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Tilian Escort -2
Après son évaluation/formation/test concluant de la pratique de la gorge profonde, il nous reste la préparation anale.
Même si cette dernière a été limitée à un gode de 23x4 par décision du client, il ne faut pas la bâcler sous peine de douleurs inutiles. Il lui suffira bien d’avoir à se prendre 3cm de longueur en plus et 1cm de diamètre !
Sa réputation est déjà faite concernant ses capacités orales. João et Issa se sont chargés de lui faire la pub. Mes autres escorts et même mes maris attendent avec impatience qu’il en ait fini avec sa première prestation pour l’englober dans nos touzes.
Mais c’est avec bienveillance et Tilian ne se sent pas « bête curieuse » quand il vient s’entrainer sur les bancs de muscu ou au dojo.
Au dojo où il a vite pris ses marques, il progresse rapidement. Je pense qu’il nous a minoré son « entrainement de rue ». Casier judiciaire vierge et inconnu des services de police ou de « RG », sans avoir le temps d’implanter une taupe dans son quartier, les renseignements sur son « intimité » pêchent.
Quand je lui en parle il m’avoue avoir édulcoré cet aspect de lui. Il a eu peur que je l’éjecte si je savais. Depuis, avec ce qu’il avait entendu de ci de là, il s’est aperçu de son erreur et m’explique s’être entrainé discrètement avec un des caïds qui l’avait à la bonne mais me jure qu’il n’avait jamais trempé dans un trafic quelconque. Ce dernier s’étant fait descendre, plus personne hormis moi est au courant de ça.
Quand je lui demande pour les armes à feux, il m’avoue viser plutôt correctement au pistolet et plutôt bien au fusil à lunette.
Ça lui vaut un passage à la campagne pour prouver ces dires. Chez Côme, il y a la place, la discrétion et les armes aussi. A l’initiative de Dylan (notre responsable du Haras), lui aussi plutôt à l’aise avec les armes à feu et de mes « Agents spéciaux » Jona et François, une carrière située sur les terres familiales sert en plus maintenant de stand de tir.
Dylan nous rejoint quand je débarque avec Tilian. Le courant passe dès la poignée de main. Je pense qu’il reconnait en mon dernier escort un jeune homme au parcours proche du sien. François est là, lui aussi intéressé et en mission pour DGSE leur recruteur.
Passé par le manoir, il ouvre son coffre et présente toute une panoplie d’armes de poing et de fusils. Beretta 92, Glock 44, Desert Eagle et Taurus, il a le choix des pistolets semi-automatiques. Coté carabines, du modèle de chasse au gros gibier aux dernières des snipers de l’armée française et américaine, il va pouvoir nous montrer ses compétences.
C’est toujours surprenant de voir un homme maitriser son sujet. Après les avoir inspectées du regard, il les a prises en main et vérifié les crans de sécurité, l’absence des chargeurs et de balle dans les canons. Je jette un coup d’œil à François et Dylan. Ils sourient content de ce premier réflexe.
Un pas de tir à 5 et 10m est utilisé pour les tirs d’armes de poing. Tilian est modeste car aux deux distances, il met dans le mille et dès les premiers tirs !
Pour les tirs aux fusils, la carrière permet jusqu’à 200m et une laie en ligne permet encore plus d’éloignement. Au 2ème carton, à 200m il arrive à placer toutes ses balles dans le cercle noir de 5cm de diamètre. En tir couché il est encore plus précis. Même François est impressionné.
Le client m’appelle pour fixer son WE. J’accompagne mon dernier escort. Dans la voiture je le sens stressé et fait de mon mieux pour le calmer et dédramatiser. Il craint de ne pas faire l’affaire et d’être bloqué au moment crucial.
Du coup je descends de voiture avec lui et vais le présenter personnellement.
Le client est ravi de cette marque d’attention auquel je ne l’avais pas habitué. Il m’offre et insiste pour que je rentre prendre un verre (nous sommes le samedi à19h).
Il commence par me remercier pour les services que rend ma société. S’il apprécie les prestations de type « direct », il use aussi largement des compétences d’escort pro en commerce, marketing ou même des capacités d’analyse de mes élèves ingénieurs.
