A 40ans j’ai plusieurs passions dans la vie mais les deux principales sont les mecs virils très poilu et leurs bonnes odeurs mais aussi les slips des mêmes mecs. J’arrive très souvent à les associer pour mon plus grand plaisir. Mon terrain de chasse préféré sont les aires d'autoroutes bien sûr ou je trouve mes mecs préférés les bons gros routiers. Un de mes meilleurs souvenirs, c'est passé il y a déjà plusieurs années. C'était un vendredi soir de début septembre et après avoir fait une bonne toilette intime me suis rendu sur mon aire d'autoroute préférée, dont je ne repars jamais bredouille.
A mon arrivé, il y avait déjà 3 camions et mon anus c'est contracté de joie de bientôt sentir une bonne bite le franchir. Je sors de ma voiture, j’ai juste un short court, un jock en dessous, et sous mon tee shirt mon harnais de cuir pour une bonne prise en main de mon enculeur. Un 1er tour pour voir s'il y a de la lumière dans les cabines, car il est déjà 22h30. Deux sont allumées mais au 1er camion pas de mouvement. Je passe devant le 2éme et je tousse pour faire un peu de bruit, car la fenêtre est ouverte, et la une tête apparaît. Bingo une bonne tête viril apparait, crâne rasé, une grosse moustache et je peux voir la bretelle d’un débardeur blanc. Un coup d’œil à la plaque d'immatriculation, c'est un allemand, mais brun comme il est, ce n’est pas vraiment le type germanique. Il me regarde, je passe ma langue sur mes lèvres et il me fait le geste d'une pipe avec sa main. C’est du direct, il sait ce qu’il veut. Je lui réponds par un oui de la tête et il me fait signe de faire le tour côté passager. La porte est entrouverte, je monte et je me retrouve sur le siège passager. Une bonne odeur de mec embaume la cabine et je me dis que je ne vais pas être déçu du moment qui va venir.
Je le détaille et il doit bien avoir une bonne 50éne passé et porte avec son débardeur un short style treillis vert militaire. Des poils bruns sortent de tous les côtés de son débardeur et les jambes en sont recouvertes aussi. Il me parle en allemand mais je lui fais signe que je ne comprends pas. Il refait le geste de la pipe avec sa main et je refais oui de la tête.
Il se met debout face à moi entre les deux sièges et j’arrive à me mettre à genoux pour me retrouver face à son gros ventre. Je pose ma main gauche sur sa braguette pour sentir la bosse de sa queue sous son short. Avec ma main droite j'essaye d'ouvrir la ceinture qui est coincé sous son ventre, et par chance le bouton s'ouvre facilement. Son short tombe à ses pieds et il l'éjecte direct certainement pour être plus à l’aise.
J'ouvre grand les yeux car il est devant moi avec un vieux slip blanc fatigué et détendu avec son débardeur rentré dedans. La vue de son slip, style poche kangourou, m’excite un maximum car ce sont mes préférés. L’ouverture, sur ce genre de slip, permet de sortir la bite du mec et pomper avec le nez collé sur le devant du slip afin de respirer les bonnes odeurs qui peuvent s’y trouver. J’examine son slip qui fut un temps blanc, car de belles auréoles jaunes ornent le devant de la poche. Je pose ma main sur le devant de son slip pour lui caresser la queue au travers et la réaction ne se fait pas attendre. Mais la tentation est trop forte, je colle mon nez sur le devant de son slip et respire ses bonnes odeurs d’urine et de sperme séchées qu’il a laissé. Je lève les yeux et le regarde, lui aussi me regarde et il rit fort car il a bien compris que son slibard jaunis me plait. Je renifle, je lèche, je profite un maximum du moment, mais je sens sa queue bien dure derrière le coton jauni. Je passe ma main dans la poche du slip et lui caresse sa belle queue d’une longueur normale mais très épaisse. Je la sors délicatement par la poche et passe ma langue dessus du bas vers le haut et malgré la dureté de sa queue qui pointe vers le plafond, son gland est resté enfermé dans son prépuce. Ses soupirs en disent long sur le plaisir que je lui procure et pourtant je n’ai pas encore enfourné sa queue dans ma bouche. Je tire doucement sur le prépuce, pour profiter de l’instant, et colle mon nez sur son gland complètement découvert dont la forte odeur de male négligé m’enivre de bonheur. Il n'y a rien de plus excitant pour moi comme situation et j'en profite un maximum. Je passe ma langue sur son gland et après la forte l’odeur, le gout est à la hauteur de mes attentes, l’addition d’un urinoir bouché plein à ras bord et d’un vieux fromage rance fait dresser ma queue dans mon short.
Arrive le moment ou j’enfourne sa queue dans ma bouche et le « yes » qu’il laisse échapper me dit que je suis sur le bon chemin. Je monte et je descends sur sa queue et la suce comme un gros sucre d’orge dont je me délecte. Sont gland a pris du volume et me rempli la bouche mais sa queue courte me permet quand même de la rentrer entièrement dans ma bouche en gorge profonde et me coller le nez sur le devant de son slip pour en renifler une fois de plus les effluves. Il attrape ma tête entre ses deux mains et commence à ma limer la bouche vigoureusement en ondulant fortement du bassin et je me dis que j’espère bien que mon trou du cul subira le même sort. Le temps qu’il me baise la bouche je retire mon short et mes tennis pour lui faire comprendre que je suis ouvert par les deux trous. Il se retire complètement de ma bouche et j’en profite pour enlever mon tee shirt.
