendre des photos.
Puis il remit l'appareil dans le sac et reparti vers la maison.
Lorsqu'il revint, les mains vides, il m'avertit que maintenant je devais obéir sinon je serais obligé de rentrer chez moi à poils et qu'il diffuserait les photos.
Pour me permettre de répondre, il me retira mon bâillon.
" alors, t'en penses quoi ? "
J'eus à peine le temps de répondre " Je ne sais pas, c'est pas bien tout ça " qu'il me mit une baffe.
" Déjà tu m'appelles Maitre et ensuite t'acceptes, t'as pas le choix pédale ! "
Et de conclure en faisant mine de me donner un coup de genou sur les couilles.
" T'aimes ça en plus, salope, avoue "
Quelque part il n'avait pas tort, aussi, je répondis " Oui Maitre, je ferai ce que vous voulez ".
" Magnifique salope, je vais détacher le collier de l'arbre, mais crois pas te seras libre, je vais te mettre une laisse qui va être toujours attachée à l'arbre. Tu pourras te balader 3 mètres autour de l'arbre !!! " dit-il avec un grand sourire.
Une fois le cou libéré de l'arbre, il m'ordonna de me mettre à 4 pattes, de présenter mon cul vers lui et de bien écarter mes fesses, pour lui permettre de voir ma rondelle.
Il passa sa chaussure sur ma raie et me disant qu'il fallait me décrasser, ce que je ne compris pas tout de suite.
Il alla chercher un tuyau d'arrosage et qu'il dirigea le jet vers ma chatte tout en m'ordonnant de bien l'ouvrir. La pression de l'eau ouvrit le passage et l'eau entra un peu. Je ne pus m'empêcher de me redresser, mais Bruno me maintient en place en appuyant sur mon dos avec un pied.
Il rapprocha encore le jet d'eau jusqu'à ce que je sente le tuyau commencer à entrer.
" C'est bien ma chienne, tu commences à apprendre à jouer avec ta chatte et en plus tu bandes dur "
Une fois bien rempli, il me dit d'évacuer pour me purger sur herbe.
Il recommença à me nettoyer plusieurs fois.
À la fin, il m'expliqua que c'est comme ça qu'une chienne doit se nettoyer pour bien servir son maitre.
Il me demanda si j'aimai
Et je fus à moitié étonné de répondre " Oui Maitre, j'adore quand vous jouez avec ma chatte ".
" Bon état suivant ma pute, tu vas venir me lécher ".
Il dégrafa son pantalon, et me présenta son sexe déjà bien tendu.
" Vas-y lèche, je l'ai nettoyé pour toi, tu vas aimer "
Je n'avais pas trop envie, mais je passais la langue dessus, il n'avait pas de gout particulier aussi je mis son membre dans la bouche et continua à lécher. Visiblement ça lui faisait de l'effet, je le sentais se remplir de plus de sang.
Mais je n'eus pas trop le temps de gouter son sexe qu'il ne dit de me tourner, il fallait qu'il me déflore et qu'il se vide en moi.
Il sortit une bouteille d'huile d'olive et en versa sur ma raie. Il étala l'huile et passa un doigt sur ma chatte. Il commença à me doigter tout en lubrifiant l'entrée : un doigt qui devint rapidement 2, puis 3. à 4 j'avais déjà la rondelle bien échauffée.
Il ne tarda pas à laisser son tendu me caresser les fesses. Il se branla un peu entre mes fesses me donnant des claques sur les fesses puis je sentis son bout pénétrer ma rondelle.
Quelle sensation ! Je poussai un peu cri.
" vas-y chienne, couine comme une bonne truie "
Il en profita pour m'enfoncer d'un coup sec.
Ses vas et vient durèrent quelques minutes, il me laboura suffisamment fort pour me faire jouir par la chatte. Incroyables sensations.
Il juta ensuite en moi dans un râle de suffisance et resta quelques instants à savourer ma chatte bien chaude.
" Voilà salope, t'es devenue une bonne femelle, avoues que tu aimes ça "
Sans attendre, je répondis " Oui Maitre, merci de m'avoir fait jouir ".
Après s'être rhabillé, il reprit son appareil photo, et m'ordonna de faire la chienne, à 4 pattes, de lever la patte pour pisser, etc.
" Ça me fera une bonne collection. Dorénavant tu as intérêt à m'obéir. Sinon je diffuse les photos.
Tu es ma chienne et je ferai de toi ce que je veux ".
Il alla chercher mes vêtements et me les donna en précisant qu'il gardait mon slip et je ne devais plus en porter. Les chiennes n'en portent pas.
C'est ainsi que j'ai entamé ma vie de lope et je l'en remercie.
Olive
Autres histoires de l'auteur : Dressage d'une lope