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Premier épisode | Épisode précédent

La gynécologie pour homme | 4

La nuit fut longue. Je portais pendant toute la soirée et la nuit cet énorme plug noir, attaché par des sangles qui le maintenaient bien en place au plus profond de ma « chatte » et qui empêchait les litres de sperme que le Dr Schwartz avait injecté dans mon intestin de sortir. Au bout d’un moment, et après 3 jours de travail « gynécologique » intensif, je ne sentais plus ma « chatte » : je sentais une pesanteur dans mon bas ventre mais la sensation de déchirement s’apaisa. On avait enfilé une couche par-dessus mon plug pour la propreté de mon lit.

Mon copain dans le lit à côté de moi était exténué et s’endormi très vite. Il m’expliqua qu’il avait été branlé sans relâche pendant une journée et demi, il avait dû juter au moins une vingtaine de fois, de manière très douloureuse à la fin, avec un régime alimentaire et des médicaments préparés par le médecin pour obtenir la quantité maximale de jus. Il ne pouvait plus toucher à sa bite sans souffrir.

Le lendemain matin, notre infirmier de chambre nous expliqua le programme de la dernière journée. Pour mon copain Il s’agissait d’une journée de repos : il allait avoir droit à un massage apaisant de tout le corps et en particulier de son membre sur lequel on allait appliquer une crème réparatrice pour calmer l’irritation. Après ça sera serait un bon repas avant d’assister au final qui se déroulerait entre moi et le Dr Schwartz. Pour moi le programme était plus chargé, je devais subir une importante préparation avant l’opération finale qui fut tenue secrète.

Avant d’avoir le temps de penser à ce qui allait m’arriver je me retrouvais sur un brancard, entièrement nu et sans couverture, avec ma couche qui protégeait l’énorme plug que je ne sentais plus beaucoup. L’infirmier m’attacha les pieds et les mains « pour ne pas tomber pendant le transport » puis commença le marathon matinal.

On commença par une séance chez le coiffeur de l’établissement. On me détacha du brancard pour m’attacher de nouveau sur une chaise de barbier cette fois-ci. Il y avait des attaches aux poignets, aux bras, aux cuisses, aux chevilles et au ventre. J’étais complètement saucissonné. Le coiffeur entra bientôt, habillé comme tous ses collègues en tenu de chirurgien avec bonnet, masque et casaque blanche. Il revêtit des gants en latex longs, jusqu’au coudes, avant de saisir ma tête en entourant son bras autour de mon cou. J’avais le nez coincé sur le latex. J’entendis bientôt le son d’une tondeuse et il commença à me raser la tête entièrement, sans aucune pause. J’essayais de me débattre pour éviter la coupe « boule à zéro » mais les sangles du fauteuil et le bras de coiffeur me laissaient peu de marche de manœuvre. Je me résolu bientôt à mon sort et le coiffeur fini son office.

Après la tondeuse, il me lâcha enfin la tête et amena de la mousse à raser dont il m’enduit tout le crâne et le visage. Je ne fus pas assez bête pour bouger d’un poil quand il approcha le coupe-chou pour me raser la tête et la barbe. Il ne lui fallut pas longtemps pour raser de près l’ensemble des poils de ma tête, sourcils compris, en manipulant à son grès l’orientation de ma tête avec ses mains gantées. Avant de me détacher pour me rattacher sur le brancard il me dit « Qu’est-ce que ça va être si tu te débats pour ça, la suite est moins agréable pour toi ».