Je suis à genoux devant lui en jock et harnais de cuir et visiblement il se demande se qu’il pourrait bien faire avec moi. Mais sa réflexion n’est pas longue, il me fait signe de me lever et me montre la couchette derrière les sièges. Ma grande expérience des routiers fait que je prends position à genoux sur le bord de la couchette le cul tendu vers lui. Il n’hésite pas à m’enfiler un doigt dans le cul, certainement pour voir la souplesse, et la dose de gel que j’y ai mis avant de partir fait qu’il est prêt à l’emploi. Le « oh oh oh » qu’il lâche veut tout dire. Il attrape les deux poignets de mon harnais dans le dos et rentre sa queue d’une seule traite dans mon cul qui s’ouvre comme une fleur à se plaisir. Bien calé dans le fond de mon cul, il savoure son plaisir d’avoir sa bite au chaud dans un bon cul.
Il commence son limage par de petit mouvement et a chaque foi je sens le coton de son slip, qu’il n’a pas quitté, contre mon cul. J’aurais bien aimé avoir une vidéo de cette baise, pour voir ce mec viril en slibard et marcel la queue rentrée à fond dans mon cul, qui cherche juste à se vider les couilles à son seul et bon plaisir. Il va me limer un bon petit moment comme cela en alternat les vitesses et en ressortant en entier de mon cul de temps en temps. A un moment il a fait une pause, peut-être pour ne pas jouir trop vite, et tout en m’introduisant 3 doigts dans le cul, il en a profité pour enlever son slip qu’il a lancé sur la couchette à cote de moi. La tentation été trop forte, je me suis saisi de son slip et au moment où je le porte à mon nez il me renfourne sa queue en une seul foi dans le cul. Il rigole et il a bien compris mon plaisir de sentir et son slip sous mon nez et sa queue dans mon cul. Du coup il se déchaine et me lime le cul à grand coup de reins, tout en étant agrippé à mon harnais pour bien s’enforcer au fond de mon cul qui ne demande que cela.
Je ne fais plus attention à ce qui se passe derrière moi dans mon cul. Je le laisse à sa petite affaire, mais moi je profite de son slip tout chaud et humide que je renfile et lèche pour avoir un maximum de ses odeurs.
Je l‘entend haleter de plus en plus et le rythme saccadé de son limage, me dit qu’il va bientôt jouir et effectivement dans un fort râle de jouissance, il se plante au fond de mon cul et vide le jus de ses couilles. Il s’écroule sur mon dos et je sens son souffle dans mon coup. Il a du mal à reprendre son souffle, mais un « ahhhhhhhhhhhhhhh » me fait penser qu’il est satisfait de mon cul et de ma prestation. Sa queue ramollie et fini par sortir de mon cul. Moi je suis toujours le nez dans son slibard à me régaler. Il me sort de ma rêverie, avec une claque sur la fesse droite, et il n’hésite pas à m’enfiler un doigt dans le cul certainement pour inspecter la dose qu’il vient de déposer. Je suis toujours à genoux sur la couchette mais il tire sur mon harnais pour me faire descendre et quand je suis face a lui, il m’enfile son doigt plein de sperme dans la bouche pour me le faire sucer et nettoyer. Sont doigt propre, je me remets à genoux et je lui nettoie la queue et j’arrive a absorber le reste de son sperme encore présent dans son canal pénien.
Je me relève et son pouce en l’air me fait comprendre qu’il est satisfait de la façon dont je viens de lui vider les couilles. Il s’assoit sur le siège passager pour reprendre ses esprits. Je regarde la pendule sur le tableau de bord et il est déjà 23h45. Cela fait plus de 1h que je suis avec lui et ce pour mon plus grand plaisir. Je le vois qui se lève et qui ouvre la porte côté passager pour descendre juste vêtu de son marcel le cul et la queue à l’air. Heureusement que son camion est garé au fond du parking coté bois. Je comprends qu’il va aller pisser après avoir joui. Il est juste devant la porte du camion et je le regarde pisser abondamment. Une foi finie il se secoue bien la queue et remonte dans le camion. Il se rassoit derrière son volant sa belle bite repose sur ses couilles bien vidé par mes soins. Je sens sa dose de sperme couler le long de ma cuisse et avec mes doigts je le récupère pour gouter son nectar. Comme le reste je ne suis pas déçu il a bon gout. Il me regarde faire et rigole de me voir ainsi
Je remets mon short, lui fais signe d’un au revoir, mais il se lève et attrape son slip sur la couchette qu’il me tend. Je comprends qu’il veut me donner un souvenir. Je n’en crois pas mes yeux, mais il a vraiment vu que j’avais bien kifé son slibard usé et odorant. En chemin vers ma voiture je ne peux pas m’empêcher de renifler une foi de plus son slip. Je ne suis pas prêt de l’oublier celui la et j’ai dormi un bon nombre de nuit avec son slibard sur moi ou sous mon nez
Assis à mon volant je repense à ce sacré moment que je viens de passer et encore aujourd’hui tout est très claire dans ma tête.
Fanaslibard
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