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Chapitre 3
Ça faisait une bonne semaine que j’avais entamé une relation avec Mathis, mon beau-fils de 20 ans. Quand ma femme, sa mère, était là, chacun jouait son rôle à la perfection, j’étais un mari aimant, à l’écoute, disponible… Vu son travail intense en milieu hospitalier en plein pic pandémique et en confinement total, elle avait juste besoin de déconnecter une fois à la maison. Mathis, pourtant assez dur, égocentrique et provocateur, était calme, apaisé, empathique. La maison était impeccable, le frigo rempli, de bons petits plats l’attendaient, je me débrouillais pour que ses heures de repos le soient entièrement. J’aimais lui faire l’amour, elle prenait du plaisir, me disait être comblée et heureuse.
Quand elle repartait au boulot, là, les choses dérapaient, je devenais la femelle, la salope, le trou à jus de Mathis. Il exigeait que je ne porte pas de sous-vêtement, que ma « chatte » soit toujours lisse. Il me prenait quand il en avait envie, là où il voulait, de la manière qui l’excitait le plus. Il m’appelait, je le rejoignais dans le salon, il était assis sur la canapé, jambes écartées et bite raide en main :
- « Viens poser ta bouche de suceuse dessus ! »
Je le suçais, parfois je prenais une dose en bouche, je devais lui montrer ma bouche pleine avant d’avaler, parfois il rajoutait un ou deux mollards. D’autres fois, il me disait :
- « C’est bon, elle est assez lubrifiée, empale ta chatte dessus ! »
Soit de face, soit de dos, je devais me défoncer au rythme qu’il exigeait, je devais « couiner » ou répondre à ses questions :
- « Tu aimes te faire défoncer par la queue de ton beau-fils hein ? »
- « T’es une chaudasse hein ? »
- « Elle te plait ma queue hein ? T’es accro ? »
- « Dis-moi que t’es une grosse salope ? »
- « Putain ça monte, enfonce-toi bien que je te dose ! »
Il jouissait en moi, je ressortais, je devais nettoyer sa queue et il m’ordonnait de dégager.
Mes journées étaient bien remplies dans tous les sens du terme ! Télétravail, ménage, courses deux fois par semaine, lessives et purger Mathis ! Finalement, c’est quand ma femme était là que j’étais le plus tranquille.
Assez rapidement, pourtant, j’ai vite aimé ces moments humiliants mais torrides avec lui. Quand ma femme se préparait à partir, une excitation me gagnait à l’idée de devenir l’objet sexuel de Mathis.
Il me demandait si on avait baisé avec sa mère, je lui répondais que oui, il me disait :
- « T’es un vrai pervers toi, tu baises ta femme alors que t’as le jus de son fils au fond du cul ! Je parie que t’y penses quand tu la baises et que ça t’excite ! »
- « Oui ».
Il me mettait la main au paquet :
- « Tu bandes salope ! je t’excite là ? t’as envie de te faire baiser ?»
- « Oui ».
Là, en général, on allait dans mon lit où il me prenait en missionnaire « comme sa femelle ».
Mathis a toujours eu des problèmes d’argent. Il a fait quelques petits boulots ici ou là, sa mère lui fait des virements mensuels mais ça ne suffit jamais. Il ne saura jamais gérer un budget ! Evidemment, ses problèmes de fric ont très vite réapparu. Déjà, il en devait à des potes qui commençaient à le relancer sérieusement, il continuait à commander des choses… Il s’en est confié à moi, j’ai appris ainsi qu’il devait plus de 5 000 euros ! Evidemment, en période de confinement, c’était pas le moment de trouver un taf, personnellement je savais que si je lui donnais cette somme, jamais je ne la reverrais. J’ai donc décidé de le faire attendre, de lui faire un peu peur pour qu’il se rende compte de ses responsabilités.
J’avais juste oublié que Mathis a de la ressource et que, même au pied du mur, il sait rebondir !
Une après-midi, il est venu dans mon bureau, m’a dit :
- « Tu me rejoins dans ma chambre, je te veux à poil, la bite raide ! »
Bien sûr, ça m’a excité, j’ai terminé ce que je faisais et je me suis exécuté. Je suis arrivé devant sa porte de chambre, j’étais nu, la queue bandée, j’ai frappé, j’ai entendu :
- « C’est qui ? »
- « Allez, ouvre ! »
- « Dis-moi bien fort qui t’es et ce que tu viens chercher dans ma chambre ! »
- « Je suis ta salope qui vient te purger les couilles »
- « Hummmm et tu aimes quoi ? »
- « Sucer ta grosse queue, me la prendre dans la chatte et me faire féconder ou nourrir au jus ».
- « Hummm, entre ma salope, je vais te donner ce que tu réclames ! »
Il était assis sur son lit, torse-nu, en pantalon de survêt, la queue en main. Il m’a fait entrer, je me suis approché de lui, il m’a fait stopper devant le lit, il s’est relevé, m’a fait tourner vers le mur et là, j’ai vu deux caméras allumées, sur l’écran de son ordi, une visio était démarrée, 3 mecs étaient connectés, je voyais la tête d’un seul, par contre, les deux autres étaient cadré plus bas, je ne pouvais distinguer que leur torse, leur ventre et leur queue dure.
