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20 Nov.

"Sodomie"
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Un rêve devenu réalité

Message de l'auteur

Hey, Merci d'avoir cliqué sur mon histoire, cependant sache que c'est la première fois que j'en écris une donc n'hésite pas à me dire ce que tu en as pensé et ce que tu aimerais voir évoluer. Thanks xo

Chapitre 1

Il devait être quatre heures du matin, je pleurais, je n'en pouvais juste plus. Être gay dans le Sud des Us était épuisant. Le matin je m'étais battu contre Francesco, mon "ancien" meilleur ami, le fait est que, nous étions tous les deux revenus de l'entraînement et nous nous changions dans les vestiaires et cette fois il remarqua mon regard insistant sur son paquet et puis il me défonça (pas dans le bon sens du terme). Qu'est-ce que j'allais bien pouvoir faire, je suis sûre que tout le campus était déjà au courant que "Ezra est une énorme pédale"... À cette pensée, je regardai la baie vitrée qui me faisait face, si j'avais un seul privilège c'était l'argent de mon père qui nous avait permis d'obtenir une petite villa à quelque kilomètre de l'océan grâce à des procès juteux d'hommes politiques. Cependant cela avait un prix...ma mère, une vraie pute, elle avait foutu mon père dans la religion et maintenant toute la famille tournait autour de Jésus. Je contemplais une dernière fois le ciel étoilé face à moi... "Si seulement tout le monde pouvait être gay et en manque, tout serait plus simple", Mon regard traîna rapidement sur les murs gris de ma chambre et je m'endormis.

Je me réveillai le lendemain matin par les cris de David mon plus jeune frère: "DEBOUT EZRA! LE DEJEUNER".

"JE SUIS DEBOUT!" criai-je en retour. Si papa le laissait crier, je pourrais crier en retour. Je jeta le drap qui me couvrait et Alors que mon pied toucha le sol, je me suis retrouvé à marcher sur autre chose que le parquet. C'était un magazine, mais avant de me baisser pour le ramasser ou le mettre hors de mon chemin, je m'étais figé sur place par ce que je voyais autour de moi. Ce n'était pas ma chambre.

D'accord, la forme de la pièce était la même. La baie vitrée était toujours au bon endroit, ainsi que toutes les portes dont je me souvenais, mais il semblait que quelqu'un avait couvert mes murs avec des pages de magazine Porno. Sur chaque mur, il y avait des bites et des putains d'hommes nus de toutes les couleurs et de toutes les formes. L'une était celle d'un minet blond avalant la queue d'un Athlète. Un autre montré en gros plan un gars bruns léchant de grosses boules lisses. Le couronnement et le plus grand d'entre eux était une affiche collée au dos de ma porte qui couvrait l'ensemble. C'était une photo d'un gars allongé sur un ensemble d'oreillers et de draps rouges. Sa peau brillait alors qu'il me regardait avec ses longs cheveux noirs raides déployés sur la moitié de l'oreiller.

Les jambes du gars étaient un peu écartées et ses mains reposaient de chaque côté de sa bite et de ses couilles glabres. En le regardant, je me sentais durcir. Encore une fois, j'ai dû me reconcentrer sur le fait que je devais aller déjeuner. Je quittais ma chambre et détourna mes yeux du dieu qui me regardait et vis ce qui avait aussi changé. Sur mon bureau il y avait mes livres et mon ordinateur portable, comme je les ai laissés. Mais au-dessus d'eux se trouvait une étagère pleine de godes et autres jouets sexuels. Des choses que je n'ai jamais achetées. Cela m'aurait été utile lors des nuits où je souhaitais ressentir quelque chose à l'intérieur de moi autre que mes doigts ou le petit plug anal que j'avais pu acheter l'année dernière. Je me souviens avoir cherché des sextoys. Il y en avais un: Boys with Balls, que je reconnaissais à sa forme incurvée, il avait été élu meilleur gode l'année dernière. À côté de cela se trouvait l'AssGasm, un plug stimulateur de prostate attaché à son propre anneau pénien. J'ai presque eu le souffle coupé en regardant le Tunnel Butt Plug dans toute sa splendeur.

