Soumission & Domination | 595

Jérèm-2

Mon dernier Mari en date alterne étude en distanciel, sport et baise. Ses préférences culinaires apportent un peu de variation dans les menus pourtant déjà plutôt exhaustifs de nos « cuistots ». J’oublie qu’il adore nos trois fils et qu’il passe au moins ½ h par jour à jouer avec les 3 sans oublier les biberons.

Coté sexe il a opté pour ma pratique. Privilégier la famille mais ne rater aucune expérience. Enfin presque car les » collaborateurs » de Damien ne l’intéressent pas.

Par ses contacts avec les autres étudiants de première année, il s’aperçoit qu’il ne développe pas les psychoses ou mal-être que la solitude engendre chez certains.

Nous avons réussi jusque-là à préserver notre microcosme et ses annexes (amis et escorts non logés sur place qui viennent s’entrainer régulièrement) de toute attaque de COVID. Les plus à risque endurant le masque chirurgical !

Sans s’être encore rencontrés il a déjà sélectionné quelques collègues avec qui il travaille en skype, dont un qui supporte difficilement sa réclusion en cité U.

A force de discussion, il s’aperçoit que son cas ne s’arrange pas et me demande la permission de l’inviter.

Arguments : Jérèm lui a déjà dit qu’il était homo et en couple, il est plutôt super intelligent, réellement pas moche et surement plus encore en reprenant le sport. C’est un volleyeur en panne d’entrainement. Et en plus il roule pas sur l’or !

Jérèm me montre son face-book. Les tofs montrent un gamin de 18ans bien découplé, souriant que des lunettes noires n’arrivent pas à enlaidir. Les quelques tofs où il pratique son sport surtout celles de l’an passé sur une plage, me font bander. Capture d’image agrandissement et optimisation = un paquet qui me semble correct, et deux fesses à damner un saint !

J’accepte mais seulement en début d’aprèm où les installations sont vides (habitants en télétravail ou en cours distanciels). Et après un test COVID. Nous avons réussi jusque-là à éviter un cluster malgré la cohabitation à plus de 40 entre le Blockhaus, les 2 annexes, la « salle » de sport et les apparts au fond de la cour.

Jérèm est trop content et préviens Robin, son pote, que le lendemain un médecin (de mes escorts) va passer le voir pour le test.

Test négatif en – de 24h + isolement dans sa chambre depuis plus d’une semaine (avec quelques sorties sans contacts).

Arrive au Blockhaus, pour le café, un jeune mec total décalqué. A croire qu’il avait fumé un joint avant de venir. Moi je mate qu’il a perdu du poids et du muscle rapport à ses photos de plage ! Les cheveux sont trop longs pour des cheveux courts et trop courts pour des cheveux longs. Il est propre mais sa tenue est des plus négligée (pas rasé sans avoir une barbe de 3j) et les baskets ont vécues.

Heureusement que j’avais vu les tofs sinon je ne me serais peut-être pas retourné sur lui. Jérèm lui propose un café. Les yeux de notre invité sont brillants. Je lui souris et l’entraine vers les canapés.

Il commence à regarder autour de lui. D’abord le feu qui est manifestement projeté sur le mur et qui pourtant envoie de la chaleur,

Jérèm :

Je n’avais pas prévu que mon arrivée avec la Mercédès de Sasha le choquerait. C’est devenu naturel pour moi depuis que je vis au blockhaus.

Il me demande où je l’ai volée. Je ris et lui dis que c’est une des caisses de mon mari.

Dans la voiture il n’est pas loquace. Ses réponses sont plus des oui et non alors que mes questions sont ouvertes. Ça m’inquiète. Ça plus le fait que je le trouve amaigri par rapport aux tofs de ses comptes sociaux. Je me demande si j’ai pas fait une connerie à l’amener au Blockhaus.

Sur place Sasha est parfait. Il prend en main la situation dans laquelle j’étais un peu dans la merde !

Le café, la chaleur du feu (même projeté sur le mur, il produit un rayonnement chaud), l’ambiance silencieuse arrivent à détendre notre invité.

