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L'année de mes 19 ans avec mon meilleur ami

C'est ma première histoire. Les noms sont évidemment fictifs. Un peu romancé, mais très proche de la réalité. Je me lance.

Chapitre 1: Il m'a embrassé, je l'ai repoussé

Tout a commencé il y a une vingtaine d'années alors que j’avais 19 ans. À ce moment, j’étais certain que j’étais hétéro à 100%. J'ai eu mes premières expériences sexuelles assez tardivement lors de mon collégial. En effet, c'est une jolie fille de ma promotion, Sandrine, qui m'a fait découvrir les joies de la sexualité. Pour moi, ça été l’année scolaire des découvertes où nous avions essayés mille-et-une positions, découverts nos points sensibles et essayés quelques fantasmes. Elle m’avait aidé à gagner de la confiance en moi-même et me décomplexer avec mon corps. Elle était belle, séduisante, souriante et sentait bonne. Elle ne voulait pas d'une relation officielle, mais appréciait passer du bon temps avec moi. Avant Sandrine, j'avais eu quelques copines, mais rien de sérieux. C'était plutôt des amourettes de l'adolescence.

Physiquement, je dirais que j'étais dans la moyenne. Grand, élancé, pas de surpoids, les cheveux bruns avec une petite coupe BCBG à la mode et un sourire espiègle qui faisait craquer certaines. Ma morphologie se distinguait par mon torse très plat de type rectangulaire avec deux pectoraux plats, mais légèrement découpés, imberbe avec une petite ligne de poils entre le nombril au pubis. Malgré plusieurs séances de sport et de musculation, je comparais mon torse à une planche de bois tellement il était plat, droit et sec. J'étais incapable de le muscler davantage. Sportif, j'ai toujours fait du vélo de montagne l'été et, l'hiver, je jouais au hockey dans une ligue organisée. J’ai donc passé mon adolescence et ma puberté dans les vestiaires et les douches communes.

J'habitais dans une petite ville assez conservatrice de campagne dans le sud du Québec (Canada). Loin des grands centres, tous se connaissaient leur nom, mais surtout par leur réputation. L'homosexualité était assez stéréotypée par ce qu'on voyait à la télévision (Gay Pride et autres). À cette époque, il y avait bien Internet, mais c'était embryonnaire, surtout pas d’application de rencontre comme aujourd’hui.

Olivier est un ami d’enfance. On se connaissait depuis l’école primaire, avions joué au hockey pendant plusieurs années dans les mêmes équipes et, surtout, nous avons faits les quatre cents coups ensembles. D'une complicité irréprochable, nous nous confions nos plus intimes secrets et nous nous protégions mutuellement des conflits avec les autres. L'un de nos grands plaisirs était de se lancer des défis absurdes en disant : " t’es pas game de… (es-tu assez courageux pour...) … commander une pizza au voisin d'en face... de séduire telle fille de la classe... de cacher les cartables du professeur ... etc.… ». Nous avons passé notre adolescence à faire du sport, à se lancer des défis et à jouer à des jeux vidéo.

Lui, selon moi, beaucoup plus sexy que moi, avec ses cheveux châtains en chamaille (mais avec style), les épaules plus larges que les miennes, il avait la vrai morphologie d’un sportif (en triangle inversé) avec une musculature plus développée que la mienne, dont des abdominaux bien découpées. Lui aussi imberbe, seulement quelques poils de barbes au menton, il dégageait de la confiance en lui-même et adorait se montrer en valeur devant les autres. Quand il était gêné ou après un effort physique, ses joues devenaient rouges tomate, ce qui lui conférait un charme certain. Coté sexe, il se vantait de ses multiples conquêtes depuis plusieurs années, dont les filles les plus sexy que tous désiraient.

Depuis un an, nous nous voyions beaucoup moins, car il avait choisi une autre université que celle où j'étais inscrit. Lui en génie civil, moi en administration des affaires, on n'a pas eu le choix de nous développer de nouveaux réseaux d’amitié et de nouvelles copines.

Au retour pour les vacances scolaires estivales, nous avions retrouvé le même emploi d'été que l'année précédente, soit dans une imprimerie industrielle où le salaire était excellent pour des étudiants. Ce qui était bien, c'est que l'imprimerie fermait toujours lors des deux dernières semaines de juillet. Nous étions alors contraints, comme les autres employés, de prendre des vacances. Sans que je le sache à ce moment, ce sera deux semaines significatives dans ma jeune vie de 19 ans.

Une semaine avant, Olivier m'avisa que ses parents avaient décidé de partir en voyage pendant deux semaines et avaient confié la maison familiale à Olivier, mais devait respecter des règles strictes. Il ne pouvait inviter plus qu’un ami (ou une amie) à la fois, devait appeler à tous les soirs, faire le ménage, la pelouse et entretenir la piscine creusée. Il m’offrit donc de passer ces deux semaines à dormir à la maison pour « gamer » sur la console, faire du vélo de montagne et profiter de la maison. J’ai avisai mes parents de l'invitation pour rattraper le temps perdu.

Arrivé chez lui le samedi matin, il était torse nu et en bermuda dans la cour extérieure et passait l’écumoire pour ramasser les feuilles mortes dans la piscine. Pas de voisin à l’arrière, la maison des parents d'Olivier était isolée des autres par d’immenses cèdres de plus de 3 mètres de haut. Il me salua avec énergie, vient à ma rencontre et me dit : « imagine, deux semaine avec cette piaule... on pourra inviter des filles et s'amuser comme on veut », à quoi j'ai répondu que c'était un excellent plan... "certaines vont payer..." et on est parti à rire. C'est alors qu'il m'agrippa par le bras et me poussa habillé dans la piscine. Dans ma chute, je m’agrippai à lui et il n'eut pas d'autre choix que de tomber en même temps que moi. Nous avons ris un bon coup, puis on est sorti pour retirer notre linge mouillé.

