À cette époque j'avais 20 ans et très coincé, je connaissais mon orientation sexuelle, mais je ne m'assumais pas, il faudra attendre encore 15 ans pour que je puisse assumer cette orientation. Mais la nature parlait. Chasse le naturel il revient au galop.
Mon petit frère avait 2 ans de moins, il avait donc 18 ans et déjà très sur de lui et dominateur. Ma mère quoi !
J'étais très timide et ne me montrais que difficilement en slip de bain, en short et encore moins nu.
Une journée où la maison me semblait vide, mes parents partis pour plusieurs heures, je décidais après une journée de sport et de farniente, de me doucher. J'aimais être en slip sous la douche et pisser dans ce slip.
Une consigne nous a toujours été de ne jamais fermer la porte à clé de la salle de bain au cas où il nous arriverait un malaise.
Donc je pris ma douche, je retire ensuite mon slip pisseux et me rince sous la douche. Je prends la serviette de bain et je l'entoure autour de moi pour rejoindre ma chambre. En sortant je n'avais pas remarqué mon frère planqué derrière la commode. Ce dernier me sauta dessus et me retira violemment ma serviette. Paniqué je ne savais plus quoi faire, me retrouver à poil là devant ce frère en short et teeshirt, la panique !
Il me saisit les couilles par-derrière et m'oblige à me diriger vers ma chambre. Il me pousse sur le lit et me saute sur le dos, m'oblige à me mettre sur le dos. Panique, car je bande à mort, il s'assoie à califourchon sur mon visage pour me forcer à ne pas bouger et me saisit une fois de plus les couilles pour que je cesse de bouger. Il me demande de la fermer et exige que je ne bouge plus pendant quelques instants. Je suis terrorisé, moi à poil et bandant devant lui, du jamais vue je suis rouge de honte. Lui s'aperçoit bien de mon embarras et va se faire un plaisir de jouer là-dessus. Il se retourne et m'attache les mains avec une corde qu'il avait préparées pendant ma douche. Je suis les bras en croix et je commence à me débattre, il me saisit les pieds et fait de même, je suis estomaqué, honteux surtout, toujours en train de bander à mort. Il voit bien que cela m'existe, je commence à lui demander de me détacher, il rit, il sort de la chambre et revient après quelques minutes avec mon slip de bain, un mini, et il me l'enfourne dans la bouche pour ainsi me faire taire et il reprend sa position de califourchon sur mon visage de telle façon que j'aie le nez dans sa raie du cul. Je m'aperçois qu'il n'a pas de slip sous son short, le nylon très fin me permet de sentir son odeur. Il commence à me tripoter et commence à me branler. tout à coup il se lève et retire son short et son teeshirt, c'est la première fois que je vois ce frère à poil, beau petit cul, je n'arrive pas à le voir de face, car il essaye de se cacher, il n'a pas pensé que l'armoire à glace est en ma faveur et que je peux apercevoir tous ses faits et gestes sans qu'il puisse s'en apercevoir. Il se branle gentiment, et surtout enfonce bien son cul sur son nez en écartant ses deux fesses.
Je suis à la fois aux anges et à la fois choquer de tels agissements. Il me caresse tout en se branlant et de temps à autre il mouille son gland. À aucun moment il ne jette un regard en arrière, et nous ne nous croiserons jamais du regard. Il me branle, j'en ai mal tellement je suis existé, me pétrit les couilles. Je vais explosé dans les minutes qui vont suivre, mais à ce moment il stop de me branler et s'astique à fond jusqu'au moment ou il stop il se retourne me retire mon slip pisseux me relève la tête et enfourne sa bite dans ma bouche sans attendre un consentement de ma part et pousse un petit cri de satisfaction en jouissant dans ma bouche sans autre forme de procès. Une fois termine il se retourne se rassoie me délivre la main droite et exige que je me branle, j'exécute, car je n'en peux plus et j'éjacule à fond. Nous voilà tous les deux vider et satisfaits. Il sort de ma chambre en me laissant à poil sur mon lit, attaché. J'essaie avec ma main libre de me détacher l'autre poignée et me libère les chevilles.
Je me rhabille très vite et n'ose plus sortir de ma chambre. Il va falloir attendre l'heure du diner pour entendre ma mère nous appeler pour passer à table. Sans que rien ne puisse paraitre ou transparaitre, nous dinons, sans allusions.
Les jours se suivent sans autre incident, il faudra attendre une bonne quinzaine de jours pour que le scénario se reproduise. Là je savais que mes parents partaient pour la journée, je me suis bien arrangé pour que mon frère entende le bruit de l'eau de la douche avec presque la porte ouverte. Et très existe j'avais espoir que la dernière séance puisse se reproduire. Je n'entends pas de bruit dans la maison, ma douche dure plus longtemps que d'habitude, je bande et je décide de sortir de la salle de bain avec uniquement les mains qui essaye de cacher ma bite. Et là une fois de plus il surgit devant moi toujours en short nylon rouge et m'ordonne de me mettre à genoux. Après une expression de désaccord de ma part, il sort de son dos une baguette et comme il est menaçant je m'exécute, je mets à quatre pattes devant lui, il fait le tour en baladant sa baguette sur moi, la fait glisser entre mes fesses et j'aie une contraction des qu'il touche ma rondelle, il me traite de petite salope et revient devant moi. Il se met à genoux je suis juste à la hauteur de sa bite qui doit faire un bon 17 cm moi je suis à 20 et épaisse, lui plutôt fine. Il faut dire que je me branle en solitaire pratiquement tous les jours, alors que lui je ne pense pas. Il sort d'un sac de sport que je n'avais pas vu, un collier de chien, de notre chien, il me le passe autour du cou et y installe la laisse. Ainsi il m'oblige à le suivre dans ma chambre. Et là, même scénario, mains attachées et pieds également, mais là il s'intéresse plus particulièrement à mon petit cul, il titille ma rondelle.
il reprend sa position sur mon visage après avoir retiré son short. Et il va passer sa main entre mes cuisses en ignorant ma bite qui pointe et qui frémit au moindre toucher de son bras. Il m'écarte les cuisses et me titille de plus en plus la rondelle. Je ne me suis jamais fait sodomiser, et le fait qu'il insiste sur ma rondelle me fous la trouille, j'en transpire. Il le voit et il a l'air de jouir de cette situation. Il descend prend ce sac de sport et en retire une bouteille de coca vide, ces bouteilles élancées, fines de goulot. Je reconnais que j'y pensais, mais jamais je n'aurais osé faire une chose pareille. Et bien lui si, après m'avoir réécarter les cuisses et lécher à fond le goulot de la bouteille, il me l'applique sur la rondelle, moi je commence à montrer mon désaccord, il se couche sur moi me plaque ces couilles, grosses de surcroit, sur la bouche, que j'avale presque tout de suite. Il applique avec plus d'insistance cette bouteille, et moi qui grommèle avec ses couilles en pleine bouche, il enfonce d'un petit coup sec la bouteille. À ma grande surprise elle entre sans grande difficulté, car j'ai le cul qui mouille à fond, plus la salive de mon frère, le tout est rentré avec une facilité déconcertante, au point que mon frangin n'en revenait pas en me traitant une fois de plus de petite salope. Il faisait de nombreux va-et-vient, lent au début puis de plus en plus rapide. Comme il s'était couché sur moi, ma bite touche sa peau et je n'ai pas pu me retenir et j'ai éjaculé d'un seul coup. Lui l'excitation arrivant n'a pas pu se retenir et cracha toute sa purée.
Hugues de Moulinderien
Autres histoires de l'auteur : Un petit frère dominateur