Premier épisode
Chapitre 2
La première rencontre entre Gwen et Paul fût lors d’une soirée organisée par sa mère dans les salons d’un grand hôtel parisien pour fêter le lancement d’un partenariat important de la société familiale.
Une soirée très mondaine ou des personnes importantes étaient invités, Paul étant invité comme représentant de son cabinet d’avocat international. Gwen ne supportait pas ce genre de réception mondaine, il ne se sentait pas à l’aise, devoir être présenté par sa mère à toutes ces relations d’affaire, faire des sourires polis à chaque compliments sur sa beauté et sa bonne éducation, faire la conversation à des vieux sur des sujets qui n’avaient aucun intérêt pour lui, cette soirée s’annonçait longue et ennuyeuse, c’est pour cette raison qu’il avait demandé à sa meilleure copine Stéphanie de l’accompagner.
- Quelle plaie cette soirée je vais mourir, c’est vraiment pour ma mère que je fais cet effort.
- Arrêtes Gwen de faire ta blasée, elle est cool cette soirée, le cadre est génial, les petits fours sont trop bons, le champagne est excellent et en plus avec un peu de chance je pourrais me faire brancher par un beau mec friqué, merci mille fois de m’avoir invité, je t’adore.
- N’importe quoi, tu changeras jamais toi, en plus coté mecs bon courage il y a que des vieux ici.
- Je trouve pas, regardes celui la il a l’air pas mal, non.
- Sérieux tu plaisantes, il doit avoir au moins 40 ans.
- Ooooohhh mon dieu.
- Qu’est ce qu’il t’arrive ?
- Tu vois le mec assis sur le sofa en face, le beau brun super classe.
Gwen regarda l’homme que lui désignait Stéphanie, il devait bien avouer, il était très beau possédant une élégance naturelle dans les traits et l’allure, le genre que les hommes enviaient et qui devait faire tomber toutes les femmes, en un mot un play boy, pas vraiment le style de mec qui attirait Gwen.
- Oui je le vois et alors.
- Mais c’est Paul D…….
- Désolé je connais pas.
- Moi je le connais, sa petite soeur était une copine que j’ai connu au cours de danse, il est craquant tu trouves pas ?
- Bah c’est vrai qu’il est pas mal mais bon, il doit avoir bien une trentaine d’année c’est un vieux.
- Un vieux comme lui je dirais pas non mais c’est pas pour moi malheureusement.
- Pourquoi tu dis ça ?
- A ton avis chérie, ce mec qui est l’un des célibataires les plus convoités de Paris est totalement et uniquement gay, il est pour toi hihihi.
- Pour moi surement pas c’est pas mon genre le style play boy qui se croit irrésistible et qui doit collectionner ces conquêtes avant de les jeter.
- Ah oui j’oubliais princesse, la collectionneuse c’est toi hihihihi, allez viens on va danser un peu, on va montrer à tout ces vieux comment les jeunes savent s’amuser.
- Non ça va je vais rester au bar tranquille.
- Tant pis pour toi ma belle, je serais la reine de la soirée alors sur la piste hihihihi.
Stéphanie s’éloigna vers la piste de danse, laissant Gwen seul au bar. Il était assis là sur un tabouret regardant tout autour de lui, la soirée se dérouler tranquillement, Stéphanie mettant l’ambiance sur la piste entourée de quelques hommes excités comme des ados, cela le fit rire quand il vit arrivé vers lui le fameux Paul, tout sourire de ses belles dents blanches et régulières, d’un pas de félin fondant vers sa proie. Gwen se sentit fondre, un drôle de frémissement lui parcourut le ventre, lui rappelant sa vulnérabilité de femelle face au mâle.
- Bonsoir, vous êtes bien Gwenael, le fils de Cécile ?
Gwen avait un mal fou à ne pas répondre au sourire ravageur du beau mec, affichant une façade réservée limite hautaine, derrière laquelle il se retranchait quand il avait affaire à un garçon très sur de lui qui venait le draguer.
- Oui en effet je suis Gwenael et Cécile est bien ma mère, et qui êtes vous monsieur ?
Paul n’avait pas l’habitude d’être traité de la sorte quand il abordait un garçon, surtout quand le garçon avait le charme et la beauté de Gwen, il s’en trouva brièvement désarçonné avant de se reprendre et retrouver son assurance.
- Appelez moi Paul tout simplement, votre maman m’a beaucoup parlé de vous, mais j’étais loin de me douter que la réalité dépasserait très largement ce que j’imaginais, permettait moi de vous dire que vous êtes resplendissant de beauté et de charme, vous illuminez cette soirée de votre présence.
Gwen toujours impassible face à cette quasiment déclaration et cette approche de drague, reste de marbre et garde une attitude froide, presque prétentieuse.
