Bonjour à tous, je ne sais pas si ma première histoire a été publiée, mais néanmoins je veux revenir avec cette histoire-là. Dans la première, je vous ai raconté mes débuts en tant que dominateur, mais je veux aussi vous raconter la fois où j’ai voulu tester être dominé.
Je me présente encore, je m’appelle Lyes, j’ai maintenant 19 ans. Je suis métis Franco-Tunisien, un peu mec de cité en jogging et Air Max, entretenu par mes entrainements à la salle de sport. J’ai la chance d’avoir 18 centimètres circoncis dans mon pantalon.
Cette histoire est entièrement réelle, elle commence durant l’été de mes 18 ans. A l’époque, je découvrais à peine le monde du « fétichisme ». Je ne savais pas encore qui j’étais, dominant ou dominé. Alors je cherchais un plan sur le célèbre réseau de rencontre gay quand un mec, 28 ans, à quelques kilomètres de chez moi, me parle. Le mec est direct, il me dit qu’il aime les plans classiques, mais qu’il peut, si je le veux, être dominant. J’accepte. Après tout, je veux découvrir ce monde et en connaitre un peu plus. Il sait quel genre de gars je suis, plutôt viril et macho, et ça l’excite encore plus. Le seul problème pour nous deux, c’est notre lieu de vie. Nous logeons tous deux chez nos parents, alors je lui dis que je connais une maison abandonnée, que ça devrait ne rien craindre, même si c’est l’été, en plein jour. Il accepte, et encore une fois, ça l’excite encore plus. Alors on se donne rendez-vous directement pour le lendemain.
Le lendemain, alors que je vais pour partir de chez moi, il m’envoie un message. Il m’ordonne de m’habiller de manière sportive. Je lui demande pourquoi mais il me dit juste de fermer ma gueule et d’obéir. Excité je m’exécute. J’enfile alors mon petit short de sport noir, de longues chaussettes blanches Nike et mes Airs Max 95 blanches. Je pars de chez moi, il me dit qu’il m’attend. Je monte dans sa voiture. Il est fidèle à ses photos : grand, brun, beau sourire, petite barbe, visage d’ange, et pourtant… On prend la route, je le guide. Dans la voiture, il me dit de toucher sa bite. Je passe ma main sur son jean, je sens sa queue qui se réveille sous le contact de ma main. La mienne fait de même. Ce beau gosse, X, décide de passer sa main sur mon short, il attrape mes couilles, joue avec, les serre dans ses mains et se régale de voir mon visage grimacer. On arrive à destination.
Rapidement nous descendons de la voiture. X m’emboite le pas, je sens sa main se poser sur mon cul, il serre. Alors que nous rentrons dans la maison abandonnée, il me plaque face au mur, colle sa bite bien bandée à mon cul. Avec sa main il me compresse la fesse, il me dit calmement dans l’oreille : « pour les prochaines minutes, tu es à moi, tu obéis et c’est tout ». Ce moment-là me chauffe, je suis excité, on repère vite fait les meilleurs endroits pour ne pas se faire choper en plein acte. Il m’attrape par les cheveux et me dit qu’en haut de la cage d’escalier on verrait tous les passages. Il m’y traine. Même si, au premier abord, il fait « mec calme et sympa », c’est une véritable tempête.
Arrivé au sommet des marches, il me met directement à genoux, je vois la forme de son sexe dans son pantalon, il ordonne de lécher alors je m’exécute en commençant à lui enlever son jean. Je reçois une baffe, une bourrasque. « Tu n’as pas compris quoi dans le mot [lécher] ? ». Je comprends alors ce que je dois faire, je sors ma langue et lèche sa bite à travers son pantalon. Il adore ça, il me donne des coups de reins dans le visage. « Maintenant, enlève mon froc ». Je m’exécute en suivant ses instructions à la lettre, je lui laisse son caleçon et continue à lécher sa vite au travers. Même comme ça je sens ses énormes veines sous mes coups de langue. Il décide enfin de baisser son caleçon. Je n’ai pas les mesures exactes, mais il me semble que sa bite est un peu plus grande que la mienne et aussi un peu plus large. À partir de là, il me chope par les cheveux et commence à me baiser la bouche. Moi le gosse de cité viril me retrouve à être l’objet de baise d’un gars de la ville. Sa bite s’enfonce dans ma gorge, j’en ai les larmes aux yeux, je m’étouffe, mais il s’en branle. Il continue en m’insultant. Je suis son objet, il mouille, il me bifle le visage. J’ai compris qu’il ne rigolait pas quand il m’a dit d’ouvrir la bouche et a craché son mollard dedans, et j’ai refermé mes lèvres sur sa queue. Cela a bien duré un quart d’heure, puis il a changé de position pour continuer en me collant la tête au mur. Encore un quart d’heure après, il m’ordonne de me mettre à quatre pattes en m’insultant de chien. Je m’exécute car, tout à l’heure, sa baffe ne m’a pas plu, je ne veux pas d’une autre après tout.
Il m’ordonne de ne plus bouger. Doucement, il m’enlève mon short et mon boxer en même temps. Mon cul, bien rasé est alors à sa volonté. Je sens sa langue qui me tripote le trou, il la rentre un peu, la tourne, il s’amuse. Sans prévenir, il crache et rentre un doigt, il fait des aller-retour et en rentre un deuxième. « Bah, mon salaud, tu es bien ouvert, c’est le tour de ma bite maintenant ». Malheureusement, on n’avait pas de capotes et, domination ou pas, je ne fais aucune pénétration sans capote. Alors il a décidé de se finir en me mettant sur le dos, par terre sur le carrelage sale et ébréché de la maison pour rentrer entièrement sa bite dans ma gorge. Pour lui, je ne suis qu’un objet, un masturbateur tout au plus. Au bout de quelques minutes où j’étouffe sans rien pouvoir dire, je sens sa queue se durci. Il accélère la cadence, rajoute en puissance à chaque coup pour se bloquer au fond de ma gorge et lâcher tout son jus. Après ça, il a continué un peu pour nettoyer sa bite, l’a rangée et m’a attendu dans sa voiture. Sur le chemin du retour, on parlait comme si rien ne s’était passé.
Quand je suis descendu, il a dit en souriant, « Tu sais qu’on va se revoir et cette fois on aura des capotes et on fera bien mieux ».
Voilà pour cette histoire qui est complètement réelle. J’ai revu X quelquefois après ça. N’hésitez pas à me dire si vous voulez la suite.
Avec l’aimable correction d’Amical072.
LyesDuSud
lyesdjebri01@gmail.com
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