Chapitre 1
Je me présente, je suis David. J'ai 22 ans, je mesure 1m84 et je suis plutôt bien foutu, j'attire les hommes plus matures ce qui, au contraire ne me dérange pas. Ces derniers sont plus expérimentés et libérés au niveau sexuel. Depuis le début de ma vie sexuelle, je cherche à expérimenter le maximum de chose. Je vais vous raconter ma quête du cul, comment j'en suis arrivé là.
Après avoir fais ma première fois, après avoir senti une queue tout au fond de mon cul, je savais que cette sensation était inégalable sur cette terre. Toutes ces queues, toutes ces différentes queues devaient un jour, finir dans mon cul.
Je décidai alors de m'inscrire sur une célèbre application de rencontre et je fis la connaissance d'Antoine, un cinquantenaire bien foutu et surtout extrêmement bien membré. A vu d'œil, sur les photos que nous nous sommes échangés, sa queue devait bien faire une vingtaine de centimètres. A la vue de cette magnifique queue, je lui demandai quand est ce qu'il était disponible et surtout s'il recevait. Il me répondit de manière positive et m'ordonna de faire un bon lavement car sa queue fouillait profond. A la lecture de cette phrase, je sentais déjà mon cul s'ouvrir. Il me dit aussi qu'il veut me voir tout de suite mais à une condition :
- « Je veux que tu te laves uniquement le cul. Tu es peut-être une lopette mais je suis un pig et j'aime les vraies odeurs de mâle. D'ailleurs, je ne me suis pas lavé depuis 3 jours, alors tu as intérêt à me décrasser. »
Je n'étais pas du tout branché odeur à l'époque. Quand tu as 19 ans, tu es propre sur toi, et surtout tu ne sors pas sans t'être au minimum asperger de parfum. Mais en regardant encore une fois cette magnifique queue, j'entra finalement dans la douche sans me savonner, ni même me rincer. Je fis uniquement mon lavement, comme il me l'avait demandé.
Dans la voiture, je me posais énormément de question, je ne savais pas du tout à quoi m'attendre. Même si cette histoire d'odeurs ne semblait peut-être pas si importante, ça m'avait quand même retourné le cerveau. Et si ça ne m'excitait pas ?
Au fil des questions que se poussaient dans ma tête, je fini par arriver chez lui. C'était une ferme rénovée, magnifique, avec comme seul voisin un champ immense. Avant que je ne sorte de la voiture, il était là, devant la porte. Il m'attendait nu avec une demie molle. Sa queue était déjà énorme. Il m'en fallu pas plus pour oublier toutes mes interrogations. Il avait un grand sourire et m'a de suite mis en confiance.
- « Déshabille-toi et mets ça » me dit il d'un ton un peu plus autoritaire.
Ce qu'il m'a donné était un ball stretcher. Lors de notre échange, je lui avais dit que j'étais sensible des couilles.
- « Avec ça, tes couilles seront bien en place, et crois moi, la sensation qu'il va te procurer va te rendre accro » je pouvais voir sur son visage un sourire pervers
Je me déshabillai devant lui et tenta de mettre son ball stretcher. Il devait mesurer 5 cm. Je n'eu pas de mal à le mettre, lors de mes séances de branlette, j'ai pour habitude de tirer sur mes couilles, de les malaxer. Ça me fait mouiller la queue et me met dans un état de larve a bite. La sensation de ce ball stretcher sur me couilles me mit dans un état que je ne connaissais pas encore. Ma bite était dure, dure comme elle l'a rarement été et je me mettais déjà à mouiller.
- « Tiens donc, à ce que je vois, il te fait beaucoup d'effet. Mais tu n'es pas là pour prendre ton pied alors mets-toi à genou. »
Je m'exécutai et il approcha sa queue de mes lèvres. Une forte odeur de bite s'en dégageait mais c'est comme si cette odeur venait caresser mon nez. Je me mis à sniffer sa queue comme s'il n'y avait plus d'oxygène et que le seul moyen de me maintenir en vie était de sentir cette magnifique queue. Je la mis en bouche et elle avait un gout divin. Je commençai à le sucer mais j'en voulais plus. Sa longue queue tapait contre ma gorge, elle n'était pas habituée à un si gros calibre. Je commençai à m'étouffer. Il me prit par les cheveux et me dit :
- « Tu n'es pas habitué aux gros manches toi alors je vais prendre les choses en main espèce de sale pute »
Je n'ai même pas eu le temps de lui répondre qu'il me crachat sur la gueule. On ne me l'avait encore jamais fait mais une fois de plus, je pouvais sentir mon cul s'ouvrir. J'étais à ma place. A genoux face à une queue délicieuse, énorme et qui avait une odeur divine. Il tenait ma tête grâce à mes cheveux et il commença ces va et vient.
