Premier épisode
Chapitre 2
Mathis, mon beau-fils, m’avait retourné la tête en me donnant sa queue à sucer. J’avais repensé sans arrêt à son ton autoritaire, à sa virilité mais aussi à mon comportement de soumis. Je revoyais sa queue raide, dure de 19 cm, son gland turgescent rose foncé avec un méat d’où avait jailli une grosse dose de sperme chaud que j’avais dégusté avec ardeur. Ses mots crus, humiliants, excitants me revenaient en tête…. Bref, je devais bien avouer que j’avais adoré ce qu’on avait fait. Cependant, une foule de réflexions me taraudait ! je me suis fait soumettre par mon beau-fils, quels vont être nos rapports en famille désormais ? Voudra-t-il recommencer malgré ce qu’il m’a dit ? En ai-je envie ?...
La soirée a été calme, ma femme était rentrée fatiguée, on a mangé tous les trois sans entamer de grande discussion, nous nous sommes abrutis devant une série à la télé avant d’aller au lit, Mathis était dans sa chambre depuis un moment déjà. J’ai eu du mal à trouver le sommeil, j’ai repensé à cette scène et, bien sûr, j’ai bandé. Ma femme dormait profondément à côté de moi, j’ai un peu hésité mais j’ai fini par me branler doucement. J’ai revu la bite de Mathis, j’ai eu l’impression de sentir sa bonne odeur de jeune mâle, j’ai senti que mon plaisir montait, j’ai éjaculé sur mon ventre trois jets puissants et libérateurs. Instinctivement, je l’ai recueilli pour le déguster comme j’avais avalé cet après-midi. Le sommeil est venu très rapidement.
Le lendemain matin, nous avons déjeuné avant que ma femme parte à l’hôpital. J’allais entrer dans la salle de bain quand Mathis est sorti de sa chambre. Il avait les cheveux en bataille, il baillait, se grattait le torse à travers son T-shirt, il portait un caleçon… Je l’ai salué, il a émis une sorte de son rauque qui devait vouloir dire bonjour aussi.
Je me suis préparé puis, une fois habillé, je suis allé dans mon bureau pour travailler un peu. Mathis est arrivé un moment après, complètement réveillé mais pas encore habillé, il s’est appuyé contre le montant de la porte, il m’a regardé avec un sourire pervers et m’a dit :
- « Alors petite pute, t’as envie de ta dose j’espère ! ».
Il a baissé son caleçon, sa queue était déjà raide, il se branlait doucement :
- « Tu vois BB, j’ai la trique matinale, il me faut ta bouche de suceuse là ! ».
Il s’est approché, j’ai pris sa queue en main puis en bouche et je l’ai sucé sans protester, j’en avais envie en fait. Il a craché son jus dans ma bouche et j’ai avalé. Il m’a dit :
- « Hummm, ça fait du bien ! T’aimes ça hein ? Dis-le ! »
- « Oui, j’ai aimé ».
- « T’as rasé ta chatte et tes couilles ? »
- « Heu, non. »
Là, j’ai pris une claque puis il m’a empoigné par les cheveux, il a rapproché son visage du mien et m’a hurlé dessus :
- « Je t’ai dit quoi hier ? C’est quoi que t’as pas compris ? T’es ma femelle et mon vide-couilles ! Tu vas faire ce que je te demande, là tout de suite ! Cet après-midi, je te baise ! T’as entendu et compris là ?? »
- « Oui Mathis, je vais y aller ».
Il m’a laché puis est sorti du bureau, j’étais sonné mais excité par le comportement de ce petit con !
Une heure après, je m’étais rasé le cul et les couilles et j’avais procédé à un lavement. J’ai croisé Mathis dans le couloir, il m’a mis la main au cul, a massé, m’a embrassé dans le cou et m’a dit :
- « Hummm, ça sent la chienne en chaleur, on va bien s’amuser BB ».
J’étais excité, je bandais, je me tortillais sur mon siège, j’ai eu du mal à bosser, il m’a fallu garder une certaine contenance pendant une visio interminable entre collègues.