Une fois en boxer, il me dit alors : « Rendu là, pourquoi ne pas se baigner nu, c’est tellement plus agréable. "As-tu déjà essayé? », à quoi j’ai répondu que oui dans le lac de la maison de campagne de la famille. Voyant que j’hésitais, il me dit "t'es pas game" et se mis à rire de moi et de ma petite « bizoune » qu'il avait déjà vue plusieurs fois au hockey. Il en rajouta en disant qu’il comprenait pourquoi j’étais gêné avec un gros sourire moqueur. Je lui ai alors répondu, qu’à mon souvenir, la mienne était bien plus gosse que la sienne et, voulant ne pas perdre la face, je me suis mis nu très furtivement et je plongeai dans la piscine. Il retira immédiatement son boxer Kevin Klein noir et sauta à son tour dans la piscine. On s’est mis à se chamailler en se faisant caler la tête sous l’eau. On riait et ça nous rappelait nos belles années. Après plus d’une heure dans l’eau, on se rendit compte qu’on avait pas de serviette près de la piscine. Il me dit alors : « Et maintenant, t’es pas game de passer la journée nu jusqu'à demain ». Je lui ai répondu « en effet, je ne suis pas game ... » à quoi il m’a dit que lui l’était. Voyant que j’étais surpris et que j'hésitais, il sorti de la piscine, se mis nu face à moi, fit tourner son pénis comme un hélicoptère et me traita de « moumoune pudique ». J’acceptai donc son défi et sorti de la piscine. Il me donna alors une claque sur la fesse gauche et on alla se faire sécher au soleil sur les chaises longues. Pour quoi, il n'y avait rien de sexuel, seulement deux jeunes hommes qui font du nudisme. Rien de différent avec les douches communes au hockey.

C'est au fil des discussions que c’est devenu un peu plus corsé pour nous deux. Comme à notre habitude, on s’est mis à parler de sexe et de nos expériences sexuelles, des filles les plus "cochonnes" et de quelques anecdotes savoureuses. Par exemple, je lui racontai la fois où je m'étais retiré pour éjaculer sur ses seins, pour finalement qu'elle reçoive 5-6 jets dans les cheveux et le visage. On riait de bon cœur. Je remarquai rapidement qu'Olivier commençait à avoir une érection et, moi aussi, la discussion me faisait de l'effet. On se regardai dans les yeux et on s'est mis à rire, mais nos érections ne réduisaient pas d'un cran, bien au contraire, nous étions tous les deux bien bandés. Habituellement, il y avait toujours une manière de cacher celle-ci dans le bermuda, mais là, nus, c'était impossible. Je lui ai alors dit: "c'est gênant" à quoi il m'a répondu: "on est des humains, c'est normal de bander quand on parle de sexe" avec un petit clin d'œil complice. Gêné, je lui ai répondit "oui, mais pas devant un gars" et je me suis levé pour me jeter dans la piscine. Il me suivi et on s'installa à quelques mètres de moi. "Tu as eu une bonne idée, l'eau froide va nous ramener les idées claires." J'ai alors plongé sous l'eau, pris l'une de ses jambes pour me caler sous l'eau. S'en est suivi une nouvelle période de chamaillade puis, sans aucune arrière-pensée, j'ai accroché son pénis qui était encore en érection. Il s'est alors éloigné, puis a plongé sous l'eau et a ressorti à moins d'un mètre de moi. De manière très intense, il m'a regardé droit dans les yeux. Je le regardais, moi aussi, avec un petit sourire, ne sachant pas trop comment agir, gêné et essayant d'alléger ce moment inconfortable. J'avais une boule dans l'estomac. Il y avait un silence impénétrable. Il s'est alors approché et m'a donné un petit bec sur la bouche. Choqué par son geste non consentant, je l'ai immédiatement repoussé et je lui ai répondu que je n'étais pas gay. J'étais froissé de son geste. D’un ton sec et froid, il m'a alors répondu que lui non plus. Il s'est excusé et a dit qu'il ne comprenait pas pourquoi il a agi ainsi. Il regardait l'eau et évitait tout contact visuel avec moi. Certainement gêné, ébranlé et apeuré, il semblait au bord des larmes. Il marmonnait qu’il regrettait, qu'il ne comprenait pas, que c'était soudain et de nombreux « je m’excuse » et « n’en parle pas à personne ». Tant qu'à moi, j'avais toujours ma boule dans l'estomac et j'étais complètement mélangé sur mes sentiments. Bien que j’avais joué la carte de l’hétéro offusqué, j’étais encore en érection sous l’eau. Olivier était mon meilleur ami et jamais, au grand jamais, je m'aurais permis d'avoir des sentiments amoureux à son égard (ou à tout autre garçon). Plusieurs minutes ont passées. Il y avait un silence absolu dans la piscine et une lourdeur dans l'atmosphère. Je crois que c’est avant tout pour sauver notre amitié et dédramatiser ce qu’il venait de se passer, je me suis alors rapproché tranquillement de lui et je l'ai embrassé quelques secondes sur les lèvres. Je lui ai alors dit: "ce n'est pas grave, ce n'est pas un petit bec qui va briser notre relation". Il m'a alors souri. J'étais alors bandé sous l'eau comme jamais, comme si mon pénis voulait exploser, mais lui n'en savait rien et je préférais ainsi. Je ne me comprenais pas, alors impossible de partager ce que je vivais. En fait, je crois que je n’acceptais pas ce qui se passait.

J'ai alors fait quelques longueurs et pensé à autre chose pour baisser l'excitation et revenir à mon état normal, je suis ensuite sorti de la piscine, toujours nu, pour me faire sécher sur la chaise longue. Olivier m'a alors demandé si je préférais m'habiller et laisser tomber ce "défi niaiseux". Je lui ai répondu que je savais que c'était lui la "moumoune" et qu'il allait abandonner avant moi. Étonné, mais contrarié, il m'a alors avoué qu'il ne pouvait pas sortir de l'eau, puisqu'il a une érection qui refuse de partir. Il s'explique alors que ça fait trois jours qu'il n'a rien fait. Je lui ai alors répondu, bien crampé, qu'il avait le choix entre abandonner son défi absurde ou de sortir et de d'assumer qu'il est incapable de contrôler ses érections ou qu'il est une petite pédale. À ma grande surprise, il décida de sortir nu et bandé, avec un sourire de bravoure et de fierté. Je lui ai dit : « bravo, je n’aurais jamais osé ».

Chapitre 2: Les premiers actes

Couché à côté de moi, il avait une très belle érection. Son pénis était couché sur son vendre. Il devait faire 18 cm, assez large, ses couilles étaient rasées, non circoncis et son pubis bien entretenu. À sa vue, je me suis mis à bander moi aussi, avec mon 20cm, plus mince que celui d'Olivier, mais tout aussi vigoureux. Je l'ai alors regardé dans les yeux et demandé s'il avait déjà fait quelque chose avec un gars, ce qu'il m'a répondu par la négative et moi aussi. Il m'a alors demandé si je serais capable de l'envisager. Je lui ai dit que je n’en savais rien, que je me considérais hétéro à 100%, mais que je ne me comprenais plus. Il m'a répondu que lui aussi, il se considérais hétéro, mais qu'il m'aimait bien. Je lui ai alors dit: "Deux beaux hétéros bandés qui se sont embrassés nus dans une piscine. Pas certain que ça tienne dans un mémoire de maîtrise" et on s'est mis à rire. Il était évident qu'on se regardait sur un angle qu'on avait jamais imaginé.

