Bonjour à tous, Je m'appelle Lucas et voici la deuxième histoire que je voulais vous faire partager. Elle s'est déroulée en octobre 2016. J'avais 29 ans à cette date mais je vais vous la raconter au présent.
C'est la troisième fois que je vois Ahmed. C'est un franco-algérien de 48 ans. Il est plutôt petit (1 m 65) avec un corps assez poilu et très fin. Les fois précédentes on se voyait chez moi, mais là il m'invite.
J'arrive chez lui. Il habite un charmant petit appartement, un T3 assez bien agencé. Ahmed m'accueille en djellaba. On se retrouve dans sa cuisine à discuter autour d'un café. C'est la première fois que l'on prend le temps de discuter, avant il était toujours pressé. J'apprends qu'il est veuf depuis 2 ans, et que c'est à cette période qu'il s'est permis d'avoir des relations avec des hommes. Il m'a dit avoir essayer lorsqu'il est arrivé en France étant jeune mais qu'une fois marié il a toujours été fidèle. Il me raconte avoir beaucoup aimé sa femme, et ça se voit car tout l'appartement est une ode à son épouse: des photos, portraits y trônent dans chaque pièce. Il a également un fils qui s'appelle Foued et qui a 19 ans. Actuellement il est censé être au travail, il est livreur dans une pizzeria.
Après 20 min de discussion, Ahmed m'emmène dans sa chambre. Il enlève sa djellaba et se retrouve nu comme un ver devant moi. Il m'excite beaucoup. Je l'allonge donc sur son lit et commence à caresser son corps et je me rapproche de son sexe qui commence à durcir. Je me délecte de son pénis. Je le lèche, le suce avec envie et vigueur. Il est de proportion tout à fait normal, je dirais 16cm. Ahmed gémit sous mes coups de langue. Je sens qu'il apprécie ce que je lui fais y compris lorsque je joue ou lèche ses boules. Il me demande de me déshabiller à mon tour. Je retire mon tee-shirt et mon pantalon, et là il voit que je porte mon string. Je savais de la fois précédente qu'il aimait lorsque les mecs portaient ce genre de sous-vêtement. Il me dit de rester comme ça, me voilà donc avec juste mon string retourner à le sucer et le caresser. De temps en temps j'arrive à lui dérober un petit bisou. Après 15min à manger sa queue et à enduire mon cul de salive et me doigter, il est passé derrière moi et à commencer à me lécher le cul à travers mon string. C'est la première fois qu'il prend le temps de me préparer! Après 2/3 minutes, il me redonne son sexe a sucer. Je l'ai enduit du mieux que je pouvais de toute ma salive. Il m'a mis sur le dos, me relève les jambes et présente son sexe à l'entrée de mes fesses. Et doucement, il s'introduit en moi. Je n'ai pas mal, bien au contraire je kiffe!!! Ses va-et-viens sont tendres et maîtrisés. Je gémis comme une pucelle tellement j'aime les sensations qu'il me procure. Il change de position et viens se mettre juste derrière moi. Je suis allongé sur le coté et lui vient s'emboîter en moi allongé également dans mon dos. Il me serre dans ses bras. Que j'aime cette tendresse si inédite. Je me prends à oser prendre une de ses mains qui m'entourent et à la poser sur ma queue. Et là il commence à jouer avec mes boules et me branler. Décidément cette soirée sera celle des premières. Il continue donc de me prendre en douceur tout en jouant avec mon sexe. Je me retrouve à présent à quatre pattes, le cul en l'air. Je pense que ça l'excite car d'un coup il devient comme un lapin à me labourer l'intérieur avec des coups de rein rapide et saccadé. Il sort sa queue et la ré-introduit, en réitérant cet acte au moins 5 fois. Je commence à le connaître, s'il fait ça c'est qu'il ne va pas tarder à venir. Plus il retourne en moi, plus il enfonce profondément sa queue. Et là les derniers assauts se font sentir. Il me pilonne. Je gémis, je voudrais que ça ne s'arrête jamais. Et dans un cri rauque il lâche la purée en moi. Je sens son sperme venir au fond de mes entrailles. Nous finissons par nous allonger l'un contre l'autre, fiers de cet accouplement, de ce plaisir partagé. Au bout d'un temps je me lève toujours avec mon seul string comme vêtement et commence à me rhabiller. J'ai à présent un string et mon tee-shirt lorsqu'il vient se blottir contre moi toujours nu. On s'embrasse et pour la première fois en 3 rencontres nos langues se touchent. Je rigole car son sexe commence à re-durcir, je lui demande s'il veut remettre ça et me répond que malheureusement il n'a plus 20ans mais sinon ça aurait été avec plaisir. On s'embrasse de nouveau, je suis dos à la porte de sa chambre. Il me caresse le dos, fait remonter mon tee-shirt et ça met bien en évidence mon cul bombé avec mon string lorsque la porte de l'appartement s'ouvre.
