Ayant quelque problème financier, un appel pendant la matinée.
Un homme d’un ton très sec me donne un rdv, dans la journée.
L’appel dura 5min, il me demande de venir me présenter en fin de journée.
Dehors c’est le printemps, j’enfile un short une chemise et j’y vais.
Je me rends compte qu’il fait finalement assez frais, j’ai des frissons et mes tétons pointe, dessinant une petite forme sur ma chemise cintrée.
Dans la salle d’attente je me rends compte que mon short est court, les gens m’observe d’une manière étrange, comme si j’étais vulgaire.
Un mec, trentaine passé s’approche de moi, vêtu d’un costard « monsieur P? »
Je lève la tête, il avait de beaux yeux gris vert, brun et très grand.
Il m’accueil dans un bureau au fond d’un immense couloir, autour il n’y a rien à part un distributeur d’eau et des WC.
Il est derrière moi, l’impression qu’il est assez proche, je sens sa respiration prêt de ma nuque, un souffle chaud.
« Asseyez vous » me dit-il d’un ton ferme.
Je me m’assois, croise les jambes, donne l’air d’être sérieux alors que je suis énormément stressé.
Il s’installe devant moi, me regarde de haut en bas.
« Alors on va aller droit au but, vous rencontrer d’énorme problème financier, n’est ce pas? »
« Oui » réponds-je d’une frêle voix.
Il fronce les sourcils, me regarde d’un ton insistant et me demande quelque explication.
La discussion se passe, dans son petit bureau illuminé par le soleil, derrière lui une immense baie vitrée, on voit toute la ville, l’entretien est long me semble interminable.
« Il faut trouver une solution d’urgence, on ne peut pas passer à côté de ça. »
Je ne sais pas quoi répondre, il insiste sur quelque question personnel.
« Suis-je seul ? »
« Où j’habite ? »
« Est ce que je travaille? »
Je répondis non pour dernière question, il arrêta de taper sur son clavier et me regarda d’un petit coup d’œil.
« Vous n’avez aucune activité? Il faudrait vous y mettre »
Je ne savais pas quoi répondre, par humour je lui demande si ils ont un poste pour moi dans leurs banque, ce qui ne l’a pas du tout fait rire.
« Si vous voulez rigoler il y a pas de soucis, on va rigoler.» répondit-il fermement.
Il se lève et va jusqu’à la porte, la ferme à clefs, lorsque j’entends le clic de la porte mon cœur s’emballe.
D’un ton silencieux il me demande « on se connaît non ? »
Je ne répondit rien, mais je commence à me souvenir que j’ai déjà échanger avec lui sur une application.
« Si vous voulez travailler je peux vous trouver quelque chose. »
Il s’approche de moi, me caresse la joue
« Je me souviens que vous m’avez envoyer quelque photo de vous un jour. »
Sa main commence à caresser la nuque en descendant doucement à l’encolure de ma chemise « qu’est ce que vous faites? » demandais je en lui enlevant la main,
« Je trouve une solution. »
Me répondit il avant de continuer à me caresser le visage.
Il regarde vers la porte, avant de doucement ouvrir sa ceinture de cuir, je remarque une certaine forme sous son pantalon bleu marine.
Il ouvre sa braguette et prend ma main.
Je me laisse faire, je tremble.
« Je vais devoir partir. » lui répondis-je d’une voix calme.
« Si vous partez vous aurez toujours les mèmes problème, si vous restez on peut s’arranger. Qu’en pensez vous? »
Je laisse ma main caresser son paquet, il est énorme.
Son énorme main me caressa la nuque, il déboutonna un peu ma chemise pour laisser apparaître mes petits tétons.
« Tu as une belle peau noir. » il me pinça le bout du téton.
Il s’approcha de moi, son énorme paquet prêt de moi.
« Va falloir me sucer maintenant »
Il sorti son penis, une énorme bite, non circoncis pointa directement vers moi.
J’ouvris la bouche timidement, acceptant sa demande.
« Suce vraiment » il enfonça sa bite dans ma bouche, jusqu’à ma glotte.
« Continue »
Il me prit par les cheveux et me mets à 4 pattes.
« Je vais t’aider un peu »
Avec ses gros pouces il écarta mes lèvres et enfonça encore plus son gland dans ma bouche.
Je l’a senti gonflé sur ma langue, un petit goût salé au bout des lèvres, il continua a faire quelque va et viens en me tenant par la nuque.
