Cela faisait maintenant plusieurs mois que nous étions en couple mon copain et moi. Nous nous sommes rencontrés sur mon lieu de travail, c’est-à-dire le petit hôpital de campagne dans lequel je suis infirmier depuis maintenant presque trois ans.
Il était arrivé aux urgences à cause d’une violente chute de moto, monsieur roulant trop vite dans un virage assez serré, il n’avait pas vu qu’une voiture arrivait en face mais à tout de même réussi à l’esquiver au dernier moment. Seulement, cela lui a valu de percuter un petit talus herbeux, le faisant passer au dessus de sa bécane pour atterrir une quinzaine de mètres plus loin. Heureusement pour lui, il n’avait pas de blessures très graves et s’en était sortit avec quelques égratignures et une surveillance neuro de 48H dans mon service.
Lorsque je suis rentré dans sa chambre pour la prise de constante de début de poste de nuit, je suis tout de suite tombé sous son charme. Alexandre est un homme âgé de 30ans, soit cinq ans de plus que moi, au visage rectangulaire, aux cheveux bruns courts sur les côtés et légèrement relevés sur le dessus. Il a de beaux yeux marrons très foncés, presque noirs, un nez romain et un sourire à se damner. Ajoutez à cela une barbe de cinq jours et des oreilles très légèrement décollées et vous obtenez son magnifique visage. Mais si seulement il n’y avait que ça. C’était l’été et il faisait très chaud dans la chambre, si bien qu’il était en boxer noir dans son lit. Je pu donc rapidement, afin de ne pas me faire repérer, observer son corps, finement sculpté, son torse étant légèrement recouvert de poils au niveau des pectoraux, et de la base du nombril, descendant dans le V que formait son pubis.
-Bonsoir, dis-je en rentrant avec mon tensiomètre. Je suis Eliott, c’est moi qui m’occuperai de vous cette nuit.
-Bonsoir, répondit-il en me faisant un magnifique sourire et en posant son téléphone sur l’adaptable. J’en ai de la chance !
-J’aurai besoin de votre bras, Alexandre c’est bien ça ?
-C’est ça, dit-il en me tendant son bras gauche autour duquel je passais le brassard avant d’allumer l’appareil pour obtenir sa tension.
Nous discutâmes de ce qui lui était arrivé et une fois ses constantes prises je quittais sa chambre lorsque j’entendis mon téléphone vibrer. En le regardant, je me rendis compte que c’était une notification de Grindr. C’était Alexandre qui m’avait envoyé un message.
Ce jour là, cela faisait sept mois que nous étions en couple et un mois que nous avions emménagés ensemble. Et c’était également son anniversaire. Pour lui faire plaisir je lui avais acheté la montre dont il rêvait depuis plusieurs années sans jamais se l’offrir, lui avais préparé un dîner digne d’un roi et pris une décision qui lui ferait extrêmement plaisir, bien que me faisant très peur, si bien que j’avais eu l’estomac noué tout au long de la soirée.
-Le repas t’a plu, demandai-je une fois notre dessert terminé.
-C’était délicieux, dit-il on me prenant la main. Je te remercie. Je t’aime.
Et il accompagna la parole d’un geste extrêmement sensuel et qui m’excitais énormément. Il plaça son autre main derrière ma nuque et attira mon visage vers lui avant de m’embrasser tendrement et langoureusement durant un très long moment qui me parut des heures. Tandis que nos langues se liaient, je m’enivrai de son doux parfum que j’aime tant. Je sentis, dans mon boxer, ma bite se tendre à une vitesse faramineuse. Nos bouches finirent par se séparer mais il n’enleva pas sa main de ma nuque. Faisant glisser sa langue depuis mes lèvres, il descendit dans mon cou, sachant parfaitement que c’était mon point faible, me donnant des frissons dans tout le corps, et me faisant gémir sans parvenir à le réprimer.
-Tu aimes ça hein, me dit-il avant de gober ma pomme d’Adam.
-Oui, dis-je fébrilement entre deux soupirs.
-Tu veux qu’on continue ?
-Oh oui… Mais je dois te dire quelque chose.
-Quoi, demanda-t-il en quittant mon cou.
-Je… Je pense que je suis prêt, dis-je en le regardant droit dans les yeux.
-Prêt à quoi ?
-Me soumettre à toi…
-Ah oui, rétorqua-t-il, un sourire pervers se dessinant sur son visage. Tu es sûr ?
-Oui…
-D’accord… Mais, est-ce que tu le mérites ?
-S’il te plaît…
-Montre moi ce que tu es prêt à faire.