Puis, j'ai décidé de casser la glace : "Nous sommes des adultes... On se fait confiance... Rien de mal à s'amuser et d’essayer! Si tu es consentant et moi aussi, qu’est-ce qui nous empêche ? Tu es mon meilleur ami, tu es la meilleure personne avec qui je serais capable de l'essayer... Mais il faut mettre des règles claires, c'est une question de confiance totale envers l'autre et de l'amitié entre nous.

a) Ce n'est que du sexe. Pas question d'avoir une quelconque relation amoureuse! Je ne suis pas gay!

b) On en parle à personne. Amis, parents, famille, école... Personne! Et on le jure.

c) On arrête si l’autre n’aime pas!

d) L'amitié ne doit jamais être abîmé par le sexe!

À quoi il a répondu : "Tu es certain? Je ne sais pas vraiment si c'est la bonne chose à faire... Je ne suis pas gay et j'ai tout le sexe que je veux dans ma vie. Je ne vois pas ce que ça va nous apporter". À quoi j'ai répondu que sa queue disait le contraire, mais que les deux possibilités m’allaient. Il a répondu: "Ok pour les règles, mais allons-y à notre rythme." Je crois qu’à ce moment, nous voulions les deux protéger notre image d’hétéro pure et dure aux yeux de l’autre : sauver les apparences et ne pas assumer cette pulsion.

Nous sommes donc rentrés et montés à sa chambre. Sa chambre était propre, bien rangée, avec un grand lit "queen", un grand miroir au mur et une commode avec une trentaine de médailles de compétitions sportives, quelques posters de sport, une TV et sa console de jeux. Nous étions nus, bandés et, surtout, gênés. Les deux ne savaient quoi dire ou quoi faire. On se regardait dans les yeux. Il s'est donc approché, a déposé son index de mon nez, puis a descendu tranquillement vers mes lèvres, accrocha ma lèvre inférieure, puis descendit mon menton, ensuite entre mes petits pectoraux, mon ventre, nombril, puis mon pubis. Je frissonnais de désir. Il m'a dit que mon torse et mes fesses le faisait craquer depuis l'adolescence. Je n'en savais rien. Il m'a dit, tout est géométrique, droit, parfait... J'étais figé par ses compliments et cette révélation. Force de constater qu’Olivier avait une attirance envers moi depuis fort longtemps et qu’il refoulait ses sentiments. Il avait bien joué son jeux d’hétéro. Jamais j’avais remarqué une quelconque attirance.

Il a ensuite mis ses deux mains sur mes hanches, puis sur le haut de mes fesses et nous nous sommes embrassés tendrement. Au début, nous embrassions les lèvres, puis avec la langue avec plus de passion. Nos sexes se juxtaposaient, mes mains et les siennes sur nos fesses. Ce moment d'érotisme me parut durer une éternité. Je crois que nous nous sommes embrassés pendant une vingtaine de minutes. Puis il s'est lassé de ma bouche pour descendre tranquillement vers mes pectoraux qu'il a lichés et mordillés, pour se mettre ensuite à genoux sur le sol. Il m'a alors regardé tendrement, assis sur ses talons et me regardait avec son sourire accrocheur. On dirait qu’il attendait une quelconque approbation. Il s'est mis ensuite à donner des petits coups de langue sur mes testicules, mon pénis et mon gland, avant d’entreprendre une fellation comme je n'avais jamais reçue (faut dire que je n’avais pas, non plus, beaucoup d’expérience). Je frissonnais de plaisir, mes fesses se resserraient à chaque descente, la succussion et la bave qui humectait mon phallus. Le bruit qu'il faisait, voir ses yeux qui me regardaient et ma main qui s'accrochait à ses cheveux. À tel point que je lui ai demandé de cesser pour ne pas jouir immédiatement.

Je l'ai ensuite poussé sur le lit, écarta ses jambes et entrepris moi aussi une fellation bien humide. C'était la première fois. Il y avait un petit goût de chlore de la piscine. Je voulais bien faire. Je mettais toute la bave nécessaire et je faisais tourner ma langue autour de son gland. J'essayais de le faire pénétrer ma gorge comme dans les pornos, essayant d'embrasser son pubis avec mes lèvres, mais je m'étouffais dans mes tentatives. En même temps, je malaxais tendrement ses testicules, pressait avec mon index sur mon périnée, puis dans la zone près de son anus. Puisque ses jambes s'écartaient de plus en plus et relevait ses fesses, je comprenais qu'il appréciait. Ce ne fut pas long qu'il me demanda de me retirer pour ne pas jouir. J'ai alors accéléré le mouvement et, simultanément, j'ai pénétré mon index mouillé à l'intérieur de son orifice. Il s'en a suivi 7-8 jets explosifs dans le fond de ma gorge. Ça ne finissait plus. Je n'avais jamais vraiment goûté du sperme. Il avait un goût un peu acre et à la fois sucré. J'ai avalé du mieux que j'ai pu, mais il en coula autour de ma bouche. Puis, je suis allé l'embrasser, avec sa séance encore sur les lèvres et le visage. Il m'a alors dit qu'il n'avait jamais jouis aussi fort et intensément de sa vie. Il s'est alors couché en étoile, incapable de dire ou faire quoi se soit. Il m'a remercié : "Ouff, merci, la meilleure pipe de ma vie". Lui, qui disait avoir eu plus d'une vingtaine de conquêtes, j'étais satisfait de mon travail.

Quelques minutes pour se ressaisir, il a ensuite grimpé sur moi et m'a embrassé de nouveau avant de redescendre à mon entre-jambes et de poursuivre la fellation qu'il avait débuté. Il me fit écarter les jambes et lui aussi s'est mis à titiller mon anus vierge. Il quitta alors la pièce avec de revenir avec un pot de crème hydratante et il a poursuivi sa fellation tout en tentant de se faire un chemin entre mes testicules et mon anus. Instinctivement, je serais l'anus de peur d'avoir mal. Il a finalement réussi à rentrer un doigt qui fit aller d'un mouvement de va et viens, puis il entra un deuxième et continua le mouvement. J'étais alors complètement abandonné et je gémissais de plaisir. Alors qu'il venait de quitter ma verge avec sa bouche, sans avertissement, j'éjacula 6 à 7 jets directement au visage et dans les cheveux châtains de mon meilleur ami. Il est alors parti à rire et licha ce qu'il put autour de sa bouche. Je lui donnai des mouchoirs qu'il puisse en retirer le plus possible. Il m'a alors dit: tu me traites comme la petite saloppe de ta classe et on est parti à rire. "Respect", je lui ai répondu que Sandrine n'était pas une saloppe comme il dit… Puis je lui ai dit : « je crois que tu as besoin d’une bonne douche mon « salop » et on est parti à rire.