Sasha :

Le mec commence à regarder l’environnement. Samir et Ammed sont absent et je fais moi-même le service du café. Placé dos à l’entrée, ses yeux glissent du faux feu au « Manet » revu par Moitié façon mecs en passant par les ramures des palmiers qui agrémentent la cour, les Atlantes (sculptures de Ric en train de soutenir la piscine) et la projection des variations Hard du déjeuner sur l’herbe (le « Manet ») exécutés par mes escorts et amis en version complète (sortie de l’eau puis baises). CF. le tableau original !

Quand son regard à fait le tour, il revient sur moi exprimant un étonnement certain. Au moins il est sorti de sa torpeur !

J’attaque direct.

Je le questionne sur ses études. Ses premiers résultats collent ceux de Jérèm en tête de de leur 1ère année. C’est admirable sachant que contrairement à mon mari il est seul à travailler dans son coin.

Sur sa vie Sexuelle, il rougit mais répond franchement (Il en avait déjà un peu parlé avec Jérèm).

Robin : « Jérèm m’a dit d’être franc. Que tu ne jugeras pas. Je viens d’un milieu ouvrier et catho. » Donc élevé dans l’hétéronormalité. (Ndlr : son débit est lent. Il cherche la façon de dire).

Sa seule échappatoire, le sport et le volley qu’il pratiquait jusqu’au Covid. C’est dans cet environnement qu’il a vu que la vie pouvait être autre. Sans en avoir profité/expérimenté/pratiqué, il avait deviné des affinités/rapprochements et même caresses. Une fois il avait même surpris deux de ses collègues en train de faire l’amour pensant être seuls sous les douches après un entrainement.

Sasha : « et tu n’as jamais été tenté d’essayer toi aussi ? »

Robin : « Si mais je n’ai jamais osé. Même s’il y en a plusieurs avec qui je me laisserais bien aller. Par contre je me suis branlé souvent en me rappelant ce moment.

Pour la pratique, je me suis laissé draguer l’été de mes 16ans par une meuf. Pratiquer le volley attire pas mal ! Et si là aussi certains potes m’intéressaient, poussé par ceux-là même, j’ai expérimenté la baise hétérosexuelle. Les consultations sur Youporn m’ont permis de ne pas paraitre trop empoté et de jouir et faire jouir ma partenaire.

Le pote que je kiffais le plus m’a même entrainé avec cette meuf à une baise à 4 où nous nous sommes échangé les meufs. La sienne étant beaucoup plus « chienne » que la mienne. J’ai jamais été autant excité depuis avec une meuf ! Plusieurs fois dans ces baises, on s’est touché le mec et moi, j’ai même senti sa main sur mes fesses mais je n’ai pas osé et il a dû le sentir car il n’a pas insisté.

Et puis, avec le Covid et le confinement. C’est calme plat. En plus j’ai perdu musculairement je suis moche. »

Sasha : « c’est vrai que les tofs sur ton Facebook sont plus avantageuse que ton physique actuel. En plus tu fais rien pour » en montrant sa tête mal rasée et ses cheveux.

Il admet s’être un peu laisser aller vu que de toute les façons il ne voyait plus personne.

Jérèm intervient qu’il l’avait senti partir sur la mauvaise pente.

Sans se plaindre, il explique qu’entre les cours et la malbouffe vu que ses revenus de serveur s’étaient arrêtés en mars dernier, il n’avait plus le courage de courir tous les soirs. Et même les cours ça commençait à le gaver !

Jérèm me regarde et comme nous en avions parlé au cas où la situation l’exigerait, il se lance.

Jérèm : « Si tu veux on peut te proposer de venir t’installer ici pour tes études. On pourrait bosser les cours ensemble et tu pourrais bénéficier du soutien de potes en Art et métier et autres étudiants plus avancés que nous. Pour le régime alimentaire tu ne perdras pas au change et t’as pas encore vu mais question entrainement sportif ici il y a de quoi te remettre en selle et récupérer ton corps musclé d’avant. Le tout sans contrepartie aucune tu peux nous faire confiance.

Juste qu’il n’y a quasiment pas de meufs dans cette maison et que t’en ramèneras pas. Par contre ça fourmille de beaux mecs si l’envie te prends. »

Sasha :

C’est limite qu’on entendrait les engrenages de sa pensée. Avec Jérèm nous allons dans la cuisine préparer de nouveaux cafés. Quand nous revenons Robin nous pose une seule question. « Je ne suis obliger de coucher avec personne ? »

J’éclate de rire et lui dis que même pas avec moi. D’autant plus dans son état !