Tilian intervient qu’avec lui et son Bac Pro ébénisterie il devra se contenter du sexe.
Je n’ai pas le temps d’intervenir que le client l’assure qu’intelligence et niveau d’étude ne sont pas 100% corrélés. En riant il ajoute, « même si depuis que tu es entré dans la maison j’ai envie de te voir nu ».
J’écluse mon verre et lui dis qu’il n’aura qu’à me téléphoner demain pour que je vienne le chercher.
Tilian :
Sasha vient juste de passer la porte. Quand le client revient je vois ses yeux briller d’envie. Je suis sûr d’être un peu empoté mais je commence soulever mon polo. Le client arrive près de moi et retient ma main. Il me dit qu’on a tout le temps devant nous. Il me pousse et on s’assoit. Quelques questions sur moi. J’avais révisé avec Sasha sur ce que je devrais dire. Je reste vague sauf sur mes études.
Il se lève et je fais de même. Il s’approche et penche un peu la tête pour venir m’embrasser. Il les écarte et je sens sa langue passer entre. J’entrouvre la mâchoire. Sa langue pénètre ma bouche et l’envahie. Elle ets plutôt longue et grosse. J’imagine déjà s’il me fait le cul !
Là, il prend possession de moi. Collés, je sens sa queue grossir et s’allonger contre ma cuisse. Son gland stoppe juste au-dessus de mon genou ! Gloups !
Je me recule et vois sa queue tendre son pantalon large sans pouvoir remonter. Moi ma queue part sur la gauche et elle tend bien le slim que j’ai sur les fesses.
Alors que je vais pour m’agenouiller devant lui, il me retient et soulève mon polo. Les muscles gonflés d’une bonne heure de muscu avant de venir, il apprécie le tableau. Ses mains courent sur ma peau, enveloppent mes pecs, comptent mes abdos avant de passer dans mon dos et de descendre sur mes fesses.
Ses mains glissent entre le slim (pas de ceinture), le shorty et ma peau. Elles sont grandes à couvrir chacune de mes fesses.
Ile me roule une nouvelle pelle. Je sens ses poignets tenter de descendre mon jeans mais la barre que j’ai l’en empêche. Rapidement, je déboutonne, le zip s’ouvre sous la sollicitation postérieure et me retrouve nu jusqu’aux genoux la queue collée à mes abdos.
Je commence à le déshabiller. La veste tombe facile mais je galère avec les boutons de sa chemise. Il la prend en main et arrache ceux je n’arrivais pas à défaire. Il s’abaisse et sa langue vient titiller mes tétons. Bien dégagés depuis l’épilation, ils sont déjà tout raide d’excitation. Sa langue joue avec avant que ses dents y impriment quelques petites morsures qui me font autant d’à-coup de sang dans ma bite. Avec le menton sur mon gland, il se rend bien compte de l’effet que cela me fait.
Il se penche un peu et ses grosses lèvres englobent mon gland. Putain du velours ! Sa langue lèche, tourne autour, passe sous ma couronne avant de revenir tester la tension de sa peau. Il s’en occupe un petit moment avant de me prendre par surprise. Il plonge et m’avale entier, bon c’’est vrai aussi que je n’ai que 18cm de queue. C’est plus facile pour lui que pour devant ses 26cm à avaler 😉.
Son menton écrase mes couilles venues se coller à ma queue. Il avale, dégluti et je dois me concentrer pour ne pas lui gaver l’estomac !
Je le repousse et il finit par se laisser faire. Je le relève et m’occupe de lui. Ceinture débloquée, bouton ouvert et zip descendu le pantalon ne tombe pas comme sa largeur devrait le laisser faire. Sa queue sortie de son caleçon retient le tissu. Ma main droite plonge le long du tube de chaire et le repousse contre sa cuisse. Le pantalon tombe enfin. Je relâche, sa queue se relève remontant la jambe du sous vêtement. J’admire surtout quand elle se met à la verticale à 2/3cm de ses abdos !