On sauta alors dans la douche. On était bandé de nouveau. On se nettoya mutuellement le dos, les fesse, le petit trou, notre torse. Ce fut un moment fort agréable. Ont sorti ensuite de la douche, puis d'un commun accord, on décida de retourner dans le lit d'Olivier. Je me mis à le masturber tendrement et tranquillement et fit de même. On se regardais dans les yeux, souriants et s'embrassait tendrement. On se faisait des câlins. C'était magique. Je passai une bonne partie de l'après-midi la tête sur l'épaule d'Olivier à passer ma main sur ses abdos.

Il me regarda et me demanda si je désirais aller plus loin. "Tu veux dire me pénétrer ou te pénétrer?" Il me répondit avec un sourire. Je lui répondis que je ne savais pas, que j'avais peur d'avoir mal et de ne pas aimer. Il alla alors chercher des condoms et du lubrifiant dans la chambre de ses parents. Il me dit qu'il avait vraiment aimé la sensation de mon doigt dans son anus et que, si j'étais d'accord, il désirait essayer. Je le regardai dans les yeux et on s'est embrassé, caressés et malaxés ses fesses avec vigueur. Puis, je lui ai demandé qu'il se couche sur le ventre. Il se mit un oreiller sous ses hanches pour faire remonter ses belles fesses rondes musclées vers le ciel. Je me suis mis à les écarter. Son petit trou était rose bonbon, en étoile, tout propre et vierge. Je ne pis m'empêcher de rapprocher mon visage et je sorti ma langue pour atteindre l'objet recherché. Il a répondu "putain que c'est bon". Ceci m'encouragea et je lui lichai l'anus jusqu'à ce qu'il s'ouvre naturellement pour que je puisse enfoncer ma langue de quelque millimètre. Puis, aidé par la salive abondante, je glissai un doigt, puis deux, puis trois...tout en poursuivant un mouvement de va et viens. Il était définitivement bien dilaté. Je lui demandai alors s'il était certain de vouloir le faire, à quoi il a répondu plus que jamais. Je glissai alors quelque goûtes de lubrifiant sur son anus, puis j'enfilai un condom et glissa quelques gouttes sur le condom. Il grimpa instinctivement sur ses genoux, son anus bien ouvert vers le haut, mon gland à quelques centimètres de son anus tout rose, à glisser mon gland dans la fente de ses fesses. Puis, j'accotai mon gland et je tentai de rentrer à l'intérieur millimètre par millimètre. Je voyais son visage se contracter et j'ai aperçu une larme couler de son œil, mais il me rassura et me demanda de poursuivre... Ce ne fut pas trop long que mon gland était complétement rentré. Je lui laissai du temps de s'habituer et j'aperçu enfin son visage se détendre rapidement. Je continuai à rentrer dans son orifice toute la longueur de mon phallus, puis entrepris quelques vas et viens tout doucement. Son trou était très serré et chaud. Rien à voir avec ce que je connaissais. Il gémissait légèrement et m'encourageait à aller plus fort et plus vite, ce que je fis. Puis, je lui demandai de se retourner sur le dos, fis monter ses jambes sur mes épaules et le repénétra d'un seul coup. J'admirais son torse, ses pectoraux et ses abdominaux, j'allais souvent l'embrasser, avant de poursuivre mes coups de rein. Il gémissait de plus en plus fort, son sexe était débandé et ballottait selon le mouvement des coups que je donnais. Au bout de quelques minutes, je senti ma jouissance monter et j'éjaculai dans la capote à l'intérieur de ses entrailles. Je tombai sur le côté, en sueur, essoufflé et épanouis par cette expérience. Je me suis excusé de n'avoir duré plus longtemps.

Il me dit alors que c'est la plus belle expérience de sa vie et me remercia et m'embrassant tendrement. Je retirai le condom et j'allai prendre une autre petite douche. On regarda l'heure et, voyant qu'on avait passé l'après-midi à baiser, et on décida de descendre manger un morceau avec une bière. On échangea sur ce qu'on avait vécu. Il me raconta son expérience, la douleur, puis la sensation de jouissance méconnue auparavant par cette pénétration. Il me raconta que c'est très différent comme plaisir, rien à voir avec l'éjaculation masculine. Il essaya de me convaincre de l'essayer, mais on décida de remettre ça au lendemain, ayant mal à mes testicules qui étaient complétement vidées. On se baigna en soirée, puis on a joué à des jeux vidéo, avant de se coucher nus un à côté de l'autre, épuisés de notre journée.

Chapitre 3 : Le lendemain matin

Au petit matin, en ouvrant l’œil, je me rendis compte que ce n'était pas un rêve. Olivier dormait encore, nu, avec une belle érection matinale. J'étais honteux de qu'on avait fait la veille, je regrettais amèrement d'avoir fait l'amour à un homme et je craignais qu'Olivier me culpabilise des événements de la veille. Je cherchais désespérément une excuse pour rattraper le tout. Je n'étais pas gay et je ne voulais pas d'une relation sexuelle avec mon meilleur ami.

Ce ne fut pas long qui se réveilla. Il me fit alors un beau sourire, s'approcha et m'embrassa sur les lèvres. Je lui ai dit que j'étais tellement soulagé qu'il ne regrette pas la veille. Il me dit: "pourquoi je regretterais ? Tu regrettes, toi ? Pourquoi regretter ?" Instantanément, mon pénis repris de la vigueur et je sauta à son coup pour l'embrasser. Je lui ai dit que j'étais vraiment mélangé et que je ne savais pas quoi penser de tout ça. Il m'a répondu : "laisse-toi aller et profites du moment présent!", puis mis son index devant la bouche en disant "chuttttt" doucement, pénétra l'index dans bouche, avant de redescendre tranquillement le long de mon torse, mes petits pectoraux, mon nombril, mon pénis et mes testicules, avant de me masturber délicatement. J’adorais quand il faisait ça. "Vient, on va déjeuner, j'ai faim .... Tu n'auras pas le temps de regretter aujourd'hui" et me souris.

