Histoire : Ceci est une histoire vrai, qui s'est produite il y a quelques semaines. Bonne branlette!
Depuis ce matin, 8h, mon cœur bats la chamade. J’essaye de me maitriser… de toute façon je n’ai pas le choix ! J’ai un rdv pour un plan snap avec un gars rencontré en ligne. Il avait dit « dans la matinée »…
Je suis de taille moyenne, un corps bien sculpté par la salle, 26 ans, pas très poilu… Pas lavé de la journée, ce gars m’a dit de ne pas le faire.
Je ne sais pas ce qu’il y a avec ce gars. Il est beau, avec un visage d’ange… et j’adore me faire dominer par lui. Je n’avais jamais éprouvé ce genre de délire avant, mais lui… Il est pervers, dominant, un poil sadique… tout ce que j’aime chez un gars.
« Salut bg ! hyper sex tes snaps ! ». Il est 10h, et j’avais passé l’heure précédente à poil, à envoyer des snaps suggestifs dans l’espoir d’attirer son attention. Je le remercie, et lui renvoie le compliment. « Je veux tellement te bouffer le cul ! » ça y est, ça commence. Il enchaîne aussitôt avec « t’es matinal… tu montres comment t’es excité, fiston ? ». Hum j’adore quand il m’appelle comme ça. C’est un jeu bien innocent, il n’est pas du tout de ma famille, mais j’adore le jeu de rôle incestueux…
Je lui renvoie bien sur un « oui papa » et je lui envoie une photo de ma bite au garde à vous. Je suis un gros soumis, mais à ce moment ma bite était raide comme du bois, et comme je suis monté convenablement (16 par 6) je n’ai pas à rougir de la photo. « mmmm, montre-moi ton corps nu » j’adore recevoir ses ordres. A chaque fois j’ai un picotement en moi et je mouille un peu plus. Je lui envoie une photo de plein pied. « T’es un beau garçon… » j’aime ses compliments. « Montre moi ta chatte de mec » j’envoie tout de suite la photo correspondante. « Doigte-la bien profond en gémissant, couine bien comme une chienne ». Je m’applique, je m’enduit deux doigts de lubrifiant, et je lui fais une petite vidéo. Je ne suis pas un grand gémisseur, mais le but ici n’est pas de faire comme je voudrai, mais d’obéir. Je gémis. Il a l’air satisfait, puisqu’il passe à un ordre autrement plus sadique : « claque toi le cul jusqu’à ce qu’il soit écarlate. Je veux que t’aie mal. » Cette dernière phrase me fait véritablement mouiller. J’entreprends de me frapper les fesses. J’ai horreur de ça ! Mais les ordres sont les ordres et j’aime obéir. C’est d’ailleurs ce que je lui dis en lui envoyant une vidéo de mon cul tout rouge : « j’ai mal papa… mais j’aime t’obéir ». « C’est le but que t’ai mal. Recommence, et compte les coups à haute voix. Ce que je fais. Je lui fais remarquer que je mouille : « t’es une belle pute ! ». Puis il m’ordonne de me mettre mon gode. Et là, mince ! Mon lavement date d’il y a deux heures. Et s’il y a des traces ? « Pas grave, c’est la vie fiston… » je lui envoie donc une vidéo de mon godage. On y voit ma bite, redevenue molle, qui mouille partout. « putain t’es une fontaine ! Lèche ta mouille. » Je m’exécute, et lui en envoie la preuve vidéo. « Relève toi hyper vite de ton gode pour que ça te nique bien le fion ! » elle est nouvelle, celle-là. Je m’exécute en filmant, que faire d’autre ? Je ressens des sensations fortes, un plaisir intense mêlé à de la douleur… et un grand vide !
Il m’ordonne : « tu vas prendre tes écouteurs pour te sonder et une bouteille d’1l de flotte, le sérieux va commencer maintenant ! ».
« Descend la bouteille d’une traite ! » drôle de domination, mais si ça l’excite, moi ça me plait d’obéir pour l’exciter. Je descends la bouteille, avec quelques difficultés pour les dernières gorgées. « Bien, fiston. »
Et il me force à plier en deux mon fil d’écouteur pour me l’insérer dans l’urètre. Je ne suis pas très à l’aise, mais c’est rendu plus facile par le fait que je n’ai pas le choix. Je mets d’abord 3 cm à sa demande, puis 10, puis toute la longueur du fil. A chaque fois, je lui envoie une vidéo-preuve. Il a l’air satisfait. Je commence à avoir mal à la vessie. Je lui dis. « Parfait. C’est le but que t’es mal. Sonde toi encore un peu et ne vas pas pisser ». Ouch, ma vessie prend cher, mais j’obéis.
« Vas dans ta salle de bain et pisse-toi dans la bouche ». Ah, c’était pour l’uro l’eau ? Je n’ai jamais fait ça, mais ça m’excite et en plus c’est un ordre. Alors je vais dans ma baignoire, sur le dos, et je monte mon corps en poussant sur mes pieds… je lance la vidéo d’une main, et je me soulage de l’autre. Les premières gouttes sortent avec mon filet de mouille, mais bien vite c’est une pisse clair et chaude qui m’inonde le corps. Sensation très agréable. Je dirige le jet vers ma bouche : pouah, c’est dégueulasse… Mais c’est de la domination, alors je le fais. Lorsque j’ai terminé, je me sèche avec une vieille serviette et je retourne dans ma chambre.
« maintenant je vais t’appeler pour te voir jouir ma salope ». Et il m’appelle en cam. Je décroche, bien sûr !Et je vois son visage d’ange contracté par ses penchants pervers, qui me regarde ma palucher ma bite redevenue bien raide. Il m’insulte. « Salope… mais regarde comment t’es chienne, tu gémis quand on t’insulte… Tu ne vaux rien, t’es à moi tu entends ? » Ses paroles me font littéralement décoller. Il continue : « Putain je voudrai te prendre le cul, te frapper pendant que je te baise, te mollarder la gueule, te violer, te violer, TE VIOLER !! » Je n’en pouvais plus. Je jouis en jet partout sur mes abdos, et une partie arrive sur ma barbe. « Mange, salope » fit-il avant de raccrocher. Alors avant que l’excitation ne retombe, je me dépêche d’avaler ma production, sans oublier de filmer.
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Oink
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