Chapitre 1
Histoire réelle qui date de quelques années. À l’époque je vivais et travaillais à Montreuil. J’avais 24 ans, blond, yeux bleu, 1m70, 65kg, quasiment imberbe, look baskets / jean / t-shirt.
Un soir de septembre, après une journée bien crevante au boulot, je prends le métro pour une station entre Robespierre et Croix de Chavaux. A peine installé dans le métro, je croise le regard d’un jeune mec. Une vingtaine d’année, survêtement Lacoste, cheveux courts, regard sombre, peau mate, il me détaille des pieds à la tête et me lâche pas du regard. En bon provincial débarqué à Paris depuis peu, je soutien son regard et lui souris en lui disant « salut ». Il ne réponds pas, mais continue de me fixer en faisant un sourire en coin.
Au bout d’une minute, le métro arrive à quai et je me dirige devant la porte pour descendre. Du coin de l’œil, je vois le bogosse bouger et se mettre derrière moi pour descendre. Je me dirige vers la sortie, monte les escaliers, et quitte la station pour me diriger dans l’appart qu’on me prêtait pour quelques semaines. Au bout de quelques instant je me retourne en ayant l’impression d’être suivi . Effectivement le mec du métro me suivait à quelques mètres sans faire aucun signe particulier.
Arrivé devant le portail, alors que je m’apprête à rentrer, je me retourne à nouveau et vois le jeune rebeu arrêté sur le trottoir d’en face me regarder. Ayant compris l’intensité sexuelle de son regard, je fais un signe discret de la tête et laisse le portail pour qu’il me suive. Il me rattrape dés l’escalier devant la porte de l’appart. Il se colle derrière moi. Je sens sa queue contre mes fesses et il me dit :
- « Ouvre ta porte. Tu vas pas regretter. »
Je tourne la clef dans la serrure, il s’engouffre derrière moi, referme la porte, et je me retrouve directement collé contre le mur, son visage prêt du mien, son corps collé contre moi :
- « Fallait pas me chauffer comme ça dans le métro, sale khaba. Maintenant va falloir assurer et assumer. Tu vis seul ici ? »
- « Oui », je lui réponds. « Je suis logé seul ici pour quelques semaines. »
- « Parfait. Alors maintenant je vais m’amuser. »
D’une main il bloque mon visage, et de l’autre il vire mon sac à dos, le jette au milieu de la pièce, puis se mets à caresser mon torse sous mon t-shirt en descendant sa main jusqu’à mon jean.
- « Mais c’est qu’elle a pas un poil et qu’elle a la peau douce ma p’tite salope. Alors tu vas te mettre à poil vite fait, et me montrer ce que tu sais faire. »
D’un coup il déchire mon t-shirt, tiré sur mon jean et mon boxer qui se retrouvent à mes pieds, puis me jette au sol. Il se déplace autour de moi en me jaugeant et rajoute :
- « Finis de te déshabiller, j’ai pas que ça à foutre. Tu vas vite apprendre à être dressée. »
Je retire péniblement mes chaussures, mon jean et mon boxer puis le temps de me remettre à genoux pour me relever ma tête fait face à sa queue sortie de son survet alors que ses mains prennent possession de ma tête.
- « Doucement Khaba. Ta place va être ici dorénavant. Au bout de ma queue. Ou de celle de mes potes. Donc tu vas apprendre à les vénérer comme il se doit. Ouvre ta bouche doucement. »
Tout en me dictant ma conduite, ses mains m’ouvraient la bouche pour laisser passer sa queue qui grossissait de seconde en seconde.
- « Vas-y maintenant, joue bien avec tes lèvres et ta langue. Fais bien ton taf de salope. Fais moi bien durcir. »
Sa queue coulissait maintenant de plus en plus profondément et de la salive s’écoulait de mes lèvres pour couler sur le sol et sur ses skets. En voyant ça, son regard change et il retire sa queue brusquement en me disant :
- « Tu crois normal que ce qui sort de ta bouche arrive sur mes rekins ? Tu vas me nettoyer ça et faire retourner toute cette bave de pute dans ta bouche et en profiter pour bien nettoyer. »
Il s’asseoit alors sur le canapé, tends ses skets vers moi, se penche en avant et d’un geste brutal port mon visage sur ses rekins. Soumis naturellement à ce jeune mec, je me suis mis à lécher consciencieusement ses skets durant 10 bonnes minutes tandis que je le voyait écrire sur son téléphone. Il se redresse alors et lâche :
- « Je vais devoir bouger bientôt donc on va accélérer. »
Il me tire alors par les cheveux, me pose à genoux sur le canapé et remonte mon cul à hauteur de sa queue. Je l’entends cracher puis je sens ses doigts humides passer sur mon trou et tenter sans succès d’entrer.
