Chapitre 1
Ça y est. Sac à dos bouclé. On passe me chercher dans quelques minutes. Départ pour une semaine de trek en Suisse. C'est mon meilleur pote qui organise cette semaine pour un groupe de 10 personnes, et c'est la première fois que je tente l'expérience.
Mon meilleur pote, c'est Enzo. Il est guide. On se connait depuis….pfiouuuu. Une sacrée paires d'années ! On en a déjà fait ensemble. Et non...jamais rien de sexuel. Mon meilleur pote quoi. Mon frère.
On se retrouve tous pour le départ. Je fais connaissance avec le reste du groupe. En tout, 8 mecs et 2 meufs.
Bon. On va pas là pour ça, mais les meufs, vraiment pas terribles hein. Et puis moi, c'est plutôt les mecs mon truc. Yacine, Gaël, Pat, Diego, Steph, Edward, Enzo et moi, Max. J'avoue que parmi eux, Yacine le rebeu et Edward... hummmm. Je risque de vouloir bien m'entendre avec eux.
Le trajet vers la Suisse est long, puis on commence par ½ journée d'ascension pour rapidement grimper en altitude et chercher les coins moins fréquentés.
Après 4 bonnes heures de marche, on arrive au premier refuge. Enzo nous prévient, ce sera peut-être le seul refuge du séjour qui offrira la possibilité de prendre une douche correcte. On s'organise. Pendant que certains filent déjà à la douche, je prends une bière au bar du refuge avec Enzo et Yacine. J'avoue tenter de la jouer un peu fine sur ce coup là... j'espère que Yacine va aller prendre une douche et que je me déciderai en même temps que lui.
Après 2 bières, bingo. Yacine annonce qu'il va aller se doucher, et je réponds que je vais suivre aussi. Je lui laisse quelques minutes d'avance en finissant ma bière et ma conversation avec Enzo, puis je vais chercher mes affaires et me dirige aussi vers la douche. Comme tout le monde à déjà pris la sienne, et qu'à part nous, il n'y à pratiquement personne d'autre dans le refuge, la douche ne devrait être occupée que par Yacine.
J'entre dans la salle d'eau. C'est une grande pièce qui comprend les lavabos à gauche, 2 WC au fond, et 2 douches face aux lavabos. A mon grand étonnement, les douches ne sont pas cloisonnées. Pas de cloison de séparation, pas de portes, pas de rideaux. Juste 2 espaces douches style italiennes. Et donc, ben oui, je tombe presque nez à nez avec Yacine, à poil, occupé à se frotter sous la douche. Je pose mes affaires sur l'espace lavabo et j'en profite pour le mater à travers le miroir.
Yacine se frictionne le corps, sans oublier aucune partie. Et au moment où je me dirige moi même vers les douches, je remarque, en espérant ne pas être remarqué, qu'il prend un soin particulier à se frictionner la queue, qui semble apprécier vu son état d'enflement progressif.
Elle est bonne, me dit Yacine, faut en profiter.
J'ai supposé qu'il parlait de la douche…
Ouais, on aura sans doute plus une telle occasion, je lui réponds…
J'ai supposé qu'il supposait que je parlais de la douche…
Alors que pendant ma douche, je me lavais l'entre fesses que je sentais hélas déjà commencer à s'irriter dû aux frottements, Yacine quittait la douche. C'est à ce moment que je remarquai une magistrale érection. Une inimaginable bite pointant vigoureusement vers le plafond, tandis qu'instinctivement, cette vue me poussait à me caresser les fesses de manière encore plus lascive en matant dans la direction de Yacine.
Mon instinct se réveillait-il déjà de manière impulsive et incontrôlée ?
Vraiment, j'espère que ce ne sera pas la seule occasion, me dit Yacine en se rhabillant avant de quitter la salle, me laissant à mes interrogations sur la signification de cette phrase…
Étape 2. Un gardien de refuge bien seul
J'avoue que ma nuit fut quelque peu agitée. Je pensai d'abord longuement à l'ambiguïté des propos de Yacine avant de m'endormir, avant que ces pensées m'accompagnent dans mes doux rêves, dans lesquels l'ambiguïté semblait avoir disparue au profit de mes fantasmes.
La deuxième journée de marche se déroula entre longues ascensions, descentes abruptes et petits passages techniques pour terminer en fin de journée dans un joli petit refuge à environ 2500 mètres d'altitude.
Relativement bien cramé après cette deuxième étape, j'arrive un peu à la traîne. Je m'allonge quelques instants sur un banc écoutant les 2 filles en train de glousser devant ce que j'ai supposé être le gardien du refuge. Après quelques minutes de récup, et énervé d'entendre ces jacasseuses pisser dans leur culotte en essayant d'attirer l'attention du gardien, je me lève et rejoints le groupe. Et là, j'ai compris. J'ai compris pourquoi elles paradaient tant les 2 autres. Le gardien était un jeune français aux style méditerranéen. Peau basanée, yeux noirs, cheveux ébouriffés. Une vraie perle montagnarde. Je m'approche, je m'installe. Nos regards se croisent. Il me sourit. Comme moi, il doit en avoir marre de les entendre.
La soirée se passe autour d'un bon plat régional, un bon verre... ou quelques bons verres. Fin de soirée, mon ami Enzo se lève pour aller régler l'addition.
Au bout de quelques minutes, il revient et me demande discrètement à l'oreille de le suivre dehors.
Max, me dit mon ami, on est un peu dans la merde. On a exagéré au niveau des boissons et on a une note salée. Si je paye ça, on va être short pour le reste de la semaine. J'ai essayé de m'arranger avec le gardien, mais pas possible.
Je regarde mon ami d'un air étonné et désemparé.
Mais il m'a quand même dit qu'il y avait une seule solution pour régler ça, poursuite Enzo…
Je ne quitte pas mon air étonné et désemparé…
Le...gardien...propose...enfin, voudrait, enfin...il demande si tu peux le rejoindre près de la douche dehors pour lui donner un coup de main.
Je suis quelque peu intrigué, mais je n'ai pas l'habitude de refuser un coup de main, encore moins si c'est pour sortir mon meilleur ami d'une situation délicate.
Je sors, me dirige vers le coin douche, qui se trouve à l'extérieur un peu à l'écart. J'entends l'eau couler. J'ouvre la porte, passe la tête...et tombe nez à nez avec le gardien, à poil, tout ruisselant.
Entre me dit-il. Ton copain m'a dit que tu pourrais me donner un coup de main pour payer votre dette, ponctue t-il en me lachant son plus beau sourir, sa queue en main, déjà bien raide.
Évidemment, de prime à bord, j'avais pas pensé à ce genre de coup de main...je reste inerte...mais le gardien ne me laisse pas le temps de gamberger, il m'attrape par le bras, m'attire vers lui, et, tout en plaquant ma main sur sa queue, me chuchote à l'oreille...ton pote t'a donné à moi toute la nuit. Tu vas payer la dette de tout le monde. Mets toi à genoux et goutes à ma queue mon mignon. Tu me fais bander depuis que tu es arrivé...
Maxfly76
maxfly76@hotmail.com
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