Chapitre 1
L'histoire que je vais vous raconter est celle du jeune homme que j'étais, il y a encore 2 ans. A cette époque, je venais de terminer ma vie d'étudiant. J'étais encore assez introverti et j'avais eu peu de partenaires, m'étant principalement focalisé sur mes études...
Je décide alors d'installer Recon. Je mets une photo de moi en profil et observe les mecs sur l'appli sans oser les aborder. Quelques semaines passent, je reçois quelques messages, mais je me contente de réponses vagues.
Puis vint les message qui me fit sauter le pas. La photo du mec me poussa à aller voir le profil. Le profil était celui d'un dominateur habillé en cuir de la tête aux pieds. La simple vue des photos me fit tout de suite bander.
Il m'avait simplement envoyé un "Salut, tu cherches quoi ?"
Je m'empresse alors de répondre dans un élan d'excitation: "Un maître en cuir comme vous pour me dresser."
Mon ton semble lui plaire, nous poursuivons la conversation et le soir même il me demande où j'habite. Je lui dit Lille. Il me dit qu'il habite tout prêt et pourrait venir me chercher pour une soirée. Je répond oui, je me fais un lavement, me change et rejoins le point de rendez-vous.
Après à peine 2 minutes, il est déjà là. Dans une voiture noir, il est tout habillé de cuir (bottes de motard, pantalon, chemise et cravate, les gants sont sur le tableau de bord). Je monte en toute insouciance, quand je me retrouve à côté de lui et que je vois sa tenue en détail, j'ai une trique de dingue. Il le remarque et me lance un sourire satisfait. Nous entamons la route et nous éloignons de la ville et je commence à réaliser ce que je fais.
Un peu stressé, j'entame la conversation: "Tu sais, je suis un débutant, je n'ai pas eu beaucoup de partenaires..."
Ce à quoi il me répond: "Ce n'est pas grave, dresser les petits débutants, c'est ce que je préfère." Il me lance un regard froid et ajoute "Et tu devras me vouvoyer, si tu veux être mon esclave."
Je réponds alors d'un ton soumis "Oui maître, pardonnez-moi."
- "Je préfère ça." prononça-t-il d'un ton froid.
La voiture arrive en lisière de forêt et je commence à m'inquiéter, peut-être n'est-ce qu'un traquenard. J'ai toujours été doué pour imaginer des scénarios catastrophes...
Le maître continue sur une petite centaine de mètres le long d'un chemin de terre, puis j'aperçois une maison, entourée par la forêt. La nuit vient de tomber, les arbres semblent plus grands et l'ambiance lugubre.
Le maître arrête la voiture, enfile ses gants et sort. Je fais de même et le suis à l'intérieur. A peine entré, il me plaque brusquement contre un mur, place une main sur ma nuque et laisse courir l'autre sous ma chemise, me caressant le dos et le tétons.
C'est l'extase, je n'étais jamais fait entreprendre par un mâle vêtu tout de cuir. J'ouvre ma chemise et plaque mon torse nu contre sa chemise de cuir. Le crissement et l'odeur qui s'en dégagent m'enivrent autant que le contact de cette noble matière sur ma peau.
Il m'ordonne de me déshabiller, je lui répond "Oui maître" et m'exécute tout de suite.
Je me présente nu devant lui, il voit ma bite bandante et colle une grande claque dessus.
Je pousse un cri de douleur.
D'un air sadique il me chuchote "Tu peux crier tant que tu veux, personne ne t'entendra ici."
Je le laisse me caresser et me pincer les tétons de ses doigts gantés. J'apprécie chaque effleurement du cuir sur ma peau nue.
Il m'attrape par la nuque et me met par terre, il aboie "nettoies mes bottes"
Je réponds machinalement: "Oui maître" et je commence à lécher ses bottes légèrement boueuses.
Je lève les yeux un instant. Il contemple la scène d'un air supérieur, la lumière de la maison me permet de voir qu'il est bien blond, il a aussi une barbe bien entretenue et des yeux bleus froids et perçants.
Il paraît encore plus grand du haut de ses 1m88. Ses larges épaules et bras bien développés lui donnent un air menaçant, je suis sous son emprise.