Il sort les pieds du pantalon dégage ses chaussures et ses chaussettes. Plutôt que de descendre avec difficulté son caleçon coincé par sa queue, je lui montre ma force en le déchirant à la couture. Son gland circoncis est tendu d’excitation. Timidement j’y pose ma langue. Sans l’imiter je laisse sur la peau un film de salive et sans le prendre encore en bouche passe ma langue sous la couronne qui est plus prononcée que la mienne. Pas de prépuce et quelques cm de peau plus claire (1/4 environ) débutent la hampe qui le soutient. Je me concentre sur le gland. Je pinte ma langue et pousse sur son trou qui est plutôt balaise rapport à ceux que j’ai pu voir. Il me laisse apprivoiser la « Bête ». Je tease ! Je passe du temps sur son gland et ce n’est qu’après l’avoir totalement apprivoisé que je me penche et gobe le reste. Enfin presque tout car à genou, et avec la rigidité de sa bite j’en laisse à l’air libre !
Je me recule et me jette sur le canapé, dos sur l’assise, jambes contre le dossier et surtout tête bien libre. Le client pige de suite et s’agenouille à me tête. Je récupère son gland et prend ses fesses en main pour gérer la pénétration de ma gorge. Dans cette position j’avale sans problème les 26x6 d’Issa. Donc ses 26x5 ça devrait le faire et ça le fait !
Lentement j’attire son bassin vers moi et je sens son gland envahir ma bouche, pousser ma glotte et entrer dans ma gorge. Ses couilles un peu lâches viennent me boucher le nez. Arrivé au bout, le client se penche en avant et m’enfile les derniers mm.
J’avale. Il se retire à toute vitesse. Je l’entends me dire que c’est trop fort trop vite.
Moi qui craignais l’inverse, ça me détend. Je recommence mais avec moins de voracité. J’ai de la chance d’avoir cette facilité à la gorge profonde. Sasha m’a dit que ce n’était pas le cas de tous ses escorts. J’y arrive facile et en plus j’aime ça. Autant de bonne raison de faire trainer les choses.
D’après les commentaires en live de mon partenaire, il kiffe lui aussi. Régulièrement, il dot se retirer complètement et faire descendre la pression. Des couilles car question sanguine ça ne mollit pas et son gourdin reste bien raide j’alterne donc avec ses couilles. Deux beaux œufs bien lisses qui malgré l’excitation pendent à 3/4cm sous sa queue. Son périnée est bien gonflé aussi et je n’hésite pas à mordiller le boudin. Il s’échappe vite en me disant de me calmer. Il me redresse et me roule un patin. Nos queues collées entre nous, mes 18x4.5 qui d’habitude m font honneur me semblent tout à coup ridicules. Il écarte son basin et sa queue vient pénétrer sous mes couilles. Je serre les cuisses et il commence un petit va et vient qui lui tire un peu de précum et lubrifie les surfaces.
Je le sens intéressé pour m’enculer. Il me repousse contre le canapé mais la j’y suis à genoux, les bras sur le dossier. Je me cambre et il vient me bouffer le cul. Comme je l’avais présupposé, sa grosse et longue langue fait trop du bien. Ses deux mains écartant mes petites fesses, il recouvre ma rondelle de salive. Sa langue me détend aussi bien que le poppers que m’a fait essayer Sasha et dont j’ai une fiole dans la poche de mon jeans.
Je la sens même entrer dans mon trou. Il pousse de la salive dedans et ses doigts viennent à l’aide pour en enfoncer plus profond. Je m’ouvre finalement assez facilement et rapidement il me met 2 doigts soit l’équivalent de 3 doigts de Sasha. Il relève mon bassin pour cracher dans mon trou ouvert pas ses deux majeurs. Sa langue vient de temps en temps assouplir mon anneau. Je me sens bien et en confiance vu la douceur avec laquelle il procède. Il ajoute un gel à sa salive et ses doigts glissent encore plus facilement. Il me travaille avec ses deux index et ses deux majeurs en même temps. Je ne débande pas. Ça j’avais un peu peur que cela m’arrive. Il glisse entre mes jambes et me pompe tout en me travaillant le cul. C’est à mon tour de lui dire d’y aller cool sinon je lui tapisse la gorge de mon jus.
