Un peu, beaucoup, branleur à l'époque (20 ans), on m'a imposé de passer seul en mai quinze jours au bord de l'Atlantique afin de réviser mon bac dans une résidence appartenant à mon oncle.
Je connaissais l'endroit surtout fréquenté par des papis, mamies : belge, hollandais, allemand. Ça arrangeait mon, oncle en plus, car il y avait des travaux et il fallait que je le tienne informé.
Plus de copain, plus de sortie, je devais réviser ! Bon, me voilà parti en train surchargé ; sac à dos et sacs pour cette destination qui ne me ravissait guère, mais bon. A l'arrivée vers 19 heures, surprise un énorme échafaudage et la terrasse couverte de plastic plein de gravillon et plus de vue sur mer. Le complet.
Je m'installe, comme seule distraction la télé.
J'avais acheté quelques revues pornos gay à la gare, de quoi susciter quelques bonnes branles. Je me suis endormi sur le canapé-lit à poils après avoir siroté quelques bières. J'ai été réveillé vers 7 heures par un bruit de machine infernale de quoi tout jeter. Quinze jours comme çà pas possibles. Direct salle d'eau, douche, j'enfile short pas plus et bonne résolution je me mets au taff.
Vers 9 heures, je vois un mec, la quarantaine en combinaison blanche sur ma terrasse en train de nettoyer. Une salutation, il me regarde et me fais signe de lui ouvrir.
Un bonjour souriant avec accent, s'excusant, car il ne savait pas que l'appartement était occupé. Je lui dis « pas de problème, c'est l'appart de mon oncle ». Je l'invite, s'il a besoin d'eau ou autre à me faire signe. Je lui propose un café qu'il accepte. Il rentre, se déchausse, je vais au coin cuisine pour préparer deux tasses de café, je me retourne et je le vois entrain de feuilleter un de mes pornos. Ouah la honte ! Il me regarde avec un petit sourire intéressé. Il ouvre un peu plus sa combi pour que je voie son torse, halé, poilu et musclé. J'étais rouge écarlate, muet. Il boit son café, repose sa tasse, remonte çà fermeture, je l'accompagne à la porte de la terrasse, d'une main, il réajuste sa bite dans sa combi et me fis une petite tape sur mes fesses et me dit « à tout à l'heure » Ouah ça veut dire quoi ?
J'étais complètement remuer et je repris tout perdu mes révisions. Rien ne rentrer ! J'avais ce mec qui bossais, me regardais et une trique pas possible. De temps en temps, d'autre gars venaient l'aider à descendre des sacs et du coin de l'œil, je voyais des sourires et des complicités.
A 11 heures 30, il frappe à la vitre. J'ouvre et il me dit « on partage notre repas si ça te dis ! ». Je réponds par un OUI sans hésitation. Ce OUI est sorti de ma bouche, je ne sais comment « Je reviens »
5 minutes après le voilà de retour avec sa glacière, habillé d'un short un peu moulant et d'un marcel bien ancré. Je n'aurai jamais pensais qu'un mec de cet âge puisse me faire un tel effet. Je lui dis que s'il voulait se doucher pour se rafraichir, la salle de bain était à sa disposition. Il me répondit « c'est sympa surtout si tu m'accompagnes ». Les choses étaient dites.
Nous allons à la salle de bain, il retire son marcel, son short. Je le regarde émerveillé. Un corps de rêve environ 178 – 75 kg, très musclé plutôt sec, velu juste comme çà me plait et une semi érection d'un beau sexe. « Tu ne retires pas ton short, ton sexe vas te faire mal mon gars ». Je le retire un peu gêné (alors que je ne suis pas pudique du tout), mais je bande à mort. Nous rentrons dans la douche ensemble. Il commence par me masser dans le dos, j'en fais autant, je le savonne et je sens que je vais partir lorsqu'il touche mes cuisses. Non, je dois me contenir.
Je ne suis pas particulièrement un canon, mais un mec pas trop mal foutu souvent on me dit « t'as un beau cul » j'en suis venu à y croire. C'est vrai que je suis cambré de nature. Malgré mes 20 ans, j'ai eu surtout des aventures du type branler, me faire branler, sucer, me faire sucer, je n'avais baisé que deux ou trois mecs auparavant lors de voyage, j'étais puceau du reste. Pour faire comme les autres j'avais baisé des filles, mais cela me procurer qu'un plaisir partiel.