J’ai failli partir mais Mathis m’a retenu fermement par le bras, il ne m’a pas regardé et, s’adressant aux mecs, il a dit :
- « Voilà le lot que je vais baiser comme vous le voulez, j’ai pas menti, un BG, bien salope soumise et obéissante. Versement en Paypal d’avance et on vous envoie direct au paradis en vous faisant mater le porno du siècle ! Ok ? »
Les trois mecs ont annoncé qu’ils étaient d’accord. Mathis a coupé le son, j’en ai profité pour protester mais pas longtemps parce qu’il m’a mis une claque et m’a dit :
- « J’ai besoin de fric, t’es au courant ! Toi, t’aimes que je te baise à longueur de journée alors je vois pas ce qui te gêne ! Je continue à te baiser mais des mecs matent, se branlent et jouissent ! Tout le monde est content dans l’affaire alors tu fais pas chier avec tes principes de bourges ! »
J’étais sonné, j’allais partir quand il m’a jeté sur le lit, m’a gueulé d’écarter les cuisses, de cambrer mon cul face cam, de me tortiller et de me caresser la raie pour faire monter la tension et d’attendre.
Je l’ai fait ! Au bout d’un moment, j’ai entendu Mathis dire aux mecs :
- « Ok les mecs, détendez-vous et mater, c’est du plaisir maintenant ! »
Il m’a claqué le cul deux trois fois, il a bien écarté mes fesses et a dit :
- « Matez-moi cette chatte, lisse, ouverte, chaude et bien humide, faite pour prendre des bites ! »
J’ai entendu : « Vas-y, bouffe lui, doigte-le, frappe son cul, fais-le un peu rougir ! Et toi la pute, crie et gémis ! »
Je me suis fait travailler le cul un bon moment, j’ai crié, gémi, réclamé des coups, hurlé que je suis une salope, réclamé une queue… J’étais humilié mais excité à mort !
J’ai dû sucer Mathis en gros plan face cam, en gorge profonde, j’ai toussé, bavé, j’ai dû étaler ma salive sur mon visage, le montrer à la cam en ouvrant la bouche, en tirant la langue puis j’ai dû pomper de plus en plus vite, Mathis me laissait faire ou il me prenait la tête pour imposer un rythme ou me faire aller plus profondément.
A un moment, Mathis leur a demandé s’ils voulaient qu’il m’encule. Les mecs ont dit oui, Mathis leur a demandé une rallonge et même un supplément pour du bareback. Intérieurement, ça m’a amusé puisque jamais il n’avait mis de préservatif avec moi !
Une fois leurs affaires en ordre, je me suis fait baiser à 4 pattes, en levrette, en missionnaire, empalé sur lui face cam, dos à la cam. On changeait de position, Mathis positionnait les cam, me disait comment me tourner. J’avais mal au cul parce que ça faisait un bon moment que je prenais sa queue et ses coups étaient assez hards. On a entendu le premier mec jouir, j’ai machinalement regardé l’écran, il l’a vu, m’a demandé d’ouvrir la bouche comme si j’avalais son jus. Je crois que ça a déclenché une réaction en chaîne, les autres se sont mis à se branler plus fort et vite et ont craché à leur tour. J’ai dû leur dire qu’ils avaient eu une bonne grosse éjac et que leur jus devait être trop bon. Enfin, Mathis m’a demandé de me mettre dos aux cam, le cul exposé, il m’a enfilé une dernière fois, il a donné quelques coups de reins et a joui en moi en poussant un énorme râle, il a expulsé un gros jet dans mon cul puis est ressorti pour expulser les autres sur mes fesses. Les mecs ont sifflé, applaudi et l’ont félicité.
La queue encore raide et luisante, plein de sueur, Mathis leur a demandé s’ils avaient kiffé, tous ont dit oui, ils se sont dit « à la prochaine » et la connexion a été coupée. Mathis m’a dit :
- « Bonne séance ! t’es une bonne gagneuse ! Allez, dégage. »
Je suis sorti sans rien dire, j’étais souillé de jus, humilié… j’ai filé à la salle de bain et là, sous la douche, je me suis frénétiquement branlé, j’ai expulsé une énorme quantité de jus et j’ai eu un orgasme exceptionnellement puissant.
Je suis retourné bosser dans mon bureau, j’étais perturbé. J’ai revu Mathis une bonne heure après, il jouait à la console assis dans le canapé, je lui ai dit :
- « Mathis, faut qu’on parle là ! »
Il ne m’a même pas regardé :
- « Compte pas sur ta part, j’ai trop besoin de fric ! Si t’as des remords, j’en ai rien à foutre, on est tous passés par là, on s’habitue. En plus, je sais que t’as kiffé et tu kifferas toute les fois ! Discussion close ! ».
Alex
alex.bezaud@hotmail.com
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