Cette histoire est vraie, et je vous la raconte avec beaucoup de nostalgie.
Cela s’est passé au début des années 80 et j’avais une vingtaine d’années. Je travaillais à Paris. Dans la boutique voisine, il y avait un vendeur avec qui j’ai sympathisé. On buvait le café ensemble le matin. J’ai vite compris qu’il était homo et me l’a dit ouvertement.
C’était un garçon sympa et agréable. Nous sortions régulièrement au resto, au ciné ou dans les bars. J’étais hétéro et les choses étaient claires entre nous, il n’a jamais rien tenté. Juste une amitié.
Une nuit, il était tard, j’habitais en banlieue, plus de RER, pas moyen de trouver un taxi, il me propose, comme il habite dans le quartier de Pigalle, de dormir chez lui. Comme j’avais confiance, j’accepte.
Nous avons dormi dans le même lit.
Ensuite j’avais pris cette habitude de dormir chez lui quand nous sortions. Moins de trajets, des économies et comme je travaillais à Saint-Lazare je n’étais pas loin et ça m’allait bien.
Une nuit, nous sommes donc de nouveau allés chez lui.
J’avais du mal à dormir, je somnolais, m’agitais. Je pensais à une fille que je draguais depuis quelques jours et que je trouvais bandante, du coup j’avais la trique.
Dans mon demi-sommeil agité, je suis venu me coller contre mon ami qui me tournait le dos. Le contact de ses fesses sur ma tige fut électrique. Je bandais de plus en plus et je n’osais pas bouger. Je me disais « mais qu’est-ce que tu fais » ????
Je ne savais pas s’il dormait et s’il m’avait senti. Le sang battait mes tempes et j’avais les joues en feu.
Lentement, je passais mon bras au-dessus de lui, lui caressais le ventre et descendis doucement vers son slip. Ma main tremblait. J’ai effleuré son slip et senti sa queue gonflée.
« Tu en as mis du temps », me dit-il doucement.
Je retirais ma main vivement.
« Ça ne te plait pas ? »
« Je ne sais pas », lui répondis-je timidement.
« Alors pourquoi tu me caresses » ?
Je ne disais rien.
Sa main s’est mise sur mon ventre et est descendue sous mon slip. Il m’a pris la hampe et l’a caressée doucement.
« Tu aimes » ?
« Oui ».
Il a commencé à me branler. Excité, je lui prodiguais la même chose. Première bite en main et j’aimais ça.
« Si on se mettait nu », dit-il.
Et de m’enlever mon slip, ensuite le sien.
Il se colla à moi et me roula une pelle que je lui rendais. Nous jouions avec nos langues.
Nos mains n’étaient pas en reste. Il me branlait et je lui caressais les fesses. Il écartait les jambes et mon doigt trouva sa rondelle. Il gémit.
Après quelques instants de ce traitement, il me prit dans sa bouche. Ma bite était grosse et très dure. Il m’a pompé, je haletais.
Dans la position où nous étions, je lui fis comprendre que je voulais le sucer aussi.
Nous avons fait un 69, mais sa langue descendait vers mes couilles et ma raie. J’ai levé une jambe l’équerre pour qu’il me bouffe le cul. C’était voluptueux. Jamais une femme ne m’avait procuré une telle sensation.
De mon côté, je ne restais pas inactif, en le suçant, je doigtais son trou du cul. Nos bassins ondulaient de plaisirs réciproques.
« Tu veux me prendre », demande-t-il.
« Je ne sais pas, je ne suis pas homo », dis-je bêtement.
« Pourtant, tu me suces et doigtes mon cul, c’est déjà un début, rigola-t-il.
Peut-être vexé de la remarque, je lui prenais la bouche pour un long baiser.
“Oui, je vais te baiser”
“Attends, je vais t’aider”
Il se mit sur le dos, cuisses relevées, il a pris du gel et s’est enduit le cul et mon gland avec.
“Vas-y’baise moi, et il me guida vers son trou. Je poussais un peu et j’avais peur de lui faire mal,
“Vas-y encore”, mon gland le pénétra et je sentis une onde de plaisir jusque dans mon anus.
J’enfonçais ma queue et le labourais, mais j’étais tellement excité que je déchargeais mon jus rapidement. Je restais enfoncé en lui en remuant doucement.
“C’est bon”, me dit-il.
“Moi aussi, c’était bon, mais tu n’as pas joui, j’ai fait trop vite”
“Pas grave, on verra plus tard”.
Je ne voulais pas le laisser comme ça, alors je l’ai pompé jusqu’à ce qu’il gicle dans ma bouche, longuement.
Nous nous sommes embrassés et rendormis.
Le lendemain, j’avais un autre regard sur lui.
“Ne t’en fais pas, je n’en parlerai pas, mais est-ce que tu as aimé” ?
“Oui, c’était vraiment bon, et j’aimerais bien le refaire avec toi”
Nous nous sommes revus plusieurs fois et les circonstances de la vie nous ont éloignés, mais j’ai toujours un sentiment de mélancolie en y pensant.
35 ans plus tard, j’ai recommencé à avoir des relations avec des hommes !
Robpriest
clpad50@gmail.com
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