Premier épisode
2 | Les autres jumeaux
Théo :
N'étant pas de la ville, les jumeaux disposent d’un appartement pour leurs études. Deux chambres donnant sur un séjour cuisine par lequel nous entrons. On se met à l’aise (à poil en fait). Ils nous expliquent qu’ils ne baisent pas toujours à 2 les mecs qu’ils ramènent même si souvent ils se les échangent en cours de nuit ou de baise. On rigole que c’est ce que nous faisions avec les meufs du lycée.
Du coup on est questionné sur nos relations homos. On leur explique que ce déplacement a été l’occasion de sortir de notre microcosme et de tester d’autres queues que les nôtres. Ils avouent qu’eux aussi avaient mis du temps à oser draguer des mecs et que s’il s’était entre-dépucelés tôt, ce n’était que quelques années plus tard qu’ils avaient baisé avec un autre mec. Mais depuis ils s’étaient bien rattrapés.
On apprend qu’eux aussi s’était fait le coach mais 2 ans plus tôt et qu’ils continuaient encore à baiser avec lui. Surtout que c’est un grand amateur de leurs deux queues réunies. Léo demande des précisions : double sodo ? Réponse : oui ! Ha, Ha la prochaine fois c’est lui qui y passera 😉
En attendant nous sommes 4 beaux mecs à poil bandant comme des oufs. Avec leur mètre 80, ils nous dominent de 5cm. Invités nous nous laissons guider par nos hôtes. Ce coup-ci ce sont eux qui nous sucent. Ils sont aussi bon que nous à ce petit jeu et nous pompent en intégralité dimensionnelle. Ils ne perdent pas le nord car je sens mes fesses pétries par les mains et les doigts de mon pompeur s’enfoncent entre elles pour me titiller la rondelle. Je ne compte pas n’être que passif cette fois. Je me penche, fait courir ma main le long de sa colonne vertébrale et croche à mon tour son anneau. Belle contraction anale qui me rassure quant au plaisir à venir que je pourrais retirer de son enculage. J’ajoute un deuxième qui entre tout aussi aisément et qui se retrouve tout aussi retenu par sa contraction. Je tire mon bras vers moi. Karl déplie ses jambes et me pompe maintenant, plié en 2. Je le laisse me sucer encore mais salive mes doigts pour le préparer. Pas de refus de sa part. Quand je le sens prêt, je recule. Il s’accroche au dossier du canapé et je fais le tour pour l’enculer. Ses belles fesses bien rondes des muscles travaillés, je les ouvre. Sa rondelle que je vois pour la première fois est nickel. Pas un poil, le plissé est serré, miam !!
Je crache dessus avant de poser mon gland. Alors que je me demande si je ne vais pas en rajouter, Karl recule violemment et absorbe ma queue. Alors qu’il râle, je le termine et envoi le reste, soit bien 10cm. Claquement de mes hanches sur son cul. J’y suis allé de si bon cœur qu’il avance d’un mètre et que je le plaque au canapé.
A nos côtés, Charles exige la même prise de mon jumeau. C’est chose faite quelques secondes plus tard. Epaule contre épaule ils se roulent des patins. Je fais de même avec Léo alors que leurs rondelles se font à nos queues et leurs diamètres. Puis, sans violence mais avec fermeté, nous les baisons comme nous l’avons été quelques heures plus tôt. Ils kiffent autant que nous. Ce sont deux purs recto/verso. Nous jouons d’eux et de leurs rondelles jusqu’à ce que les nôtres nous démangent. Comme ils bandent comme des taureaux, ça devrait le faire !
Leurs bites sont équivalentes aux nôtres à quelques détails près. Elles sont circoncises, et accusent une très légère courbure vers le bas, ce qui est plutôt agréable et facilitant quand on les suce à genoux. Pour la sodo de face ou en levrette cela n’a que peu d’incidence.
Karl se « venge » et m’encule avec force et endurance. Son gland plus « champignon » que les nôtre fait merveille dans mon trou. J’adore quand il cherche à sortir complètement et que je serre ma rondelle pour le contrer. Quand il y arrive la contrepression excite ma rondelle encore plus. Quand il me tourne sur le dos après m’avoir bien labouré en levrette, il s’écrase sur moi pour me rouler un patin. C’est notre premier ensemble. Précédemment sous les douches, nous étions tous passé direct : pipes et sodos.