On s'embrassa quelques instants, puis on est descendus bandés se faire un café et du pain au Nutella. Il me regarda alors, très moquer, et me dit que me laisser faire avant d'essuyer son couteau de Nutella sur mon gland, puis descendit aller le nettoyer du chocolat. Il se trouvait très drôle. On alla ensuite se baigner, jouer à des jeux vidéo et quelques poids altères dans le garage nu. On bandait régulièrement, mais faisait comme si rien n'était, voulant provoquer le désir à son maximum. Vers 15h00, il me demanda si je voulais prendre une douche avec lui.

Dans la douche, on s'embrassa, on se suça et on se lava sur toutes nos coutures. Je commençais à connaître parfaitement son anatomie. Après s'être séchés, on alla ensuite dans la chambre à coucher. On se mit en 69 et on se fit des fellations mutuelles. Puis, il me demanda si je voulais essayer. Un peu nerveux, je m'installai comme Olivier la veille, oreiller sous mon ventre et le laissa s'occuper de mon petit trou. Il ne se fit pas attendre qu'il me fit lui aussi un annulions avec sa langue bien aiguisée. Je n'avais jamais eu ce type de sensation. Je gémissais tellement. Comme la veille, mais à l'aide du lubrifiant, il glissa un doigt, puis deux, puis trois... J'étais complétement à lui, abandonné et détendu. Puis, je me retournai sur le dos, l'aida à enfiler le condom, puis mis mes jambes sur ses épaules. Je préférais cette position, qui me permettait de voir son visage lors de l'acte. Il pénétra tranquillement en faisant bien attention de rien brusquer. Peut-être à cause de l'appréhension ou à cause que j'étais bien dilaté, ce fut beaucoup moins douloureux que je croyais. Je sentais la chaleur de son phalus renter en moi. J'empoignai mes fesses pour les écarter d'avantage. Il s'est mis ensuite à faire des va et viens. Je trouvais ça quelque peu désagréable au début, puis je me suis mis à apprécier et à gémir à chacun de ses coups de rein. Mon pénis était semi dur et ballottait dans tous les sens. Je sentais son gland frôler ma prostate. J'adorais cette nouvelle sensation. Je fermai les yeux et décida de m'abandonner complétement à Olivier. Mes gémissements se sont transformés en couinements de plus en plus fort. Au bout de plusieurs minutes, je sentis que j'allais jouir. Instinctivement, j'ai serré les fesses sur sa queue, puis je me mis à crier en voyant un petit jet de sperme sortir de mon pénis tout mou que je n'avais pas touché. J'étais émerveillé. Je ne comprenais pas. Voyant cela, il se crispa, enleva le condom, puis éjacula plusieurs jets sur mon ventre. Je pris alors mon doigt pour le glisser dans son sperme et l'amener à ma bouche. Olivier, tant qu'à lui, était tout en sueur, luisant, beau comme un cœur et tomba sur le côté essoufflé. Il me dit: "pour un gars qui pensait ne pas aimer ça... tu as éjaculé mon cochon... " et nous sommes partis à rire. Je lui répondis que je comprenais vraiment ce qu'il a vécu la veille. Il se coucha alors sur mon ventre, toujours plein de sperme, pour m'embrasser tendrement. Il me dit alors qu'il était heureux. J’avais un peu mal à l’anus.

Dans les heures qui ont suivis et dans la soirée, avec quelques consommations, on a beaucoup parlé d'homosexualité, de bi sexualité et d’où qu'on croyait être ou ne pas être. En fait, ni un, ni l'autre ne savait où il en était et plus rien ne tenait. On parla de la théorie de Kinsey qu'on avait étudiée au collège, qui établissait le spectre de l'homosexualité. On parla de son attirance pour moi depuis fort longtemps, qu’il se masturbais régulièrement à pensant à moi ou à d’autres gars de la classe et qu’il avait tellement peur de ma réaction s’il m’en avait parlé. Il s’excusa. On en profita aussi pour parler des ITSS et on a convenu qu'on irait passer des tests ensembles. On prit alors un rendez-vous dans une clinique spécialisée à 30 minutes de chez eux.

Chapitre 4 : Imberbes pour de vrai

Lundi matin, on se rendit ensemble en voiture à la clinique, mais on fit semblant qu'on ne se connaissait pas. Après deux jours nus, ce fut bizarre de remettre un boxer et des vêtements sur notre corps. Il y a une vingtaine d'années, les tests se faisaient encore avec un coton tige, un test par l'urine et de sang. À tour de rôle, une infirmière a fait une prise de sang, posée des questions sur nos pratiques sexuelles, puis a demandé de baisser mon short et mon boxer. J'étais gêné de me retrouver nu devant une inconnue. Elle m'expliqua qu’elle allait rentrer un coton tige à l’intérieur de mon urètre. Ce fut assez douloureux, mais pas très long comme examen. Puis, elle prit un autre coton-tige pour faire le tour de mon gland qu'elle observa attentivement. Elle me palpa ensuite les testicules (pour le cancer qu'elle me dit), puis m'offrit de faire un autre prélèvement rectal étant donné que j'avais eu des rapports avec un autre homme. J'acceptai. Je mis alors mes pieds dans des étriers et fit tourner rapidement le coton tige sur mon anus. Elle me remit ensuite un gobelet et un petit contenant pour le test urinaire que je devais faire à la salle de bain. Une fois terminé, je me rhabillai et rejoignis mon ami dans la salle d’attente. Je fis comme si rien n'était de peur qu'il s'enfuit. On quitta ensuite la clinique pour acheter des condoms et du gel à la pharmacie, puis retourner à la maison.

Une fois de retour, on se déshabilla et Olivier me demanda de le suivre dans la chambre. Il m'a dit qu'il voulait essayer quelque chose qu'il avait vu dans un porno gay. Il alla chercher une serviette qu'il installa, pris une bombe à mousse à raser et un rasoir. Il me demanda de me coucher sur le dos et de me laisser faire. Il moussa mes testicules, mon pubis et le bas de mon ventre, puis entrepris un rasage complet à la peau, incluant le périnée et quelques poils perdus près de l'anus. Après avoir essuyé, il me demanda si j'aimais ça. C'est la première fois que je voyais mon pubis complétement rasé et imberbe depuis ma puberté. Ensuite, il me fit lever les bras et entrepris le rasage de mes aisselles. J'aimais le résultat. Je me sentais différent.