Je baisse rapidement les yeux et continue de lui décrasser les bottes, je veux être bien docile pour qu'il sois plus tolérant quand j'aurai du mal avec les gorges profondes et la pénétration.
Une fois toute la boue retirée de ses bottes, il me repousse et part s'installer dans le canapé un peu plus loin. Il demande une bière d'un ton toujours aussi autoritaire, je m'exécute et il me laisse m'asseoir dans son canapé.
- "Tu es un débutant alors? Tu t'es déjà fait enculé ?" dit-il en buvant une première gorgée de bière.
Je réponds "Oui, mais c'était il y a un moment et il n'était pas très bien monté."
- "Tu veux de la vraie bite de mâle ?" demande-t-il alors en se caressant le paquet.
Je vois une bosse bien grosse sous le cuir de son pantalon, il doit être bien membré.
D'un air distrait, je réponds "Oui je veux avoir une vraie expérience sexuelle."
Il sort sa queue et me dit "Suce! Je veux voir ce que tu vaux."
Je lèche d'abord sa bite, elle fait bien 22 cm de long et 5 cm de large, je vais souffrir quand il va m'enculer. Je prend la bite en bouche et suce. Il pousse un grognement satisfait en buvant tranquillement sa bière. Je continue en faisant des va-et-vient plus amples.
- "Tu suces bien bâtard." commente-t-il.
Il me prend alors par les cheveux et m'enfonce sa bite jusqu'au fond de la gorge.
Je manque de vomir et essaie de me dégager. Il n'insiste pas.
Il hausse le ton en m'étranglant légèrement "Un vrai débutant ! Je vais faire de toi un véritable esclave du cul! Tu n'existeras plus que pour servir MES désirs !", puis me colle une claque et finit sa bière.
Intimidé je réponds "C'est ce que je veux maître."
Il se lève brusquement et part ouvrir une porte qui mène à un sous-sol. Je le suis sans réfléchir. En bas la cave a été aménagée en donjon BDSM. Il y a des casiers en métal noir aux quatre coins de la pièce.
Un matelas en cuir au fond à droite et au milieu une structure en métal pour accrocher un sling et des menottes. Sur le mur du fond, je vois une petite porte à barreaux qui doit mener à une cellule.
- "Tu t'es fait un lavement?" demande-t-il d'un ton pressant.
- "Oui maître"
- Mets toi à quatre pattes sur le matelas;"
Je fais ce que mon maître me dit, lui obéir m'excite tellement, je ne peux pas lui résister.
Je me place sur le matelas et me cambre pour bien lui offrir mon cul.
Il sort un sex-toy du casier le plus proche, une sorte de matraque en caoutchouc blanc, elle est plutôt fine, longue. Il met un peu de gel au bord de mon trou et présente le bout du toy. Il pousse légèrement, mais ça ne me fait pas vraiment mal. Il pousse alors plus fort et rentre une bonne partie, je gémis, il se met à tourner le toy dans mon cul et finit par le ressortir au bout d'une minute.
- "Il est propre, c'est bien, tu es un bon bâtard." dit-il en observant le toy ressorti propre de mon cul.
Je m'empresse de le remercier: "Merci maître."
Il me fait sucer le toy pour le nettoyer.
Le maître se penche sur mon cul et me fait un anulingus, je suis aux anges. Je le laisse faire quelques minutes, puis il remet un peu de lubrifiant et me rendre un doigt de cuir.
- "Tu es bien serré" constate-t-il.
Il met tout de suite un deuxième doigt, puis les deux autres de l'autre main. Il essaie de m'écarter le cul avec ses doigts. Je pousse un cri de douleur, mais il continue.
Il retire ses doigts après avoir bien joué avec mon cul, met une capote et présente sa queue au bord de mon trou, il pousse, mais elle ne rentre pas. Il me remet trois doigt et réessaie, le gland passe, j'ai l'impression qu'il m'arrache le cul. Je crie plus fort. Il me met une claque.
- "Ta gueule !"
Il enfonce encore un peu, tout mes muscles sont crispés par la douleur, je me retiens de crier. Il s'arrête un instant, je respire pour calmer la douleur. Au bout d'une minute il reprend et enfonce presque entièrement sa bite, s'arrête à peine une seconde et finit de la rentrer d'un grand coup de reins.