- « Pas le temps de te préparer, j’dois marquer le territoire avant de partir, mais t’inquiète, je repasse juste après pour t’en remettre une cartouche. »
Et il plonge sa queue direct en moi en serrant bien ma taille pour que je ne lui échappe pas. Je me sens comme transpercé et j’ai l’impression de ne pas réussir à retrouver mon souffle. Mais lui n’en a rien à faire et se mets à me pilonner direct en rythme de croisière. Je m’accroche comme je peux au dossier du canapé alors que je sens mon cul être ravagé et que les coups de reins ne s’arrêtent pas. En moins de 5 minutes il se mets à tambouriner mon trou et à hurler :
- « Oh putain ! Prends tout sale pute. J’t’engrosse ! Haaaaaa ! »
Je sens sa queue se contracter dans mon cul plusieurs fois, puis il se retire d’un coup, provoquant un gémissement de ma part. Je m’affale sur le canapé et je sens direct son fourré qui coule de mon trou sur mes cuisses et sur le tissu.
Je le regarde se rhabiller rapidement puis il se tourne vers moi et me dit :
- « File ton numéro de tel et le code de la porte en bas. Je reviens dans une 2 heures Max. »
Heberlué je le regarde et je lui donne, sans savoir pourquoi. Il se penche alors vers moi, m’embrasse tendrement et me murmure à l’oreille :
- « Merci bébé. Au fait, moi c’est Hicham. Je reviens vite. Surtout garde mon jus en toi. »
Je le vois partir et fermer la porte, ses pas dans l’escalier, puis le silence. Je suis seul dans mon appart, le cul rempli de foutre, la queue raide, dans comprendre ce qui vient de se passer. Mais je sais que j’ai déjà hâte qu’il revienne.
Chapitre 2
Je suis resté de longue minutes sur ce canapé, ma main coulissant sur ma queue raide et mes doigts jouant avec le foutre d’Hicham qui coulait de mon cul défoncé.
L’envie de ne pas le décevoir s’empara de moi, même si je n’étais pas sur qu’il revienne, et je me dépêchai de trouver mon plug dans un tiroir pour me le mettre et sentir son jus rester en moi. J’ai péniblement remis un peu d’ordre dans l’appart, rangé mes affaires, enfilé un vieux boxer et un vieux t-shirt pour m’affaler sur mon lit.
Je suis réveillé par des coups frappés à la porte. En sursaut j’essaye de retrouver mes esprit ne sachant pas l’heure qu’il était. 23h30. Je me dirige vers la porte et ouvre pour connaître la raison de ces coups. Je découvre Hicham, l’air contrarié, qui entre en me poussant dès que j’ouvre la porte.
- « Pourquoi t’as mis tant de temps à ouvrir ? Pourquoi tu me fais attendre ? »
- « Excuse-moi, je m’étais endormi je crois » j’ai marmonné.
Il s’est approché de moi et m’a serré contre lui.
- « J’aime pas attendre. Surtout quand je pense être attendu. »
Tout en parlant, il caresse mon dos puis mes fesses, et s’arrête soudain en sentant la base du plug entre mes fesses.
- « Je vois que tu es bien équipée. Je me suis pas trompé en te voyant comme une salope dès le premier regard. »
Il passe alors derrière moi, me dirige vers le lit et me pousse à plat ventre dessus. Son corps écrase très vite le mien, et ses bras commencent à tirer les miens vers le haut. Il se met à m’embrasser l’oreille quand je sent qu’il cherche quelque chose dans sa poche. Ses mains reviennent vers les miennes et je sens alors qu’il est en train de passer une corde fine autour de mes poignets. J’essaie de me débattre mais il m’écrase à nouveau en murmurant doucement :
- « Ne craint rien. C’est uniquement pour te faire du bien. Et surtout me faire du bien à moi. Tu voudrais pas que je reparte fâché quand même. »
Comme hypnotisé, je m’arrête de gesticuler en sentant les liens se refermer sur moi, ses mains commencent alors à caresser mon dos, mes fesses, puis le bruit du tissus qui se déchire. Il vient de déchirer mon caleçon pour accéder à mon plug et ses doigts comment déjà à jouer avec ma rondelle. Il retire le plug d’un coup, et constate la présence de son foutre toujours en moi, il passe un doigt dedans puis le porte a mes lèvres en disant :
- « Ce goût ci tu vas devoir t’y habituer aussi. »
Sans que je m’en rende compte, toujours concentré sur son doigt entre mes lèvres et le goût sucré de son fourré, je ne réalise pas que sa queue est déjà posée contre mon trou et pousse à nouveau pour entrer. Je me raidis, et sa main se pose alors sur ma bouche alors que de tout son poids il force pour faire de nouveau entrer sa queue en moi. Lubrifié par le jus précédant, l’entrée se fait plus facilement mais la douleur est toujours là. Bâillonné par sa main, attaché aux poignets, je me fais de nouveau baiser par cet Hicham dont je ne connais rien. Rendu plus endurant par sa première ejaculation quelques heures plus tôt, il m’a pilonné durant presque 30minutes avant que je ne sente à nouveau sa queue puissante pulser en moi et me remplir de nouveau.
