Yo ! Je m’appelle Jess, j’ai 20 ans et l’histoire que je vais écrire ce soir c’est réellement passé, c’était il y a plusieurs mois déjà, mais aillant gardé de bons souvenirs je me décide de la raconter.
C’était un vendredi soir, aux alentours de 20 h, je débutais mon weekend, seul dans mon appart à Poitiers. Flemme de me préparer un repas, j’appelle une pizzéria grâce à la brochure trouvée dans ma boite aux lettres : le livreur arrive dans 30 min environ. Que faire de mieux le temps d’attente qu’une bonne branlette sur sa grande télé, ni une ni deux je vais sur mon site préféré et après une p’tite recherche je trouve une vidéo adéquate, totalement nue sur mon canapé, je commence à me branler. Seul quelques bougies éclairent mon salon, j’en profite pour utiliser mes jouets, un gode à l’arrière, un autre en bouche, je n’hésite pas à me titiller les tétons j’adore ça !
Évidemment j’avais oublié ma livraison et le mec sonne à mon interphone :
– Oui ? Montez, c’est au 4e.
Je cours me chercher un bas de jogging rapide et cache mon érection dans l’élastique, le livreur frappe, j’ouvre la porte et devant moi se trouve un jeune arabe, sans pilosité faciale, petite carrure de footeux, je ne lui donne pas plus de 20 ans :
– Bonsoir c’est bien pour vous la pizza 3 fromages ?
– Oui oui
– Bah ça fait 15.60
– Ah oui ! Euh.. ne bougez pas j’arrive
Ma porte reste entrouverte le temps que j’aille chercher de la monnaie, sauf que fin de mois, je n’ai plus rien ni chez moi ni sur mon compte, je retourne voir mon p’tit rebeu :
– Ah euh.. merde désolée, mais je n’ai pas regardé avant et je n’ai rien
– Comment ça ? Vous ne pouvez pas payer ?
– J’ai bien peur que non alors ..
– C’est quoi tous ces trucs sur votre tapis dans le salon ?
– Euh.. Quoi ?
MERDE mes jouets, j’avais tout laissé comme ça sous le coup de la panique, plus mon porno en pause
– Ah ça ce n’est rien.. Je ferme un peu plus la porte.
– N’empêche que moi je peux pas repartir sans rien ni avec la pizza alors vous allez devoir la prendre
– Mais je n’ai rien à vous donner, je..
– Je peux rentrer ?
– Je.. Euh.. Bah ..
Il rentre de lui-même et dépose le carton de pizza sur le comptoir de la cuisine. Entre deux j’ai couru pour essayer de planquer mes affaires :
– Reviens tu fais quoi là ?
– Je.. Pardon ?
– Tu vas payer pour ta pizza, baisse mon froc salope
Il ne me laisse pas le temps de réfléchir, il appuie sur mes épaules qui me forcent à m’agenouiller et il défait sa braguette puis descend juste pour laisser sa queue sortir, elle est en demi-molle, circoncise, je dirais un beau 19 cm. Il me prend derrière le crâne et automatiquement j’ouvre la bouche et gobe sa queue, elle est bonne et remplie ma bouche, je commence des petits vas et vient tout en lui touchant les couilles, il durcit au fur et à mesure, je le vois d’en bas enlever son polo, il a de beaux pecs bien marqués, et il bascule sa tête en arrière tout en me forçant à avaler en gorge profonde son énorme sexe en érection.
Putain sa queue est vraiment bonne, je m’agrippe à ses fesses pour que mon nez vienne sentir sa toison, il râle et dégage ma tête :
– Enlève-moi ton jogging et mets-toi à 4 pattes
Je n’écoute que lui et je fais ce qu’il me dit, je vois tous ses vêtements jetés devant moi, il remet mon porno en route et je sens d’abord mon gode rentré entièrement jusqu’aux couilles, il veut me tester, et fièrement je lui montre que je sais encaisser, ce n’est pas la première fois. Pendant qu’il me bourre le cul je l’entends déchirer un préservatif puis un vide dans trou et soudainement ses deux mains sont sur mes hanches, et il rentre en moi délicatement et en gémissant jusqu’à la garde. Puis ses mains sur mes épaules il commence le travail, je suis tellement secoué par chaque coup de reins que j’en tremble et manque de m’affaisser, finalement il appuie sur mon dos et me met en position de la levrette, il donne tout ce qu’il a, je n’existe plus et il se déchaine dans mes entrailles, il me fait mouiller sur le sol sans me toucher, mon visage collé au sol sur le doux tapis je me retiens de crier tellement c’est bon mon dieu.
Enfin je le sens accélérer puis s’arrêter net, son sexe envoie plusieurs jets, mon anus se contracte autour de lui, il s’allonge sur mon dos et souffle, fatigué. Je dois me retenir de ne pas tomber sous son poids, il se retire doucement, laisse la capote par terre, je finis par m’allonger sur le tapis puis j’entends la porte de l’entrée claquer.
Voilà j’espère qu’elle vous aura plu, désolé pour les précédentes fautes, n’hésitez pas à me faire part de vos impressions sur mes deux premières par mail, aux plaisirs de vous parler.
Ptitmec
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