Il se retira, « j’ai pas envie de jouir tout de suite. »
Je me relève, commence à reboutonner ma chemise « attends, t’as pas envie de continuer ? »
« Non » je répondis.
« C’est dommage. Je peux pas faire abstraction de vos problèmes d’argent à l’avenir. »
Je ne savais pas quoi dire.
Il s’approcha de moi en me serrant contre lui, me bouffa le tétons droit en le mordillant, j’essaie de l’empêcher mais il insista en me serrant contre lui. Il utilisa le bout de sa langue, je commence à aimer ça.
« Vous êtes chaud vous aussi »
En effet je commençais à bander, il continua à me bouffer les tétons. Sa main s’infiltra dans mon short, il commença par caresser langoureusement mes jambes et arriva vers mes fesses.
Je senti un doigts qui essayait de rentrer, je lui retira le doigts mais il insista pour finalement me mettre deux doigts, sec, qui caressait ma paroi anal.
« T’es serré. »
Il me demanda de le sucer une seconde fois en me mettant à genoux devant lui.
Je remarquais que le ciel commençait à s’assombrir, il devait être tard déjà en engloutissant sa bite. Il baissa mon short et commença à tirer mon slip dans tout les sens, d’une main j’essayai de l’empêcher, il tira fort d’un coup et déchira mon slip.
« Au moins c’est fait. »
J’essayais de l’empêcher mais trop tard, je senti deux doigts qui s’enfonça profondément en moi.
Je fis un petit cri aigüe.
« Mmmh » il me prit par la tête et me demande de me lever avant de me retourner contre son bureau.
« Qu’est ce que vous faites ? »
répliqua-je
« Je vais te baiser pourquoi? »
J’essaie de me retourner mais il me plaqua la tête contre sa pile de dossier, attrapa une de mes jambes pour m’immobiliser.
« Tu veux payer tes dettes? »
Me demande t-il ensuite ?
Je réponds un « oui »
Je l’entendis craché et mettre un peu de salive entre mes fesses, d’un coup je senti sa bite rentrer doucement en moi.
Je cris un petit peu, mais timidement
« Tu peux crier, tout le monde est parti »
Il enfonça petit à petit sa bite dans mon trou, je senti la paroi de mon cul se détendre doucement. Il prit ma chemise par derrière et commença à donner quelque coup de rein.
« Monte sur le bureau, je suis trop grand »
Il prit ma jambe et la monta sur le bureau pour que je sois a 4 pattes.
« C’est bon comme ça » il donna un coup de rein qui me fit crier.
La nuit commençait à tomber et je vis, mon reflet sur la baie vitré.
J’étais nu, sur un bureau, en train de me faire enculé sur des dossier.
Lui il était toujours habillé.
Il me retourna, dos contre le bureau.
Écarta mes jambes et remis sa bite dans mon trou.
Je fis un bruit aiguë. « Vous aimez? »
Je ne répondais rien, il accéléra la cadence et me réponse la question. « Vous avez aimez?! » je répondis oui.
Je senti son corps entier s’allonger sur moi. Il commença à respirer de plus en plus fort en m’embrassant le visage, une main sur mon pectoraux, il le serrait comme si j’étais une femme.
« Je vais jouir » il accéléra la cadence, se releva, attrapa ma fesse avec sa main pour donner de la hauteur et continua à donner de gros coups de reins.
La pile de dossier s’écroula sur ma tête, je l’entendis juste grogner silencieusement et senti, une rivière de fluide dans mon trou. Tout chaud.
« C’est bon » il se retira.
Je n’ai pas le temps de me relever que mon trou rejeta son sperme, sur son bureau.
« Nettoie avec ta langue »
Je pensais qu’il plaisantait, mais répéta une seconde fois, « lèche. »
Je lécha son bureau, la trace de sperme, brunâtre qui était sorti.
Pour lui faire plaisir je lui montre que j’avale même. Il souria, me regardait avec passion. Il était beau quand il était souriant.
On papota un peu pendant qu’il rangeait son bureau, je me rhabillais.
Il me proposa de me ramener en voiture chez moi, sur la route finalement on est allé manger au restaurant, on a bu quelques cocktails avant de refaire l’amour dans sa voiture, et son appartement.
Aujourd’hui j’avais envie de raconter cette histoire car cela fait exactement 3 ans que nous sommes ensemble, on a beaucoup en commun, le sexe en particulier.
Jill38
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