Au deuxième arrêt, on arriva dans une vaste pièce ressemblante à un bloc opératoire avec en son centre une grande croix de St André horizontale, en métal. Je n’eus pas le temps d’admirer le décor que j’étais bientôt attacher à ses 4 coins par les poignets et les chevilles. L’équipe opératoire entra dans la pièce, avec des uniformes chirurgicaux bleu clair cette fois ci. On enleva ma couche mais pas les sangles ni le plug à ma grande déception. Un infirmier me fit mordre un bâillon en forme de tige en bois qu’il m’attacha fermement derrière mon crane maintenant tout lisse. Un autre approcha de la table une desserte en métal sur laquelle il y avait un pot chauffant rempli de cire et des bandelettes de papier. Je compris bien assez vite à quoi le matériel servait. Deux infirmier tenait une partie de mon corps pendant que l’autre m’épilait savamment avec la cire. Tout mon corps y passa. Au niveau des aisselles la sensation était intense mais brève et la sensation de fraicheur après ça agréable. Sur le torse, les poils étaient plus fin et donc retirés avec moins de douleur, mais la surface à couvrir était plus grande et le supplice dura plus longtemps. Pour les jambes les choses étaient partagées, l’intérieur de mes cuisses était très sensible et le piquant de l’opération m’arracha quelques larmes mais les jambes et les mollets étaient moins sensible. Pour finir les 3 compère s’attaquèrent à mes poils pubiens, Il fallait repousser une sangle ou tendre la peau de mon pauvre petit « clitoris » tout flasque. La douleur était vraiment atroce, à chaque bandelette je projetais mon corps en avant en essayant de crier malgré mon bâillon. Mais la face pile de mon corps fut bientôt entièrement imberbe me laissant une sensation mélangée de chaleur après toute cette irritation et de fraicheur en sentant l’air sur mon corps nu. Je fus anéanti quand mes 3 tortionnaires me détachèrent pour me rattacher à plat ventre sur la table métallique. On passa à l’autre face. J’avais peu de poils sur le dos et l’arrière des jambes posait eu de problème. Quand je sentis qu’on s’attaquait à mes fesses, je fus surpris du peu de douleur que je ressentais. La sensation était semblable à celle des aisselles : douloureuse mais courte. J’étais maintenant entièrement nu, sans plus aucun poil corporel. Je ne sentais presque plus mon énorme plug mais j’avais maintenant les fesses comme en feu après ce traitement.

Le troisième arrêt fut encore plus horrible. La nouvelle salle était encore une fois aménagée en salle d’opération avec en son centre une sorte de fauteuil de barbier percé. Je fus détaché du brancard puis un infirmier avec un épais tablier en plastique blanc s’approcha de moi pendant qu’on m’escortait vers le fauteuil. Il défi les sangles autour de ma ceinture, les retira, puis commença à tirer sur la base du plug. Il réveilla instantanément les sensations au niveau de mon périnée. Je sentais la partie la plus large du plug écarter ma « chatte » à son maximum. Je criais et en même temps je poussais comme un fou pour expulser ce corps étranger. Bientôt j’expulsais le plug et je fus instantanément installer sur la chaise, ma « chatte » dégoulinante se déversant dans le trou du fauteuil. Encore une fois je fus saucissonné sur le fauteuil avec cette fois ci une attache également au niveau du front et du torse qui m’empêchait de bouger le moindre petit doigt. Un infirmier actionna la table qui se bascula en arrière légèrement et je pus apercevoir 3 nouveau infirmier en casaque chirurgicale verte cette fois ci. Des mains gantées de latex saisir ma tête de chaque côté et on approcha bientôt le tuyau en plastique que j’avais vu au bloc avec le Dr Schwartz. Il fut introduit dans ma narine droite, je sentis bientôt la nausée monter puis faire place à la douloureuse sensation de plastique dans la gorge. A peine fus je remis de mes émotions qu’un deuxième tuyau s’approcha de ma narine gauche. Même torture, j’étais maintenant ficelé sur une chaise percée, avec un tuyau dans chaque narine qui devait atterrir dans mon estomac. Je sentis bientôt un liquide froid qui passait dedans sans s’arrêter pour me remplir le bide sans aucune interruption. La table se remis en position de chaise et un infirmier s’approcha d’un de mes bras. Il approcha un pied à perfusion sur lequel pendait un flacon d’un produit transparent. Il me désinfecta le bras puis me piqua avec un cathéter en plastique qu’il installa dans une de mes veines. Après ce que je venais de subir, la douleur fut brève. Il brancha la perfusion, mis un pansement transparent sur le cathéter puis sorti de la pièce me laissant seul dans une demi pénombre, attaché solidement sur une chaise percée avec des tuyaux partout. Je ne mis longtemps à comprendre ce qu’il se passait, je sentis bientôt mon estomac, rempli à ras bord, se mettre à gargouiller puis mes tripes faires des bruits de plomberie mal entretenue. Avant même que je ne m’en rende compte, tellement ma « chatte » était assouplie, je me mis à chier sans pouvoir me retenir dans la chaise qui devait être prévu à cet effet. L’opération dura au moins 2h à ce qu’il me sembla. Mon ventre était devenu une autoroute pour leur liquide. Si j’avais pu, je me serais plié en 2 pour calmer la douleur. Je chiais sans interruption, par petites quantité mais quasiment sans interruption jusqu’à ce que mon fondement bien élargi ne laisse plus sortir que de l’eau. Après une attente interminable on vint bientôt me détacher pour m’amener sur la scène finale.

