Salut à tous C’est ma première histoire. Soyez indulgent. Je me suis déjà branle en lisant les votre. Alors vu ce qu’il m’arrive, je me lance à mon tour
Me présente Marc, 22 ans 187 cm 85 kg car assez musclé surtout cuisses épaisses et biceps. Blond et très poilu Je tiens des origines nordiques de mon père. J’ai les cheveux longs ça renforce le coté viking. Par contre les poils c’est plutôt un duvet très clair.
Aviron , rugby et muscu. Enfin la muscu c’était un peu au club de rugby on a un petit local mais depuis quelque temps, un à la fois...Covid-19 oblige. Et en plus comme je viens de bouger, je cherche un club de rugby et un club d’aviron...).
En fait, je crois que j’ai toujours été attiré par les mecs. Mais je ne sais pas pourquoi , quand une occasion se présente ça colle pas. Soit c’est un hetero et c’est raté soit c’est moi qui a pas envie. Bref à 22 ans je suis bourré de testostérone, me retiens tout le temps de me branler mais suis toujours puceau. Je compense par le sport.
Je viens d’être embauché par une boîte qui m’a envoyé dans un de ses sites dans le Nord pour mon premier job. J’ai voulu prendre un meublé surtout que pas facile en ce moment les visites et pas facile avec un cdd en poche.
J’ai trouvé sur un site d’annonce bien connu un petit meuble une chambre cuisine. Le proprio me dit au téléphone : vous avez l’air encore jeune? Je donne mon âge, dis que suis très sportif et pas mal de boulot donc je ferai pas le bazar. Il me répond : pas de soucis. Il y a plusieurs appartements. En ce moment, dans l’appartement du rez-de-chaussée, il y a trois ouvriers qui bossent sur un chantier, vous verrez ils sont sympa.
Rendez-vous pris le soir de la prise de mon boulot, je rencontre le proprio en bas du petit immeuble en train de causer et de rire avec trois beaux mecs. Des armoires à glace, les mecs du chantier. Je saurai plus tard que ce sont deux portugais et un polonais. Les deux portos assez différents, l’un grand, musclé rond, poilu lisse, cheveux ras un peu dégarni, gueule de pervers hyper sexy. L’autre plus petit et trapu, cheveux et poils boucles, allure presque brutale, puant la testostérone. Ils sont tous deux en shorts trop petits pour leurs cuisses épaisses. Les pecs sortent presque de leurs marcels blancs.
Le polonais est plus grand, plus mince mais tout en muscles, torse nu dans un bermuda de jean. Des tablettes de chocolat ! Assez souriant. Je peux pas m’empêcher de mater leurs paquets qui semblent à l’étroit dans les shorts.
Le proprio est un super bogosse maghrébin, un pacha, 35/40 ans, aussi grand que moi, physique plus fin, barbe de trois jours, un cul bien moulé dans un pantalon de costard, chemise ouverte sur des pecs poilus hyper développés. Lui aussi, son paquet est mis en valeur, bien moulé dans le pantalon. Il a l’air d’une longueur impressionnante. J’ai l’impression que la queue descend le long sa cuisse.
Je crois qu’il a surpris mon regard. Il me fixe. Je me sens gêné.
Après des rapides présentations, il me montre un local laverie ou je mate un sac d’où s’échappe une bonne odeur de sueur et de mec. Sans doute le linge des ouvriers du chantier.
Puis il m’emmène vers mon appartement à l’étage. Je le suis dans l’escalier le nez sur son cul.
Entre les ouvriers du chantier qui ont des airs de bêtes de sexe, toutes ces odeurs de mecs et le cul bien musclé dans le costard du proprio, je bande comme un dingue et me dit que mes 20cm épais vont se voir dans mon jeans !
Arrivés dans l’appart, le proprio me le montre, on signe l’état des lieux et je paie le loyer et la caution. Mais cette fois c’est lui qui jette un coup d’œil sur mon paquet a deux trois reprises: -Tout va bien jeune homme? Ils sont sympa les ouvriers n’est-ce pas ? - Heu oui, oui ils ont l’air.
Une fois parti, je suis tellement chaud, me branle dans mon slip plus très blanc après la journée de boulot.
Mais il faut s’occuper des choses pratiques. Je descends à la laverie avec mon linge du jour et mon petit slip plein de sperme. Le sac a disparu mais il y a une machine qui tourne. En mettant le mien dans l’autre machine à laver, je vois un boxer gris tombé au sol derrière. Un coup d’œil derrière moi...et je plonge vers ce boxer. Il sent la sueur, un peu la pisse et huum... mais le mec s’est branle, ça sent la bonne crème de mâle et le devant à des traces blanchâtres
Je cache ça dans mon jean et remonte me faire un petit plaisir. J’ai snifé un bon moment ce super boxer gris tout distendu par le colosse qui s’en sert manifestement aussi pour s’essuyer la queue...et, fatigué de ma première journée de boulot me suis endormi après deux trois bonnes branlettes.
Les choses se sont gâtées le lendemain....
De retour du boulot depuis à peine 5 mn, j’entends cogner à la porte et presqu’aussitôt voit entrer mon proprio toujours aussi bogosse dans un pantalon de costard bleu lui moulant la queue et le cul, chemise blanche prête à exploser sous ses muscles...
