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Parce que je suis une petite salope.
C'était en hiver, en fin d'après-midi.
Assis, devant mon écran, un plug enfoncé dans le cul et le cerveau brouillé, je pense en écrivant ces lignes...
A ces hommes qui voudraient se vider dans une bouche ou dans un cul, après l'avoir forcé, élargi, rempli, centimètre après centimètre.
J'imagine leurs grosses queues se frotter à l'entrée de mon trou, et s'y enfoncer sans ménagement, pendant que ma bouche serait remplie aussi.
Et je salive à cette idée.
Soudain on toque à la porte, oeil de boeuf, je vois deux hommes...
Je me bloque, une décharge provient de mon cul, c'est le plug qui bouge, mon anus tendu par la vue de ces deux hommes.
Autour des 40 ans, grands, costauds, l'air endurcit par le chantier, j'imagine déjà leurs chibres à travers les vêtements.
J'enfile vite une tenue correcte, mais de retour à la porte, ils ne sont plus là.
Je me rend à la salle de bain, et réalise que j'ai laissé trainer mon gode en évidence. La situation aurait été difficile à expliquer si les mecs l'avaient vu.
Nouvelle décharge. Je me fais mille-et-un scénarios, dialogues, échanges, tous plus excitants les uns que les autres.
J'attrape mon gode et me mets à le lécher. Imaginant ce mec qui m'offrirait une grosse queue à sucer. Je m'excite, seul, et commence à jouer avec mon plug.
Mon manège dure quelques minutes, puis je m'arrête. Le désir de sucer une vraie bite ne rend pas celle-là vraie.
Je retourne devant mon pc, la bite à moitié bandée, le cul palpitant, frustré de ne pas me faire baiser, quand quelqu'un frappa à nouveau à la porte.
Revoilà les deux hommes.
Cette fois ils sont accompagnés d'un troisième, un peu moins grand, mais carré comme une enclume.
Ils retoquent. Je reprends mes esprits, et leur ouvre la porte.
Ils se présentent, aimables, comme des ouvriers travaillant de l'autre côté de la rue dans les futurs bureaux.
Ils ont besoin de couper le courant et ils viennent simplement en avertir les riverains.
Ils sont tellement plus virils que moi. Je me sens tout nu à côté.
Soudain l'électricité fut coupée. Ils n'avaient pas menti.
A ce moment où on se retrouva dans le noir, chacun sortit son téléphone pour activer le flash.
Et moi, je me décalais pour prendre le mien où je l'avais laissé, dans la salle de bain, à côté de mon gode, éclairé par le flash de l'un des ouvriers.
Je me figeais.
Sans le reflet de la lumière, je pouvais voir des ouvriers dans un immeuble en face qui pouvaient voir sur ma fenêtre.
Ceux qui étaient chez moi à ce moment ne l'étaient pas par hasard.
En me retournant, les flashs me permettaient uniquement de voir les chibres des trois ouvriers dans mon entrée.
Ils avaient refermé la porte, et tenaient leurs queues fermement dans la main.
L'un d'eux me dit :
-"Alors, on t'a bien excité à bosser en face pendant que tu suçais cette bite ? On te voyait te régaler. A présent t'en a trois de plus à portée de main.
Et celle-là, ce sont des vraies ! Aller à genoux !"
Et avant que j'aie eu le temps de réaliser, deux mains me firent plier, et saississères la tête, afin de la guider face à une première queue d'au moins 20x5.
Le type se mis à me défoncer la bouche, s'enfonçant le plus loin possible, m'étouffant, pendant que ces collègues serraient leurs queues avec mes mains.
Chacun avait une vraie colonne de chair, belle, longue, grosse, prête à défoncer un trou et à cracher sa semence.
Je suçais leurs queues à tour de rôle, sous une flopée d'insultes me rabaissant, me soumettant, me féminisant :
-"T'aimes ça n'est-ce pas ? Sucer de grosses queues de vrais mâles ! Hein salope t'aimes ça ?"
-"Tu vas voir on va bien profiter de toi, tu vas te plaindre, crier, gémir, puis tu finiras par en jouir et en redemander comme toutes les salopes comme toi !
Si tu te montres obéissante, on sera cool avec toi. T'as compris ? Vide couille ! Réponds !"
-"Oui."
-"Tu vas vider nos couilles que ça te plaise ou non, et après quelques coups de reins, je suis sûr que tu seras beaucoup plus docile."