Après un dernier voyage en brancard dans les couloirs de l’hôpital, on m’amena bientôt dans une vaste salle opératoire avec en plus cette fois ci une baie vitrée. Derrière la baie on apercevait une sorte de petit amphithéâtre sur les rangs duquel je vis mon copain en peignoir blanc et des médecins en blouse blanche ou en pyjama de bloc bleu. Face à la baie, trônait une imposante table de gynécologue avec une grande lumière orientable suspendue. Avant d’avoir compris quoi que ce soit, je me retrouvais attaché de toutes part, les jambes grandes écartées, la « chatte » défoncée et exposées à la vue de tout le monde, sans plus aucun poil sur le corps. Le Dr Schwartz, bonnet et masque en place, entra bientôt d’un pas magistral. On l’aida à revêtir une grande casaque verte avec un renfort en plastique sur le devant ainsi que de long gants en latex marron brillants qui lui remontaient jusqu’aux aisselles. Il passa également un tablier en plastique marron clair ainsi qu’une visière de protection transparente. Une fois son uniforme au complet il se tourna vers l’assistance et s’exclama : « Mes chers confrères, chers visiteurs, nous voici réunis pour le premier accouchement masculin de synthèse. Comme vous pouvez le voir, nous avons préparé ce sujet à la « vulve » particulièrement extensible pour cette opération. Nous allons une dernière fois élargir à la main et avec divers instruments cet organe avant d’introduire un mannequin en plastique de la taille d’un véritable nourrisson dans son vagin pour en apprécier l’expulsion contrôlée par nos soins. L’intervention sera sans doute douloureuse pour notre sujet mais l’entrainement qu’il a subi ces derniers jours l’a préparé à ce moment ».

Sur ces paroles, il s’approcha de mes organes génitaux et s’installa sur un tabouret métallique à roulettes qu’on lui apportait. On approcha également une desserte en métal couverte d’un champ en tissu vert et recouverte d’objets divers. Il trempa ses doigts dans un récipient de lubrifiant et commença sans attendre à travailler ma « chatte ». D’abord 2 ou 3 doigts et très vite il introduisit sa main entière dans mon « vagin », le travail des jours passés permettait de gagner un temps important pour la dilatation. Je sentais à peine sa main ouverte en forme de bec de canard entrer et sortir sans le moindre ressaut de ma « vulve » explosée. Bientôt il ferma son poing et commença un travail plus en largeur. Je commençais à sentir distinctement son énorme poing ganté qui boxait mon pauvre trou sans relâche, de façon rythmique, comme s’il tapait sur un tambour. Il trempa sa seconde main dans le lubrifiant et continua en alternant les poings qui violaient ma « chatte ». Plus le travail avançait et moins je contrôlais mes organes, je ne pouvais absolument plus resserrer mon sphincter à la vitesse où il le boxait et j’étais donc obliger de m’abandonner complètement aux mains médicales.

Après ce qui me sembla une heure de boxing sans interruption, le Dr Schwartz s’empara d’un instrument en forme de L métallique dont la plus large des languettes devait faire au oins 15cm de large. Un assistant vint lubrifier amoureusement l’instrument ainsi que le bras opposé de médecin. Le Dr introduisit alors cette languette dans mon « vagin », jusqu’au coude de l’instrument, sans grande résistance de la part de mon sphincter détruit. Il tira alors sur le manche pour ouvrir bien grand mon orifice. J’étais écartelé, mais après le traitement précédent, mon corps n’avait plus qu’une envie : s’ouvrir encore plus grand. Le Dr Schwartz introduisit alors sa main lubrifiée dans mon « vagin » avant d’enfoncer lentement, son avant-bras puis son coude et enfin son bras ganté dans mon pauvre boyau. Je sentais le corps étranger recouvert de latex s’insinuer au plus profond de moi. La sensation était comparable au produit que j’avais avalé plus tôt : une tension extrême qui dilatait mes boyaux à leur maximum. Je poussais comme un fou sur tous mes muscles périnéaux pour faire ressortir le monstre de latex ce qui ne faisait que faciliter sa progression. Je hurlais comme bête en pleine charge. Le Dr s’exclama : « Appréciez mes chers confrères la profondeur que nous pouvons atteindre chez ce sujet, son anatomie s’est remarquablement adaptée à mon extrémité. Il est important de développer aussi la profondeur des sujets choisis car le mannequin possède une longueur significative à laquelle le vagin de vos sujets doit pouvoir s’adapter ». Joignant le geste à la parole il enfonça encore plus son bras, pratiquement jusqu’à son aisselle, dans mes tréfonds, m’arrachant un dernier hurlement. Il retira enfin progressivement son bras de mon colon. La sensation de pression diminua également progressivement m’arrachant un soupir de soulagement.

