C’est le week-end et Camille a décidé d’aller au musée. Mais pas n’importe lequel : le gay center. C’est plutôt d’ailleurs un genre de musée Grévin, ou de beaux spécimens de modèles en cire y sont représentés et pour Camille momentanément privé de partenaire cela sera, pour aujourd’hui tout au moins un dérivatif excitant. L’entrée est assez discrète. Bienséance oblige. On y pénètre par une porte de rue ordinaire, puis un petit couloir mène à son entrée. Elle est très suggestive. Les montants de la porte sont deux immenses verges en érections. Elles sont en fer et courbée vers l’intérieur. La porte et elle-même ornée de ces attributs explicites, avec inscrit au centre Gay Center. À l’entrée une folle avec une voix aiguë délivre les billets.
— Et un billet pour le petit chat, annonça-t-elle, avec des manières de chochotte. Bonne visite mon chéri et choisi bien ton gabarit avant de sortir.
Camille s’engouffra dans une série de couloir, sorte de serpentin où l’on pouvait admirer toute une série de poupées en cire, dans des positions équivoques avec ou sans partenaire. Quelques visiteurs plus ou moins efféminés étaient en extase devant les mannequins aux poses suggestives. Lui se cala devant un beau spécimen trônant à l’entrée. Un adonis tout en muscle bien campé sur ses pieds, bandant comme un taureau avec des bourses bien pendantes et le chibre excessivement développé. Camille en fit le tour et admira au passage la croupe bien rebondit du mâle dominant, puis revint face à lui, louchant sur le braquemart turgescent orné d’un gland très débordant. Il continua sur quelques mètres où un de ces mâles virils, enfilait une lopette, le cul bien cambré, le dos et la tête rejetée en arrière, une expression de jouissance sur le visage, la bouche grande ouverte.
— Intéressant, non, lui dit un homme d’une quarantaine d’années en se tournant vers lui. J’ai le pantalon en train de gonfler. Pas toi.
— Je viens d’arriver, mais j’avoue que c’est excitant.
— À tout à l’heure beau brun, répondit l’autre l’air de rien.
Camille s’attarda devant la scène obscène qui émoustillait ses sens et ce n’était que le début. Il continua le couloir où une série de bites en érections accompagnait le visiteur, pour aboutir a des scènes de masturbation par de jeunes éphèbes en cire, avec des braquemarts de toute taille. Ils étaient dix, les uns debout la queue dans une main, d'autres les deux genoux à terre les jambes écartées, une main posée sur le sol, le corps tendu vers l’arrière, l'autre main sur la queue avec même une simulation de jet de foutre en cire pour certains de ces jeunes pubères. Puis un grand blond costaud vint se coller contre lui.
— Salope passive où salope active, lui demanda le type.
Voyant qu’il ne lui répondait pas, il lui toucha les fesses.
— Passive, hein, apparemment.
Puis lui attrapant la verge sur le pantalon qui avait durci.
— Oui tout à fait çà, tiens sent la mienne, petite lopette. Je vais te faire goûter de mon gros gourdin petite pute. À tout à l’heure.
Le grand excité s’éloigna, laissant Camille en pâmoison, le rouge aux joues, la bite tendue sous le pantalon, puis continua sa visite, vers des couples de travestis en nuisette, guêpière, talons aiguilles et perruques qui se gouinaient, se suçaient, se sodomisaient. S’enchevêtrait à cinq ou six.
— Ça te fait de l’effet, on dirait, lança un petit mec d'une trentaine d’années, un doigt dirigé vers le pantalon en toile de Camille.
Celui-ci regarda l'entre jambe où s’était formé une tache assez importante.
— Moi aussi ça m’excite tout ça, regarde le mien.
Le petit gars lui montra le sien pollué par le liquide séminal et l’invita lui aussi à goûter son foutre, sans tarder, avant de s’inonder par une trop grande excitation. Camille acquiesça sans répondre, puis continua pour arriver à une plus grande salle où une vingtaine de mannequins partousaient. Cinq debout s'enculaient à la queue leu leu. Un trio se branlait sur un mannequin couché sur le dos. D’autres encore suçaient son partenaire tandis qu’on l'enculait. Camille faillit expulser son foutre tant il était excité. Il se dirigea vers une porte où était marqué salle à partouse, l’ouvrit et entra dans une petite salle où il reconnut les trois excités, déjà à poil. Camille loucha de suite sur le grand blond. Il était monté comme un étalon de compétition avec ses deux baloches qui lui battaient l'entre cuisse. Les deux autres avaient un goupillon un peu plus normal, cependant plus conséquent que le sien. Les trois avaient la trique et l’attendaient pour faire le quatrième.
— Allez, salope, lança le grand baraqué, désape-toi vite fait qu'on te ramone un bon coup.