- Eh bien, vous êtes toujours aussi direct ?
- Seulement quand j’ai le plaisir de croiser une aussi belle créature que vous.
- Hihihi, puis je vous poser une question cher monsieur ? Votre technique d’approche totalement obsolète fonctionne encore ?
- Ahahahah, j’avoue que vous marquez un point, désolé si je vous ai déçu, mais vous m’impressionnez et je n’ai pas trouvé mieux pour engager la conversation avec vous, ai je droit à une seconde chance afin de faire connaissance avec vous ?
Gwen devant ce sourire, commence à se détendre un peu, c’est vrai qu’il est séduisant, charmeur et qu’il a de l’humour.
- Bon vu que je m’ennui, et que vous avez consentit un début de mea culpa, je vous octroi une autre chance de vous démarquer et de me montrer que vous n’êtes pas qu’un simple basic dragueur qui se croit irrésistible.
- Oh merci votre altesse, vous êtes trop bonne.
Ils se mirent à rire ensemble, Paul devait se dire , une femelle qui rit est à moitié dans son lit, il proposa à Gwen d’aller dans un endroit plus calme pour discuter et l’emmena vers un petit salon ou ils trouvèrent un canapé pour s’asseoir tranquillement à l’écart du tumulte de la soirée.
- Alors comme ça ma mère vous a parlé de moi, dans quelle circonstance ?
- S’il te plait Gwenael, si on se tutoyait, ça serait mieux et en plus j’ai l’impression d’être vieux avec ce vouvoiement.
- Hihihihi, mais tu es vieux Paul.
- T’es dur avec moi je n’ai que 30 ans comme même, et en plus je pense être bien conservé non ?
- Tu as 10 ans de plus que moi et j’avoue que pour ton âge t’es encore pas mal hihihi, alors dit moi comment tu connais ma mère et pourquoi vous avez parlé de moi ?
- Bon ok je commence par le début, je connais ta mère par le biais du boulot mon cabinet d’avocat représente les intérêts de sa société en Amérique. Et on est arrivé à parler de toi par hasard, elle a appris que j’étais gay totalement assumé et c’est là qu’elle m’a parlé de son fils, enfin de sa « fille » toi, de ton histoire, de ton coté féminin, elle s’inquiétait à propos de ton avenir en tant que fille dans notre société et m’a demandé des conseils sur mon expérience personnelle, voila tout simplement, mais je me répète tu es tout simplement sublime, comme vous dites vous les jeunes, tu es franchement canon une vraie bombe, et je comprend ta mère quand elle me dit s’inquiéter pour toi, c’est la nature d’une maman, la mienne s’inquiète toujours encore pour moi.
- Bah je vois que j’ai plus rien à te cacher de ma vie, pour être à égalité, je veux aussi te connaitre, qui es tu Paul ?
Paul lui raconta sa vie, son métier, comment il a assumé son homosexualité dans son milieu aristocratique très puritain, ils ont discuté pendant un long moment de tout et de rien, et même de leur vie amoureuse, Gwen lui dit qu’en ce moment il était célibataire vu qu’il venait de rompre avec son dernier petit ami, Paul lui avoua qu’il n’était pas un adepte du couple et qu’il préférait avoir des aventures sans s’attacher. A un moment le portable de Gwen se mit à vibrer.
- Oh non! C'est encore lui.
- Qui ça ?
- C’est mon ex petit copain, il n'arrête pas de me harceler. J'ai beau lui dire que tout est fini, il n'arrête pas de m'appeler, et cet après midi, il m'a dit que si je ne retournais pas avec lui, il mettrait les quelques photos coquines qu'il a de moi sur internet.
- Tu me laisses essayer de régler ça à ma manière, si tu le permets ?
D'un geste de la tête, il lui donne son accord et lui tend son portable.
- Allo… Non c'est pas une erreur... Qui je suis? Le nouveau copain de Gwenael, écoutes mec jusqu'à maintenant j'ai rien dis car je pensais que tu serais assez intelligent pour comprendre que c’est fini avec lui, mais là tu commences à me saouler, alors je vais être bien clair avec toi, si t’arrêtes pas de l’appeler ou de lui envoyer des messages, que tu t'approches à moins d'un kilomètre de lui et que tu fais un truc contre lui, je peux te jurer que tu le regretteras, et crois moi c'est pas du bluff... Compris?.. Oui oui fais le beau derrière ton téléphone mais crois moi tu risques gros... C'est ça... Salut.
Après avoir raccroché il rend son téléphone à Gwen qui le regarde la bouche ouverte.
- Waoooh je suis impressionné, merci.
- De rien, tu m'excuses de m'être fait passer pour ton mec, mais ça m’est venu comme ça sans réfléchir.
- Non au contraire, tu as été super efficace... Et puis... C'est très flatteur pour moi d'avoir été ta chérie ne serait-ce qu'un virtuel instant.