Je commençais a mouillé juste à l'idée que je pourrais les utiliser réellement. Le suivant dans la gamme m'a pris un peu plus de temps à reconnaître. Il était noir, élégant et me rappelait un taille-crayon. Puis je me suis souvenu de ce que c'était. C'était un Fleshlight cher et high-tech à cent vingt dollars. Le Heat Vibration Stroker de Satisfyer, si je me souviens bien.

Le reste de l'étagère était occupé par des trucs comme des lubrifiants ou des sprays nettoyant pour sextoys.

Déjeuner, me suis-je rapellé. Je découvrirai ce qui est arrivé à ma chambre plus tard. Peut-être que je dormais encore, me suis-je dit alors que j'essayais de me relever et marchais une fois de plus sur des magazines. J'ai baissé les yeux, et il y en avait quelques-uns à côté de mon lit, j'ai dû les avoir feuilleté la veil. Quelque chose que je sais que je n'ai pas fait. Donc je dois encore rêver.

Si c'était un rêve, alors j'allais en profiter jusqu'à ce que je me réveille dans ma réalité beaucoup moins excitante.

J'entrais dans ma salle de bains pour pisser avant de m'habiller pour le petit-déjeuner. Je n'ai rien porté au lit depuis des années, donc me réveiller nue était jusqu'à présent la seule chose normale ce matin puis je jetai un coup d'œil dans le miroir pour voir quelqu'un qui ne e ressemblait que de peu.

Je faisais toujours 1m87 et mon teint était le même que celui de ma mère, montrant mes gènes italiens. Mes yeux étaient, comme toujours, d'un brun clair.

Je ne me reconnaissais pas du tout, mon visage s'était affiné surtout ma mâchoire qui aurait pu trancher quelqu'un. Les entraînements et la salle, eux aussi ont dû payer parce que mes pecs étaient devenus bien rond et gonflés, on aurait presque dit une poitrine de femmes, d’autant plus qu'ils étaient couronnés avec des tétons énormes, foncés et eux aussi bien rond, par ailleurs, ils étaient décorés de petits anneaux.

Ma taille avait fait le choix inverse et s'était affinée pour dévoiler la marque de mes abdos qui descendait jusqu'au V qui annonçait le plus intéressant c’est-à-dire ma queue. C'était incroyable, dur elle faisait 19cm... la taille parfaite, une grosse veine faisait tout le long jusqu’à un gland énorme qui sortait la tête de son enveloppe. Je la touchai à peine que du précoce venait déjà lubrifier le tout. Mes mains descendirent ensuite sous mes couilles qui feraient maintenant pâlir un cheval tellement qu'elles étaient pleines de jus, deux énormes citrons tout lisses. En parcourant celles-ci, je me rendis compte que j'avais aussi été percé à la base de mes bourses.

Après quelques caresses je me suis brossé les dents. Je regardai dans le miroir une dernière fois pour voir que tout avait triplé de volume... deux énormes globes imberbes et parfaitement bombés me servait de fesses. Avec ma main libre je m'aventurais à travers lesdites collines jusqu’à ce que mes index et majeurs soient aspirés par deux lèvres charnues et humides dans un lieu chaud et douillet. Je me permis quelques mouvements de ciseaux puis me rinçai la bouche, je nettoyai ma langue qui arbora maintenant un beau piercing dont l'utilité était évidente.

Pour l'instant ce monde s’il était bien réel était parfait... j'étais parfait.

Jusqu’à ce que je décide de m'habiller. J'ouvris mon armoire afin de trouver un hoodie confortable, cependant le haut le plus couvrant s'arrêter pile sous mes pecs... de plus tout était obscène. Lorsque j'ouvris le tiroir de mes boxers ce fut pire, il n'y avait que des strings ou des jockstrap, le plus couvrant était un slip/bikini rose taille basse qui révèler la seule partie non rasée de mon corps ou un triangle brun juste au-dessus de ma queue.

J'avais déchanté. Comment pouvais-je sortir de ma chambre habiller comme une pute face à ma famille chrétienne?!

Je mis en vitesse un jockstrap de sport noir et un débardeur blanc qui m'arrivait au-dessus du nombril. Ces vêtements devaient être une taille trop petite car il me faisait comme une seconde peau, le haut en particulier qui frottait constamment mes tétons empêchant mon érection de descendre. C'est donc la bite au garde à vous que je sortis de ma chambre.