- « Tu vois ma petite salope. Une nouvelle dose dans ta chatte. Tu vas finir par tomber enceinte. »
- « J’ai un peu peur. Me faire sauter sans capote par un inconnu, comme ça, c’est pas mes habitudes » je gémissais.
- « Si t’as peur d’être enceinte, t’en fais pas, j’ai la solution. Je vais les noyer. »
Je ne comprenais pas le sens de sa dernière phrase quand j’ai senti une pression et de la chaleur à l’intérieur de moi. Il était en train de me pisser dans le cul, confortablement posé entre mes fesses, moi toujours attaché et contraint. Il libérait une quantité phénoménale de pisse puis il me dit en rigolant :
- « Préparer toi a courir dans ta douche ou dans tes chiottes dés que je me retire. »
Il glisse alors son corps contre le miens et se retire d’un coup. Je sens la pression de mon corps qui veut expulser tout ce liquide alors je cours laborieusement vers ma douche avec les mains attachés et m’écroule dedans alors que je sens toute la pisse et le foutre contenus en moi s’écouler entre mes cuisses et sur mon boxer déchiré.
Je lève alors les yeux et je vois Hicham, tout sourire, la queue à la main, me dire :
- « Prête pour la suite sale khaba ? »
Chapitre 3
- « Mais je bosse demain ! »
Hicham ne s’attendait sûrement pas à ce genre de réponse après ce que j’avais encaissé. Il fronce les sourcils puis, en commençant à pisser sur moi, me dit :
- « On va déjà finir de me vider, on verra pour la suite. »
Il continua alors de m’arroser de pisse sur tout le corps. De la tête aux pieds, mon corps était recouvert de ce jet doré. Une fois le jet tari, il se penche vers moi et me crache plusieurs fois au visage.
- « Maintenant je crois que tu as compris où est ta place. Maintenant douche toi, tu vas pas dormir avec moi en puant la pisse. »
Comprenant qu’il allait passer la nuit avec moi, je lui tends les mains pour qu’il me détache, et je me douche longuement, le corps douloureux de cette fin de journée inattendue. Une fois lavé, je me dirige vers le lit ou Hicham est installé en tapant sur son portable.
Il lève la tête et demande :
- « Tu bosses à quelle heure demain ? »
- « De 9h à 18h. »
- « Nickel, on partira ensemble et je repasse demain soir. »
- « Mais du coup on est quoi l’un pour l’autre ? C’est un peu bizarre et rapide pour moi là. »
- « Te poses pas de questions. Tu es juste à ta place. Aller viens te coucher, il est 2h du mat. »
Je m’installe dans le lit, un peu recroquevillé, ne sachant pas quoi penser de tout ça et ne sachant pas comment réagir. Hicham se colle alors à moi, et m’enlace tendrement. Je sens sa respiration dans mon cou, sa poitrine qui se soulève dans mon dos, et ses mains qui caressent mon corps. Sa main s’attarde alors sur ma queue qui durcit à ce contact. Il se met alors à me branler sensuellement en léchant mon oreille. Il me murmure alors :
- « Ce soir tu as droit à un peu de réconfort et de gicler, mais bientôt tu verras que tu apprendras à jouir autrement. »
Sa main s’active alors encore plus vite sur ma queue et je sens le plaisir monter depuis mes couilles. En gémissant, je gicle sur mon torse et dans la main d’Hicham qui continue de s’activer sur ma queue jusqu’a ce que ton mon jus soit sorti. Il essuie alors ses doigts sur mes lèvres et mon visage en me disant juste « Bonne nuit ».