Bonsoir. Vous n’avez rien pris par erreur à la laverie?
Devenant tout rouge, je dis non....mais à ce moment mon regard voit le boxer sur le lit et le proprio, suivant mon regard, le voit aussi...
Dis donc toi, que les mecs t’excitent c’est ton problème, mais tu vas pas mettre le bordel. Il n’y a pas de voleurs ici!
Excusez-moi je vais vous expliquer....
Tu vas t’expliquer avec les flics petite fiotte...
Non non faites pas ça !
Le proprio me regarde durement et me prend par la nuque - dis donc tu me coupes pas la parole !
S’il vous plaît !
Sa main serre ma nuque, il attrape le boxer et le sent : cette petite salope s’est branlee! A moins que ce soit la mouille de ta chatte de fiotte! Fous toi à poil
Cela tombe comme une claque J’essaye de reculer. Mais enfin ça va pas !
Écoute tu obéis sinon j’appelle les flics
Je me déshabille lentement....plus vite salope me jette le proprio en retirant sa ceinture
A quatre pattes sur le lit!
Il s’approche le long du lit. Mon visage est à hauteur de son paquet.
Me tenant toujours par la nuque d’une main, de l’autre il abat l’un après l’autre des coups de son ceinturon sur mon cul. Je sens son odeur de mâle près de mon visage et je frissonne de douleur. Mais il monte je ne sais quel désir au fur et à mesure que s’abattent les coups. Tout se desingue dans ma tête...Cette situation nouvelle m’excite J’ai mal mais je voudrais que cela continue, qu’il reste près de moi.
Les coups cessent
-tu ne bouges pas
Il s’assoit à la tête du lit, passe une jambe entre mes bras. Je sens le bout sa chaussure pointue qui cogne brutalement ma queue....et je réalise que je bande comme un ouf!
-tu es vraiment une chienne, ça t’excite qu’un vrai mec s’occupe de toi?
-répond ?
-allez, dis le moi que ça t’excite
-excusez-moi, oui cela m’excite
-allez-y, continue
-oui ça m’excite que vous me frappez
-oui je me sens une chienne...
Je sens alors ses deux doigts se saisir de mes tétons. Il tire d’abord doucement puis les tourne doucement. La sensation est excitante. Il recommence un peu plus fort, mais à peine. Je sens ma queue de plus en plus tendue. Il recommence à nouveau. Cela devient douloureux. Mais la douleur accroît encore mon excitation. De la mouille doit couler de ma queue.
Puis il tourne et pince encore plus fort. Cela fait mal. Je commence à gueuler
-tut tut tut je veux pas t’entendre Tu voudrais pas encore me décevoir
et il tire les tétons vers le bas. J’ai très mal. Cela devient insoutenable. Il poursuit sa torture mais je me retiens de gueuler. Instinctivement je plonge mes yeux dans son regard qui me domine. Et alors je ne sais plus ce qui est le plus fort, la douleur ou l’excitation. Je bande comme j’ai jamais bandé. Je sens ma queue qui mouille. Voudrais juter tant je suis excité.
Il tire un peu vers lui les tétons en me relevant le visage vers le sien comme s’il allait m’embrasser. Je suis au comble de l’excitation, ouvre les lèvres pour l’embrasser. Ses lèvres se rapprochent mais ne me touchent pas. Je le supplie du regard.
Et je prends alors un coup d’une de ses chaussures sur les couilles et pousse une cri. Il tire encore un peu plus sur les tétons
-chut
Sa langue mouille mes lèvres, mon menton, mon cou. Son coup de pied se poursuit de petits tapotements dans les burnes. Doucement cette fois. J’essaie de me détendre pour mieux supporter la douleur. Instinctivement je cambre mon cul
-ouvre tes cuisses, montre moi que tu es une chienne
-voila c’est bien... et en me tordant et tirant encore un peu plus les tétons sa langue envahit ma bouche. Il me baise la gueule avec sa langue. Je suis fou de reconnaissance et bande toujours plus. Je découvre le plaisir d’avoir mal pour montrer à boss que je me livre à lui.
Il cesse de m’embrasser et me torturer les tétons. Me regardant comme une merde, il m’envoie un mollard dans les yeux et commence à donner de grandes claques sur mes tétons. J’hurle...et me prend une grande baffe
-qu’est-ce que j’ai dit?
-excusez-moi
-comment ?
-excusez-moi moi boss
Il sourit et me claque à nouveau les tétons.
Maintenant tu dois avoir ta punition pour avoir volé le slip.
Il me lève.
-defait tes lacets
Il m’attache les mains au montant d’une étagère murale
-écarte bien les cuisses montre ta chatte chienne
Il reprend son ceinturon et la les coups pleuvent. Je dois les compter et à chaque coup demander un de plus. Je défaille sous la douleur. Il me détache s’approche et me donne le boxer gris. Tu le porteras jusqu’à ce que je revienne. Interdiction de te branler. Je vais essayer d’arranger les choses avec Pedro...
Runsocksex
marco6215@icloud.com
Autres histoires de l'auteur :