J'entrais dans un couloir et vis la porte de la salle de bains de mon frère Adam se fermer a clé. Je pris mon courage à deux mains et me dirigeai dans sa chambre. Sa chambre était plus grande que la mienne et concernant la décoration elle était dans le même état sauf que ces posters montraient plus de cul que de queue. Je me dirigeai vers sa commode et cherchai un caleçon... en effet, Adam du haut de ses 24ans était considéré comme un dieu, il avait un corps parfait qui lui avait permis d'obtenir plusieurs contrats de mannequinat pour des marques de maillots de bain, mais c'était sa queue qu'il lui permettait de les obtenir, il était un vrai tombeur et n'hésitait pas à fourrer quelques directrices de casting. Néanmoins avoir un membre gigantesque avait son désavantage: le confort. Son "énorme queue" l'empêchait de mettre des sous-vêtements courts car elle déborderait donc je pourrais normalement trouver quelque chose de couvrant ici.

Dans sa commode...rien, seulement une quantité impressionnante de sex-toys, quelque jockstrap et un bikini. J'analysais sa chambre et trouvai quelque chose qui pouvait m'intéresser. Un slip Armani jaune attendait nonchalamment sur le sol devant son lit.

À ce moment-là j'avais commis trois erreurs, Déja, je m'étais agenouillé et penché, exhibant mon intimité. J’eus aussi comme envie de vérifier l'état du slip, alors je plongeai mon nez dans la poche. Mon erreur fatale a été de ne pas avoir fermé la porte.

Humant les parfums du slip d'Adam, un poids s'écrasa sur mon dos et une main vint plaquer le morceau de tissu sur mon visage. Je sentis un souffle contre ma joue...

"Alors comme ça, on ne me demande pas pour sniffer mes sous-vêtements... Réponds p’tite pute", A ces mots il inséra deux doigts en moi et il frotta directement à prostate, a ce moment je fondis littéralement sur lui, l'idée que mon frère avait ses doigts en moi me rendait encore plus dure. Il retira sa main de mon visage me laissant enfin respiré mais pas pour longtemps, directement il tira sur mon téton droit ce qui me fit tombé sur mes coudes. Il profita que je sois offert a lui pour insérer un troisième doigt et dit

"Je n'ai même pas le temps de me changer que tu te jettes sur mon slip plein de transpiration... tu es vraiment une salope", pour seule réponse je bougeai mon bassin contre ses doigts et commençai à gémir.

"Dis-moi que tu la veux salope",il se retira de moi et je sentis son bras tout le long entre mes fesses. "Dis-moi que tu la veux!" à ce moment-là, il mit une deuxième main sur mon autre téton et c'est à ce moment, que je découvris que ce n'était pas un bras dans le creux de mes reins.

"Je la veux" répondis-je fébrilement.

"Tu veux quoi!"

"Je veux ta queue Adam!"

"Je préfère ça, néanmoins Papa t'attend depuis tout à l'heure donc tu vas devoir te contenter de ça." Il lâcha mes seins endoloris et écarta mes deux collines afin de me pénétrer avec sa langue. Je perdis toute force dans mon cou et je vis un long filet de mouille couler de mon jockstrap sur le parquet foncé.

"Lève-toi" il dit d'un ton autoritaire, je m'exécutais tant bien que mal.

"Retire-moi ça", Il se retourna et écarta les jambes, ses larges mains écartant ses deux collines, et finalement dévoila un plug noir délicatement installé entre ses lèvres. Je pris l'objet et le sortis lentement, à peine libérer, son trou se mit à frétiller ainsi qu'à se refermer frénétiquement, un flot impressionnant de sperme en sortit bruyamment.

"Regarde comment on me traite bien à la salle". Je lui donnai le plug trempé et directement Adam me plaqua contre le mur et me pénétra avec l'objet, fit quelque va-et-vient et me lécha le cou.

"Et comme tu ne m'as même pas dit bonjour" à ces mots il me retourna et m'embrassa, rapidement sa langue vint explorer ma gorge tandis qu'il frottait sa queue contre ma hanche. Après de longues minutes ou je ne faisais plus que gémir il desserra son étreinte.

"Vas-y on t'attend en bas, on reprendra ça toute à l'heure"

Il me claqua une fesse puis je quittais sa chambre pour descendre les escaliers.

Qu'est-ce qui s'était passé, Je venais de me faire doigter par mon frère qui de base était le plus grand bouffeur de chatte que la terre n'a jamais porté, Je me demandais vraiment comment seraient les autres.

