Bonjour à tous.
Voici une histoire qui m'est arrivée récemment et que je voulais partager avec vous.
Je m'appelle Kévin. Je viens juste d'avoir 18 ans et je termine mon année de Première (oui, j'ai un an de retard). J'ai très récemment décidé d'arrêter de me voiler la face et d'accepter l'évidence : je suis gay. Je me suis mis au clair avec ma sexualité et depuis, je ne peux pas m'empêcher de mater tout ce qui bouge. Au lycée, je ne sais plus où donner de la tête et je suis excité en permanence. Je dois passer près de 50 % de mon temps à bander et je dois aller régulièrement aux toilettes pour me soulager et évacuer toute cette " tension ".
Ce qui me fait le plus bander, ce sont les métisses d'origine nord-africaine (Maroc, Algérie, etc.). Il y a quelques beaux spécimens dans mon lycée du genre secs et super bien foutus avec de beaux pectoraux bien dessinés. Je profite des passages au vestiaire du gymnase pour me rincer l'oeil dès que je le peux et admirer ces magnifiques éphèbes, leurs pecs, leurs abdos et surtout... leurs beaux paquets bien moulés dans leurs boxers ! C'est tellement sexy un beau mec en boxer !!
Je n'ai que peu d'expérience sexuelle mis à part quelques séances de branle mutuelle et de pipes échangées avec un cousin (je pourrais vous raconter cela une prochaine fois), mais j'ai bien le sentiment d'être plutôt passif. Lors de mes séances de branlette pluriquotidienne (dans les toilettes du lycée ou dans mon lit le soir), j'imagine tous ces beaux mecs croisés dans la journée en train de me faire bouffer leur belle bite avant de me la mettre bien profond. Ça me fait monter à une vitesse incroyable ! Surtout si je complète les mouvements de ma main droite sur ma bite par quelques doigts bien humides dans mon cul. Oh, mon Dieu ! C'est divin !
Non vraiment, y a pas à dire, sucer de la bite et me prendre une bonne grosse queue dans le cul, est devenu presque une obsession pour moi. J'essaye de temps en temps de me sucer la bite, mais je ne suis malheureusement pas assez souple. Pourtant, elle est plutôt longue déjà ! Je n'ai pas à rougir de mes 18 cm de long bien bandé et surtout de mes 5 cm de diamètre. Ça me fait penser que je ne me suis pas décrit. Je mesure 1 m 75 pour 63 kg. Plutôt mince donc et pas vraiment musclé. J'ai la peau blanche, des cheveux noirs coupés en brosse courts et des yeux marron. J'ai un beau sourire qui me donne du charme à ce qu'on me dit, mais, en dehors de ça, je suis plutôt ordinaire comme mec.
Donc comme je vous le disais, je termine mon année de Première et, les préparatifs du bac commençant la semaine prochaine, les cours sont terminés pour moi et les vacances viennent juste de commencer. Pour me faire un peu d'argent avant l'été, je me suis trouvé un petit job dans un magasin Leader Price ou je fais de la mise en rayon. Je viens en renfort des équipes habituelles et je travaille donc principalement en soirée et le weekend au moment des grandes affluences.
J'ai commencé jeudi. J'ai été accueilli par mon supérieur, Franck, un beau grand blond d'une trentaine d'année. Il doit être assez sportif, car il est tout sec et bien musclé avec de longs muscles fins. Il a des yeux bleus envoûtants. Mignon, mais pas mon style de prédilection. Non, celui que j'ai tout de suite repéré en entrant dans le magasin, c'est Amir !
Amir est un bel éphèbe métis d'origine algérienne comme je les aime. 21 ans, 1m85 environ pour quelque chose comme 80 kg de muscles. Il fait beaucoup de musculation à ce qu'il m'a dit et il porte en permanence des T-shirts qui lui moulent les pecs et, surtout, des jeans très moulants qui lui font un cul à tomber. Lorsque Franck me l'a présenté, je ne pouvais pas décrocher mes yeux de ses puissants bras serrés dans les manches de son T-shirt.
