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Saison 1
Chapitre 5
Une fois debout, dans l’attente de la suite, une nouvelle discussion s’engagea sans que l’on ait oublié au passage de me placer dans chaque main une bite bien dure que je devais branler.
- Bon, faut revoir sa tenue. On va lui enlever sa cage, ça doit commencer à lui irriter le nœud. Par contre, on lui laisse les ballstretchers. C’est trop mignon de voir ses petites roubignoles tirées vers le bas et qui commencent à prendre une belle couleur framboise. Les voir se balancer au gré des coups de boutoir qu’on va lui mettre, ce sera trop chou, dit Philippe sur un ton qui ne souffrait aucune résistance. On va lui rajouter un harnais de poitrine pour qu’il se sente vraiment slave jusqu’au bout.
- Pas de cage OK, mais interdiction de juter me rappela Stéphane en m’embrassant dans le cou.
- Et le plug, on le remet ? demanda Florian en m’introduisant deux doigts dans le cul.
- On le garde pour plus tard. Pour l’instant, on lui laisse la choune libre et à dispo.
- OK à vos ordres Maître Philippe fit Florian en mimant ma voix. Hum, mais regardez-moi ce cul, putain j’ai envie de le lui bouffer et tout lisse en plus, ça doit glisser tout seul. C’est du velours les mecs que j’vous dis, du velours !
- Vas-y bouffe lui la chatte, je vais m’occuper de ses nichons de pouffiasse. Toi Stéphane, embrasse-la. Elle adore ça apparemment.
Coincé entre les trois, je ne pouvais absolument pas bouger. Florian me bouffait le cul, Philippe me titillait les tétons, Stéphane m’embrassait à pleine bouche et mes mains continuaient à branler deux grosses bites qui prenaient du volume sous mes va-et-vient. C’était si sublime que je fus traversé d’une onde d’amour pour ces trois garçons qui me donnaient tant de plaisir. Puis Philippe vint à son tour se coller à ma bouche, sa langue impérieuse mimait à la perfection l’acte sexuel. Je me tortillais de plaisir et d’excitation, et malgré la faible amplitude de mes mouvements, Florian le sentit aux ondulations de mon cul.
- Putain qu’elle est bonne la salope. Regardez-moi ça comme elle frétille du cul et si je lui lèche les deux orphelines, c’est encore pire. Faut que j’me la farcisse la pintade.
Et passant de la parole aux actes, toujours après s’être couvert la queue d’une capote taille XXXXXXXXXXXL, il m’enfourailla les entrailles avec son zob démesuré. La secousse fut telle que je poussais un petit cri, c’était trop bon.
- Tu aimes ça p’tite salope, fit Philippe. T’aimes te faire limer le fion comme une femelle. Je l’ai su dès que je t’ai vu au resto. Tu respirais la pute à des kilomètres et je ne me trompais pas. Vas-y Florian, mets la gomme et fais-la couiner. J’adore les putes qui s’expriment quand elles se font entuber leur grotte à boudins blancs.
Je haletais de plus en plus fort. Le plaisir intense me faisait bander comme un cheval en rut, mais je me retenais, ce qui n’eut pas été le cas si une main baladeuse s‘était aventurée par mégarde vers ma queue. Je prenais tellement mon pied qu’au bout d’un moment, c’est moi qui m’empalais sur le mandrin de Florian, lui se contentant de me regarder faire. C’est moi avec mon cul qui cadençait les va-et-vient.
- Putain, elle en veut la traînée. C’est elle qui s’empale directement sur mon manche à couilles. J’crois que j’vais pas tenir… Ça monte… Oh putain ! Arghhh, je lâche la purée. Et d’une…Putain que c’est bon de juter dans son trou à bites… Ahhh, t’es vraiment une reine toi, que dis-je une impératrice !
N’y tenant plus, c’est Philippe, qui après m’avoir fait mettre à quatre pattes, prit la place de Florian. Sa queue moins grosse que la précédente rentra d’un coup et coulissa librement dans mon boyau largement ouvert par la pine de Florian. Puis ce dernier me présenta sa bite.
- Allez sale petite pute, tu as eu ta dose, mais faut tout nettoyer maintenant, et il me fourra le beignet.
Une queue devant, une autre derrière, c’était le pied. J’étais encore au bord de l’explosion et bandais tellement fort que mon gland touchait presque mon bas-ventre. Pendant ce temps, j’entendais Stéphane qui prenait des photos. Puis Florian lui laissa sa place. Stéphane appliquant ses mains sur ma nuque rythma ma pipe qu’il voulait profonde.