La réalité me rattrapa, plus j'avançais vers le salon plus j'entendais distinctement des râles et des gémissements : "ahhh...arg...p'tite-ah...sah...lOPE !"

J’arrivais en fin derrière la scène. C'était mon oncle ! J’adorais mon oncle Aaron, en plus d'être la personne la plus douce et sexy que j'avais vue de ma vie, il était en plus la copie quasi identique de Michael Lucas, juste un peu plus bronzé. Et il était là, dos a moi, assis sur notre canapé en angle, il portait une veste en cuir, je me rapprochais de lui et je rendis compte pourquoi il gémissait autant lorsque je vide les grosses lèvres de mon frère engloutir les 18cm de notre oncle. Lorsqu'il me vit il releva sa tête, sortit la bite de sa gorge et se biffla la joue quelques fois puis suça le gland en passant la langue sous le prépuce d'Aaron, celui-ci lui lancer des injures comme "t'aime vraiment ça, t'est une bonne chienne c'est de famille".

"Bonjour Ezra !" dit David jovialement.

"Oh, Ezra ! Viens t'asseoir à côté de moi" enchaîna notre oncle alors qu'i tapota la place juste à côté de lui. Je fis donc, et directement il m'embrassa alors que David se fraya un chemin entre mes cuisses, il commença à me branler doucement à travers le tissu.

"Qui a dit que tu pouvais t'arrêter comme ça" dit mon oncle en montrant du doigt sa queue rigide.

"Tu peux me préparer ta pute de frère, il va se prendre la double dose" il poursuivit tout en poussant la tête de David au plus bas et le forçant à le prendre en gorge profonde.

Je me levais et me plaçai derrière mon jeune frère tout juste majeur. On était sportif de famille mais David n'en avait pas le physique, il faisait du hockey régulièrement mais le seul parti de son corps qui s'était développé été son cul, un vrai fessier tout rond qui rebondissait lorsqu'il marchait, tout son corps était comme de la porcelaine, sans aucune imperfection, poil ou grain de beauté, et comme là il ne portait qu'un string violet je pouvais assurer qu'il n'en avait aucun.

Je mis la ficelle de son string sur le côté et admirai son énorme chatte rose tout étroite, je ne perdis pas une minute de plus et embrassai son entrée, rapidement ma langue fit des va-et-vient, plusieurs fois elle s'égara et lécha une couille. Je fis comme avec Adam auparavant c’est-à-dire que mes mains tiraient sur ses tétons percés. Dès que sa bouche s'éloignait notre oncle enfoncé sa queue le plus loin dans la gorge de la chienne et lui baisait la bouche, lorsque la chienne travaillait bien il se malaxait les mamelons qui étaient aussi percés et foncé, un peu comme les miens.

Après quelque minute, je pris une bonne respiration dans la chatte haletante de mon frère et le doigtai pour vérifier qu'il était bien ouvert.

"Désolé Oncle Aaron mais Papa m'attend" Je mis une bonne claque sur le cul de mon frère et me dirigeai vers la salle à manger, avant d'entrer je donnais un coup d'œil à David qui commençait à couiner alors qu'il s'empalait sur son aîné.

J'entrais donc finalement dans la Salle à manger avec mon débardeur moulant et beaucoup trop court ainsi qu’un jockstrap couvert des fluides de toute la famille.

Je me tenais au cadre de la porte et respirai en admirant la vue devant moi. Mon père était une vision obscène en blanc. Il me tournait le dos alors qu'il se versait du café. Il portait un débardeur blanc trop petit pour lui aussi. Il portait un jockstrap blanc qui ne pouvait pas mieux montrer son immense cul. En baissant mon regard je vis ses cuisses que j’aurais voulu sentir sous les miennes. Fortes, épaisses et dotées de muscles qui me feraient ressentir chaque poussée qu'il serait prêt à me donner. Il se retourna alors qu'il prenait une gorgée de sa tasse, et je sentis un frisson parcourir la longueur de mon corps.

C'était officiel. Chaque membre de ma famille s'est fait percer les tétons. Ceux de papa étaient plus gros, il y avait aussi le métal de son anneau pénien qui encerclait la base d'une bite qui tentait de se libérer de la poche. La taille était peut-être bien ajustée, mais la poche était au moins d’un tiers trop petit pour cette chose qui essayait de prouver qu'elle ne pouvait pas être contenue lorsqu'elle était complètement engorgée.