J'ai su que ce boulot allait me plaire lorsque Franck m'a annoncé qu'Amir serait mon référent durant mes presque 2 mois de travail ici. Dans un premier temps, ma mission : aller partout où il va (ça devrait me convenir), faire tout ce qu'il me dit de faire (oh oui, avec plaisir !), observer et retenir un maximum de ce que je vois et entends. Et voilà, pendant 2 jours, j'ai passé mes journées à suivre ce magnifique petit cul partout dans le magasin et à mater ses bras et ses pecs en action quand nous portions des cartons à mettre en rayon. Je peux vous dire que ces 2 jours ont été durs pour moi. J'avais la gaule tout le temps et je ne pouvais m'empêcher d'imaginer des trucs à chaque fois qu'on rentrait dans la réserve. J'en avais mal à la bite. Et en plus, c'était plutôt difficile de m'éclipser pour me branler aux toilettes.
À force d'être tout le temps ensemble, nous nous sommes rapprochés un peu avec Amir. Nous discutions pas mal de tout et de rien (sport, cinéma, série, jeux vidéo, etc.). Il me parlait pas mal du Crossfit qu'il pratique régulièrement et je comprenais mieux comment il avait acquis ce physique de rêve. Et nous en sommes finalement arrivés à parler des filles. Enfin, c'était surtout lui qui en parlait, car je n'osais pas vraiment dire quoique ce soit. Je n'avais rien à raconter en la matière et je n'osais pas lui avouer que j'étais gay. Mais, il a fini par s'en apercevoir et voilà qu'il décide de me questionner sur le sujet :
A : Tu ne racontes pas grand-chose, dis-moi. Je te raconte toutes mes petites histoires de coeur, mais toi tu gardes tout pour toi. Ce n'est pas très fairplay !
K : Ben, je ne sais pas. Je n'ai pas grand-chose à raconter en fait.
A : Oh, ne me dis pas que tu n'as pas eu une petite histoire déjà ou au moins des vues sur une petite poupée au lycée ! Un mec charmant comme toi, je n'y crois pas.
Charmant ? Il me trouve charmant ? Et si... Non, pas possible, il parle tellement de filles, il ne peut pas être gay. Mais bon, après tout, il faudra bien que je m'habitue à faire mon comingout.
K : Ben, en fait, tu sais... Pour tout te dire, je suis plutôt attiré par les hommes en fait...
Et là-dessus je pique un gros fard. Je le sens, j'ai super chaud et je sais plus où me mettre. Il s'arrête de ranger les conserves qu'il était en train de mettre en rayon, tourne la tête vers moi et me sourit.
A : Oh ok ! Pas de soucis, mec. Je vois que ça te gêne d'en parler. No Problem.
Et il change de sujet le plus naturellement du monde. Les choses sont tellement simples avec ce mec !
Et nous passons la fin de ce vendredi après-midi à remplir les rayons tout en discutant comme à notre habitude. Je parviens même à me détendre un peu après ce premier comingout et à faire quelques blagues. Vers 17 h Franck passe nous voir et nous demande si on peut rester une petite heure ce soir après la fermeture pour faire un peu de rangement dans la réserve, car plusieurs livraisons sont arrivées dans la journée et c'est un bordel monstre là-bas derrière.
Je réponds que oui. De toute façon, je n'ai rien de prévu ce soir. Amir semble contrarié, mais accepte.
K : Qu'est-ce qui ne va pas ? Ça t'embête de rester ce soir ?
A : Ben je suis censé voir une nana ce soir à la sortie du boulot. C'est une meuf que je vois de temps en temps et... ben, on s'amuse un peu ensemble... tu vois. C'était l'occasion de me faire sucer. Ça fait tellement longtemps que ça ne m'est pas arrivé.
K : Ah merde ! Désolé. Si je n'avais pas dis oui si vite, on aurait peut-être pu faire autrement.
A : T'inquiète, ce n'est pas ta faute. Et puis, ça me va de rendre ce service à Franck. Il est tellement cool. Même si ça me fait un peu chier quand même. Ce sera pour une autre fois.