Chapitre 4
18h10. Je quitte le boulot rapidement. Après cette folle soirée avec le bel Hicham du métro et son départ en même temps que moi ce matin, je suis en pleine tourmente. Pourquoi j’ai accepté tout ça ? Pourquoi je me suis laissé faire par ce mec ? Est-ce que tout cela m’avait plu et excité ? Tout à mes questions, je ne réalise pas que je suis arrivé devant la porte de mon appart. Je réalise que je vais devoir bouger prochainement car le prêt de cet appart est temporaire, mais je n’ai pas du tout la tête aux recherches. Au moment où je sors mes clefs, mon téléphone sonne. Sms d’un numéro inconnu. « Ramène des bières. Je suis avec mon cousin. Je passe tout à l’heure. »
Devenu docile, je redescends d acheter quelques bières et je remonte me doucher et me poser tranquillement sur mon lit. Vers 19h30, des coups à ma porte. Je vais ouvrir et je découvre Hicham tout sourire, et derrière lui, un garçon qui lui ressemble un peu mais plus fin, et les cheveux un peu plus longs, laissant découvrir de jolies boucles. Ils rentrent et s’installent direct sur le canapé et Hicham demande à ce que je leur ramène des bières. Ils continuent ensuite leur conversation comme si je n’étais pas là durant une dizaine de minutes, quand tout à coup, Hicham sort :
- « Tu vois comme elle est obéissante cette khaba trouvée hier. J’t’ai pas menti. Une soirée à la baiser et on peut déjà squatter chez elle sans qu’elle dise rien. »
Je les regardais sans oser rien dire, les fixant tour à tour. Hicham s’adresse alors de nouveau à son cousin :
- « Comme promis, tu vas pouvoir te faire plaisir avec elle. Les branlettes entre cousins c’est sympa mais maintenant t’es majeur. Faut tirer de la salope. »
Le cousin me regarde alors d’un regard brûlant en tâtant son paquet. Hicham m’ordonne de m’occuper de son cousin et d’aller le sucer immédiatement. Je m’approche à genoux du cousin qui sort directement sa queue et me la fourré violemment dans la bouche. Je n’ai même pas eu le temps de prendre place qu’il essaie déjà de me baiser la bouche comme si ça vie en dépendait. J’essaie de me débattre quand je sens Hicham attraper mes bras, me les tenir dans le dos et dire :
- « Prends ton temps Yass. Profite. Et toi la chienne, bouge pas et contente toi de faire plaiz à mon cousin. »
Je me retrouve alors à sucer le cousin, tenu par Hicham, sans possibilité de m’y soustraire. Je me fait limer la bouche longuement, à différentes vitesses, avec différents mouvements, tandis qu’Hicham profite de sa position pour me caresser les fesses et baisser progressivement mon pantalon. Sa main libre écarte mon trou et ses doigts commencent a venir dilater ma chatte déjà bien défoncée par la baise de la veille.
- « Je voulais te laisser l’honneur Yass, mais je crois que je vais te faire le passage et te la lubrifier. Tu pourras rentrer tranquille et bien la tasser comme ça. »
Il ponctue ses mots d’un coup de rein qui envoie sa queue profondément en moi. Je me retrouve en train de me faire baiser par un mec alors que je suce son cousin, et j’avoue que cette situation m’excite grave. Je gémis avec cette bonne queue en bouche pendant qu’Hicham s’acharne à démontrer tout son talent à son cousin en me déboîtant sauvagement. Le bruit du claquement des coups de reins sur mes fesses résonne dans tout l’appart pendant que ma bouche bave longuement sur la queue rigide et gorgée de mouille du cousin. Puis dans un coup de rein final Hachim éructe :
- « Putain j’te remplis. Encaisse ma dose, vide bien mes couilles sale putain. T’es ma pute à jus. Haaaaaaaan ! »
Alors que sa queue tressaute en moi, je vois le cousin regarder avec envie la queue d’Hicham et mon cul désormais bien rempli. Hicham lui dit :
- « Vas-y, prends ma place. À ton tour. Cartonne la. Elle va me nettoyer la queue en même temps. »
Ils échangent leur place et je sens le coussin entrer en moi brutalement. Ses coups de reins sont maladroits, brutaux, mais intenses et jouissifs. J’entends le « floc floc » provoqué par la queue du cousin dans le jus d’Hicham, tandis que la bouche s’active sur la queue qui vient de me remplir pour en extraire les dernières gouttes.
Chrysippe
Autres histoires de l'auteur : Partie de campagne, Le rebeu du métro