"Qu’est-ce qu’il y a bébé?" dit-il me voyant contre la porte, il me regardait comme ci quelque chose n’allait pas. Je n’osais même pas affronter son regard et baissai les yeux. Je me sentais sexuellement frustré et cette tenue me faisait ressembler à une pute. De plus, mes tétons durs frottaient contre le tissu de mon haut. Je n'avais pas pris la peine de regarder à quel point ma queue faisait tendre mon jock.

"Papa," dis-je d'une voix faible alors qu'il me traversait l'esprit que tout irait bien. C'était mon rêve, non ? Tout le monde autour de moi a l'air d'aller bien.

« Qu'est-ce qu'il y a ? Pourquoi tu portes tant de vêtements et en plus tu es en retard pour le déjeuner. » Il demanda avec inquiétude dans le regard et sa voix. Il leva la main et me fit signe d'avancer alors qu'il s'asseyait. Je me déplaçai pour m'asseoir devant ce que je croyais être mon petit-déjeuner composé d'œufs et de pain grillé. Il y avait aussi un carton de jus de fruits à côté d'un verre vide. Son commentaire sur le fait d'être trop habillé semblait correspondre à tout ce que j'avais vu jusqu'à présent, mais je ne me considérais pas vraiment habillé du tout. Quand papa a posé sa tasse sur la table, je l'ai entendu se taper la cuisse comme s'il voulait que je m'assoie sur lui.

Je l'ai regardé et je savais que ce serait facile à faire. Il avait quarante-cinq ans mais avait toujours l'air du marin qu'il était. Lui et Adam avaient la même taille, mais Adam avait un peu plus de muscle sur lui à cause de tout son entraînement. Mais cela n'a pas dépeint mon père comme une sorte de fainéant. Il m’éclipsait toujours même si j'avais vingt et un ans et que j'avais mon nouveau corps d’athlète. Et son sexe et ses cuisses étaient plus gros que ceux d'Adam. C'est quelque chose que j'ai pu confirmer aujourd'hui pour la première fois.

« Tu veux que je m'assoie sur ta cuisse ? Je lui ai demandé avant d'essayer et j'ai réalisé que je l'avais mal compris.

"Non, je veux que tu t'assoies moi," dit papa. "Sérieusement Ezra, tu vas bien ?" m'a-t-il demandé, j’étais à présent à califourchon sur lui mon érection contre ses abdos et la sienne entre mes fesses ouvertes. "Tu portes un débardeur et un Jock à l'intérieur de la maison. Tu as mis une éternité à sortir du lit et à descendre. Je te demande de t’asseoir avec moi comme tu le fais normalement et tu agis comme si cela ne s'était jamais produit auparavant." L'inquiétude colorait chaque mot qu'il disait alors qu'une de ses mains se levait pour vérifier ma température.

"Les choses semblent tellement différentes aujourd'hui," lui dis-je honnêtement. "J'essaie juste de faire face," ajoutai-je alors que papa glissait sa main vers ma gorge et vérifiait la nuque.

"Tu as juste besoin de t'en tenir à ta routine pour surmonter le fait qu'elle est partie," dit-il avant de se frotter un peu mon entrejambe en levant les yeux vers mon visage. Elle? Maman? Elle était la seule dont je n'avais pas vu ou entendu parler depuis que je me suis réveillé aujourd'hui.

Avec les changements inhabituels que ce monde a subis par rapport à celui d'où je viens, il n'est pas surprenant qu'elle ne soit pas là.

"Aaron est là maintenant," continua papa. "Il fera du bon travail en m'aidant avec vous les garçons," dit-il en mordillant un de mes mamelons avant de le lécher. Oui, j'ai vu comment le Aaron aidait David. J'aimerais voir comment il interagissait avec Adam.

"Papa," dis-je à voix haute quand je sentis son anneau se presser dans l'espace derrière ma bite et mes couilles.

"Oui, je suis là bébé," dit papa en me léchant la gorge. « Es-tu prêt à donner à papa son baiser de bonjour ? Il demanda. Je l'ai regardé dans les yeux pendant une fraction de seconde avant de presser nos lèvres l'une contre l'autre. Le choc de cette réalité, de mon ancienne vie et de mes fantasmes illumina mon corps.

