J’aime avoir le cul plein de sperme, oui c’est vrai j’aime sentir que j’ai du foutre plein le cul.
Parfois le matin, quand mon mari m’a bien enculé avant de partir travailler, et qu’il s’est bien vidé les couilles, j’attends qu’il soit parti et au lieu d’aller me laver le cul, j’y enfonce au contraire un gros plug bien large, afin de boucher mon cul de façon bien étanche, pour y garder bien au chaud le sperme. J’enfile par-dessus un harnais de cuir, dont je serre la lanière entre mes fesses au maximum, pour que le plug ne puisse plus bouger.
Et puis je m’habille normalement.
Je garde ainsi le plug dans mon anus toute la journée, sous mes vêtements.
Je le sens fermement maintenir ma rondelle bien tendue pendant que je fais les courses ou que je marche dans la ville, et les gens autour de moi ne savent pas que je suis rempli de jus, que mon anus est plein de foutre, et que je marche parmi eux pluggé à fond pour que la moindre gouttelette de sperme ne puisse s’échapper de mon cul.
Sentir la semence de mon mari bien retenue au fond de moi, c’est comme s’il m’enculait toute la journée sans s’arrêter, et j’imagine que c’est son large sexe qui me besogne en permanence, même pendant que je suis assis dans ma voiture, ou en train de faire un retrait à la banque, ou d’autre occupations ordinaires.
Quand il rentre le soir,il s’installe dans le grand fauteuil en cuir du salon et me fait me déshabiller devant lui, et quand il voit ce que j’ai porté toute la journée, il me traite de grosse pute, de salope et de truie qui pue le sperme, parfois même il me bat, me faisant m’allonger en travers de lui et me fessant durement, mais je sais que ça l’excite lui aussi car je sens augmenter la bosse que fait son sexe dans son pantalon de costume.
Alors,il sort sa bite, m’arrache le plug sans ménagement, et m’encule à nouveau dans son propre sperme, allant et venant furieusement dans son propre foutre en m’insultant, puis il finit par re-jouir dans la chaleur de mon cul déjà souillé, ajoutant le sperme au sperme, et ça me fait encore plus jouir que le matin.
Pour me punir, pendant qu’il se repose avachi jambes écartées dans le fauteuil, il me fait alors nettoyer en les léchant les taches sur son pantalon et sa lourde queue qui pend toute gluante. Et je n’en perds pas une goutte.
Quad