Camille ne se fit pas prier et qu’on le traite de salope ne le gênait pas plus que ça de même de se faire sodomiser, habitué à faire la femme avec ses partenaires. Sauf qu’il n’avait jamais vu un gourdin pareil et ce grand blond musclé devait avoir des ardeurs assez exceptionnelles.
— Très bien déclara le colosse, tu es tout à fait à mon goût. Maintenant je vais vous donner un nom mes amours. Toi le grand longiligne, je vais t’appeler bouche ardente, toi le petit nerveux, saucisse fougueuse et toi avec ta petite bite, salope à bite. Et moi je serai pour vous, bite de fer. Reste pas planté là tapette, on le voit bien que t'a besoin d’être montée comme une jument. Viens un peu tâter de mon chibre d’étalon.
— J’aimerais déjà être ramoné par bouche ardente et saucisse fougueuse. Pour calibrer mon trou du cul à ton gourdin.
— Mais c’est qu’elle parle, salope à bite ! Mais bien sûr. Ils vont te limer et t’élargir le trou à foutre et bien le lubrifier pour mon braquemart en feu. Allez lopette à quatre pattes, et vous mesdemoiselles grimpez-moi cette salope à tour de rôle.
Saucisse ardente ne se fit pas prier pour enculer salope à bite, tandis que celle-ci polissait le chibre de bouche ardente. Puis dix minutes plus tard les rôles s’inversèrent, si bien que la salope qui mouillait du trou du cul tellement elle était excitée, était prête pour être étrenné par bite de fer. Celui-ci surveillait les opérations de prêt, et n’arrêtait pas de susurrer des mots crus à l’oreille de salope à bite tout en la masturbant. Sollicitée par les trois lesbiens surexcités, bien loin de demander grâce, elle en redemandait et souhaitait ardemment d’être dérouillé par bite de fer. L’étalon écarta d’une main saucisse fougueuse pour couvrir la pute et enfourna son épieu puissant dans le trou du cul de la lope qui avait été suffisamment élargi par les deux tantes. Cependant saucisse fougueuse excitée a son comble déchargea sur le visage de salope à bite, tandis que bouche ardente déchargeait à son tour dans la gueule gourmande de celle-ci. Les coups de boutoirs réguliers de bite de fer, la mettaient en transe. Le foutre des éjaculations dégoûtait de la bouche ouverte et du visage et la tarlouse et les yeux révulsés, elle exprimait une jouissance qui devenait extase quand bite de fer augmentait la cadence de ramonage. Les deux tapettes sur un côté encore excitées continuaient de se caresser espérant renflouer leur sac à foutre, pour baiser encore la pute. Bite de fer qui avait le sac à foutre d’un taureau, pouvait décharger longtemps avant qu’il soit vide, aussi lâchait-il sa purée dans le trou du cul de la salope tous les quarts d’heure. Le foutre dégorgeait et bavait sur les breloques de la pédale et dégoûtait sur celle de bite de fer, qui lui battait son cul ardent, cela la surexcitait, électrisait son corps de femelle, la faisait vibrer de la tête aux pieds comme un vibromasseur. Elle ronronnait comme une chatte en chaleur, bourdonnait, feulait, râlait de plaisir. Le maître et l’esclave ne faisaient plus qu’un. Bite de fer en étalon expérimenté, pouvait polir sa partenaire pendant une heure, en déchargeant plusieurs fois sans se vider complètement car il considérait que son esclave devait trouver sa jouissance totale pour qu’il puisse lui aussi être satisfait. Son esclave avait des jouissances régulières et n’était plus qu’un corps orgasmique. Le maître enserra son corps. Il sentait sous ses bras le flux vibratoire de la pute complètement soumis à son maître et il déchargeait son foutre sans faiblir. La salope en redemandait par des petits cris de chatte soumise. Son cul débordait de foutre, sa bouche demander une bite que s’empressa de remplir bouche ardente qui avait les couilles pleines de nouveau. Saucisse fougueuse de nouveau opérationnelle s’empressa de prendre la place de bite de fer qui devait refaire le plein. Puis les deux tantes déchargèrent en même temps. Rompus de plaisir elles allèrent s’asseoir à côté de l’étalon qui se rechargeait lentement. Tous les trois regardèrent leur possession qui restait à quatre pattes toute dégoulinante, épuisée. Le maître alla chercher son esclave, le prit dans ses bras, se rassie et le plaça sur ses genoux. Il le prit dans ses bras et comme une prude jeune fille, puis la cala contre son corps viril et posa sa tête sur son épaule et s’endormit.
— C’est t’y pas mignon ça, hein les tarlouses. On dirait une jeune femelle qui attend son câlin du soir. Je vais te renommer ma chérie. Poupée Docile, ça te va comme un gant et tu es tellement mignonne que je baiserai encore sur-le-champ.
Mais la porte s’ouvrit et la folle, leur annonça que le musée allait fermer. Ils se rhabiller et se firent la promesse de se revoir bientôt.
Prune
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