"Tu nous mouilles tous les deux", m'a dit papa quand il a éloigné ses lèvres des miennes “Retire donc ça” dit-il en tirant sur le morceau de tissu imbibé de mouille.

Je me levai et enlevais ledit jock et Papa retira les différentes choses qu’il y avait sur la table.

Je le vis retirer sa bite épaisse et chaude de sa poche humide.

Je me tenais devant lui la queue droite et mon gland gonflé. Papa s'est levé et m'a tiré vers la table. Il pressa ma poitrine contre la surface froide.

Je le sentis écarter davantage mes jambes. Ma bite me faisait mal et coulait sur le sol carrelé.

Je lâchais un "Ah !" de surprise en sentant sa langue me remplir le trou. On ne m’avais jamis bouffé le cul auparavant, mais je savais que je voulais ressentir cela à nouveau, et le plus tôt possible. Je ne sais pas pourquoi c'était si bon. C'était juste ses lèvres et sa langue qui bougeaient autour de mon ouverture et poussaient un peu vers l'intérieur. Des "Aaaahhhhh", joués comme de la musique alors que j'ouvrais la bouche avant de pousser mes fesses vers l'arrière pour en savoir plus.

"Mauvais garçon," dit papa quand il s'éloigna. "Tu portes le plug de ton frère et non pas le tien", m'a-t-il informé. Je ne savais pas que j'étais censé en porter un. Il pressa sa poitrine contre mon dos et je sentis sa bite glisser entre mes fesses et remonter vers le bas de mon dos. « Je n'ai pas le temps de t'étirer correctement, » continua-t-il en enfonçant ses doigts dans ma bouche. "Tu étais si en retard aujourd'hui, notre baise matinale doit être précipitée pour que tu partes à l'heure pour l'école," commenta papa alors qu'il commençait à enfoncer ses doigts très humides dans mon cul qui attendait. Je gémis et enfonçai mes fesses plus loin sur ses doigts.

Maintenant, je savais pourquoi Adam portait un plug anal si tôt le matin. Je pense que mon autre moi s'est mis au lit et n'a pas pu se préparer avant... "Oohh..." gémis-je alors que papa commençait à enfoncer sa bite. elle était fermement ancrée dans mon corps. "Ooh papa," gémis-je à nouveau.

"Putain, tu es si serré aujourd'hui bébé," siffla papa à travers ses mâchoires serrées. Je parie que j'étais plus serré qu'il n'en avait l'habitude. Il ne m'a jamais baisé auparavant dans mon monde. En dehors de ce plug anal que j'ai mentionné auparavant, je n'ai couché avec un seul gars, et aucun homme était aussi gros que mon père.

"Oh bébé, mon Ezra," gémit papa alors qu'il commençait à me baiser, fit glisser mon corps le long de la table. Chaque fois qu'il s'enfonçait profondément à l'intérieur, je frissonnai et je voulais qu'il recommence. Mes fesses me brûlaient à cause de ses coups de reins percutants qui envoyaient des picotements sur ma peau. Je voulais plus.

"Plus vite papa, plus vite," lui dis-je alors même que je sentais la table sous nous commencer à glisser sur le sol. Il obéit, et il agit avec enthousiasme. La fréquence de ses frottements de sa longue queue sur ma prostate m'époustouflait.

"OH MON DIEU!" David hurla dans la pièce d’à côté, et je jouis au même moment et si fort que j’aurais juré avoir perdu la vue pendant quelques secondes. Mon cœur martelait le bois sur lequel je me trouvais. Mes jambes avaient fondu, mes fesses se sont contractées et j'essayais de respirer. J'inspirai à travers la nouvelle chaleur qui m'emplissait. Mon père avait collé sa poitrine chaude et couverte de sueur, sur mon dos qui. Il m'a mordu la nuque avant de glisser ses bras autour de ma taille et d'embrasser l'empreinte qu'il a laissée sur mon épaule.

« J'aimerais rester à l'intérieur de toi un peu plus longtemps, mais il est presque neuf heures et tu dois encore te préparer pour la fac », dit-il alors même que je sentais une de ses mains glisser entre la table et mon ventre. Ses doigts effleurèrent la base de ma queue, et je m’enfonçais sur son pieu son entrejambe, "Mmm," gémit papa à travers mon oreille. « N'essaie pas de me forcer à te garder à la maison toute la journée », me dit-il en réussissant à enrouler sa main autour de ma queue encore dur.