Cependant je lui demanderai de faire du soutien scientifique auprès de mes 4 ouistitis de terminale (Val & axel + Yanis et Thib).

La contrepartie lui convient.

Jérèm :

Puisque c’est décidé, j’emmène Robin chercher ses affaires et en chemin je lui fais juste part des « détails ». En premier lieu pour le cas où et aussi être prêt à toutes éventualités, visite médicale complète assortie de la panoplie d’analyses de sang. Il tique. L’argument qu’il n’aura pas à les faire au cas où un mec le brancherait le convainc. Tu verras vite mais il n’y a pas de place pour la jalousie en ce qui concerne qui fait quoi avec qui. Puis le sport et l’importance qu’il a à sa nouvelle adresse. Car surtout j’aimerais connaitre le vrai Robin, celui qui avait l’air de s’amuser grave sur ses tofs de plage et surtout le bogosse qu’il était.

Retour 1h plus tard et je l’installe dans l’annexe 2. Il kiffe l’espace lui dont les murs bouchaient sa vue à 3m. Nous sommes aidés par les occupants des autres chambres qui nous ont entendu arriver. Présentation des mecs en short et torse nu vu la température ambiante mais aussi des lieux et notamment de la salle d’eau commune. Robin kiffe de retrouver l’ambiance vestiaire que la série de douche sans séparations donne. Quand il entre dans les 25m² qui seront désormais sa chambre, il manque de tomber. Le lit King size, le grand écran et le portable dernière génération avec écran suplémentaire qui occupent le bureau le font kiffer aussi.

Pour les fringues je me ferais plaisir à l’accompagner samedi prochain faire les magasins !

Je le pousse sur le lit et l’informe du programme du reste de la journée. Visite des installations sportives et tests physiques puis diner avec mon mari et ses maris puis dodo. Je lui tends un jock et un short XS. Il hésite puis se met nu devant moi pendant que je vire mon pantalon et mon polo. Il est plus maigre que je le pensais. Il le ressent alors que la grande glace qui fait face au lit renvois nos reflets en pieds. Ça le gène. Je l’embarque et nous descendons dans la cour. Sous la grande verrière, la température est quasi tropicale avec la piscine et les palmiers. Anthony nous fait un signe de la main quand nous passons sur le pont qui nous donne accès à la salle de muscu.

Les mecs qui s’entrainent et surtout leurs formes physiques montrent à quel point Robin a fondu. Mais tous, adorables, ne font aucune remarque là-dessus. Je présente donc le nouvel hôte du second étage de l’annexe 2. Tous lui disent un gentil mot de bienvenue. Robin surkiffe les installations. On retraverse la cour pour remonter au premier. Comme toujours à cette heure, Jona est là avec João à surveiller les entrainements de MMA. Prévenu par Sasha il prend en charge directement Robin.

Ce dernier est étourdi par ce qui lui arrive. Déjà s’installer dans un lieu qui lui semble féérique, être pris en charge total des contingences matérielles et se voir offrir la possibilité de vraiment se remettre en selle. Physiquement aussi !

Jona lui détaille un programme progressif de remise en forme et de prise de masse. Il ajoute que ce qu’il voit sous les yeux lui est aussi accessible, comme à tous les habitants et amis de Sasha.

Quand je le ramène à sa chambre il a encore des étoiles dans les yeux. Il me répète la question « t’es sûr que je n’ai à coucher avec personne pour avoir tout ça ? ».

Je confirme que non mais que ce sera quand il veut avec qui il veut et comme il veut, s’il le veut.

Il prend son premier diner avec nous (Sasha et ses 5 maris) avec Ewen et Milo sont là aussi, pour pas l’effrayer direct.

Effectivement la présentation des 4 autres maris de Sasha l’a un peu secoué. Le fait qu’Ewen soit son cousin l’a en revanche détendu.

Personne n’a fait de remarques sur ses fringues mais avant de le raccompagner, Sasha m’a demandé d’y remédier.

Du coup on fait un crochet au premier étage et je l’emmène aux Dressings. Je fais une sélection de sous-vêtements. Il kiffe car ce sont des marques qu’il connait pour les avoir matées sur le net mais qu’il n’avait encore jamais eu l’occasion de voir, toucher et porter en réel.

Je l’informe que le samedi à venir ce serait shoping !