J’avais 19 ans, pas à l’aise dans mon corps et encore moins dans ma sexualité. Chaque été, je voyais mes cousins. On se côtoyait rarement mais on a toujours aimer se retrouver.
Cet année là, on décide de faire une soirée camping sauvage non loin de la maison. On passe une super après midi au bord de la rivière. Le caleçon du cousin a l’air bien rempli. J’ai toujours su au fond de moi que j’aimais la bite.
Dans la soirée, on se retrouve dans la tante, on discute et sans que je m’y attende (j’en mourrai secrètement d’envie) il me propose de se branler sur des magazines qu’il avait apporté. Les sacs de couchage roulés en boule nous séparent. Je regarde les photos de femmes nues mais si je bande c’est que je vois son bras bouge et dont la main doit caresser sa queue.
Il s’arrête et me dit qu’on peut se la montrer. Mon excitation monte en flèche, ma queue est très dure. D’un coup, il écarte les sacs, enlève son caleçon et laisse apparaître une énorme queue toute raide. Je suis bien membré mais là c’était de la bite de compétition. J’étais excité mais aussi un peu complexé par ma taille de l’engin. On se branle en matant la queue de l’autre. J’ose lui demander si je peux toucher. Il me dit oui et prend ma queue à la main. Qu’est ce qu’il branle bien ! Je fais de même, et touche cette objet de désirs si énorme qu’une main ne suffit pas. Elle fait largement plus de 20cm, un gros gland rouge. Il gémis et me dit qu’il aime ma main. On change de position en se mettant face à face. Je prend la grosse tige à deux main et la palpe. Je malaxe ses grosses couilles pendantes. Il bande a fond, moi aussi et je sens mon jus monter. Mon excitation est telle que je lui demande si je peux le sucer. Je n’avais jamais fait ça ni même demander. Il me dit qu’il faut bien essayer. Je passe donc ma langue sur ce gros gland gorgé de sang. J’ai du mal à le mettre en bouche mais j’y vais. Je le branle et lèche tout ce que je peux. Il me pousse et se jette sur la mienne pour la mettre en bouche. Il a aussi du mal vu la largeur. Je sens que je vais jouir alors je l’arrête. Je retourne pour le sucer, met un coup de langue avant qu’il me pousse la tête. En une seconde un gros jet de sperme chaud recouvre mon cou et le haut de mon torse. Je met deux coup de main sur la mienne et d’énormes jets puissants viennent recouvrir mon torse et le sien.
À suivre…
Dexter77