Le temps de réagir son fils vient de rentrer et nous grille dans cette situation. Je me rhabille en vitesse tandis qu'Ahmed reste figé comme un con. Il rougit et parle à son fils en arabe. Je comprends rien et je n'ai qu'une envie partir discrètement lorsque Foued m'interpelle. Il me pousse violemment dans sa chambre et ferme la porte à clef. J'entends Ahmed de l'autre côté parler une fois de plus en arabe puis crier, et enfin il se tait. Foued pendant tout ce temps me dévisage. Que veut-il?
Il prend enfin la parole et me dit qu'il veut lui aussi se vider. Je refuse et ça le fait sourire. Il me dit qu'une pute ça refuse jamais une bite et là il baisse son jogging et son boxer. Je le découvre nu devant moi. Foued est différent de son père, peu de poil et beaucoup plus autoritaire. Je ne me suis pas vidé, et j'avoue ce petit merdeux m'excite. Alors de façon déraisonée je m'accroupis devant lui et commence à le caresser au niveau des cuisses et de l'entre-jambe. Il enlève aussitôt ma main et m'impose de faire durcir sa bite. Je la prends en bouche et commence mes coups de langue en me retenant à ses fesses imberbes pour ne pas perdre l'équilibre. Très vite sa queue durcit et je m'aperçois qu'il est mieux monté que son père (18cm mais aussi fin). Une fois bandé, il m'impose des gorges profondes en me tenant la tête. Il augmente le rythme. Il force, il domine. Je suis son jouet et je n'apprécie pas du tout sa violence. Je n'arrive pas à assumer la cadence imposée. Il s'assoit sur son lit, moi toujours à ses pieds. Je lui lèche les boules lorsqu'il entreprend d'enlever mon pantalon et mon string. Me voilà cul nu, pantalon et string à mes genoux, devant ce beau jeune homme. Il introduit de nouveau sa queue dans ma bouche. Je manque de vomir tellement il y va fort. Puis il se lève et plaque ma tête sur son lit. Je suis toujours au sol, à quatre pattes, la tête collée dans sa couette. Et soudain Foued s'introduit violemment en moi ce qui me fait crier de douleur. Il me dit de me taire, que je ne peux pas avoir mal, que je suis déjà lubrifié vu que le sperme de son père est toujours en moi. Il rajoute énervé "t'as intérêt de mieux encaisser avec ton cul qu'avec ta bouche car tu étais vraiment à chier comme suceuse". Pendant 5 minutes, il me ramone. On ne change pas de position. Il me tamponne avec force. La douleur est passé, ça devient presque agréable quoi que monotone. Et rapidement il jouit dans mes fesses. Il est fier de lui et m'ordonne de lui nettoyer la bite. Je suce donc cet engin qui a inondé mon cul de foutre. Son jus est bon. Une fois sa bite propre, il ouvre la porte de sa chambre et me dit de dégager. Je vais pour partir mais cette fois c'est Ahmed qui m'appelle dans sa chambre. Il est inquiet, il m'a entendu crier et voulait savoir si j'allais bien. Je lui dis que oui ça va. Foued au pied de la porte lui assène qu'il ne doit pas s'inquiéter, qu'il n'a pas fait de mal à sa petite pute. Ahmed semblant rassurer me dit qu'il est temps que j'y aille. Effectivement, il est temps pour moi de partir. Foued devant sa chambre insiste en disant "allez, salut la pute!".
Une fois chez moi je suis abasourdi par ce qu'il vient de m'arriver. Je devais juste faire un petit plan avec Ahmed et au final il s'est confié à moi, m'a fait l'amour tendrement et son fils m'a pilonné. Drôle de soirée, mais excitante. Dans mon lit, je commence à me toucher le cul légèrement endolorit et je me branle en pensant à cette soirée. Je m'imagine sucer tendrement Ahmed pendant que son fils me fait le cul. Tous les scénarios y passent. Je jouis une quantité de foutre impressionnante. Il est l'heure pour moi d'aller prendre une douche et de dormir. Je rêve évidement de cette soirée inoubliable.
Depuis, Ahmed n'a jamais répondu à mes textos ou appels. Je ne l'ai jamais revu, ni son fils d'ailleurs. Mais il m'arrive souvent de repenser à eux, comme aujourd'hui, d'où mon envie de vous en faire part.
Bien à vous.
Marseille14
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