"Je-je ne fais rien," lui dis-je les yeux fermés dans l'attente qu'il me branle. J'avais le souffle coupé car ma bite était encore sensible, mais il ne fit rien. Du moins pas avec sa main. Il m'a serré fort mais m'a gardé immobile pendant qu'il se frayait un chemin hors de mon trou. C'était un doux adieu pour quelque chose que je ne voulais pas quitter.

"Tu dors avec moi ce soir," dit-il à mon oreille avant de m’embrasser et de me laisser partir. Pendant qu’il se tenait debout, je me demandais si j'en serais capable. « Allez », a-t-il dit en me claquant les fesses. « Va te préparer », a-t-il déclaré, Je me levais avec mes jambes tremblantes post-orgasme.

"Oui Monsieur," dis-je en levant les yeux vers lui. Il tendit la main et me prit la gorge alors qu'il m'attirait plus près pour un baiser.

« Passe une bonne journée », il termina.

Lorsque je quittais la salle à manger. Personne n'était dans le salon, je marchais vers les escaliers. J’ai ensuite senti glisser le long de mes cuisses le jus fraîchement déposé de mon père alors que je levais ma jambe pour commencer mon ascension. Je me suis demandé si la moquette des escaliers était sale et mouillée lorsque j'ai compris que la moquette avait disparu. J'ai regardé en arrière par où je suis venu et j'ai vu que tous les tapis et moquettes avaient disparu pour laisser place au même parquet qu’il y avait au deuxième.

Ma douche a été rapide mais complète grâce à toutes les aides que j'ai trouvées dans un panier. J'avais remarqué que ma salle de bains n'était pas celle dont je me souvenais, mais rien n'était particulièrement remarquable à l'époque. Maintenant, je voyais que la douche avait augmenté en taille pour abriter non seulement quelques étagères, plus de godes, de plugs, de shampoing, de savon et de lavements, mais aussi des gens. Il y avait au moins de deux mètres carrés supplémentaires de place debout et un banc à l'intérieur maintenant.

J'ai utilisé le lavement, du savon et un peu de shampoing avant de sortir pour essayer de m'habiller une deuxième fois aujourd'hui.

Nous avons un uniforme dans mon université. Ouais, comme si nous étions encore au lycée ou quelque chose comme ça. Dans mon autre monde, ma mère était celle qui s'était assurée qu'eux, elle et papa, avaient économisé et investi assez d'argent pour nous envoyer à l'université et lorsque les plans ont été faits, il a été décidé que nous irions tous au UMary. Il y avait beaucoup de choses en sa faveur en ce qui concerne ma mère, et peut-être mon père, et elle a développé une réputation d'excellente école.

Par chance, le moi de cette réalité avait placardé contre le mur les différents qui concernait l’uniforme. Je devais donc porter l’uniforme de printemps (nous étions en avril). Il se composait d’un polo court (il m’arrivait sous les tétons et me coller comme une seconde peau), avec le logo sur la manche gauche. Il y avait une cravate fine avec un trio de rayures en biais, affichant toutes les couleurs de l'école. Noir, blanc et bleu. À la place du pantalon que je portais autrefois, il y avait une jupe à plis avec des carreaux du même ensemble, concernant la taille, la jupe était comme tout le reste: inutile, en tout cas si on voulait cacher quelque chose, en effet lorsque je l’avais mise je n’avais pas de sous-vêtement et on voyait la moitié de mes fesses derrière et mon gland ainsi que mes couilles pendaient devant. Par ailleurs, Il était déconseillé de porter des sous-vêtements, à moins qu'il ne s'agisse d'un string ou d'un G-string blanc. C'était écrit sur l'emballage à côté d'un astérisque. Il a également déclaré que les jocks ne devaient pas être portés par les étudiants, à moins qu'ils ne soient activement engagés dans la pratique ou la pratique de leur sport inscrit.

Étais-je inscrit à un sport ? J'ai vu des jocks dans mon tiroir plus tôt, mais je n'ai vu d'équipement de sport nulle part car j'ai redonné une seconde vie à ma chambre.

