Maurice : " tu sais que tu es doué pour le sexe ? "
Moi : " ??? "
Maurice : " on ne te l'a jamais dit ? "
moi : " non, mais je suis surpris "
Maurice : " non seulement tu es doué, mais tu as en plus des capacités incroyables et c'est rare, crois-moi. Tu sais, on fait des partouzes ici tous les Weekends et on en a vu des mecs... des baiseurs et des bons, mais tu as ce truc unique je t'assure. Demande à mon copain. "
Domi : " exact tu es vachement doué ; tu m'as fait jouir cinq fois ! je n'avais jamais autant joui après trois heures de baise "
moi : " merci c'est sympa, mais on m'a souvent traité de salope ou de pute péjorativement et du coup j'en suis un peu triste, et je me freine toujours "
Maurice : " pute ? Pour moi c'est un compliment ! Écoute je te propose un truc ; c'est vrai que tu es un peu timide et on voit bien que tu n'oses pas faire ou proposer tout ce que tes yeux de vicelard suggèrent. Tout à l'heure j'ai bien vu que tu avais envie d'aspirer le sperme que Domi avait joui dans mon cul et si je ne m'étais pas assis sur ta bouche, tu ne l'aurais pas demandé. Je n'ai pas raison ? "
Moi : " exact ; et tu as raison j'aurais eu des tas d'autres envies, avec toi surtout... "
Maurice : " OK. Si tu veux, je te prends en main ; tu viens ici chez moi, et pendant une semaine entière, vingt-quatre heures sur vingt-quatre, du lundi au dimanche soir, tu deviendras le plus grand vicelard pute salope tout ce que tu veux que je présente à mes potes de partouze le samedi. Tu en dis quoi ? "
Cet échange a eu lieu, j'avais alors vint sept ans, chez Maurice, un mec balaise, la quarantaine bien costaud, manuel et brut d'allure, une queue lourde et odorante, le gland mouillant en continu, un cul énorme et profond, une bouche aussi aspirante qu'une fusée au départ. et son copain Domi, un petit minet de vingt ans, pas mon genre, mais je l'avais repéré sur le parking d'une autoroute un soir parce qu'il était pieds nus ; étant fétichiste des pieds (sans jamais avoir essayé), et me proposant une partie à trois chez son mec, je l'avais suivi. C'était suivi une baise de trois heures entre nous trois à l'issue de laquelle Maurice, affalé sur le canapé du salon, nu, les cuisses écartées, se branlait encore en me parlant. Je n'arrivais pas de mon côté à débander, mais son copain a voulu tout arrêter et la soirée s'est terminée sur le numéro de téléphone de Maurice : " appelle-moi, ma promesse tient et la balle est dans ton camp ".
Six ans après, je tombe par hasard sur le numéro de Maurice que j'avais rangé dans un livre de Tom of Finland. Excité par ma branle devant les dessins et le fond de verre rempli de mon sperme que je venais de boire, je me risquai à l'appeler.
" Maurice ? Tu te souviens de moi ? Il y a six ans tu m'avais promis de me prendre en main si je le voulais pour me transformer en bête de sexe qui s'assume comme une pute salope vicelard pour reprendre tes mots. "
" Marc, c'est toi ? Oh putain pourquoi tu n'as jamais appelé ? "
" Désolé, j'en brulais d'envie, mais je n'ai pas osé. Mais à présent je veux sauter le pas et j'en ai marre de me mentir ; je sais que je suis un addict au sexe et au sperme et que je suis loin de vivre toutes mes envies sexuelles et mes gouts. "
" Écoute j'ai souvent pensé à toi et si tu le veux vraiment, OK, je te prends en main, mais il faudra que tu me fasses confiance et accepter de faire tout ce que je te dirai. Je prends une semaine de congé quand tu veux. "
Deux semaines plus tard, je débarquai chez Maurice pour un stage de formation sexuelle qui fit de moi le mec le plus heureux.
Maurice était un peu plus trapu et musclé qu'avant ; il m'accueillit nu, un cockring de métal large au sexe. Je voulus aussitôt l'embrasser " stop ! non, tu te fous à poil et toute la semaine on restera nus, mais pour le premier jour, interdit de me toucher ; tu pourras te branler autant que tu veux mais attention, tu mets ton sperme dans le saladier là sur la table et tu n'y touches pas. Moi je ferai pareil. Tu feras ce que je te dirai et pour commencer tu dois me dire franchement les yeux dans les yeux tout ce que tu aimerais faire sexuellement sans rien me cacher. OK ? "
J'ai commencé à lui parler de mon addiction au sperme, que je me branlais trente fois par jour, que j'étais fétichiste des pieds et que j'avais envie d'essayer la pisse.
" OK, mais tu ne me dis pas ce que tu veux vraiment ; par exemple avec le sperme, tu veux juste l'avaler ? Je me souviens que tu as aimé aspirer du foutre dans mon cul. Quoi d'autre ?
Je lui racontai alors que j'aimais faire des réserves de foutres dans des flacons que je gardais au frais, en glaçons, mais aussi à l'air ambiant. Il se leva pour aller dans sa cuisine puis revint et posa sur la table un verre rempli de foutres sorti du réfrigérateur. "J'en ai aussi au congel, et même en sorbet. Mais çà tu les auras plus tard." Il remporta le verre à la cuisine.
Je bandais comme un dingue et lui aussi. "si tu veux te branler, vas-y, mais n'oublies pas, tu jutes dans ce saladier en verre."
Nous nous branlâmes les yeux dans les yeux et jouirent quasi en même temps dans le saladier. Nos spermes se mélangèrent et je brulais d'envie de tout boire. "Chut Marc, tu verras, attends, mercredi je te promets que tu me remercieras"
"Mercredi ?"
"Oui, parce qu'aujourd'hui quand tu m'auras tout dit sur tes envies de sexe, tu te masturberas devant la glace en te regardant et me regarder et en faisant exactement tout ce que je te dirai. Tu dormiras seul, et demain c'est toi qui m'ordonneras tout ce que tu voudras me voir faire et je te dirai mes envies aussi. Nuit encore seul, mais mercredi au réveil je te réserve une surprise qui te plaira énormément, je te le promets. Mais à présent je veux que tu te masturbes devant moi en te léchant les pieds et doigter ton cul et je veux que tu me dises que tu es un vicelard, que tu aimes ça et que tu veux l'être encore plus."
Feetspermes
tonyganz.75@gmail.com
Autres histoires de l'auteur : Le parcours d'un addict