La prochaine étape consista en un travail au speculum. On apporta un énorme speculum à 3 branches qui devait être destiné à des animaux imposants comme des bovins ou des chevaux. Le Dr introduisit lentement tout l’instrument dans mon « vagin ». Le simple fait d’introduire l’appareil en entier étirait déjà ma « vulve » à son maximum. Puis le sadique commença à lentement tourner la molette du speculum qui écartait les 3 branches simultanément. Mon orifice se dilata très lentement mais sans aucune interruption. Je ne maitrisais plus aucune de ces parties de mon corps. Mon trou s’expandait, encore et encore, à l’infini, sans aucune intervention de ma part. La sensation n’était pas plus agréable que la précédente, je sentais d’abord une pression intense, puis une brulure atroce et enfin un déchirement sans fin. Je hurlais à plein poumon. Je voyais les yeux du Dr Schwartz sourirent pendant qu’il continuait de tourner cette diabolique mollette. Après une éternité de torture il s’arrêta enfin. Il inspecta avec une lampe torche métallique mon « vagin » qui était devenu un gouffre gigantesque puis il commença le pire traitement : il retirait, sans le fermer, lentement mais surement, l’énorme speculum de mon fondement. La sensation était à peine tenable, le frottement des branches de l’engin écartait toujours plus ma pitoyable « vulve » meurtris. Le dernier centimètre se retira puis le Dr confia en un éclair l’instrument à un assistant avant de plonger ses mains jointes dans ma « chatte » écartelée. La sensation fut énorme, je sentais mon « vagin » distendu à son maximum, écartelé sur chaque centimètre carré de son intérieur par les mains qui commençaient à tourner légèrement. Il commença une rotation légère, d’un côté puis d’un autre avant d’amplifier le mouvement encore et encore. Je n’en pouvais plus, je n’avais même plus la force de gémir.

Le Dr Schwartz ordonna alors : « Il est temps d’introduire le mannequin, nous allons sédater légèrement le sujet avec un gaz anesthésiant pour que l’expulsion soit la plus réaliste possible ». En même temps qu’on m’annonçait la nouvelle, des mains gantées s’approchèrent de ma tête déjà attachée à la table et un masque en plastique épais fut plaqué sur ma face. Je n’eus même pas le temps de comprendre la manœuvre que je sombrais rapidement dans un demi sommeil, comme lors d’une sieste au soleil, dans un état de demi conscience. Je sentis une pression sur ma « vulve » mais sans plus, le gaz me maintenait dans un état vaporeux et éloigné. On retira alors le masque de mon visage et les sensations revinrent progressivement à ma conscience. Je sentis une énorme masse logé dans mon « vagin », comme les mains du médecin mais en plus large encore et plus continu. Je me sentais rempli au maximum des capacités de mon ventre, prêt à exploser d’un instant à l’autre. Quand je reprenais rapidement conscience, je vis également mon copain s’approcher de moi maintenant en tenu de chirurgien verte. Il prit ma main et me sourit derrière son masque. Le Dr Schwartz s’adressa enfin à moi : « Il est temps mon cher d’expulser cet enfant de plastique, la tâche va être longue et douloureuse. Prenez de grandes inspirations, bloquez votre respiration puis poussez de toutes vos forces, sans vous arrêter, pendant au moins 60s ». Si tôt dit, si tôt fait, l’énorme pression dans mon ventre m’ordonna de me mettre au travail dans l’instant. Je suivais les conseils de Dr et je commençais à pousser sans délai et sans interruption. Ce faisant, le diamètre du nourrisson qui dilatait ma « vulve » s’agrandit m’arrachant un cri de douleur et stoppant mon effort. Le Dr et mon copain commencèrent alors à m’encourager pour pousser encore, et encore. Chaque effort écartait ma « chatte » un peu plus et intensifiait la douleur, je me sentais déchiré en 2. Malgré tout, je continuais à pousser et arriva enfin le moment salvateur. En un éclair la sensation d’écartèlement céda et la tête fut expulsée hors de moi. Le Dr Schwartz saisit cette tête énorme et arracha lentement le nourrisson de mes entrailles. J’avais accouché.

Duguesclin

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