- Quelle chatte, mais quelle chatte ! cria Philippe. Resserre bien ton trou que je le sente coulisser sur mon pieu. Oui comme ça, c’est bien. Tu auras la mention « très bien » au baccalauréat de la pute. Ouiiii… Putain moi aussi je vais lui envoyer la crème… Arghhh, Ohhh, Ouiiiii… prends-moi ça dans ton garage à bites, salope…et d’une aussi… Waouh, quelle chaudasse !
Aussitôt qu’il se fut retiré, bite et capote à la main, Philippe me remit le plug. Il voulait surtout que mon cul reste dilaté pour une raison que je ne connaissais pas encore. Quant à Stéphane, il continuait à me bourrer la gueule avec rythme.
- C’est sûr quelle chaudasse ! Elle pompe et elle pompe et elle pompe. Je devrais l’appeler la pute Shadock. Hum ! Ça c’est une vraie tire-jus. Putain moi aussi, je crois que je vais faire sauter le bouchon de champagne… T’es trop bonne ma chérie… Je t’ai… Oh ouiiiiiiiiii. Vas-y, avale, avale tout. C’est ton cadeau de mariage ma beauté… Allez bois ton champagne, ma petite puce adorée, tu l’as bien mérité… Oui lèche bien partout, n’en perds pas une goutte, ça vaut plus cher que du Moët-Hennessy…
Une fois ma tâche achevée, il se pencha pour m’embrasser avec une passion jamais vue jusqu’en cet instant magique. Il avait balbutié « Je t’ai… » sans terminer son mot. Était-ce « je t’aime » ou « je t’ai bien engrossé » ou quelque chose d’autre de ce genre. Je ne le savais pas, mais son regard quand il prit un peu de recul était sans ambiguïté. Il était plein de douceur et d’une affection certaine. Une idylle était-elle en train de naître ? Puis il me serra tendrement dans ces bras en me susurrant à l’oreille « je crois que je t’aime, ma chérie ». Je ne voulais pas le croire. Il osait me le dire après deux années de vie conjointe, et se et me l’avouer. Moi, je l’étais déjà mais cette déclaration décupla mon amour pour lui. Toutefois, je devais raison garder, car n’avait-il pas dit lors de la soirée qu’il avait appris à manipuler les sentiments ? Même si sur le moment, je m’abandonnais aux plus tendres élans, je me devais de rester sur mes gardes. Puis se reprenant, comme s’il se reprochait ce moment de tendresse ressentie comme une faiblesse, il m’ordonna fermement de me relever.
- Allez p’tite salope, relève-toi. Je crois que Philippe et Florian ont prévu d’autres réjouissances.
J’obéis avec une rapidité fulgurante comme si le sentiment d’amour avait multiplié par mille mon énergie. Philippe qui avait tout vu de la scène précédente prit Stéphane en aparté. J’entendis juste Stéphane lui dire « ne t’inquiète pas, tout est OK. Je maîtrise la situation. » et Philippe lui répondre « OK c’est bon. Tu as toute ma confiance. » Là s’arrêta leur petite causerie. Puis ils revinrent vers moi.
- On va lui enlever sa cagoule. J’aime trop sa petite gueule d’ange, à ce p’tit enculé. On va juste lui bander les yeux pour qu’il ignore la suite.
L’utilisation du masculin me surprit. Philippe attendrit par la séquence précédente se laissait-il aller à quelques faiblesses sémantiques en signe de reconnaissance pour mes capacités hors normes ou avait-il été attendri au point d’oublier que j’étais juste une femelle serviable et corvéable à merci ? Florian sentant le changement de ton reprit vite les choses en main.
- Bon, ça suffit les mamours et compagnie. Moi, je suis un cavalier qui veut chevaucher sa monture et pour cela, il faut l’entraîner un max avant le grand final.
Tous se mirent à rire et chacun reprenant contenance, les choses continuèrent telles que nos deux compères l’avaient prévu. Quelle heure était-il ? Je n’en avais aucune idée, mais pas loin de minuit, c’est sûr. Heureusement que Maître Thibaud m’avait demandé d’arriver plus tard le lendemain matin. Mon endurance était mise à rude épreuve mais malgré un début de fatigue, j’en voulais encore et eux aussi, malgré l’heure avancée. Ainsi, la soirée se poursuivit.
Je pensais en être arrivé au dessert. Que nenni, nous en étions toujours au plat de résistance.
Luc
luctulede@gmail.com