Chapitre 1
L'été de mes 18 ans, j'étais allé rejoindre deux amis belges, des frères un peu plus âgés que moi, dans leur résidence secondaire, une jolie villa près de Nice à quelques kilomètres des plages.
Leurs parents, très aisés, en vacances sous d'autres cieux, ils disposaient à leur gré de tout
ce dont j'aurais rêvé : argent de poche presque à volonté, des motos 125 toutes neuves parmi tant d'autres biens.
De mon côté j'étais fauché, mais beau, un tout petit peu efféminé peut être avec mes cheveux châtains clairs un peu trop longs pour un garçon, la peau très claire avec de longues jambes et un cul que je ne me lassais pas d'admirer dans la glace de la salle de bain, puis aussi presque autant imberbe qu'une fille.
Le lendemain de mon arrivée, ils décidaient d'aller à la plage, j'ai réalisé que je n'avais pas pensé à emmener de maillot de bain, malgré qu'ils étaient tous les deux beaucoup plus corpulents que moi je pensais qu'ils m'en prêteraient un ! Christophe, l'ainé, me dit qu'il allait descendre à la cave où étaient rangées pas mal d'affaires qui ne servaient plus. Son cadet, Sébastien, le rejoint en me disant : j'arrive je sais ou ils sont moi !
Quand ils remontèrent au bout de quelques minutes ils me tendirent non pas un maillot de bain, mais un short bleu marine, les coutures entourées d'un mince filet blanc et une raquette de tennis brodée sur l'avant droit.
Ils avaient l'air narquois et je me rendais compte que ce short était beaucoup trop petit.
Un peu excité par leur attitude et ce petit bout de tissu qu'on me tendait et qui devait m'habiller j'allais dans ma chambre l'essayer.
Curieusement et sans doute, car j'étais très mince, mais avec un beau cul bien rebondit je n'eus pas de soucis avec la taille, mais par contre la longueur...en passant la main ou s'arrêtait le short je me rendis compte que mes fesses dépassaient largement et que le pli de celles-ci était visible sur au moins 2 cm ! Je sortis de la chambre encore plus excité en faisant des efforts surhumains pour ne pas bander et leur dit que c'était beaucoup trop court, tout en sachant qu'ils allaient me dire que non, puis que c'était l'été, qu'ils n'avaient rien d'autre à me prêter, et c'est effectivement ce qu'ils me dirent.
Pour enfourcher la moto de Christophe, je me trouvais simplement vêtu d'un débardeur, du fameux short et de simples tongs aux pieds.
Mes amis étaient eux en pantalon, polo de la marque " Crocodile " et de baskets toutes neuves.
À la plage je sentais les regards d'hommes ou de jeunes adultes qui mataient mes fesses, on voyait bien qu'il ne s'agissait pas d'un maillot de bain, car un maillot colle bien à la peau.
Dans l'après-midi il fut décidé que nous partions à proximité de l'aéroport, à l'embouchure du fleuve le var ou en traversant bambous et cailloux on apercevait les avions de très prés.
On marchait dans cette " jungle " depuis quelques centaines de mètres quand on tombait sur trois manouches de notre âge qui n'en perdirent pas une pour s'intéresser à nous et à moi en particulier.
L'un deux en me lançant " tu as un beau cul" mis la main à l'arrière de mon short pour le baisser, mais je tenais fermement les côtés ce qui ne fit que retarder ce qui allait se passer...C'est le moment que choisirent mes amis pour prendre la fuite, moi aussi d'ailleurs, mais avec des tongs je ne fis pas 10 mètres avant d'être rattrapé !
Tes amis on s'en fout c'est avec toi qu'on veut s'amuser....
J'avais peur d'être frappé alors je proposais de faire tout ce qu'ils voudraient à condition de ne pas recevoir de coups.
OK alors à poil ! un peu rassuré l'excitation remontait, l'un des trois gitans dit " non on va le décaper nous-mêmes ". Effectivement l'un retira mon débardeur, l'autre mes tongs, marquèrent une pause en rigolant avant de m'enlever le short.
Ils balancèrent tout ça le plus loin possible dans les bambous en rigolant de moi, mon zizi commençait à devenir rigide, ils dirent que désormais je serais toujours nu.
Tout droit tu suis le chemin on veut profiter du spectacle de ton cul et on va aller le montrer à nos cousins ! par moment je recevais des caresses sur le cul, à d'autres des fessés, j'avoue que le spectacle avait de quoi les exciter et ils me le faisaient savoir " tu te rends compte tu es nu en pleine ville, tu n'as rien pour te rhabiller, comment tu vas faire une fois qu'on se sera occupé de toi ? " On arriva à un petit édifice avec un local abandonné et tagué qui devait servir de digue autrefois, on m'y fit entrer, j'apercevais au loin une bonne trentaine de caravanes.
Le manouche qui m'avait le plus fessé et caressé le cul et qui était visiblement le " chef " dit aux deux autres " gardez le ici je vais prévenir les cousins "
Je vous propose la suite de cette histoire par ailleurs véridique très prochainement.
An80
bergercamil32@gmail.com
Autres histoires de l'auteur : En mini short et nu chez les gitans...