Il est maintenant 21 heures, les volets du supermarché sont baissés et tous les employés sont en train de quitter le magasin par la porte de la réserve. Franck nous indique les cartons à ranger et où les rangers et il nous laisse nous mettre au travail pendant qu'il retourne dans son bureau " gérer la paperasse ". Nous nous mettons au travail avec l'idée que plus vite on travaille, plus vite on pourra partir et rentrer chez nous. On attaque donc avec un bon rythme. En 30 minutes le boulot est abattu et nous sommes en nage et un peu essoufflés (surtout moi).
Amir retire son T-shirt tout trempé et ce sert un verre d'eau à la fontaine à eau à la disposition des employés. J'en profite pour le mater du coin de l'oeil discrètement.
A : Dis donc, t'as pas fini de me mater !
Pas si discret que ça en fait...
K : Je ne te mate pas. Je...
A : Tu quoi ? Ahah ! Arrête ! Pas besoin de te défiler. Ce n'est pas grave.
K : Ben c'est vrai que t'es quand même bien foutu. Désolé, je n'ai pas pu m'en empêcher.
A : Pas de soucis.
Son téléphone sonne et met fin à ce moment plutôt bizarre et gênant, ouf !
A : Et merde !
K : Quoi ?
A : La nana que je devais voir ce soir vient de me dire qu'elle sort avec des amies et qu'elle peut plus m'attendre. J'en étais sûr ! J'espérais avoir le temps de la voir avant, mais c'est mort. Fait chier ! Je vais encore me coucher les couilles pleines !
K : Pas forcément !
Qu'est-ce qu'il me prend ? J'ai parlé sans réfléchir !
A : Quoi ?
Bon, au point où j'en suis...
K : Ben... vu que c'est un peu de ma faute si tu ne peux pas la voir... Je pourrais peut-être arranger ça pour toi...
A : J'ai peur de comprendre. Est-ce que t'es en train de me proposer de me sucer, là ?
K : Ne t'énerve pas ! Ne le prends pas mal ! C'était juste des paroles en l'air comme ça. Je n'aurais jamais dû dire ça. Oublie !
A : Ouais, je ne sais pas. Ça me paraitrait bizarre.
Il n'a pas vraiment dit non, là ! Je rêve ou il y aurait peut-être une possibilité ?
K : Ben, pour toi ça ne changerait pas grand-chose. Surtout si tu fermes les yeux...
A : Je ne sais pas, mec.
Bon, si je veux que ça se fasse, il va falloir que je prenne les choses en main ! Je m'approche donc de lui doucement et je pose ma main sur son pec gauche. Ce contact m'électrise et me fait bander direct. Il ne dit rien et je prends cela pour une approbation. La situation est terriblement existante et me pousse à continuer. Je me rapproche de lui très près. Mon corps est à quelques centimètres de son torse nu et mon visage tout aussi près du sien. Je descends ma main sur ces abdos que je sens rouler sous mes doigts. Il a l'air d'apprécier ce contact. Je continue donc mon mouvement jusqu'à amener ma main à son entrejambe ou je sens un paquet bien rempli. Il ne dit plus rien et je malaxe donc l'objet de mon désir au travers de son jean.
Il semble excité par mes caresses, car je sens son sa bite se durcir. Je ne peux bientôt plus faire grand-chose tant son paquet est comprimé dans son petit jean moulant. J'entreprends donc de déboutonner son jean et j'en écarte les pans pour mettre au jour un boxer noir qui moule une queue qui m'a l'air d'avoir de belles proportions. Je passe ma main sous ce boxer et je constate que ma première impression était la bonne. Sa queue semble encore plus grosse que la mienne dans ma main. Je le branle doucement en le regardant droit dans les yeux. Lui, ferme les yeux sans doute gêné par ce qui se passe. Mais je vois qu'il y prend du plaisir et continue donc.