Retour au paquet. Il y avait des chaussettes hautes qui étaient facultatives pendant les mois les plus chauds de l'année et faits d'un matériau plus fin que la version d'hiver. En bas se trouvait une liste de bijoux de marque scolaire qui nous étaient fournis si nous portions de telles choses, pour commencer. Un anneau pénien avec le logo de l'école gravé dessus. Deux piercings au téton avec des croix noires au bout. Je suppose que je devais les porter. Un anneau de nez avec UM au lieu d'un bijou, et des boucles d'oreilles croix noires.

J'enfonçai mes pieds dans mes baskets avant d'attraper mon ordinateur portable et de chercher mon sac. J'ai déjà vu un sac, mais maintenant que je cherchais activement mon sac de cours, j'ai compris que c'était ce que c'était. Fini mon fidèle sac à bandoulière qui contenait mon ordinateur portable et mes notes derrière une couche protectrice de tissu vert et de rembourrage. À sa place se trouvait un sac à dos en plastique transparent qui était déjà à moitié rempli de choses qui ne devraient pas quitter ma chambre. Sauf si j'étais dans un sex club à la fac. Ou ils auraient pu faire partie de mon cours d'éducation sexuelle ici dans ce monde. Mais dans une université catholique ? Je ne le saurais pas avant d'y être. Comme ils étaient déjà là, j'ai déplacé l'énorme gode noir qui semblait appartenir à un cheval, la bouteille de lubrifiant et le Fleshlight autour pour faire de la place pour mon ordinateur portable, puis remis le magazine porno comme barrière entre eux.

J'étais aussi déterminé que j'allais l'être. Mes clés, espérons-le, seraient dans son plat en bas près de la porte d'entrée. J'ai ajusté mon string sous la minijupe plissée, j'ai remonté un peu mes chaussettes et j'ai essayé de faire moins pression sur mes mamelons à cause de mon polo serré avant de sortir de ma chambre. Alors que je tendais la main vers la porte, ce bruit sourd de martèlement est devenu plus fort. Quand j'ai ouvert la porte, j'étais à nouveau en train de regarder dans la chambre d'Adam. Pourquoi a-t-il une porte s'il ne la ferme jamais ? J'ai entendu les gémissements avant de les voir par terre.

"Oui Aaron" Adam criait le visage contre le sol alors que notre oncle poussait ses mains pour creuser son dos. Adam avait les yeux révulsés et gémissait sans arrêt$, Oui Aaron, Oui!" il a continué à crier alors qu’Aaron le maintenait par ses hanches et commençait à le marteler, il ressortait complètement sa queue pour la rentrer d’un coup sec.

“Réclame ma queue sale chienne” déclarait Aaron alors qu'il commençait à le défoncer. Ils ne faisaient pas attention à moi, et je devais partir. Des sons de claquements humides étaient maintenant présents. J'ai vu une petite flaque d'eau sous Adam alors qu'il rebondissait avant d'être repoussé. Oui, partir. J'ai fait un pas lent dans le couloir.

"B-BbaISe MoI!", demandait Adam comme si ce n'était pas ce qui lui arrivait. J'ai fait un autre pas en glissant. Je ne voyais plus la tête d'Adam mais plutôt le corps derrire lui. Ses cuisses avaient largement écarté Adam alors que je le regardais lui enfoncer sa grosse bite encore et encore.

« Tu veux mon jus salope !? » demanda-t-il à Adam alors que la sueur s'échappait de son corps.

"Oui Tonton," répondit Adam. Je voyais maintenant leurs jambes alors que les muscles se tendaient et se détendaient pour se tendre à nouveau.

Je devais partir. J'ai glissé un peu plus, puis j'ai attrapé la balustrade de l'escalier avant de franchir la marche du haut. Je l'ai saisi et j'ai respiré. Oui. Sortir. J'ai fait un pas vers le bas. La fac. J'ai fait les pas plus vite. J'ai trouvé mes clés dans le plat violet dans lequel ils vivaient, dans les deux mondes. Je suis sorti et j'ai vu David assis dans ma voiture (une Mercedes CLA), attendant d'être conduit à l'école. Quelque chose d'autre que j'ai noté avec plaisir est resté le même dans ce monde. Il était en première année cette année, et en me rapprochant, j'ai vu qu'il avait choisi de porter l'anneau nasal UM et non les chaussettes.

Graham North

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