Paul sourit à cette remarque, s’approcha délicatement de Gwen, le regarda dans les yeux et posa ses lèvres sur celle de la belle et l’embrassa tendrement, il enfonça sa langue dans la bouche de Gwen qui répondit positivement à cette invasion et se donna à cette étreinte qui dura un petit moment jusqu’à ce que Paul se détacha doucement de lui.
- Désolé Gwen, j’ai pas pu résister.
- Ne t’excuses pas, moi aussi j’ai aimé cet instant, je me demandais même quand est ce que tu allais te décider à m’embrasser, tu en as mis le temps.
- Je te l’ai dit tu m’impressionnes.
Il allait recommencer de l’embrasser quand un jeune homme rentra dans le salon.
- Gwen, je te cherchais, ta mère te veux prêt d’elle, pour son discours.
Ils se dirigèrent vers la grande salle ou la mère de Gwen était prête à parler.
- Ah Gwenael, viens à coté de moi.
Gwen monta sur l’estrade très intimidé par le monde qui le regardait, pour écouter le discours de sa mère portant sur le grand partenariat qui va engager la société vers un futur plus prospère.
- Maintenant, je vais laisser la parole à Gwenael qui va vous parler d’un projet qui nous tient tous à coeur.
- Pour commencer, je vous remercie d’être venus ce soir soutenir notre fondation pour une cause qui me tient à coeur, il est malheureux que des refuges pour femmes battues soient nécessaires dans notre monde qui se dit civilisé, mais c’est hélas le cas. Certains d’entre vous ignorent certainement que je suis bénévole dans plusieurs centres d’accueil et à ce titre je suis bien placé pour savoir que tous ont du mal à faire face au nombre de femmes ayant besoin d’aide. Aussi avons-nous désespérément besoin de créer de nouveaux refuges, de recruter davantage d’assistantes sociales. Pour cela, il nous faut beaucoup plus de moyens financiers. Alors, n’hésitez pas à être généreux, et croyez moi quelle que soit la somme que vous donnerez, cet argent contribuera à aider des femmes qui n’ont nulle part ou aller ni personne vers qui se tourner. Elles ont besoin de vous…de nous tous…d’avance merci, merci pour elles.
Toute la salle applaudit avec chaleur, sa mère le prit pour l’enlacer, lui dit toute sa fierté et son émotion. Gwen descendit rejoindre Stéphanie et Paul, tout le monde le complimenta et promit de se montrer généreux. Stéphanie le pris dans ces bras, le félicitant de son discours, dès qu’il put être à coté de Gwen, Paul se pencha vers lui.
- Félicitation ma belle, très impressionnant, tu pourrais faire une brillante carrière dans la collecte de fonds ou la politique.
La présence toute proche du corps de Paul contre lui, rendait Gwen toute chose, sa voix, son souffle contre son oreille, son sourire, wahooo quel homme, un seul mot de sa part, un seul geste et il serait capable de fondre comme une midinette devant ce Don Juan qui a 10 ans de plus que lui.
- Merci Paul, mais j’ai choisi une autre voie, c’est l’art, c’est ma passion, au fait j’espère que toi aussi tu seras très généreux.
- Après un tel discours et face à une telle représentante, comment ne pas participer, je serais bien entendu très généreux ma belle.
La soirée se déroula tranquillement, Gwen et Paul restent ensemble à discuter, rire, partager des anecdotes comme deux amis de longues dates, oubliant même leur différence d’âge. Vers Minuit, Gwen décida de rentrer et comme Steph avec qui il était venu voulait rester, Paul lui proposa de le ramener, il alla voir sa mère pour lui dire qu’il allait rentré à son appartement parisien.
- Merci ma chérie pour ta présence, tu as été parfaite ma puce, tu rentres avec Steph ?
- Non maman, Steph s’amuse comme une folle, elle veut rester un peu plus longtemps.
- Mais tu vas rentrer comment, en taxi ?
- Paul, que tu connais bien, m’a proposé de me ramener, je pars avec lui.
- Paul ? Ma chérie fais attention avec lui, il a une sacré réputation de play boy, tu es grand mais je te conseille d’être prudent.
- Maman, enfin fais moi confiance, j’ai 20 ans, et en plus je te rappelle que malgré sa réputation, tu lui as beaucoup parlé de moi, allez bisous maman, je t’appelle bientôt.
Gwen rejoint Paul pour partir, en passant devant Steph, celle ci lui fait un clin d’oeil de connivence la voyant s’en aller au bras de Paul.
Arrivant au parking, Paul devant sa grosse berline, en gentleman lui ouvre la portière.
- Votre carrosse princesse.
- Merci mon brave…Je vois en tout cas que les affaires vont bien pour toi.