Il est temps d'arriver finalement à mes fins ! J'approche ma bouche de son pec gauche et l'embrasse. Je mordille son téton et il gémit légèrement. Je descends alors doucement en léchant et embrassant ses abdos bien dessinés sous sa peau brune. Je m'agenouille à ses pieds j'attrape son jean et son boxer en dessous et descend les deux en un seul mouvement. Sa queue me saute littéralement au visage. Je découvre une belle bite circoncise de 21 cm au moins et 5 cm de diamètre à vu d'oeil. Elle est bien droite et striée de veines saillantes. Magnifique ! J'ai tellement envie de l'engloutir toute entière. Je n'en peux plus. Je bande comme jamais. Je suis terriblement serré dans mon pantalon. Je l'ouvre pour libérer ma bite qui me fait mal tant elle est comprimée.
J'attrape sa belle tige de la main droite, la mienne dans la main gauche, et je tire ma langue pour en lécher le gland. Cela le fait sursauter et gémir. Je n'en suis que plus fougueux et décide de la prendre en bouche. Je commence par englouti r le gland et le sucer délicatement en faisant des effets de succion avec ma bouche. Cela semble beaucoup lui plaire. Je continue et essaye de mettre un maximum de sa tige dans ma bouche. Il attrape alors l'arrière de ma tête de ses deux mains et pousse sa bite au fond de ma gorge. Je tente de retenir le réflexe de vomissement et sors sa queue de ma bouche. Elle est pleine de salive et mes yeux pleins de larmes, mais qu'est-ce que j'aime ça ! Je reprends mon travail en alternant des coups de langue le long de sa queue et des prises en gorges profondes. Il gémit de plus en plus fort et me retient de plus en plus longtemps lorsque je le prends complètement en bouche (enfin presque complètement, car elle reste trop longue pour moi). Au bout de 5-6 minutes, j'ai mal à la mâchoire et il me faut une pause. J'entreprends donc de lui lécher ses grosses couilles. J'adore ! Je sens une légère odeur de transpiration sans doute due aux efforts que nous avons faits juste avant. Cela m'excite au plus haut point ! Je me branle, mais dois vite m'arrêter pour ne pas venir avant lui.
Je recommence à le sucer comme avant et je l'entends :
A : Ah ! Oui ! C'est bon ! Continue, j'adore ça !
" Mais les mecs, qu'est-ce que vous faites, là ? "
C'est Franck ! Je me relève en catastrophe et remballe ma queue qui débande direct. J'avais complètement oublié qu'il était là. J'avais même complètement oublié où nous étions. Amir se rhabille rapidement aussi.
A : Franck, c'est pas ce que tu crois...
F : Oh, je ne crois rien Amir, je ne fais que voir.
Il dit cela avec un sourire bienveillant et cela me rassure.
F : Je n'ai pas à juger ce que vous faites les jeunes. Vous êtes libres, mais, je ne crois pas que ce soit ni le lieu ni le moment pour ça. Vous avez fini ce que vous aviez à faire au moins ?
A : Oui, oui. On a fini y a quelque temps déjà.
F : Ouais et vous vous êtes dit que vous alliez tuer le temps en vous amusant un peu.
A : Non, c'est pas ça. On n'a pas réfléchi...
F : Allez, pas de soucis les gars. Vous avez fini votre boulot, vous pouvez rentrer chez vous et faire tout ce que vous voulez. Moi aussi j'aimerais rentrer chez moi pour tout vous dire. Allez ! Hop ! Tout le monde dehors.
Nous sortons Amir et moi tous penauds suivis de Franck juste derrière. Il nous salue, monte dans sa voiture et part rapidement. Nous restons tous les deux Amir et moi à nous regarder sans oser parler.
K : Je... Je suis désolé... Je... Je vais rentrer...
Amir me rattrape par le bras alors que je tourne les talons.
A : Attends ! Tu ne vas pas ma laisser comme ça.
Je ne comprends pas bien.
A : Avec ce que tu viens de me faire, je suis excité comme jamais malgré l'intrusion de Franck. Je crois même que ça m'a encore plus chauffé. Tu ne peux pas me laisser dans cet état. J'habite à deux pas. Tu veux venir chez moi.