Il m'a ensuite demandé de faire à l'identique pour lui, ce qui me fit plaisir. Je commençai par ses aisselles poilues, puis son pubis et ses testicules qui étaient déjà bien entretenus. Il me dit alors qu'il préférait ainsi, que c'était plus propre et qu'il est certain que les sensations seront encore meilleures. À quoi, je lui ai répondu qu'il faudra essayer pour voir. Il m'a répondu par un sourire. On sauta à la douche et on s'embrassa avec passion. Olivier s'accota sur le mur de la douche, fit ressortir ses petites fesses musclées, puis je le pénétrai avec un condom avec l'eau qui coulait dans son dos. Il adorait et en redemandait. Rapidement, je senti l'éjaculation approcher et je me retirai pour le laisser me faire la même chose. Je pris alors sa place et il me pénétra rapidement. J'avais la joue accotée sur la céramique froide, son avant-bras puissant me retenait contre le mur et je couinais comme jamais. Je me sentais complètement abandonné à lui. Il me claqua alors la fesse droite bien solidement au point où je sentais ses doigts sur moi après les avoir retiré. Cette sensation de brûlure m'envouta encore plus. Il se retira finalement, me demanda de me mettre à ses genoux dans la douche et éjacula 3-4 jets sur mon visage, mes cheveux et ma bouche. Je sautai alors sur son gland pour le nettoyer proprement. Ensuite, ont sorti de la douche et il se coucha sur le dos. Je mis une nouvelle capote, un peu de lubrifiant et je le reprenais quelques minutes avant d'éjaculer à mon tour dans ses entrailles. Je me retirai finalement, essoufflé, puis on s'est mis à rire. Nous sommes de vrais putes qu'on s'est dit.

Les deux jours qui suivirent ont été identiques: baignade, nudisme, jeux vidéo et, surtout, le sexe. C’était aussi pendant que cette période que nous nous sommes éduqués sur des sites et des forums sur la sexualité gay. On découvrit alors les avantages des lavements avec une poire avant de le faire.

Quelques jours plus tard, le téléphone sonna pour m'aviser que j'étais négatif aux tests effectués, incluant le VIH. Ensuite, Olivier reçu lui aussi l'appel et il était lui aussi négatif à tous les tests. On se regarda ensuite dans les yeux. On en avait parlé plusieurs fois. Ça n'a pris quelques secondes, on s'est mis à bander, on s'est déshabillés dans la cuisine et il me fit l'amour sans préservatif sur la table. Tout était mieux, tout était plus sensible, plus vrai et sans barrière. Lui aussi disait qu'il me sentait plus, qu'il avait plus de sensations et que c'était beaucoup mieux. J'entendais sa forte respiration. Moi, je couinais comme à mon habitude, petites fesses dans le vide et j'en demandais toujours plus. Ce ne fut pas long avant que j'éjacula sur mon ventre alors que lui éjacula plusieurs jets dans mes entrailles. Je sentis alors le sperme chaud se rependre, puis sortir tranquillement de mon anus. J'adorais la sensation. Lui aussi. Nous étions en extase. On se promis alors qu'on ne prendrait plus de chance avec personne pour se préserver l'un à l'autre. Que nous serions exclusifs sans protection.

On fit ainsi l'amour à tous les jours jusqu'au retour de ses parents. En fait, nous en avions jamais assez. D'une libido plutôt forte, malgré la douleur à l'anus et aux testicules, chaque moment et chaque pièce de la maison étaient approprié pour faire l'amour, se sucer ou se masturber. On manquait souvent de sperme, incapable de produire assez pour nos besoins intenses. À l'une des journées, on le fait 7 ou 8 fois. Dans la douche, la chambre, la piscine, sur la pelouse, la cuisine ... C’était très intense. Jamais je crois que je n’ai autant baisé dans ma vie que lors de ces 14 jours ensembles.

Lorsque nous étions invités à des fêtes avec des amis, il était difficile de faire comme si rien n'était. Je voyais les filles tourner autour d'Olivier et ce dernier fleurait pour ne rien laisser paraître. De mon côté, j'ai même embrassé une fille en dansant près d'une piscine pour ne pas éveiller les soupçons. On voulait garder notre relation secrète.

Au fils des jours et de nos nombreuses relations sexuelles, tout naturellement, je pris de plus en plus la place du bottom et Olivier prenait de plus en plus un rôle plus du top. Bien que les rôles s'échangeaient, mais je sentais une tendance où il prenait les devants de plus en plus dans nos relations sexuelles, choisissait les positions. Il m’avoua qu’il préférait de beaucoup que je me maintienne rasé complètement, alors que lui refit pousser son pubis et ses aisselles, mais toujours bien entretenu. Je voulais lui plaire. Ça ne me dérangeait pas. Je voulais lui faire plaisir.

Puis, ses parents furent de retour, le travail repris et le mois d'août passa trop vite. On n'avait plus beaucoup de temps seuls pour faire s'amuser. Il fallait être prudents pour ne pas éveiller les soupçons de nos familles et amis. On avait trouvé un petit bois tranquille près de l'usine et on s'y rendait pour se faire plaisir (principalement se masturber et se sucer). Sinon, on profitait de tout moment où nos parents étaient absents pour quelques heures. Puis, ce fut le retour à l'université.

Chapitre 5: Les vacances du Nouvel An.

Avec le retour des classes en septembre, ce fut très difficile pour nous deux et on se voyait presque plus. Nous nous étions mis d'accord pour avoir de nouvelles aventures chacun de notre côté, mais toujours protégés. Ainsi, je me fis une blonde que je présentai à mes parents. Une jolie et gentille fille, mais sexuellement, ce n'était pas extraordinaire. On se laissa à quelques semaines de Noël. Quant à Olivier, comme à son habitude, butinais d'une petite fleur à l'autre, fracassant des cœurs au passage. J'ai l'impression qu'il a eu quelques aventures avec des gars de son université, mais je ne voulais pas le questionner. Je préférais ne pas poser de question. Je m'ennuyais d'Olivier.

Puis, un vendredi soir, il m'appela pour me demander si je voulais passer une semaine à Miami avec lui lors des vacances du Noel pour fêter le nouvel an. Il m’expliqua que par une agence de voyage pour étudiants, il avait trouvé un forfait en autocar vraiment pas trop chère dans un petit hôtel de Miami Beach en Floride pour cinq nuits (plus deux nuits dans l'autobus). J'acceptai volontiers l'invitation surtout que le prix était très acceptable.