L’avantage de la pratique de la gymnastique c’est que les grands écarts faciaux ça facilite le rapprochement 😊. Sans douleur (pour moi) il plaque mes chevilles au sol. Mes couilles et ma bite sont écrasés entre nos abdos. La légère douleur qui remonte de mes deux couilles participe au plaisir qu’il me donne. Sans cesser de pilonner mon cul, on se roule une pelle d’enfer. Pas de doute il sait y faire lui aussi. Je montre que nous non plus ne sommes pas ignare de la chose !
Je ne vois pas ce qui se passe à côté de nous mais les bruits, cris, gémissements qui nous parviennent prouve qu’ils prennent aussi leurs pieds
Baiser avec une autre paire de jumeaux ajoute au plaisir psychologique. C’est encore meilleur qu’avec le coach alors même que la queue qui me fouille les entrailles n’est pas plus longue et guère plus large que la sienne.
Dans un grand cri qui doit alerter tout le voisinage il se vide les couilles dans mon cul alors que la pression que je mets pousse mon sperme jusqu’à nos visages. Karl ramasse ma production avec sa langue et nous nous roulons un patin de la mort. Il s’écroule sur moi épuisé par ce dernier effort.
Léo est en position inversé avec Charles. C’est lui qui encule. Charles apprécie et confirme que mon frère est bien au fond de lui en ponctuant les blocages d’un « han » qui monte dans les aigus jusqu’à ce que, sans se toucher, il lâche un geyser de sperme. Léo se fait bloquer par les spasmes anaux ce qui le fait jouir à son tour. Quand il s’écroule sur Charles, il me regarde.
On s’est compris, avec ces deux-là nous voulons aller plus loin.
Douches et ils nous raccompagnent chez nous. On discute. Eux aussi sont partant pour que nous gardions un lien privilégié. Sans s’interdire aucun plan externe c’est évident. Nous sommes trop jeunes pour s’enfermer dans une relation exclusive. Il y a trop à essayer 😉.
Ils nous avouent qu’eux n’ont qu’un an d’avance sur nous. Ils nous confient qu’ils ont évidemment baisé avec le coach et le préparateur physique. Ce dernier est à essayer car TBM. Plus que les 23x6 de Maté. Mais il ne se fait pas enculer à l’inverse de Quentin notre coach. Avec les 4 autres du club que nous avons essayés cet après-midi même. Pour le reste, ils se sont payés le plus jeune de leurs oncles.
Je demande l’âge de ce dernier. Ils ont commencé avec lui les expériences hors gémellité et continuent encore à ce jour avec lui. De 6 ans plus âgés qu’eux, il a maintenant 24ans.
Et après ce sont les occasions qui se sont présentées. Des plans « aire d’autoroute », sauna, boites de nuit et même vendeurs de magasin de vêtements. Avant le COVID, ils s’étaient fait deux mecs de leurs terminales du lycée.
OK ils sont bien en avance sur nous pour qui ce WE venait d’être le commencement de nos expériences hors cellule fraternelle !
Le retour à la maison avec 2 bonnes heures de retard ne se fait pas sans casse.
Sermon sur la nécessité de prévenir, obligation d’explications…
En même temps Léo et moi expliquons que nous avions saisi la chance de baiser avec un autre couple de jumeaux, ce qui expliquait le retard et notre fatigue en plus de celle d’avoir gagné notre niveau du régional.
Notre père retient la dernière assertion, nous félicite et part chercher le champagne. Notre mère elle ne retient que « jumeaux ». Elle nous questionne « jumelles ? ». Nous « non jumeaux ! Nous sommes Bi tendance Homo ». Son « j’en étais sûre » accompagne le « je le savais » de notre père revenu sur ces entre-faits.
Il fait sauter le bouchon et fête notre victoire et notre coming-out. Grosse surprise pour nous deux. Ils avaient cessé de nous « chercher » ces trois dernières années et nous avions pris cela comme un désintérêt de notre cas vu ce que nous leurs avions fait avaler comme couleuvres à combattre leur volonté de nous différencier. En fait ils s’étaient fait une raison et avaient suivi discrètement notre essor. Papa nous avoue nous avoir surpris plus d’une fois en train de faire l’amour entre nous. Il nous avait trouvé très beau dans l’action.