- Je fais de mon mieux mais bon face à une héritière comme toi je fais pas le poids.
Gwen sourit à cette remarque, c’est vrai qu’il est l’héritier d’une grosse fortune et que contrairement à la plupart de ces amis de Fac, l’aspect matériel n’est pas un soucis.
En roulant vers l’appart de Gwen dans les beaux quartiers de Paris, la conversation entre les 2 tournait autour de la soirée, des personnes présentes, détaillant avec humour les scènes qu’ils ont capté.
Ils arrivèrent enfin devant le domicile de Gwen.
- Bon bah merci Paul de m’avoir ramené, c’est très gentil de ta part.
- C’est normal, j’allais pas te laisser prendre un taxi ou pire un Uber, une belle « blonde » comme toi seule, on sait pas sur qui tu serais tombé… Tu me proposes pas un dernier verre ? Dit il avec le sourire ravageur du mâle sur de lui.
- Est ce bien raisonnable cher monsieur, je ne suis qu’une faible « fille » innocente et vous êtes un adulte.
- Ahahahah une faible créature oui surement mais innocente, j’en doute un peu, et puis pourquoi être raisonnable ?
Gwen le regarda avec ce sourire d’ange, il savait et même espérait que Paul lui proposa de monter chez lui, il aimait ce moment ou il avait ce pouvoir sur les mâles avant de succomber à leurs avances.
- Bien, tu as raison, je me dois de t’accorder cette faveur pour te remercier.
Dans l’ascenseur, se retrouvant serré dans l’habitacle réduit, Paul osa lui caresser le visage et ces cheveux, en le regardant droit dans les yeux.
- Qu’est ce que tu es belle Gwen, une beauté incroyable, ce visage, ces yeux, ta longue chevelure blonde, une vraie princesse de conte de fée.
Cette déclaration eut pour effet, malgré qu’il avait l’habitude qu’on lui loue sa beauté, de faire rougir Gwen comme une midinette, il se sentait si fragile face à cette homme mûre.
Gwen ouvrit la porte de son appart puis ils rentrèrent sans un mot. Ils se retrouvèrent dans l'obscurité de l’entrée, Paul se tint devant Gwen et il arrivait à peine à distinguer son visage dans le noir mais il le fixait intensément. Gwen voulait qu'il fasse le premier pas et Paul le comprit assez bien puisqu'il avança doucement vers lui et passa ses bras derrière pour le plaquer contre lui. Sa main droite vint enserrer sa nuque et il approcha ses lèvres des siennes, alors qu'il affermissait sa prise, il déposa un doux baiser sur les lèvres de la belle, Gwen se laissait faire, complètement excité. L'obscurité épaisse autour d’eux les enveloppait et rendit ce moment particulièrement intense et intime. Il lui déposa un autre baiser et sa langue vint vite lécher ses lèvres. Gwen ouvris alors la bouche pour l'accueillir et il plongea sa langue et caressa la sienne tendrement. Sa main gauche tripota ses fesses et il sentait la dureté de son bas ventre contre le sien. Ses baisers tendres devinrent bientôt plus intenses. Ses coups de langue devinrent plus appuyés, plus profonds, et les deux langues se caressèrent vigoureusement. Gwen passait également une main sur sa nuque et lui caressai ses épaules, et l'autre il s’en servis pour toucher son épaisse queue, prisonnière dans son pantalon.L’appart s'emplit du bruit de leurs baisers, alors qu’ils terminaient un baiser et que Gwen refermait un instant la bouche, Paul en bon mâle dominant lui donna un vif coup de langue sur ses lèvres pour que Gwen les rouvre aussitôt. Il força presque le passage de sa bouche avec sa langue et la lui mit bien au fond. Il lui lécha ensuite le cou, embrassa sa peau fine et nue, puis le plaqua avec force contre lui, il put sentir son corps puissant contre le sien. Il lui roula des pelles intenses, il était très dominateur dans ses baisers et cela l’excitait au plus haut point, sa langue le goûtait, le léchait, le caressait et il embrassait vraiment très bien. Il plaça finalement ses deux mains sur son cul et lui pelota les fesses avec vigueur, l’attirant toujours plus contre son bas-ventre et écrasant sa queue dure contre son ventre, il mima des mouvements de bassin, et sa respiration devint de plus en plus bruyante, Paul était au comble de l'excitation et Gwen se rendais compte que son coeur n'avait jamais battu aussi fort, peut-être l'obscurité autour d’eux avivait leur excitation mais il se sentait perdre le contrôle de son corps pour ne devenir qu'une enveloppe remplie de désir.Brusquement, il arrêta ses baisers et d’une voie grave.
- Ou est ta chambre Bébé ?
Sans répondre, rouge comme une pivoine, Gwen le prit par la main et l’emmena vers sa chambre.
