Premier plan hard

Bonjour,

Je précise que mon histoire est 100 % réelle. Après beaucoup de plans soft, et surtout après avoir beaucoup fantasmé sur du porno plus hard et des histoires lues ici, j'ai fini par me lancer. Je suis métis, mince, 70 kg 1m 78 et brun, à 37 ans, je fais beaucoup plus jeune que mon âge, du moins c'est ce qu'on me dit très souvent.

Je cherchais un mec sur internet pour un plan, avec pour annonce uniquement passif et soumis, je n'avais pas mis de photo pour rester discret. J'avais grave envie de sucer une bite, de me faire prendre et pourquoi pas plus. Un mec localisé pas loin finit par me contacter pour un plan maintenant. On échange nos envies et je décide de me lâcher, je lui dis que je cherche un domi et j'aimerais prendre des baffes et crachats dans la gueule et me faire insulter. Il me dit que son truc, c'est les odeurs et me demande de ne pas me laver, je préfère lui répondre que ce n'est pas mon truc, et lui dit que j'ai déjà pris une douche, ce qui n'est pas vrai.
Mais, je ne peux pas recevoir, suis en couple et mon mec peut rentrer à n'importe quel moment, je sais pas trop où il est parti et pour combien de temps. Le mec en question me dit ne pas pouvoir recevoir non plus, il me dit être bi et qu'il habite loin, mais il travaille dans le coin.
Il me propose un plan extérieur, ce que je n'ai jamais fait, à part y a longtemps deux fois dans des bois prés d'Anglet, dans des lieux de dragues. On finit par s'échanger nos photos, le mec est un arabe de 39 ans, bien gaulé et avec une bonne musculature. Il me donne rendez-vous devant un magasin et je dois attendre qu'il finisse le boulot. Au final, j'y suis allé, j'ai attendu et le gars m'a posé un lapin.

Le lendemain, via le même site, le même gars me recontacte. Je m'étais reconnecté, j'avais grave envie d'un plan et en plus j'avais bu quelques bières, j'étais désinhibé à fond. Le mec s'excuse pour la veille, un problème au boulot, et me propose de venir me cueillir prés de chez moi pendant sa pause déjeuner et m'emmener pour un plan extérieur. Je lui réponds que j'ai déjà un plan prévu dans l'après-midi, ce qui est vrai. Il me dit t'inquiètes pas, je sais repérer les coins discrets, suis doué pour ça, on roule, on verra, tu seras libéré pour le plan d'après.

Je fais un lavement rapide, me rends compte sur le moment que je n'ai ni gel, ni capote, j'espère qu'il a ce qu'il faut, on en a pas parlé avant. Le gars vient au rendez-vous, il me récupère à trois-cents mètres de chez moi et même pas 1 min plus loin, il trouve un coin en retrait de la route et s'y arrête. Le gars est bien celui de la photo, mais légèrement plus mince, musclé sec, il est habillé en costard cravate, et un regard grave vicieux.

On descend de la voiture et on va quelques mètres plus loin, derrière un bosquet.

À genoux, salope !

Je me mets à genoux, il me crache direct dessus, et continue à m'insulter, Sale pute !, puis il me fout une baffe, que j'imaginais moins forte pour ma première fois. Il défait ceinture et braguette et me colle le visage contre son boxer : vas-y lèche salope.

Je m'applique à lécher, il me tire en arrière par les cheveux me baffe la gueule, me recolle le nez sur son boxer, il me traite de pute, chienne, salope, il alterne baffes et crachats, puis finis par baisser son boxer et me fourre sa bite directe en entier dans la bouche. Il me tient par la tête et les cheveux, il s'enfonce dans ma gorge, il a pas une bite énorme, mais je suis pas habitué, j'ai dû mal à respirer, il le voit, mais il s'en fout, il continue à me baiser la gueule. Il n'oublie pas de me mettre quelques baffes de temps en temps. Il me dit de me cambrer plus et me met un doigt dans le cul, puis deux.
Il me retourne au bout d'un moment, et me dit qu'il va m'enculer. Il me penche en avant, je mets mes mains par terre pour me retenir de tomber, il m'enfonce direct, heureusement, j'étais un peu dilaté par le lavement, ça n'a pas fait trop mal.
Il me pète le cul comme un bourrin et continue à m'insulter, il donne des coups de reins tellement forts que je que tombes en avant me retrouve le visage sur le sol, il continue à m'éclater le cul comme si de rien n'était, je me fais défoncer à quatre pattes là dehors comme une chienne. Il n'arrête pas de me dire cambres-toi mieux sale pute ! Je t'ai dit de te cambrer ! Il me claque les fesses pour que j'obéisse.

Je finis par me rappeler que le gars n'a pas mis de capote et lui demande de ne pas jouir en moi. Il ne dit rien, mais au bout d'un moment il ressort et me dit viens suce ! Je me relève et suce.
Alors, tu aimes le gout de ton cul et de ta merde, salope ! J'étais propre, il n'y avait que ma mouille sur sa bite et sur ses poils mouillés, mais comme je ne réponds pas, il me tire les cheveux en arrière, me mets plusieurs baffes et me dit de répéter que j'aime ça le gout de ma merde sur sa bite, ce que je dis.

Là, il se remet à baiser ma bouche en fond de gorge sans me laisser respirer, et finis par éjaculer, il me tient la tête un moment pour être sûr que j'avale alors que j'avais déjà avalé direct, j'aime ça.

Là, il me dit qu'il doit y aller et qu'il me dépose en chemin, mais encore grisé, je vais vers lui avant de monter dans la voiture et lui demande une dernière petite baffe en tant que soumis, là il me répond : Pourquoi petite ? Il me met plusieurs baffes dans la gueule tapant de plus en plus fort, encore plus forte qu'avant, suis presque assommé et il me dit montes maintenant.
Le gars m'a déposé, et, oui, pour ceux qui se demandent, je suis allé à mon autre plan dans l'après-midi pour me faire encore défoncer le cul.