L'autocar était rempli de jeunes, filles et garçons, du collège ou de l'université, mais je ne connaissais personne. On dormit une bonne partie du trajet de 30 heures sans escales (sauf des pauses repas/pipi). Une fois sur place, nous nous installions dans notre chambre, fermis les stores et on s'embrassa follement. Ça faisait quatre mois que nous n'avions presque rien fait ensemble. Ce ne fit pas long avant qu'il me déshabilla. Je m’étais évidemment rasé pour l’occasion. Il me fit une belle fellation avec des gorges profondes avant de m'installer sur le dos et de pénétrer pendant de longues minutes. Je couinais de plaisir au point d'éjaculer sur mon ventre trois beaux jets. Il me dit alors, avec son beau sourire, tu t'es vraiment ennuyé de mon pénis. Je lui ai répondu, arrête de parler et baise moi encore. Il continuait avec passion ses coups de reins dans mes entrailles avant d’éjaculer plusieurs jets en moi. On était les deux en extase et on se dit que la semaine de cinq nuits à Miami allait être extraordinaire.

Arrivés le 31 décembre, il était alors déjà 15h00. À l'extérieur de l'hôtel, on marcha et on découvrit rapidement plusieurs bars gais le long de la Collins Ave (rue commerciale près de la plage) avec de magnifiques jeunes étudiants à l'intérieurs qui semblaient fêter le Nouvel An. Olivier me dit alors: "Tu comprends pourquoi Miami était un bon choix! Me dit-il avec un petit clin d'oeil. Puis, on se regarda droit dans les yeux. Je lui ai alors demandé: " Ici, on pourrait s'assumer et de ne pas cacher ? Personne ne nous connaît, non ? " et, en pleine rue, entouré de dizaines de personnes, me pris par les hanches et m'embrassa pendant plusieurs secondes. On se pris alors par la main, comme un couple amoureux, pour se rendre à la plage pour se baigner dans les vagues turquoises. On s'est embrassés à plusieurs reprises. Certains semblaient choqués, d'autres semblaient nous envier. On s'arrêta dans une petite pizzeria pour souper, puis on se dirigea vers l'hôtel.

Après une bonne douche chaude, on refit l’amour une seconde fois, mais cette fois-ci, après l’avoir poussé sur le lit, je le pénétrai pendant de longues minutes. Il me retourna ensuite pour me faire la même chose. Après s’être retiré, il s’est assis sur mes genoux, puis on s’est masturbé pour éjaculer en même temps sur mon ventre. Vidé, deuxième petite douche à deux, j'ai ensuite enfilé un boxer blanc sexy de marque CK, un de mes polos moulant préférés de marque Oakley et un bermuda sexy de couleur blanc. On s'est dirigé dans l'un des clubs gays qu'on avait sélectionnés. À l'intérieur, ce fut un choc de voir tous ces beaux jeunes de notre âge, souvent torse nu et en boxer, en train de danser et de s'embrasser, complétement libérés. On s'installa à une petite table et on se commanda deux Mojitos. Faisant chaud, je m’approchai d'Olivier, l'embrassa et je retirai son T-Shirt V-Neck qui pouvait parfaitement ses muscles. Il fit de même pour mon polo. On plia notre linge et on les déposa sur un tabouret. On dansait sur la musique, avec nos torses en sueur et s'embrassant de temps à autre. Puis, deux heures ont passés et un serveur vint nous voir pour nous dire qu'on était invité à une table VIP si on voulait s’y joindre. On se retourna et regarda ceux qui nous invitais. Il s'agissait définitivement d'un groupe de jeunes friqués, dont un qui nous regardait intensément avec sa chemise noire déboutonnée et sa montre Tag Heuer, ses cheveux noirs courts bien peignés et une belle paire de fesses. À côté, il y avait déjà trois autres jeunes, un châtain avec les cheveux rasés, un avec les cheveux roux et un autre blond platine, cheveux mi-longs, plutôt efféminé habillé d’une salopette sans rien en-dessous. On se rapprocha. Sur la table, il y avait une bouteille de rhum, une de vodka de très bonne qualité, une de gin et deux bouteilles de champagne Veuve Clicquot. On s'installa et nous invita à nous servir. Il en profita pour nous présenter le groupe, dont son chum Alex (le châtain tête rasée) et lui s'appelait Tommy. Ça vite cliqué entre nous et une chimie s'est vite développée. Il savait comment me faire rire. À l’autre bout de la table, il y avait un petit roux avec des lunettes stylés noires. Il semblait plutôt gêné et peu sociable.

À minuit mois cinq, ce fut le décompte du Nouvel an. Il eut des feux d'artifices à l'intérieur et à l'extérieur. Tout Miami était illuminé par les feux et les pétards. À l'intérieur, tout le monde s'embrassait et se roulait des pelles. On fit pareil, peu importe qui, ça semblait une tradition.

Vers deux heures du matin, nous étions tous en boxer, bandés, en train de danser au son de la musique. On se frottait, on s'embrassait... C'était très ouvert comme soirée. Puis, Tommy et Alex nous avisa qu'ils devaient quitter. Après les salutations, Tommy me fit signe de lui suivre à l'extérieur. Je me rhabillai donc, expliqua la situation à Olivier et je le suivi jusqu’à la rue où le voiturier lui apporta une Mercedes noire « AMG » de l'année de couleur mat. Il me dit alors : « Si vous êtes intéressés, toi et ton chum, Alex et moi aimerions vous inviter demain soir dans mon Penthouse à 34ème étage mercredi soir. "J'espère que vous y serez" et pris mon numéro de cell pour me texter son adresse.

Rendu à la chambre, nous avions les hormones au tapis et se baisa chacun notre tour. Épuisés, on s'embrassa tendrement et on se souhaita la bonne année.

Chapitre 6: la soirée chez Tommy

Le lendemain, on se réveilla collés l'un sur l'autre vers midi. On parla de la soirée d'hier, puis on décida d'aller à la plage après avoir fait l'amour.

En après-midi, on en profita pour se faire bronzer, se baigner, faire du shopping, jouer au volley avec d'autre jeunes québécois de Montréal, puis on alla à notre chambre. On décida de passer la soirée pénarde dans la chambre, collés l’un sur l’autre, à écouter de la musique à la télévision et à faire l'amour sans retenue.

Vers 16h00, on se prépara pour la soirée avec la garde-robe que nous avions. J'ai pris une chemise blanche en lin, un boxer Armani avec un jeans qui mettait mes fesses en évidences. Tandis qu'Oliver a opté pour un polo rouge très moulant, un boxer orange Diesel et des bermudas beiges classiques. Petite session de rasage en règle, douche et parfum. Nous étions prêts.