Quand il se dégage je sais que c’est pour m’enculer. J’entends la capote claquer sur sa queue et aussitôt venir se poser sur ma rondelle. Je tortille du bassin pour centrer le gland et j’ai la bonne surprise de le sentir commencer à entrer. Le mec pousse mais sans violence. Je me détends dans ma tête et son gland passe. Je ne peux retenir un réflexe de contraction et bloque temporairement son avancée en moi.
Ses mains viennent me tenir à la taille. Il attend que je me détende à nouveau et dès qu’il ressent un relâchement, il pousse et progresse.
Je ne peux pas dire que je prends un plaisir fou mais bien préparé je ne ressens pas de douleur. Le renflement de sa queue à mi-chemin me tire un cri qui m’échappe involontairement. Il s’arrête aussitôt et attend à nouveau. Il sort quelques cm rebadigeonne de gel et rentre à nouveau. C’est meilleur et finalement un petit coup de rein sec fait passer la difficulté. Je me concentre sur mes sensations internes. Après tout je n’ai jamais testé que 23cm de long de ce côté-là !
Je sens d’ailleurs bien quand son gland arrive à cette profondeur. Lui aussi si j’interprète bien les soupirs/gémissements qu’il émet. J’aide à l’approfondissement de mon cas et ondulant du bassin et en jouant des abdos. Sa queue réarrange mon organisation interne et je suis heureux quand cela cesse et qu’il colle ses couilles aux miennes.
Je suis cambré comme une vraie salope (ndlr : non péjoratif de la part de mon escort). Il accentue ma position en retournant ma tête pour me rouler une pelle.
Il reste stable et ma rondelle me transmet les pulsions de sang qui maintiennent sa queue raide.
Il ressort total rajoute une couche de gel et s’enfonce cette fois plus vite. Il tape dans ma prostate et je fais un véritable bond en avant bloqué par le dossier du canapé. Trop bon ça !! il formate ma rondelle et mon boyau. Quand il sent que ça passe bien sinon facile, il se recule et me retenant plaqué contre lui et s’assoit sur un des fauteuils. Je prends appuis sur les accoudoirs et pompe sa queue avec ma rondelle. Il profite d’une ascension pour me faire pivoter face à face. Il réorganise mes jambes qu’il place sur les accoudoirs et mes mains autour de son cou. Putain ! Je ne maitrise plus les pénétrations. Il me soulève par les fesses et me laisse retomber sans retenue. Mes fesses claquent sur ses cuisses et je mange grave ! Honnêtement je surkiffe la position ! Ma queue raide le lui prouve s’il en était besoin.
C’est moi qui me penche pour lui rouler une pelle. En toute indépendance mon bassin monte et descend lustrant ce mat noir. De temps en temps quand il sent que la sève monte, il me maintient plaqué sur ses cuisses et je sens ses boules coller mon cul.
Il monte mes jambes contre lui, chevilles sur ses épaules et d’un coup de rein m’encule à mort et se met debout.
Waouuu !! Il balance son bassin en avant, avant de repartir sèchement en arrière. Mon corps réagit avec retard et il me lime la rondelle sur la moitié de sa queue avec une fin de course encore plus sèche que tout ce qu’il avait fait avant. Avec mes 70Kg il fait preuve de résistance car cela dure un bon moment avant qu’il me porte jusqu’au billard et qu’il me pose dessus. Le cul surélevé par la bande, il me pilonne a mort jusqu’à exploser dans sa capote. Il me fait jouir alors que je sens sa 4ème giclée sortir de sa bite. Paniqué j’essaye de garder le jus sur moi mais ne maitrise pas les premières éjaculations qui m’envoient du sperme dans mes cheveux et sur mon visage.
Avant de se retirer il m’essuis la tête et le corps et fini par mn trou vidé de son gros manche.
Je reste sur le dos quelques instants avant de me redresser sur les coudes. Je le vois assis dans le canapé. Il me fait un grand sourire et me dit que j’ai été parfait. C’est con mais je me sens rougir.