Une fois dans la chambre, Paul le poussa sur le lit ou Gwen se retrouva sur le dos, belle proie offerte à son futur mâle et sans attendre, le bel étalon demanda à sa belle pouliche blonde de se mettre nue, une fois Gwen juste vêtue de son string noir, lui même commença à se déshabilla lentement pour montrer à sa belle son corps d’athlète ainsi que sa puissance viril de mâle, la vue de cette queue énorme fit pousser à Gwen un petit cri de surprise qui rendit Paul en bon mâle dominant fier de ces attributs face à la réaction de la belle. Une fois nu, il se rua sur Gwen plaquant son corps entre ses jambes ouvertes et l’embrassa tendrement puis vigoureusement, son bassin contre le sien, frottant l'épaisse érection qui gagnait sa colonne de chair, il commença un mouvement de bassin lent tandis qu'il l’embrassait, sa langue caressait la sienne, s'enroulait tout autour, répandait la saveur délicieuse de sa salive, ses mains parcoururent la courbe de son dos, caressant sa longue et soyeuse chevelure blonde, malaxant un instant ses fesses. Tandis que les mains de Gwen parcouraient le dos de son mâle, celles de Paul tenaient fermement son visage et caressaient ses cheveux, son baiser intense le rendait folle et son corps musclé plaqué contre le sien lui donnait envie de choses tellement folles qu’il osait à peine les imaginer. Après de longues minutes d'embrassades et d'étreintes humides, Paul se décolla du corps de Gwen et bougea son bassin vers son visage, tandis qu'il se relevait au-dessus de lui, il s'assit sur son torse, devant son visage, et plaqua son bas-ventre ur son visage, il fit quelques mouvements de va-et-vient, écrasant son sexe contre sa bouche qui s'emplit de l'odeur viril de son mâle.
- Vas-y Gwen, lèche, suce ma queue, sors bien ta langue, montres moi comment une princesse comme toi sait faire une fellation.
Ces encouragements poussèrent Gwen à lécher cette barre de chair, à gober ses grosses couilles pleines de sève, à branler cette bite toute droite et dure, bien chaude, bien vivante, bien épaisse, de part sa jeunesse et sa petite expérience des sexes, il n’avait jamais eu à sucer une telle queue, il la mis sans plus tarder dans sa bouche et Paul poussa un grognement avant de commencer des mouvements de va-et-vient. Gwen engouffra lentement la bite jusqu'au fond de sa gorge, Paul retint sa queue un moment au fond de lui , Gwen essayait de resserrer ses lèvres autour du membre viril, ce qui le fit souffler un peu plus, alors qu’il commençait à s’étouffer, Paul retira sa queue et attendit que Gwen reprenne ses esprits pour lui la mettre à nouveau au fond de la gorge, il fit cela quelques fois avant d'entamer un mouvement de bassin régulier et de baiser sa bouche tendrement, ses va-et-vient étaient doux et sa queue glissait bien dans sa bouche, écartelant ses mâchoires à cause de l'épaisseur de son membre. Chaque fois que Paul sortait son gland de sa bouche, il enroulait rapidement sa langue autour pour lui donner plus de sensation à la sortie, et il sentit son excitation grimper tandis qu'un léger goût de semence envahissait sa bouche, Paul accéléra bientôt ses va-et-vient et bien vite, son pubis vint s'écraser avec force contre le visage de Gwen tandis que son membre perforait sa bouche sans ménagement, il commença à se déchaîner et à soupirer.
- Gwen, putain, t'as une bonne bouche de suceuse pour une petite bourgeoise.
Gwen salivait un max à cause de cette fellation brutale et de la bave coula un peu sur son menton tandis que son étalon se déchaînait dans sa bouche.
- Wahoo , il faut que j'arrête, sinon je vais juter.
Et il se retira de sa bouche. Il s'allongea à nouveau sur lui et lui roula une pelle tendre et passionné, ses mains lui tenant fermement la tête.
- Ta bouche est bonne mon ange.
Gwen fier qu’un homme, un vrai, le félicite de sa prestation, lui souris et il l’embrassa fougueusement, son corps collé fermement contre le sien.
Paul déposa des baisers dans son cou et lui donna des coups de langue sur sa peau, ce qui le fit frissonner, il descendit jusqu'à ses tétons qu'il titilla du bout des dents, il mordilla légèrement le gauche, déclenchant en Gwen une excitation diffuse et délicieuse qui le fit gémir et se cambrer, des frissons le parcoururent tandis que Paul lui lécha les tétons du bout de la langue, tout en continuant à le ploter, jamais aucun de ses copains, ne s'était jamais occupé de lui comme ça et il en concevait un plaisir indicible.
- Continue c'est trop bon, lâcha t-il bien malgré lui.