Il me teint solidement sous la douche. Je sentais son sexe dur sur mes fesses il en jouait et je dégageais quelques gémissement. Il stoppa court. Nous nous rinçons et je m'apprête à m'agenouiller pour prendre en bouche cette bite large, un peu plus longue que la mienne et avec un gland qui prédomine et qui ne demande que des caresses de langue. Mais il me relève et me dit « séchons nous », il attrape une serviette et commence par me sécher de partout, il passe un long moment sur ma raie et ma bite. Une vrai main de Maître avec une sensibilité qui ne transpire pas dans son regard, mais un vrai délice. Il met la serviette au tour du coup et reprends des caresses sur mon corps. Pour la première fois il va doucement masser mes couilles et remonte jusqu'à me mouiller mon gland. Je n'ai pas tenu et tout est parti avec des râles incontrôlés. Je ne sais combien de jet. J'en avais mi partout sur le sol de la salle de bain. Je m'excuse et il me dit « c'est maintenant que se sera mieux »
Toujours en érection il me dit « on va manger, on va faire connaissance et après on fera une bonne partie, tu seras moins tendu ». J'ai descendu un peu le rideau de la terrasse et nous avons mangé nu simplement décontracté, parlé de nous de tout et rien. Il est chef d'équipe de cette entreprise de ravalement et d'origine turque, il s'appelle Hachim. Il chapote 8 ouvriers qui viennent de son pays. Ils sont spécialisés dans ce domaine du ravalement.
Il me parle de sa sexualité sans tabou : attiré par les hommes et les femmes, mais de plus en plus par les hommes. Me revoilà entrain de bander avec des désirs qu'il voit dans mes yeux. Il me dit tu vois « tu es naturel maintenant. Tu transmets par ton regard des désirs que nous allons combler ». Je le regarde et cherche les siens. Il me dit « les miens regarde sous la table », je regarde et je le vois toujours en érection, le gland humide « tu vois, je peux tenir des heures comme çà et donner du plaisir pendant de longs moments » Je m'apprête à aller sous la table il me retient et me dit « tu as plein de zones de mon corps à découvrir avant de savourer mon sexe, je vais t'apprendre et te redonner des plaisirs ». L'heure tourne et je lui en fais part il me dit « j'ai pris l'après-midi, je ne reviendrai que sur le chantier en fin de soirée, mais si tu veux je peux te laisser » Ah non mon séjour commence trop bien je récupérerai ce soir.
Nous débarrassons la table pour boire le café il me donne un coup de main et passe çà main sur mes fesses. Il bande toujours autant et cela me fait un effet de fou. Il commence à boire une gorgée de café s'agenouille, à ma grande surprise entame avec sa bouche pleine de café de sucer ma bite ! Un vrai délice. Je n'y crois pas, c'était chaud et sensationnel, je prends sa tête avec entre mes mains, il les prend et les portent vers le globe des oreilles tout en me suçant. Je massai ces globes et je sentais en lui tout une sensation. Après avoir avalé le café, il continue par aller vers mes testicules et les gober tout en massant cet endroit précis entre le sexe et la rosette ! C'était fou je lui demandai d'aller doucement, j'avais peur de jouir une nouvelle fois.
Il arrête à ma demande et se relève. Je connaissais donc un endroit sensible et je me mis à gober ces globes d'oreilles. C''est la première fois que je l'entendis gémir de plaisir. J'en étais heureux mes mains faisait le tour de ses pectoraux, de son torse ferme et doux et je sentais ces tétons dur. Ma langue descendis jusqu'à eux et le les ai bien humidifiés, il fermait les yeux. Comme j'étais fier de lui donner du plaisir il me dit « maintenant tire tout doucement dessus et tu t'arrêtes que lorsque je te le dis ». Je commençais tout en léchant à tirer et pincer de plus en plus fort ! aucune alerte. Je sentais son sexe de plus en plus dur et il me dit « vas-y maintenant tire comme un mec ». Je fus surpris et je me mis à tirer les deux tétons fortement. J'ai senti une goutte s'évacuer de son sexe au moins 5 minutes d'avoir triturée ses tétons et les avoir étirés de 2-3 centimètres il me dit « stop » avec un ton sec que je ne lui connaissais pas. J'ai voulu aller délecter cette goutte humide. Il me dit « non pas encore on se calme et on reprend un café ». Son sexe était dur comme du fer droit et un gland rouge. Il m'interdit d'y toucher « pas encore » me dit-il. J'ai compris qu'il se retenait. Voilà déjà trois heures que nous avions commencé nos ébats entre coupé de pause repas café et câlin.