K : Oh... Ok. Pourquoi pas, si tu proposes.
A : Viens c'est pas là.
Nous marchons côte à côte en direction de son appartement sans sire un mot. C'est très bizarre. Arrivé dans le hall de l'immeuble, nous montons dans l'ascenseur et il appuis sur le bouton du 3e étage. Les portes se ferment. Il s'approche de moi et prend ma main pour la poser sur sa queue au travers de son jean.
A : T'as vu dans quel état tu m'as mis.
Effectivement, il bande comme un âne. Je sens sa grosse queue dans ma main. Cela me refait bander direct. Nous arrivons au 3e étage et quittons l'ascenseur à mon grand regret il ouvre la porte de son appartement et entre. Je le suis. Il rabat la porte derrière moi et se retourne face à moi. Il me regarde dans les yeux et déboutonne son jean et sort sa queue. Je salive en la voyant. Il a pris de l'assurance par rapport à tout à l'heure dans la réserve. C'est maintenant lui qui mène la danse et ce n'est pas pour me déplaire.
Il appuie sur mes épaules pour me mettre à genoux. Je m'exécute et reprends la pipe que j'avais laissée en plan précipitamment. Je le suce de plus belle en y mettant tout mon coeur et on essayant de redoubler d'imagination pour changer de rythme et de méthode. J'attrape ses belles fesses bien musclées de mes deux mains et lui imprime un rythme pour qu'il me baise la bouche. Je sens ces deux boules de muscle qui se contractent dans mes mains à chaque coup de reins. Il gémit de plaisir. Il est extrêmement endurant. Je n'en reviens pas. Je ne sais pas si c'est le fait d'avoir été interrompu, mais il semble pouvoir durer éternellement. Je commence à envisager l'idée qu'il m'éjacule dans la bouche et cela m'excite encore plus.
Soudain, il s'arrête et me fait signe de me relever.
A : Je vais aller prendre une douche. Avec les efforts qu'on a faits tout à l'heure j'en ai bien besoin. Tu viens ?
K : Euh, ok !
Il m'emmène jusqu'à la salle de bain se déshabille devant moi. Il est tellement bien foutu. Du muscle et que du muscle. Je vois maintenant tout son corps, ses pecs, ses abdos, ses cuisses, ses fesses. Tout cela est d'une harmonie parfaite. Et cette queue !! Il rentre dans la douche. Je me déshabille à mon tour et le rejoins. Il est dos à moi et j'entreprends de lui caresser le dos. Il se retourne et me verse du gel douche dans la main. Je l'applique alors sur son torse, ses bras, ses abdos, ses cuisses et pour finir sa queue et ses couilles. Je le savonne tout entier.
Il attrape le gel douche et en dépose au creux de sa main et commence à me rendre la pareille. Il me savonne entièrement et termine par ma bite et mes couilles qu'il caresse longuement. Il me branle avec du savon. C'est si bon. Je ferme les yeux pour profiter de ce moment. Tout en continuant de me branler, il vient se placer derrière moi. Son torse est maintenant collé à mon dos et il m'enserre de son bras gauche pendant que sa main droite s'active sur ma queue. Il se penche et m'embrasse le cou et me mordille le lobe de l'oreille. Je suis aux anges !
Il porte ensuite sa main gauche à sa bouche et dépose de la salive sur ses doigts. Je sais ce qui vient ensuite et cela m'excite comme un fou. Tout en continuant de me branler, il me titille la rondelle doucement. Il dépose de petits baisers sur mon cou régulièrement. Il entre ensuite un doigt dans mon cul. Tout doucement sans brutalité ni aucune douleur pour moi. Il me titille l'anus de l'intérieur puis lubrifie à nouveau ses doigts. Le fait qu'il ait retiré son doigt pour cracher dessus me laisse un sentiment de frustration très vite comblé par un nouvel assaut à 2 doigts à présent. Il joue comme ça avec mon anus et en me branlant pendant près de 5 minutes. Je n'en peux plus, je vais venir et je l'arrête en retirant sa main de ma queue. Je ne veux pas venir comme ça. J'en veux plus !
