Histoire : Je me présente rapidement Aymu (ce n’est pas mon vrai prénom), alsacien de 1m83 pour 74 kg, j’ai un physique assez banal, peu musclé et un peu poilu, certains me trouvent mignon. Queue de 18 cm sur 4, elle n’est pas bien grosse, mais apparemment je sais m’en servir. Tout ce que je m’apprête à vous raconter est véridique et fidèle à la réalité.
Cette histoire s’est déroulée lorsque j’étais en échange Erasmus à Berlin. Pas d’affolement, je suis un garçon plutôt sage et casanier, je n’ai pas fréquenté le milieu gay berlinois qui jouit d’une réputation (bonne ou mauvaise, tout dépend du point de vue) internationale.
J’étais donc au labo, et ayant un moment de repos entre deux manipulation, j’ouvre cette formidable application de rencontre (de plans cul, on ne va pas se mentir) pour gays.
Je me fais rapidement abordé par un mec sans photo qui me propose de me faire sucer dans un glory hole qui se trouve dans les toilette de l’université. N’ayant pas pour habitude d’être attiré par ce genre d’accroche je suis dans un premier temps un peu réticent.
Réflexion faite. Il serait plus sympathique de me vider les couilles sans que je sois contraint de me branler dans les toilettes de l’université. Je lui répond que j’accepte et il m’indique où il est. Je dois donc me rendre dans un autre bâtiment de l’université. Une fois dans le bâtiment je galère pas mal. Je ressens à la fois une grande excitation et en même la sensation de circuler dans les couloirs et les escaliers avec écrit sur mon front, aux yeux de tous :
« je viens me faire pomper dans un glory hole »
Je finis par trouver les toilettes qu’il m’a indiquées. Je rentre. La première cabine est verrouillée, je pénètre donc dans la deuxième. Je vois immédiatement le trou artisanal fait dans la parois de la cabine. Je vois rapidement le mec du doigt à travers le trou, l’air de dire :
« Vas y mets ta queue par ici »
Je bande déjà quand j’insère ma cul dans le trou. C’est alors qu’il la prend en bouche : du velours. Il suce terriblement bien. Il est très gourmand, en même temps les allemands y vont rarement de main morte.
Il s’arrête soudain. Et il remet ma queue en bou... non. Il est en train de s’empaler sur ma queue. Sans mettre de capote. Je le laisse faire pendant d’abord qu’il va s’arrêter pour me pomper à nouveau ou mettre une capote. Il n’en est rien, il s’enfonce jusqu’au bout. Il a le cul très serré et commence dès vas et viens. C’est très excitant, mais ma raison l’emporte sur le plaisir et je me retire. Aussitôt il remets son doigt par le trou : il veut toujours ma queue. Elle passe à peine le trou du glory hole qu’il me la gobe déjà.
A deux ou trois reprises, il essaie à nouveau de s’empaler sur ma queue, ce mec cherchait définitivement à se remplir le cul. Je me suis retirer à chaque fois. Mais je n’ai pas quitté les toilettes pour autant, trop excité pour ne pas aller au bout des choses. J’insère donc une dernière fois ma queue dans ce glory hole, et cette fois ci il entreprend de me branler. Le jus ne met pas longtemps à monter. Quelle incroyable sensation de jouir sans avoir besoin de fournir un seul effort. Je commence à peine à jouir qu’il enfourne ma queue et avale tout d’une traite.
Je remballe tout et décide de partir. Un mec (certainement un prof) est devant un urinoir, se doute t il de quelque chose. Est ce que la prendre du glory hole est connue de toutes et de tous dans ce bâtiment. Je l’ignore et ne m’en préoccupe pas outre mesure. Je file.
Je laisse un message au mec sur l’application lui disant qu’il aurait pu prendre la peine de mettre une capote. Il me bloque.
Je compte bien réessayer ce glory hole si un jour je retourne à Berlin. Peut être que je tomberai sur un suceur d’exception, ou sur une queue fantastique.
N’hésitez pas à m’écrire.
Bises.
Aymu
aymu.myau @gmail.com
Autres histoires de l'auteur : Plan à trois dans la forêt | Glory Hole a l’Université de Berlin