Il s'assied sur le canapé, je le rejoins tous les deux bandants ne pensant qu'à nous faire du bien. On se regardait et croisai nos pieds, nos mollets en souriant. Un moment délictueux de voir ce sexe qu'il m'était interdit de toucher, de sucer. J'admirai son corps. Après ces quelques instants délictueux, il me dit « regarde-moi dans les yeux "cela appris deux minutes et il me dit 'tu es prêt maintenant, je vais répondre à tes désirs, tu as de l'avenir devant toi avec le bonheur du sexe tu sais attendre et rechercher les sensibilités. Je lui réponds 'je ne sais plus ce que j'ai envie ces moments sont si bon. Rester comme çà » il a un sourire et me dit allonge toi sur moi. Je me frottais à lui tendrement doucement il m'encercla de nouveau, il sorti de sa glacière proche du canapé quelque chose. Et repris mon en cerclage. Je senti un léger liquide froid autour de mes testicules et de ma rondelle puis une de ces mains et venu presser sur cet endroit stratégique. J'ai eu une forte sensation de bonheur et j'ai émis un petit gémissement. « Il me dit tu as encore beaucoup de semence à libérer c'est bien » Il descend vers ma rosette et me masse avec le gel tout le tour calmement je me relève un peu et lui dit 'vas-y' il me répond 'doucement mec'
Ce massage fit ressortir des petites veines que je ne connaissais comme un clito, plus ça durai et plus je perdais le contrôle de moi. Hachim avait trouvé ce point si sensible et il souriait toujours avec son air grave, mais satisfait de lui. Avec sa force et sa douceur, il me souleva, j'étais aux anges et me dis « ça va être le grand moment, le moment de nous unir, tu es prêt je le sens» Il prit son sexe, moi qui avant avait peur d'être baisé, je n'attendais que çà. Il approcha son gland et tout doucement, le faisait tourner contre ma rosette sans que je ne m'en rende compte il força ma rondelle. Certes un peu de douleur, mais si peule tout compensé par une demande qui dépasser tout. C'est moi qui ai fini par faire rentrer tout ce sexe en moi. Ill m'arrêta vite et me dit « maintenant calme toi et ressent bien mon sexe en toi'. Je ne sais comment il faisait, mais sans bouger il dilatait et resserré sa bite en moi. Une sensation qui envahi tout le corps. Cela à durer je ne sais combien de temps, mais au moins 15 minutes. Des larmes de plaisirs coulaient sous mes yeux et Hachim était heureux il me dit 'on s'appartient maintenant', je lui dit 'je t'appartiens' 'ne dit jamais ça me répond-il, car tu ne vivrai plus ce plaisir que tu vis, nous nous appartenons' répliqua-t-il . Il sorti de moi sans aucun va et vien et me dit 'nous allons sacraliser ce moment, je vais t'ensemencer dans un moment.' Il reparti à la salle de bain et revint. Pour la première fois, il m'exposa son magnifique sexe à ma bouche, je me mis à téter son gland. Il y avait un tel moment que j'avais envie, je bandais et mouillais fort et il vit que je n'étais pas loin de jouir.
Il me retourna, me pris en levrette doucement, même pas mal et ce mis à faire quelques va et viens, je lui ai dit que je ne tenais plus, il me répondit 'je sais, moi aussi' et de sursaut en sursaut, je sentie son liquide chaud au fond de moi et je jouissais en même temps une apothéose dans nos gémissements et nos cris.
Il sorti doucement tout en me caressant le sexe. J'étais épuisé, mais il tenu à prendre en bouche ma bite pour lui aussi avoir de ma semence. Ces passages de langues étaient si bon que je fermai les yeux et me suis laisser faire.
Il me dit « voilà il y a longtemps que je n'avais pas fait l'amour à un mec je m'en suis taper beaucoup, mais des comme toi il n'y en a pas tous les jours.'
- 'Tu es le premier à me faire l'amour et surtout le premier à me dépuceler c'est extraordinaire.'
Nous avons rejoint la salle de bain ou nous avons encore découvert nos corps calme. J'ai proposé à Hachim de revenir dormir le soir. Il fut ferme et me dit' Non" non tu dois bosser tes cours et demain ou verra.
Quel regret son départ. J'obéissais et toutes ces pages à réviser entrer en moi comme jamais j'étais libéré et sa rentrait dans ma tête.
Le lendemain à 6 heures 30 ça sonne à la porte ouf le réveil c'est Hachim. Il me dit qu'il vient voir ou j'en suis et me demande un café.
J'avais envie de l'embrasser, mais c'était une chose qu'il n'aimait pas. Il vérifia mes cours et travaux pratique et me dit "si tu continues toute la journée comme çà se soir je te réserve une surprise". Il revint à 12 h 30 pour manger et se laver. Je voulais recommencer et il me dit "garde tes forces pour ce soir, tu auras une bonne surprise."
Nous avons discuté en mangeant comme tous les mecs, de foot, de notre quotidien de tout, mais mon regard était explicite Il me dit "Non tu dois tenir bon, je t'expliquerai vers 17 heures ce que sera ta surprise."
Et quelle surprise j'ai eu. La suite si cela vous intéresse.
Avec du recul je sais que j'ai eu beaucoup de chance d'être dépuceler comme çà, car à quelques exceptions, mes rencontres sont plus pour de la baise que pour faire l'amour. Je dois dire que je peux compter sur les doigts de ma main le nombre de mec qui m'ont réellement fait l'amour je ne rejette pas tous les coups que j'ai eu mais bon
Je précise que c'est un vrai vécu et que j'ai eu mon bac avec mention assez bien.
Jgoelan
jgoelan@yahoo.fr
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