Paul descendit sa langue le long de son ventre plat, jusqu'à ce que son menton rencontre sa petite vergette, Il le regarda un moment avant de commencer à lécher son « clito », sans un mot Paul enfourna la vergette de Gwen dans sa bouche, celui-ci gémit, tellement la sensation le subjugua, il sentait la langue douce de son amant qui s'enroulait autour, le faisant cambrer et gémir comme un supplicié. Ce beau mâle était un formidable lécheur, ses coups de langue déclenchaient en Gwen des frissons incroyables, d’une main, il lui saisit les cheveux et imposai sa propre cadence à la bouche de son mâle. Sans lâcher la petite bite de sa belle, Paul pivota tout son corps pour rapprocher son bassin de sa tête et Gwen comprit sur le moment qu'il désirait qu’il le suce en même temps que Paul s’occupait de son petit trou rose.Totalement excité par l'idée, Gwen l'aida à passer une cuisse au-dessus de sa tête, pour se retrouver le visage plaqué contre son lourd paquet et son immense queue qui pointait sur mon menton. Une fois installé pour le 69, d’une main, Gwen amena la tige de son homme sur son visage et d'un coup de bassin, son beau mâle l'enfonça au fond de sa gorge, déclenchant un soubresaut de surprise dans son corps, il ne lui laissa pas le temps de reprendre ses esprits et entama un pilonnage intensif de sa gorge, en même temps qu’il entreprit de lécher la corolle rose de la belle totalement grisé par cette pénétration buccale, Gwen entama lui aussi de rapides mouvements de va-et-vient, ils étaient moins puissants que les siens car il était sous lui et ne pouvais bénéficier de toute sa force, mais cela suffit à le faire gémir et ses cris s'étouffèrent provoquant des vibrations exquises. Le corps de Paul au-dessus du sien, Gwen avait l'impression de fusionner tout entier avec lui et c'était tout simplement incroyable et nouveau comme sensation, l’excitation était à son comble, il écarta un instant sa queue de sa bouche et lui dit entre deux soupirs d'excitation.
- Arrêtes chéri, tu me rends folle.
- Moi aussi j'en peux plus, retournes-toi mon ange, c'est ton petit cul que je veux féconder maintenant.
Une boule de chaleur se répandit en Gwen, il s’exécutai sans plus attendre et s’allongea sur le ventre..
Sans plus attendre, Paul amena sa queue au bord de l’anus de Gwen et le pénétra d'un coup sec, ce qui le fit crier sous la douleur, son sexe rentra directement et ses couilles s'écrasèrent violemment contre le bas de sa raie.
Gwen se mis à pleurer sous la violence de l’assaut de son étalon, Paul resta un moment sans bouger laissant sa belle s’habituer à son engin.
- Désolé chérie, j’ai pas pu me contenir, tu m’excites trop, j’ai trop envie de te défoncer.
- Oooohhh oui prends moi fort montres moi que tu es le mâle dominant.
Gwen décidai de coller son corps contre le sien et de s’empaler lui-même encore plus sur son pieu, malgré la douleur, pour lui montrer à quel point il le désirait.
- Oh ma belle, t'en veux toi et bien tu vas pas être déçu.
- Oui, s'il te plait, fais de moi ta femelle.
Sur ce, il lui plaqua la tête contre l'oreiller et entama un pilonnage intensif de son petit cul, ses mains vinrent lui enserrer les poignets pour l’empêcher de bouger et Gwen eu l'excitante sensation d'être complètement à sa merci. Paul lâcha des grognements et le défonça littéralement, le lit couinait férocement et Gwen la tête dans l'oreiller subissait les assauts en gémissant, la douleur faisant presque immédiatement place à un plaisir incroyable, en même temps qu'il le baisait, Paul commença à lui donner des fessées qui claquèrent sourdement à ses oreilles et cela augmenta encore plus son désir.
- Prends-moi, je suis à toi, je suis ta femelle.
A cet instant, Paul arrêta brutalement ses va-et-vient et mit ses mains sous son torse pour relever le corps Gwen et le mettre à quatre pattes, toujours fourré par son énorme engin, Gwen se mis donc sur les genoux et son beau mâle flatta sa croupe, ses mains parcoururent la cambrure de son dos et vinrent caresser sa longue et soyeuse chevelure blonde.
- Oui poupée, à partir de maintenant tu vas être ma petite lopette, ma soumise
Sur ce, il tira sur ses cheveux et s'enfonça brutalement dans son cul, Gwen criait un instant car son angle de pénétration le fit rentrer directement au fond de son anus, reprenant ses coups de butoir. Tout son corps claquait violemment contre son cul sous la force de ses assauts et les parois de son anus, écartelées, semblaient à la fois se déchirer et devenir insensibles, même si la sensation était excellente et qu’il aurait pu encaisser cette belle queue pendant des heures.