Je répondis à nouveau oui. Ils n'avaient pas menti.
Toujours avec une de ces grosses bites dans la bouche, l'un deux releva mon cul, et remarqua le plug qu'ils n'avaient pas encore vu.
A ce moment, leurs tons changèrent: il devînt beaucoup plus sec.
Et rapidement mon plug fut remplacé par une vraie bite, bien chaude, grosse, et longue qui après avoir passé mon anus s'enfonça au maximum.
Je me bloque. Une décharge part de mon cul. Je le sens dilaté et rempli, débordant de cette grosse queue qui m'élargissait.
Le type que je suçais toujours en profite pour s'enfoncer dans ma gorge, et j'ai encore une décharge.
Tout à coup je me sens perdre conscience de la situation. Poussant vers cette queue dans mon cul et aspirant celle dans ma bouche.
Je vivais ce moment d'extase rempli par ces deux grosses bites qui me perforaient les trous, tandis qu'une troisième attendant son tour.
Ils changèrent une fois de position, avant de m'emmener dans le salon.
Là ils tombèrent sur la vidéo qui était sur mon écran: une nana se faisant prendre la bouche et le cul, attaché à 4 pattes au milieu d'un shop X.
La situation était certaine : J'étais une petite salope.
Jeté à quatre pattes sur le canapé, ils se mirent immédiatement à la tâche. S'enfonçant à tour de rôle dans mes trous, me faisant gémir, crier, baver,
bruler de plaisir. Des lents allers-retours aux profonds coups de bassins, du léchage de couilles à la gorge profonde, pendant deux heures ils me défoncèrent.
Les trois étaient aussi pervers les uns que les autres, jouant avec moi, m'insultant de vide couilles, de pute, de trous à sperme. Ils me promettent de revenir.
-"Une petite pute comme ça, ça doit être entretenu, limé, soumis à la bite ! On va te remplir de sperme, ça dégoulinera de ton cul et ta bouche en aura aussi !"
-"Regardez-moi ce cul, c'est un vrai tunnel, ma queue ne touche presque plus les bords ! Aller serre ton cul salope !"
Moi qui en était à mon troisième orgasme du cul, je ne le sentais plus, alors ils décidèrent de m'utiliser à fond.
En moins d'une minute, j'étais de nouveau à genoux, assis sur un des hommes et sa queue plantée dans mon cul, tandis qu'un deuxième se plaça devant avec son gros chibre.
Ni une ni deux je le pompe à fond, excité par ces mecs qui me baisent comme je dois l'être.
Et d'un coup je sens le troisième venir sur moi, et presser sa bite contre mon cul déjà occupé.
J'ai le droit à une grosse claque sur le cul, une main qui me force à sucer, deux autres qui m'écartent les fesses, et un deuxième chibre qui se glisse dans mon cul.
A ce moment je me sens écartelé, j'ai le cul qui me brule, je tente de reprendre mon souffle, mais ma bouche se retrouve remplie elle aussi.
Nouvelle décharge. Je sens mon corps qui lâche, mes trous s'ouvrir encore davantage, et ces trois grosses queues m'offrir un souvenir inoubliable.
Après m'avoir baisé comme des brutes à tour de rôle, enfoncés en moi, deux d'entre eux éjaculèrent dans mon cul, le remplissant de foutre bien chaud et gluant.
Je me sentais rempli, comblé. Gémissant de plaisir et honorant ces grosses bites qui m'ont rendu accro.
Au moment où je me retournais pour nettoyer ces pines, je sentis sortir de mon cul un flot de sperme qui s'écoula le long de mes cuisses, mon cul était démoli.
Sans même avoir besoin de me le dire, je m'empressais de récupérer le foutre qui restait sur ces deux queues, me régalant de leurs semences, de les avoir vidés.
Le cul relevé, cambré, offert, ouvert, chaud, et gluant de sperme attira le dernier qui ne mît pas longtemps à le remplir.
Ainsi en levrette, une queue dans la bouche, une dans la main, et une autre me défonçant le cul, j'étais aux anges.
Ils ont promis de me remplir de sperme, ils n'avaient pas menti.
Ils ont promis de revenir, ils n'avaient pas menti.
Ils ont promis de me rendre accro, ils n'ont pas menti.
Lopamecsxl
lopamecsxl@gmail.com
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