Arrivés par taxi à la tour aux bords de la plage, on monta au 34ème dans un immense penthouse décoré avec goût avec vue à couper le souffle à 180 degré. Tommy et Alex viennent nous accueillir et, voyant que nous étions bouche-bée, nous dit que c’était un cadeau de son père à ses 21 ans (il nous avoua alors avoir 25 ans, mais paraissait plus en avoir 20 ans). On lui donna une bouteille de vin en cadeau.

Le souper fut très agréable. Tommy avait de bons vins pour accompagner un repas qu'il avait préparé dans un restaurant du coin. Tout était excellent. Nous étions détendus et la soirée était agréable.

Puis, Tommy nous demanda si nous avions nos maillots ? À quoi nous avons répondu par la négative. Il nous amena dans une chambre d'amis. Il y avait deux maillots "speedo", un rouge et un vert, avec deux robes de chambres blanches et deux serviettes. Il nous invita à nous changer.

On monta ensuite sur le toit où il y avait une terrasse aménagé pour lui. La vue était magnifique sur l'océan et Miami de l'autre côté. Il y avait quelques chaises longues et un immense spa rectangulaire. Il ouvrit une bouteille de champagne, nous donna une flûte bien remplis et on se glissa les quatre à l'intérieur du spa.

Sous l'eau bouillonnant, Alex faisait quelques avances à Olivier en glissant sa main le long de sa cuisse. Tommy faisait de même avec moi. J'étais bandé et mon pénis sorti le long de l'élastique. Tommy me demanda de me rapprocher et m'embrassa tendrement. J'aimais ses petites lèvres et la précision de sa langue. Il embrassait super bien. J'osai alors aller toucher à son pénis qui était d'une belle grandeur en érection.

M'en voulant d'avoir du plaisir avec un autre, je regardai alors Olivier qui me fit un beau sourire. Je compris que lui aussi était aux anges. J'en profitai pour retirer le speedo de Tommy et le déposa près du spa. Il fit de même avec le mien et vient me malaxer les fesses tout en effleurant mon petit trou. Je lui demandai se s'assoir sur le bord et je débutai une belle fellation avec la gorge profonde. Tommy avait une belle longue queue, peu étroite et il était circoncis. C'était une toute nouvelle sensation dans ma bouche.

Tommy me fit ensuite une belle fellation. Quant à Alex et Olivier, ils s’embrassaient et se masturbaient mutuellement. Tous étaient maintenant nus et s'amusaient. Puis, Tommy proposa de descendre dans sa chambre. On descendit l'escalier et il nous conduisit dans la salle de bain des maîtres ou une immense douche vitrée étaient présente. Nous avions nos robes de chambres. Nos érections étaient visibles. On s'installa dans la douche et, naturellement, nous échangeons de partenaire. Je me penchai donc à genoux pour faire une fellation à Alex. Alex avait le plus petit pénis de nous quatre, mais il était magnifique et, lui aussi, était circoncis. Il semblait apprécier. Il gémissait et prenait ma tête à deux mains pour diriger les vas et viens.

On se sécha et on se rendit dans son très grand lit "king". Comme au salon, la chambre disposait d'immense baies vitrées du sol au plafond qui donnait sur l'océan Atlantique. Pendant que je poursuivais ma fellation à Alex, Tommy me faisait un anulingus et Olivier suçait Tommy. C'était assez difficile de se concentrer, car les sensations sexuelles venaient de tous les côtés. C'était une première pour moi et j'étais heureux de vivre cette expérience avec Olivier.

Puis, Alex déroula un condom et poussa mon Oliver sur le lit et me dit : "observe moi défoncer ton petit copain, après je vais m'occuper de toi". Tommy me dit à l'oreille de me détendre. Il pris alors Olivier en missionnaire pendant qu'il gémissait de plaisir. Je trouvai la scène à la fois excitante, et à la fois frustrante de voir mon ami avoir du plaisir avec un autre gars. Un sentiment de jalousie et d'impuissance m'envieillissais. Puis, Olivier me regarda, avec ses yeux amoureux et me fis signe de l'embrasser en pleine bouche. Puis, Alex se retira et me demanda de m'approcher et je lui offris mes fesses imberbes. Il changea de condom et me pris alors sans lubrifiant, ce qui fut assez douloureux. Mon anus, en douleur, chauffait au gré des vas et viens. J'agrippai les draps de toutes mes forces. Olivier, me regardais, impuissant. Puis, Alex se retira et juta sur mon ventre. Je me mis alors à me masturber et Tommy et Olivier se joignirent et jutèrent sur mon ventre. J'avais donc le sperme de quatre homme sur moi.

Je pris alors mon index, je mélangeai légèrement la semence, avant de glisser le tout à ma bouche. Les trois autres firent de même. Alex me lança une grande serviette pour m'essuyer le ventre. Vidé, l'anus en douleur, on retourna dans le spa, mais cette fois-ci nus et on quitta l'appartement vers 3h00AM vers notre petit hôtel.

Les deux jours suivants furent plus tranquilles sur le plan sexuel. Olivier et moi n'osaient reparler de cette soirée particulière. On fit beaucoup de plage, du shopping et on retournait à la régulièrement pour faire l'amour ou se faire plaisir. La complicité était toujours présente, mais nous étions mal-à-l’aise de la soirée chez Tommy.

Les vacances étaient terminées. Ce fut des vacances troublantes, mais très satisfaisantes. Le retour fut difficile à la réalité dans chacune de nos universités.

Chapitre 7 : Homosexualité, bisexualité ou hétérosexualité

De retour à l'université, comme Olivier, je me permis d'avoir des aventures avec d'autres gars et filles. Je me rendis vite compte que les relations sexuelles avec les filles ne me comblaient pas totalement. Par contre, je ne me voyais pas vivre avec un gars toute ma vie. Sexuellement, c'était clair que je préférais les hommes.

De retour à l'été, Olivier et moi avions trouvés de nouveaux emplois étudiants dans nos domaines d'étude. Il était beaucoup plus difficile de se voir en privé sans la présence des amis ou des parents. Les relations sexuelles devenaient de plus en plus espacées. Personne ne semblait se douter de rien. Nous étions très décrets.

Après notre graduation, Olivier trouva un emploi de rêve à Toronto et moi à Montréal. Ce fut le choc. Il déménagea et, d'un commun accord, on mit fin à notre relation qui était rendue impossible.

Ce fut l'une des plus belles années de ma vie et j'en garde des souvenirs mémorables.

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