- T’encaisses bien petite salope, je pensais pas qu’une minette aussi fine que toi pouvait supporter ma puissance.
Gwen dans les bras de cet homme en redemandait, il aimait qu'il le domine, qu'il l’insulte, car cela l’excitait, c'était bon de sentir cette énorme colonne de chair lui traverser la moitié du corps, de sentir ses mains qui le tenaient par ses cheveux et qui parcouraient sa peau tandis qu'il le fourrait sans ménagement, Paul commença à accélérer ses mouvements et il sus qu'il allait bientôt jouir.
- Ton cul est trop bon mon ange, je peux plus me retenir, je vais te remplir ta petite chatte de mon jus de mâle.
Et sur ce, il lâcha un gigantesque râle de plaisir du mâle fécondant sa femelle et Gwen sentit la queue gonfler soudainement en lui pour lâcher sa semence brulante, Paul reprit des mouvements de bassin plutôt secs et le pilonna à nouveau, tassant son foutre tout au fond de sa femelle soumise.
Cette pénétration, combinée à la jouissance bruyante et démesurée de son amant, le fit trembler de plaisir en subissant un énorme orgasme anal.
Paul terminant de se vider dans la matrice de sa femelle, passa une main sur ses cuisses pour lui ordonner de s’allonger sur le ventre, toujours emboité dans ses fesses, il suivit le mouvement pour s'allonger sur son corps encore tremblant, tout le corps puissant et viril de Paul se retrouva contre celui de Gwen, épousant les courbes de son dos, qui sentit sa respiration saccadée sur son oreille, son anus était humide et il sentait qu'il dégoulinait de son foutre, son sexe toujours bien droit et dur en lui, Paul l’embrassa dans le cou et lui caressa les cheveux avec une tendresse telle que le contraste avec sa brutalité passée était saisissante.
- Mon ange, ma belle, ma princesse.
Ces mots doux réconforta Gwen dans sa position de femelle, il se sentait bien ainsi, sous son corps chaud et brûlant, avec sa queue encore en lui, c’était un moment tendre et suspendu, tellement parfait qu’il faillit en pleurer de bonheur, serait- il en train de tomber amoureux ? Paul était l'homme, le fantasme, le prince charmant dont il avait rêvé toutes ces années durant, et il n'en revenait toujours pas de ce qui lui arrivait, il se laissai aller, bercé par toutes ces agréables sensations, et il basculait dans le sommeil, entouré, enlacé par le corps parfait de son bel étalon.
Au petit matin, Gwen dormait profondément quand Paul le réveille en l’embrassant dans le cou et en collant sa bite contre ses fesses, il le caresse partout, ses cheveux, ses fesses et ses petits tétons de fillette. Totalement passif et abandonné, Gwen apprécie ce moment de délice et repars vers la volupté. Paul le prend par le visage et lui donne un baiser tendre et délicat, il ne dit rien mais le regarde intensément, il doit être étonné que ce petit bout de femelle puisse jouir du cul aussi fort.
- Tu es absolument surprenante, mon Gwenael, tu jouis plus fort qu’une femme, je suis si fier d’avoir possédé une femelle comme toi.
- Viens me sucer.
Comment résister à sa voix grave viril et sensuelle, pas Gwen en tout cas, pas avec lui, cet homme l’a envouté c’est certain, il prend sa belle bite toute dure et la lèche en lapant par petits coups de langue, principalement sur le gland, Paul frémit, Gwen le prend en bouche et s’active à le sucer et le faisant pénétrer le plus loin possible dans sa gorge, ses mains se sont saisies de ses couilles qu’il malaxe énergiquement, son mâle pousse un grognement, il aime se que lui prodigue sa belle qui lui enserre son paquet entre le pouce et l’index juste au-dessus des testicules et tire légèrement vers le bas, il continue à le pomper avec délice, le souffle de Paul devient plus rapide, il est au bord de l’explosion, Gwen retire la queue de sa bouche, il a envie de se faire reprendre ce matin.
- Paul, prends-moi encore, j’ai envie de ta bite.
Il le met sur le dos, écarte ses jambes, met un coussin sous sa chute de rein pour bien faire saillir ses fesses, sa queue glisse entre ses fesses, son anneau s’ouvre et sans autre préparatif lui plante sa queue jusqu’à la garde dans son cul entrouvert, sa chatte de femelle en chaleur et sans hésitation l’embroche comme une poulette de l’année, il l’a planté jusqu’à la garde et le défonce activement et virilement, il le prend comme une femelle.