Je ne peux pas m'empêcher de gueuler, il se met alors à me limer dans de grands mouvements. J'ai mal à en crever. Il m'attrape les bras pour que je ne puisse pas me débattre.
Je ne peux que crier sous l'assaut de ses coups de bites dans mon cul.
J'ai mal et je me sens diminué, mais pourtant j'aime cette sensation d'être dominé par un homme puissant qui décide de faire ce qu'il veut de mon corps.
Il me met une grande claque sur le cul, ce qui me fait encore plus bander. Il continue à me démonter le cul, j'ai très mal, mais je finis par y trouver un peu de plaisir. Ne pouvant lutter, je fais des mouvements de va-et-vient pour lui montrer que je veux bien me faire défoncer le cul. Il me met une rafale de fessées en réaction. Sa main de cuir déferle sur mon cul rebondi, je pousse des petits cris de douleur et de plaisir.
Il se retire d'un coup, prêt à éjaculer. Il retire très vite le préservatif et se met à se branler. Il présente sa queue à ma bouche. J'ouvre ma bouche et laisse entrer son gland au bord, attendant qu'il jouisse.
Le sperme tombe en quatre grands jets dans ma bouche, je n'en perds pas une goutte, je vois mon maître satisfait et ça me fait plaisir. Je le suce pour lui nettoyer la queue.
J'avais commencé à me masturber au moment où il avait lâché la sauce. Lorsqu'il s'en aperçoit, il hurle "Lâche ta bite sale pute !"
Je suis saisi et lâche ma queue.
Il attrape un martinet accroché au mur et me demande "Tu es ici pour satisfaire les plaisirs de qui ?"
- "Les vôtres maître, pardon."
- "Retourne-toi !" dit-il l'air enragé.
Je me retourne et il me met dix grands coups de martinet dans le dos et sur le cul. Il insiste sur le dos où je suis plus sensible et dit à la fin: "C'est moi qui contrôle ton plaisir, mais n'oublies pas que tu es là pour le mien."
- "Oui maître"
Il m'attrape les couilles et me traîne jusqu'en haut en me les tirant. Puis il me lance "Alors ça t'a plu chienne?"
- "Oui maître."
- "Tu veux recommencer plus tard?"
- "Oui maître."
- "Tu vas devoir signer un contrat alors."
J'avais entendu parler des contrats dans le BDSM mais je n'y avais pas pensé quand j'ai rencontré mon maître.
L'air un peu confus, je réponds: "Je veux bien voir le contrat..."
Il me l'apporte, pose un stylo à côté et me laisse le lire en silence. Le contrat fait au moins 4 pages et contient des détails sur les règles à suivre pour le soumis, les punitions en cas d'infraction des règles. Un passage attire mon attention, il disait à peu près ça:
"Le soumis doit vivre 24h/24 et 7j/7 chez le maître qui assurera ses besoins élémentaires (nourriture, lessive et place pour dormir). En échange, le soumis devra assurer l'entretient de la maison du maître et offrir son corps à un dominateur choisi par le maître, une fois par semaine."
J'interroge mon maître sur ce passage et il m'explique qu'il a créé un réseaux de doms avec ses potes. Ils s'échangent leurs esclaves et entraînent de nouveaux doms pour les faire entrer dans le réseau et vu qu'il est le seul à avoir un donjon et une geôle, il fait les séances chez lui.
Je lui demande alors si je dois me plier à toutes les volontés des dominateurs, il tourne les pages et me montre une liste de mes interdits à cocher, je dois en cocher 3 au maximum. Il y a entre-autre: pinces à tétons, CBT, doggy-style, fisting, electro, sondes, uro, scato, sang et chemsex. Je coche les trois dernières. Mon maître me regarde satisfait et dit "Je crois qu'on va bien s'entendre."
Je poursuis ma lecture et ne remarque pas grand chose de choquant; il y a même un passage specifiant que je devrai prendre la prep et passer des test régulièrement, tout comme mon maître et les autres dominateurs du réseau. Je signe dans l'impulsion. Je vois le visage de mon maître ravi.
J'étais alors devenu officiellement son esclave et je n'allais pas le regretter.
BDSM Story Teller
Galloway98@outlook.fr
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