Avec ma femme, on s’appelle toujours pendant la pause de midi, ça lui changeait les idées en cette période de pandémie. J’ai l’habitude, en téléphonant, de marcher de long en large. Ce jour-là, j’étais dans la salle à manger, Mathis est arrivé, m’a regardé puis est venu derrière moi, m’a embrassé dans le cou pendant que je parlais. Il m’a caressé le torse, mis la main au paquet, je bandais, il a frotté son paquet contre mon cul puis a déboutonné mon jean doucement, a baissé mon pantalon et mon boxer d’un coup sec puis a commencé à caresser ma raie. La situation était vraiment à la fois gênante, inimaginable et terriblement excitante. Je parlais tendrement à ma femme et son fils me titillait le trou, m’embrassait dans le cou. Ma femme a dû raccrocher un peu précipitamment, j’avoue que ça m’a bien arrangé parce que j’étais mal à l’aise et excité aussi, j’avais envie de me faire baiser !
Quand j’ai eu raccroché, Mathis m’a dit :
- « T’es un gros pervers toi ! Tu chauffes ma mère au tel et tu donnes ton cul tout lisse à son fils en même temps ! »
- « C’est toi qui est venu te coller à moi je crois ».
- « Ouais, on va dire ça et là, c’est toi qui va m’amener dans ton pieu, là où tu baises ma mère, c’est là que tu vas réclamer ma queue, c’est là que tu vas devenir ma femelle et que tu vas te faire engrosser ! »
- « Non Mathis, pas dans notre chambre ! »
Il m’a poussé jusqu’à la chambre, m’a jeté sur le lit et m’a dit :
- « A 4 pattes salope, cambre ton cul et laisse-toi faire ! »
J’ai reçu deux mollards dans la raie et sur mon trou, un doigt puis deux sont entrés, il m’a limé un moment en me donnant des ordres :
- « Cambre à fond, écarte tes fesses, offre ton trou ! Tu vas aimer ce que je fais aux mecs comme toi ! Dis-toi qu’ils payent pour ça, toi c’est gratos mais t’as intérêt à encaisser et à assurer ! »
Là, j’ai senti ses doigts se retirer et, d’un coup, il m’a enfilé sa queue en entier. J’ai hurlé de douleur, j’ai essayé de me dégager mais il m’avait saisi fermement par les hanches et me dit :
- « Ta gueule salope, t’es là pour ça ! encaisse, tu vas kiffer et je parie que tu vas en redemander ! »
Il a commencé à aller et venir assez rapidement en poussant des « han han » à chaque fois. Des fois il disait :
- « T’aimes ça la bite ! Putain ce bon cul de femelle ! »
Je gémissais de plaisir, je bandais à mort. Il est ressorti m’a demandé de me retourner sur le dos, d’écarter et de relever les jambes, il est venu entre mes cuisses, son torse contre le mien, il m’a enculé à nouveau. Mes mains ont caressé son dos et son descendues sur ses fesses fermes. Là, il m’a dit :
- « Pas touche BB ! »
Je me faisais baiser par un alpha et j’adorais ça.
Sa tête s’est posée à côté de la mienne, je pouvais entendre son souffle et ses râles à chaque fois qu’il s’enfonçait au plus profond de mon intimité, il avait l’air d’apprécier, moi aussi je dois dire.
Les frottements de son ventre contre le mien m’ont fait jouir, il l’a senti, a accéléré encore, son souffle est devenu plus fort et saccadé et, d’un coup, il s’est enfoncé à fond et s’est vidé dans un long râle.
Il a encore fait quelques va et vient pour bien se vider et tasser son jus puis est ressorti et s’est allongé à côté de moi. Il était essoufflé mais a trouvé l’énergie de me dire :
- « Nettoie ma queue salope ! ».
J’ai tout léché et sucé, il débandait doucement. Il s’est levé et m’a dit :
- « Garde mon jus ! Si tu sais m’exciter encore, t’auras une autre dose plus tard ! Une chatte comme la tienne, faut l’entretenir ! ».
J’étais comblé mais troublé et, pourtant, j’avais envie de l’exciter à nouveau.
Si ça vous a plu, merci de m’envoyer un petit message d’encouragement 😉
Alex
alex.bezaud@hotmail.com
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