Il me propose une douche et m’accompagne à une chambre qui n’est pas la sienne c’est sûr. Plutôt chambre d’ami. Seul sous l’eau de la douche qui me coule dessus, les mains en appuis de chaque coté de la colonne, je fais le bilan. Finalement cela n’aura pas été trop difficile. De bander alors que le mec à l’âge de mon paternel sinon plus, de prendre ses 26x5 entier dans le cul et d’y prendre du plaisir.
Encore humide j’enfile un peignoir que je ne savais pas possible d’être aussi épais en tissu éponge et retourne au salon.
Il a été plus rapide que moi et, pareillement vêtu, est en train de faire un billard. Il me voit arriver et me tend sa queue (de billard) avant d’aller chercher une autre. Je connais le jeu mais n’ai jamais pratiqué. Il m’explique. Il s’étonne que je réussisse bien aussi vite. J’ai l’habitude de juger des longueurs (par ma formation) et quant à viser je me débrouille pas mal non plus. Il me bat sans mal mais je ne suis pas ridicule.
Il est dans les 22h quand il me demande si j‘ai faim. Bien sûr que j’ai faim. L’exercice ça creuse ! il m’entraine dans la cuisine (grande comme l’appartement entier de mes parents (enfin presque) et sort des plateaux tout prêts. Saumon fumé, caviar, foie gras et autres aliments préparés de façon à manger sans couteaux ni fourchettes. Idem pour les gâteaux.
Je suis plus détendu maintenant que c’est fait et réponds plus librement à ses questions. Orientées sur mon avenir, je lui réponds franchement. J’aimerais, dans un monde idéal, dessiner et fabriquer mes propres meubles. Faire des pièces uniques car la répétition m’ennuie et utiliser des essences de bois précieux. Et aussi m’essayer aux bas-reliefs, à la gravure et au cloisonnages métalliques. Pendant une heure il me fait creuser ce projet, définir précisément mes envies. A la fin je suis effectivement plus clair dans ma tête.
Alors que je m’attendais à « dormir » avec lui, il me laisse dans la chambre où je me suis douché. Je dors comme une buche !
Réveil, il est 12h !! je saute sous la douche et déboule en peignoir dans le séjour. Il y est à regarder une chaine d’infos en continue. Alors que je m’excuse il agite la main comme ci ce n’était rien. N’empêche que son propre peignoir se soulève en haut de ses cuisses sans intervention manuelle ! je plonge à genoux et écarte le tissu. Son mat noir prend la verticale et je n’attends pas pour m’en occuper. Puisque je ne suis pas mauvais à ce petit jeu, je me donne à fond. Histoire de faire pardonner mon retard à l’allumage.
Je le gratifie d’une bonne heure de pompages divers. Alterne les profondeurs, le travail de langue et de gorge avec celui des couilles, les positions aussi : a genoux devant lui, en 69 mes genoux encadrant sa tête posée sur le dossier du canapé, couché sur la table basse …
Je fini pas lui tirer un litre de jus (j’exagère un peu mais il produit beaucoup).
Ce sera le dernier plan cul de ce premier rendez-vous. Très gentiment, le client m’explique que pour une première avec sa queue de 26x5, une sodomie en 24h c’était grandement suffisant pour ma petite rondelle vierge.
Il me donne une grosse enveloppe quand Sasha vient me rechercher.
Je l’ouvre dans la voiture, à la demande de Sasha : une liasse de billet de 100€ et un étui carré. Je m’attendais à une montre comme mes collègues nous l’avaient montré. Mais j’en sort un bracelet rigide ouvert en or d’un bon cm de large sur la moitié d’épaisseur avec à chaque bout une tête de lion en 3D.
J’essaye de le passer mais j’ai les poignets un peu épais. Sasha rit que c’est plutôt un cockring !
Jardinier
Aux pilleurs de récits qui n'ont pas assez d'imagination, mes textes, depuis Soumission 5 ont tous été déposé chez " Copyright France " afin de prouver l'antériorité de ma propriété par rapport à vos publications plagiaires sur AMAZONE KINDLE !!