Puisque c’est l’heure des aveux, nous les informons que nous aussi on les avait vu faire l’amour ensemble. Ça aussi ils le savaient, nous n’avions pas été de plus discrets à nous branler dans le couloir !
Maman insiste pour savoir si les filles, pour nous c’est définitivement non. Léo explique que tant qu’a faire l’amour avec des meufs autant le faire avec des femmes expérimentées comme sa copine car avec celles de notre âge c’est limité comme plaisir. Maman ne tique pas en entendant le prénom de son amie. Elle la sait très portée sur la chose comme elle le dit.
Papa nous avoue que la montée de notre sexualité même gémellaire a relancé la leur qui commençait à peiner. Et de nous expliquer que quand ils s’étaient connus, notre mère et lui, ils ne se contentaient pas de baises classiques. Les clubs échangistes et les sites de rencontre leur permettaient de diversifier leurs pratiques sexuelles. Papa va même jusqu’à nous dire qu’ils étaient à l’époque tous les deux Bi.
Là il nous étonne un peu. Jamais nous n’avions pensé cela de nos parents. Même avant que la puberté nous mette des pensées « impurs » (lol) dans nos têtes.
Ils avaient pensé qu’après notre naissance, ils devaient se « ranger ».
Léo et moi les encourageons à recommencer leurs rencontres. Si cela se trouve il y en aura avec qui nous aussi nous auront envie de baiser ! Maman se choque de mes propos alors que Papa en rit.
Conclusion de notre WE : nous sommes autorisés à baiser mais en faisant attention à qui et toujours avec des pratiques safes.
Cette discussion nous a rapproché tous les 4. Papa est devenu plus un pote même s’il n’est pas question de relâchement question études ! Mais ses seulement 20ans de plus que nous et son physique qui n’en parait que 15 vu le volley qu’il pratique lui aussi en club en ferait presque un grand frère. Question sexe plus de tabou. On en parle librement. Nous des plans que nous envisageons de faire et eux de leurs expériences passées. Enfin surtout Papa ! Nous les poussons à retrouver leurs 20ans et les pratiques qu’ils avaient alors.
Quelques jours plus tard nous sommes surpris de voir que notre père s’est épilé le torse. C’est dimanche et nous sommes dans notre piscine en maillot de bain. C’est pas qu’il en avait beaucoup, de poil sur le torse, mais quand on lui en fait la remarque, il nous avoue avoir toujours préféré être épilé.
Léo lui demande s’il s’épile total. Papa nous répond que oui la bite est les couilles aussi. Notre mère aussi préfère quand il est imberbe.
Moi je lui dis qu’on garde un peu de poil au-dessus de nos bites mais que partout ailleurs aussi on épile et rase tout. Du coup on sort tous les trois de l’eau et abaissons nos maillots pour comparer.
Papa est plus grand que nous en taille générale 1m85 et en taille de bite au repos. La sienne arrive au tiers de sa cuisse mais je la suspecte d’être déjà un peu gonflée. Nous comme d’hab.
Comme il est musclé sec, le fait de ne pas avoir de poil du tout autour de la bite, lui va bien et fait finalement assez naturel. Même plus naturel que nos deux touffes de poils maitrisés. Quand on lui en fait la remarque il nous dit que nous devrions rester comme cela au risque de faire prépubère malgré notre musculature au-dessus du commun des mecs de notre âge.
On remonte nos slips quand maman arrive et nous demande ce que nous faisions. Papa explique. Elle nous dit sans gène qu’elle aussi est aux abonnés absents coté poils. A y regarder de près, ce que nous n’avions jamais encore fait, c’est même évident. Le tissu de son maillot 2 pièces, une fois mouillé, colle sa chatte comme une deuxième peau et sa surface ne montre aucun relief autre que ses grandes lèvres. Elle avoue qu’elle s’est remise « à blanc » avec notre père.
Théo & Léo
uriel72@outlook.fr
Autres histoires de l'auteur :