Premier épisode
Merci pour vos messages, remarques et commentaires !
J’avais donc pour la première fois une queue en bouche, j’avais attendu ca tellement de temps et le nombre de branlette en pensant à ce moment est incalculable (:
J’étais hyper excité et mouillait de partout. Ma bite était décalottée dans mon petit slip blanc et me faisait mal.
« Je vais t’apprendre à bien sucer salope »
Me faire traiter de salope m’excitait encore plus, je ne l’aurais jamais cru avant ce rencard.
« Lèche bien mon gland et caresse mes couilles doucement ».
Je léchais avec le bout de ma langue son gros gland bien rouge et odorant déjà bien humidifiée par la salive que j’avais déposée. J’essayait de faire le tour avec ma langue et je l’endentais soupirer « t’es douée ma pute, tu vas faire des mecs heureux avec ta bouche et tes lèvres »
J’avais pris en main ses boules lourdes et grosses complètement rasées, et je jouais avec.
Pas très bien apparemment..car d’un coup sec il tira mes cheveux en arrière .
« Fais doucement ma pute, tu me fais mal ».
J’étais tellement excité que je contrôlais plus grand-chose, ni ma bouche, ni mes mains.
« On va faire autrement ! lèches mes couilles, et doucement sinon t’en prend une ».
Sa virilité m’avait chauffée quand jetais monté dans sa voiture, et la, sa dureté me troublait, j’aimais qu’il me parle comme cela.
« oui, excuse-moi »
Je me remettais a lécher son gland, consciencieusement je titillait son frein, je faisait tout ce que j’avais lu dans le magazine que j’avais acheté.
Nouveau tirage de cheveux, plus fort ce coup-ci.
« Ce n’est pas ce que je t’ai demandé, lèche mes couilles et obéit comme la putain que tu vas devenir »
Ses yeux était planté dans les miens, j’étais a genoux dans la voiture sur le fauteuil de droite, le short baissé, et le slip prêt a craquer.
Je me sentais en infériorité et au fond de moi j’aimais vraiment ca.
Et bim, il fout une claque sans lâcher mes cheveux.
« Je t’avais prévenue ma pute »
La joue rougie, je restais sans voix quelques instants, j’était totalement perdu dans mes pensées. J’vais du prendre deux claques dans ma jeunesse.
Partir, continuer à le sucer et lui obéir, pleurer, je ne savait plus.
C’est lui qui fit le choix pour moi.
« Laisse mes boules tranquilles, je t’apprendrais ca plus tard. Suce ma queue, serres bien tes lèvres, je veux que ca soit comme une chatte »
« Fais la rentrer doucement et va le plus loin que tu peux ».
Sa bite avec cette belle veine qui partait de la base et qui était tellement gonflée, complétement décalottée tellement lui aussi était excité était grosse et longue. (Peut être la plus grosse que j’ai jamais sucée, et j’en ai pris plus d’une en bouche après ce jour la ( ;
Peut être 19 *5, droite .
J’exécutait son ordre et serrait mes lèvres pour la faire coulisser.
J’adorais cette sensation de sentir son gland d’abord, je refermait ma bouche dessus. Puis sa tige.
Arrivée à ma glotte, j’ai eu un relent, et j’ai voulu me dégager.
« garde ca en bouche ».
C’est lui qui imprimait le rythme. De sa main gauche il tenait mes cheveux et montait et descendait ma tête. Je me laissais complétement dirigé.
Il savait y faire le salaud car avec sa main droite il me caressait la queue a travers le slip. Cette première fois ou un homme touchait et malaxait mon slip m’électrisait et me faisait encore plus mouiller.
Mon slip était presque totalement mouillé de précum devant. Parfois, il serrait un peu sa main, j’aimais ca.
Je montait et descendait sur sa bite, j’aimais son gout, son odeur, le gout salé du précum qui sortait de son gland
« Tu vas découvrir la gorge profonde ! »
Il appuya ma tête complétement sur sa queue. Je toussais, j’avais envie de vomir. Les larmes au yeux, j’essayais de me sortir de la . je poussait sur mes bras. A ce moment-là une douleur horrible, intense et interminable me parcouru.
Il serrait fort ma queue et mes boules dans sa main. La douleur était insupportable.
« Arrêts t’es con ou quoi tu me fait mal ».
Bim, une vraie claque forte et lourde. Les larmes coulaient vraiment, ma joue était rouge chaude et je sentais mon cœur dans ma joue.
« Tu crois quoi putain ? »
On est au milieu de nulle part, et ca se voit que tu aimes être soumise. Tu vas devenir une vraie vraie chienne avec moi » Il avait un petit sourire sadique qui me fit peur…
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Legars
delalega90@gmail.com
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