Gwen couine de plus en plus fort, il halète, il gémit, il laisse échapper un cri aigüe de petite femelle pendant qu’il lui travaille le cul avec douceur, patience et endurance, il se laisse aller vers le plaisir, il s’abandonne complètement à son homme, Paul le sent et c’est ce qu’il veut, soumettre sa belle les yeux dans les yeux et lui montrer qu’il était son mâle alpha dominant, Gwen était bouleversé par cette sensation nouvelle d’être sous l’emprise rassurante d’un homme, il glisse de plus en plus vers la félicité et finit par l’encourager à le prendre plus fort. Pour la seconde fois il est en train de le faire jouir du cul, son organisme, en phase avec son étalon au gros calibre, lâche de plus en plus de mouille pour lubrifier le piston qui coulisse dans son petit cul de blonde.
- Ouiiiiiii ! C’est bon ! Ramone-moi bien à fond !
Paul pense maintenant à son plaisir, il le bourre énergiquement, presque violemment et Gwen aime ça. Il le tire par les hanches et le met à quatre pattes, le prenant en levrette comme une chienne.
- Prends ça, femelle et encore ça Gwenael, salope tu aimes ça, te faire prendre virilement par un mâle bien monté, n’est ce pas ?
- Ooooohhh Ouiiiii, Paul, démonte-moi le cul, je suis ta salope et j’aime ta bite.
- Alors tu vas en avoir, petite chienne, tu vas prendre des kilomètres de bites dans le cul et tu vas avaler des litres de foutre.
- Ouiiiii, je suis à toi, c’est trop bon, baise-moi.
Ce langage n’est pas pour lui déplaire et les excite fortement tout les deux, il sent la queue de son mâle se raidir de plus en plus, il va exploser dans son cul.
- Prends ça, femelle, je vais t’engrosser, tu es à moi, je suis ton homme maintenant.
Un dernier violent coup de reins et il lui décharge quatre longues giclées de foutre dans le ventre et lui inonde le boyau, il s’écroule sur son corps de tout son poids, il l’écrase, il le domine, Gwen est comblé dans tous les sens du terme, Paul l’emmène vers les sommets du plaisir, l’orgasme est là, il envahit son cul, son ventre, sa tête, il est animé de tremblements, de soubresauts, tout son être est sous la domination du plaisir qui le submerge sans que rien ni personne ne puisse l’arrêter, rassasié de cette douce violence.
- Merci Paul, tu m’as rendu très « heureuse ».
- J’aime quand tu t’assumes ma belle, tu es une femelle Gwenael, je t’adore ma petite blondinette, c’est pour moi un grand plaisir de te faire
jouir, tu es tellement belle Gwenael quand le plaisir inonde ton visage.
Paul le pris dans ces bras et lui fit de gros câlins alternant les caresses sur tout son corps et des baisers sensuels, Gwen se sentait tellement
bien, blottie contre ce corps si puissant qui lui a donné tant de plaisirs.
- il se fait tard ma chérie, je dois te laisser j’ai un rendez-vous important ce matin, est ce que je peux me servir de ta salle de bain ?
- Bien sur, c’est vrai que si tu vas comme ça, sentant le fauve et le sexe à ton rendez vous d’affaire, tout le monde saura que tu viens de féconder
une femelle, hihihihi.
- Ahahahah, ça c’est sur, mais s’ils savaient que j’ai fécondé la plus belle femelle que j’ai jamais eu, ils seraient tous jaloux et j’en serait fier.
Sur ces mots d’amour, il lui fit un baiser sur les lèvres et allait se doucher laissant Gwen allongé sur cette couche, nu, sa longue chevelure blonde
étalée sur son oreiller et les fesses souillées par le sperme dégoulinant de son amant. Une fois douché et habillé, Paul s’assoie à coté de Gwen
toujours allongé sur le lit lui caresse les cheveux en le regardant tendrement.
- Gwenael, j’ai envie de te revoir, j’ai passé une nuit exceptionnelle avec toi et je ne voudrais pas que ce soit juste un plan cul d’un soir sans
lendemain, enfin si tu veux bien bien sur.
- Je ressens la même chose, je dois t’avouer que jamais aucun garçon ne m’a donné autant de plaisir que toi et je ne parle pas que de sexe.
- J’en suis très heureux, je veux te revoir, je dois faire un voyage d’affaire et je ne reviens que dans une semaine mais je te promet de t’appeler dès
mon retour.
- J’attendrais ton retour alors.
Paul lui fit un long baiser passionné qui coupa le souffle de la belle blondinette, puis quitta l’appartement par un dernier sourire envers sa
conquête d’un soir. Se retrouvant seul dans son lit, Gwen se demanda s’il venait de rencontrer l’homme de sa vie, va t il le rappeler comme il l’a
promis, ou bien n’est il qu’un èphèbe de plus, épinglé sur le tableau de chasse de cet adulte play boy qui l’a considéré cette nuit juste
comme un vide couilles.
A suivre…
GwenBlondinet
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