Il crache dans sa main et dépose sa salive sur son gland qu'il vient pointer dans ma raie et sur ma rondelle. Il fait naviguer sa queue entre mes fesses bien lubrifiées avec toute cette salive. À chaque fois que son gland passe sur ma rondelle, cela m'arrache un gémissement de satisfaction. Je suis chaud comme la braise et je n'ai maintenant plus qu'une idée en tête : je veux cette queue au fond de mon cul et je la veux maintenant !!
Il arrête l'eau, attrape une serviette et m'en tant une autre. Il se sèche.
A : On va dans ma chambre.
K : Ok.
Je réponds même si le ton n'était pas celui à la question. Il prend vraiment de plus en plus d'assurance.
Il s'allonge sur son lit les jambes pendantes au bout de celui-ci et me regarde dans les yeux. Je comprends tout de suite le message et m'agenouille au pied du lit. Je recommence à le sucer comme tout à l'heure. Coups de langue sur son gland, ses couilles, prise en bouche complète, je lui fais tout. Je sens son excitation monter et suis partager entre mon envie qu'il m'inonde la bouche de son sperme et l'envie qu'il me mette sa belle grosse queue au fon d du cul. Mais comme je vous l'ai dit, j'ai peu d'expérience et je suis encore " vierge du cul ". J'ai donc aussi un peu d'appréhension à l'idée de me prendre de morceau de 21 cm par 5 cm pour ma première sodomie. Je le suce donc à fond en me disant que me faire éjaculer dans la bouche serait déjà une belle première. Je redouble de vitesse et d'application et j'entends son souffle devenir plus rapide. Il gémit de plus en plus. A un moment, il se redresse. Il est maintenant assis au bout de son lit moi à genoux entre ses cuisses. Il plaque ces deux mains derrière ma tête et imprime son propre rythme. Il va venir, ça y est ! Je me bouge plus, je serre mes lèvres autour de sa tige et le laisse me baiser la bouche. Ça ne tarde pas. Je sens sa queue tressauter dans ma bouche et je reçois 5 jets de sperme qui m'inondent la bouche. Je ne me sens pas prêt à avaler et suis donc obligé de sortir sa queue de ma bouche, car elle pleine. Je me lève pour aller cracher dans l'évier de la salle de bain, mais il m'arrête par le bras.
A : Attends. Crache !
Il me dit cela en me tendant sa main creuse pour recevoir son sperme. Je m'exécute ne sachant pas très bien où il veut en venir.
A : Viens. Mets-toi à 4 pattes.
Je m'exécute encore une fois dans l'expectative. Mais je suis complètement sous son contrôle. Il se place derrière moi et il verse le contenu de sa main sur ma raie. C'est chaud et étrange. Je commence à comprendre. Il approche un de ses doigts et l'introduit dans mon cul. Entre la première session de doigtage sous la douche et la lubrification apportée par son sperme, son doigt rentre très facilement. Il coulisse ! Rapidement, il en ajoute un deuxième puis un troisième. Se faisant, il m'a attrapé la queue de sa main libre et commence à me branler. Je l'arrête tout de suite, car je suis à deux doigts (ou trois peut être ;-)) de venir.
Il se positionne alors à genoux derrière moi et fait à nouveau coulisser sa grosse queue le long de ma raie. Mais cette fois il présente très rapidement son gland contre ma rondelle et l'introduit tout doucement. Je découvre une nouvelle sensation incroyablement agréable. Je détends mon cul et je le sens qui pénètre en moi centimètre par centimètre. C'est génial ! Mais il en a 25 quand même, des centimètres. Et au bout de 5 ou 6, je commence à ressentir une douleur qui devient croissante à mesure qu'il avance. Je me crispe. Je veux qu'il s'arrête. Je m'avance un peu et il sort de quelques centimètres, mais pas entièrement. Il réagit très vite et tire mon bassin à lui me faisant tomber à plat ventre. Je suis maintenant coincé entre le lit et lui. Il donne alors un coup de rein sec et m'enfile les derniers centimètres de cette queue que je voulais tant et qui me coupe en deux à présent.