- « Oh tu es une vraie putain toi, tu aimes ça hein ? »
J'essayais de lui répondre mais sa queue bloquait tous sons. Ces coups de reins devenaient plus rapides et plus profonds, je sentais ma gorge se détendre pour pouvoir y accueillir sa queue.
- « Relève toi, et couche toi sur le lit, fais-y pendre ta tête que je baise ta bouche de suceuse. »
Je m'exécutais et lorsque ma tête pendait dans le vide, je fis sortir ma langue pour devenir une bonne chatte buccale. Je voulais sa queue au plus profond de ma gorge. Il commença ces violents coups de reins. Ces couilles tapaient sur mon nez. Je ne me suis jamais senti aussi bien. Chaque coup de rein m'écartait un peu plus mon trou. Je mouillais comme une vraie salope. Je commençais à me branler quand il se retira.
- « Je ne crois pas t'avoir demandé de te branler sous merde. Alors tu vas prendre très très cher. »
Il me baisait encore plus fort la gueule, j'étais aux anges. Malgré mes hauts le cœur, malgré la bave qui s'échappait de ma bouche et qui coulait sur mon visage. J'étais bien. Il me limait la gueule pendant encore une bonne dizaine de minutes. Après ça, le visage plein de bave, mouille de queue, les larmes et les yeux rouges. Il m'ordonna de me mettre à quatre pattes pour admirer la bonne chatte que j'avais.
A la seconde ou j'avais la chatte face à lui, je senti une langue la déguster. J'hurla de plaisir. Ma chatte étant bien ouverte, il fouillait dans mon cul avec sa langue. Je gémissais comme la chienne que j'étais. Chaque coup de langue me détachait un peu de la réalité je ne voulais qu'une seule chose. Qu'il me baise jusqu'à ce que je n'en puisse plu.
- « je t'en supplie, baise moi, baise moi comme la sale pute que je suis »
Quelques instants après, je sentais quelque chose en moi, quelque chose d'énorme. Je mis la tete dans l'oreiller. Il me prit les mains ce qui me fit perdre l'équilibre et tomber sur le lit. Seules mes jambes étaient encore en place. J'étais à sa merci, un simple trou pour son pur plaisir. Il me baisait comme jamais je n'avais été baisé avant. Je sentais mon cul s'ouvrir encore et encore. J'en voulais plus, je n'étais pas rassasié.
- « Encore, je t'en supplie encore »
Il se retira et me retourna.
- « Je vois que tu bandes encore et que tu mouilles comme une grosse chienne, c'est bien ça. Ne bouge pas »
Il commençait à s'assoir sur ma bite. Malgré une petite gène qui pouvait se lire sur son visage, il s'empala complètement sur ma queue qui ne faisait que vibrer depuis le début de ce plan.
- « je suis tombé sur la meilleure des putes, tu as une queue d'enfer. Alors tu vas jouir. Jouir dans mon cul et ensuite je te le ferais bouffer à même mon trou. Tu vas voir il n'y a rien de mieux. »
Il continuait de se déhancher sur ma queue tout en se touchant et se branlant. Il ne fallu pas plus de temps pour que je lâche tout le jus de mes couilles au fond de son cul. Quand mes couilles étaient vides, il se retira et il s'assailli sur ma bouche. Une odeur de queue et de jus en sortait. Je commençais à lui bouffer le cul. Ma queue reprit du volume tellement c'était bon. Plus mes coups de langue était rapide, plus il appuyait son cul sur ma bouche. Je me faisais littéralement étouffer par son cul et j'aimais ça. Quand un coup je senti un liquide chaud couler sur mon visage. C'était mon jus.
- « Tiens, je vais faire de toi une cuve à jus je veux que tu boives tout ce jus jusqu'à la dernière goute. »
J'étais au paradis. Je bouffais le cul de mon actif et il me nourrissait de jus en même temps.. Mon propre jus ! c'était incroyable. Quand j'eu finis de me nourrir. Il se retourna et enfourna sa queue au plus profond de ma gorge. Ma tête était retenue par le lit mais il me baisait comme si ma bouche était une vraie chatte. Il me pinçait le nez et baisait ma bouche. Je manquais d'air et j'avais besoin de respirer. Au même moment il enfonça sa queue au plus profond de ma gueule. Il est resté quelques instants comme ça. Je n'en pouvais plus. Il lâchât 5 gros jets de foutre tout au fond de ma gorge.
- « OH PUTAIN CA C'EST DE LA SAILLIE ! »
Il se retira. J'avais les larmes aux yeux. Et pendant que je repris mon souffle. Je souriais. J'étais aux anges.
Je n'avais qu'une envie c'était de recommencer.
Cuveàjus
davidgay39140@gmail.com
Autres histoires de l'auteur : Devenir une vraie lope