Premier épisode
Chapitre 2
11:30 je reçois un texto avec une adresse et 12:15. Puis un 2ème « ne sois pas en retard ».
J’y vais, j’y vais pas. J’hésite mais avec les photos qu’il a, je ne me sens pas de commencer à batailler.
J’arrive sur place, il est déjà là. Plus question de me défiler. L’endroit ressemble à une cantine / un self avec plateau, comme Flunch. Au grill pour la viande, au moment où j’allais passer commande il dit: « je prendrai … et ma chienne se prendra un steack à cheval avec des frites »
Comment il m’a appelé? Devant tout le monde! Je ne sais plus où me mettre et suis rouge de honte! On s’installe à une table en coin à l’écart. dès le début du repas, tout en me regardant il sort sa queue sous la table et se branle en toute décontraction. Je regarde partout pour voir si on nous observe. Il en profite pour me prendre mon assiette et me la rend les frites pleine sde sperme.
« Des frites sans sauce ce n’est pas bon. Et tu as intérêt à tout manger, sinon tu vas morfler ». Il a l’air sérieux en plus! Le repas se passe. J’ai l’odeur de ses pieds dans le nez mais je me rends compte qu’il a enlevé à nouveau ses chaussures.
« Je crois que tu vas être en retard au boulot
- non j’ai encore du temps
- Appelle les et dis leur que tu prends ton après-midi. Ma boîte a un studio à deux pas, j’ai envie de jouer avec toi!
- Je ne sais pas… je…
- C’est simple: tu veux qu’on avance tous les deux tu viens, tu arrêtes là c’est ton choix mais c’est fini. Tu ne pourras plus jamais revenir. Je ne te reprendrai pas. Je resterai dans ta tête et c’est tout.
- Pitié non! Je… je sais pas… je…
- C’est toi qui vois… Tu sais que je t’ai déjà mangé le cerveau. Tu peux rien faire. aller, go! On y va »
Comme un automate je me lève et le suis jusqu’à un appartement simple mais fonctionnel effectivement à deux pas.
A peine rentrés, il me plaque malgré mon gabarit sur la porte et me roule une pelle… enfin plus exactement sa langue s’insinue dans ma bouche et prend de plus en plus de place. Sa taille doit avoir un rapport à sa pointure c’est pas possible!! Elle explore chaque partie de ma bouche. Quand il se retire, certaines résistances ont cédé. J’ai les jambes molles. A tel point que je m’accroupis pour ne pas m’effondrer.
« Je vais prendre mon temps avec toi. On avait dit progressivement et promis, je vais faire tomber tes barrières progressivement. Toutes. Sans exception. Une à une.
Tu vas commencer par te foutre à poil. C’est bien. Maintenant, tu me suis à 4 pattes jusque dans le salon. »
Me voilà à le suivre dans tout l’appart comme un chien. Il s’assoit dans le canapé, étendu de tout son long.
« Enlève les chaussures, les chaussettes et occupe toi de mes pieds que je vois ce que tu sais faire ».
La encore j’ai marqué un temps d’arrêt, avec lui je suis perdu. Il se penche en avant et se racle la gorge. Avant que je n’aie pu réagir, il m’envoie un mollard qui s’étale sur tout le visage! Me voilà repeint!
Je m’attelle à la tâche. Je défais la première chaussure, l’odeur monte directement en narine. C’est fort. J’enlève la chaussette. L’odeur devient plus intense. Je suis dans une brume totale et agit sans réfléchir. Je ne sais pas si c’est lui, son odeur ou les deux combinés mais je n’ai pas envie de le décevoir et y mets toute mon énergie. Il me faut du temps pour m’occuper de ses deux 45 bien larges.
Quand il juge que c’est suffisant, il me fait remonter jusqu’à lui. Il a enlevé le T Shirt. Il est bien dessiné et le peu que j’ai pu expérimenter il a l’air d’avoir de la force. Sa main derrière ma nuque m’attire à lui mais me fait bifurquer vers son aisselle dont la senteur me fait disjoncter des neurones.
Comment j’ai pu en arriver là? Avec mon petit côté propre sur moi, j’avais déjà été dominé mais lui c’est l’étape au dessus. Il n’est pas dominant pour un plan, il l’est dans son comportement quotidien et ça se voit. Je serais terrorisé s’il était mon chef. D’ailleurs, il m’avait dit que son jeu était de mettre hyper mal à l’aise les membres de son équipe, rien que pour les faire rougir et avoir l’ascendant sur eux.
« Bon fini de jouer, on va s’amuser un peu! » je ne sais pas d’où il l’a sorti mais en deux secondes il réunit mes poignets derrière mon dos et les maintient attachés avec un lien. Me voilà donc nu, les bras attachés derrière mon dos enfermé dans une pièce avec un pervers. Je ne me sens pas en danger, sa force a un côté rassurant, mais je sais qu’il va profiter de moi.
Si j’avais un doute sur sa force, confirmation est donnée quand il m’installe à califourchon sur l’accoudoir, le cul en l’air dans sa direction. Un crachat sur mon cul et il insère un doigt, rapidement suivi d’un deuxième.
« Je vais bien t’élargir. Tu vas voir, tu ne vas plus reconnaître ton cul. Il sera tellement large que mon pied passera sans problème. »
Je déglutis et viens d’avoir un coup de chaud! Il veut rentrer son pied?!?!? Dans mon cul!! Mais ça passera jamais! Déjà le poing n’est jamais passé dans mon petit cul. Il en est à 3 doigts je gémis mais son traitement devient douloureux. Au 4ème,c’est vraiment difficile. Je commence à gémir de douleur un peu trop fort à son goût. Il s’arrête mais alors que je pousse un ouf de soulagement, il m’insère sa chaussette bien odorante dans la bouche. J’ai l’impression d’être dans son odeur, d’avaler son odeur. Le tissu assèche ma bouche. Mais mes protestations restent étouffées et il recommence sa besogne. Il en est quasiment au poing, je hurle mais non seulement il s’en fout mais en plus il y prend un plaisir non feint! J’en ai les larmes aux yeux.
« Tu sens ton cul s’ouvrir? Déjà là tu ne le reconnaîtrais pas! Je suis en train de faire de la viande hachée de ton anus. Encore un peu et il aura du mal à se refermer .
Mais, je te l’ai dit, on va y aller progressivement, tu n’auras pas mon pied dedans aujourd’hui mais crois moi ça rentrera! Et pas juste les orteils ».
Je suis effondré de ce qu’il me dit. Il est en train de me détruire et malgré mon gabarit je ne peux rien faire. Mes suppliques restent en mode bruitage étouffé par la chaussette. Je vois dans ses yeux qu’il est sérieux. Il va faire de moi sa chose.
Passifcfantastik
passifcfantastik@hotmail.com
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