Il sert mon bassin entre ses cuisses pour m'empêcher de bouger et se penche vers moi. Il m'embrasse le cou et me mordille le lobe de l'oreille puis me glisse en chuchotant :
A : Chut ! Allez, tu l'as voulu. Et bien voilà, tu l'as toute entière. Profites-en !
K : Putain ça fait mal. C'est ma première.
A : Fallait y réfléchir avant de me chauffer comme ça !
D'une certaine manière ces paroles m'excitent. Je ne sais pas si c'est le fait qu'il dise cela aussi crument et avec autant de détachement ou qu'il me le susurre à l'oreille ou les deux, mais cela me chauffe. Et aussitôt la douleur commence à s'estomper. Là-dessus il commence de petits mouvements de rotation du bassin avec encore ses 21 cm au fond de moi. Je commence à ressentir des sensations agréables et cela me fait gémir doucement. C'est pour lui le feu vert. Il commence à imprimer un mouvement de va-et-vient à son bassin. Chaque coup de reins qu'il donne pour re-rentrer sa queue est plus agréable que le précédent. Je kiffe ! J'adore être à la merci de ce beau mal et de sa grosse queue qui utilise mon cul pour se faire du bien. Je le savais ! Je me redresse et me repositionne à 4 pattes devant lui. Cela l'a fait sortir complètement et je sens mon cul ouvert en grand prêt à recevoir à nouveau ce chibre. Il se repositionne, claque sa bite sur mon cul et m'enfonce à nouveau toute sa longueur d'un coup. Cela m'arrache un cri, mais, pas de douleur cette fois, de plaisir. Il m'attrape par les hanches fermement et commence des va et viens rapides. Il me pilonne maintenant comme jamais je n'aurais pu le rêver. Mon sexe est sur le point d'exploser. Je n'ose même pas le toucher de peur de me répandre instantanément sur les draps.
Je me redresse pour approcher mon dos de son torse. Il se penche vers moi et m'enlace de son bras gauche tout en s'accrochant à mes hanches du droit. Il approche sa bouche de mon oreille et me susurre :
A : Ton cul est tellement bon Kévin. Jamais je n'aurais pensé pouvoir prendre un pied pareil. Je vais venir. Tu es prêt.
K : Oui, vas-y défonce-moi. Remplis-moi.
Son souffle s'accélère encore un peu et ses coups de reins aussi. Il se cambre et je sens son liquide chaud qui se répand dans mon cul. J'attrape ma queue. Je fais deux aller/retour de ma main et j'inonde les draps de sperme. Je n'en peux plus. Je suis vidé (dans tous les sens du terme) et je m'affale à plat ventre dans mon sperme. Amir s'écroule sur moi secoué par les derniers spasmes de son orgasme. Nous restons ainsi 30 secondes sans rien dire. Puis Amir se redresse.
A : Waouw ! C'était intense ! Jamais je n'avais pris mon pied comme ça !
K : Moi non plus
A : Je vais aller reprendre une douche et je crois que tu en as bien besoin aussi.
Nous sommes retournés sous la douche ensemble et nous sommes lavés, mais, beaucoup plus rapidement que la première fois. Nous nous sommes rhabillés et nous sommes séparés rapidement. Il était déjà presque 23 h 30 et il fallait que je prenne le dernier bus pour rentrer chez moi.
Tout cela s'est passé vendredi soir. J'écris ce texte aujourd'hui dimanche après-midi. Amir m'a envoyé un message cet après-midi pour me demander si je voulais passer chez lui. Il veut que nous discutions de comment nous allons gérer la situation avec Franck et ce que nous allons lui dire mardi. J'ai accepté bien sûr, mais je compte bien que nous n'allons pas faire que discuter. Rendez-vous à 19 h. Peut-être que j'aurais d'autres choses à vous raconter...
En tout cas, si tout se passe comme je l'espère, ce job d'été va bien me plaire.
Tomtom69000
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