Après son ordre, il lâcha ma main et se remit au fond de sa chaise, son regard me transperçant et me faisant bien comprendre que c’était lui qui était aux commandes à partir de cet instant. Pour toute réponse, je tombai à genoux et vint me placer entre ses jambes pour bien lui montrer que je voulais être sa chose. Il avait toujours été actif et dominant avec moi mais jamais il ne m’avait traité ainsi. Il savait que j’avais un côté soumis mais que j’en avais peur. Alors, il n’avait jamais voulu prendre l’avantage. Mais aujourd’hui les choses allaient basculer. Je m’apprêtais à défaire sa ceinture lorsqu’il attrapa violemment mes poignets et me lança un regard noir tandis que les traits de son visage se tiraient.
-Est-ce que j’ai dit que tu pouvais me toucher la queue ?
-Non, dis-je en baissant les yeux.
-Exactement. Tu dois le mériter. Je vais te montrer ce que c’est que d’être mon soumis. Tu vas commencer par te déshabiller. Entièrement. Je veux que tu sois nu comme un ver.
Pour toute réponse je me levai, déboutonnai ma chemise blanche sous le regard pervers de mon petit ami, ou plutôt mon maître maintenant, et la laissa tomber au sol, dévoilant mon torse glabre et légèrement enveloppé à l’homme qui me faisait face. Ce n’était certes pas la première fois qu’il me voyait ainsi, mais cette fois c’était différent. Dans ses yeux semblait bruler une flamme qui consumait ma liberté pour me soumettre un peu plus à chaque instant. J’enlevai ensuite mes chaussures, puis défis ma ceinture qui rejoignit ma chemise, et enfin déboutonnai mon pantalon.
-Tourne toi et continue lentement. Fais moi désirer ton corps de salope.
À ce dernier mot, je sentis ma bite se durcir encore plus qu’avant alors qu’elle me faisait déjà mal tellement je bandais comme jamais auparavant. Mon sous-vêtement devait être couvert de mouille à cause de mon état d’excitation. Je me tournai donc et commençai à faire glisser mon pantalon sous mes fesses puis le long de mes cuisses, jusqu’à ce qu’il se retrouve inerte au bas de mes chevilles. Je sentais derrière moi le regard inquisiteur d’Alex qui ne perdait pas une miette du spectacle humiliant auquel je m’adonnais. En finissant d’enlever le pantalon, j’en profitai pour défaire mes chaussettes, me laissant uniquement en boxer devant lui. Je l’entendis alors se lever et me figea, ne sachant pas du tout à quoi m’attendre. Il vint coller son torse, toujours habillé, contre mon dos, enserrant mon poitrail de ses bras musclés. Je sentis dans mon cou son souffle chaud et contre mes fesses une barre de fer. C’était son énorme queue qui était dans le même état que la mienne, bien que beaucoup plus imposante que celle qui se trouvait entre mes jambes. Tandis que sa main gauche me caressait le ventre, il plongea les doigts de sa main droite dans ma bouche avant d’utiliser ma salive pour me pincer le téton droit.
-T’aimes ça hein, me susurra-t-il à l’oreille en continuant de me titiller le téton et en me gobant le lobe d’oreille.
-Oh oui, gémis-je.
-Tu es à moi.
-Oui…
-Je vais faire de toi ma petite pute.
-Han oui…
-Demande le moi. Supplie moi.
-Soumets moi… S’il-te-plaît, soufflai-je. Fais de moi ta petite pute…
-Tu vas faire tout ce que je te dis de faire car tu es une salope de soumise. Ma petite chienne.
Chaque mot qu’il prononçait me donnait des décharges de plaisir dans tout le corps. Jamais je n’avais ressenti un tel plaisir et jamais je n’aurai cru en ressentir autant en étant traité ainsi.
-On continue ?
-Oui… S’il te plaît…
-Enlève ta petite culotte et retourne toi petite chienne.
Une fois sa phrase terminée, il me pinça fortement le mamelon, me faisant gémir et me tordre sous l’effet de la douleur, avant de retourner s’asseoir dans sa chaise.
Ne voulant pas le faire attendre, j’enlevai mon boxer, dévoilant mes belles petites fesses imberbes et dodues à mon maître avant de me retourner, laissant ce dernier voir ma bite plus tendue que jamais.
-Mais c’est qu’elle bande et qu’elle mouille ma pute, scanda-t-il en souriant. Tu vas voir à quel point ton maître va te donner du plaisir. À quatre pattes salope, ordonna-t-il en claqua des doigts et en montrant le sol de son index.
Je ne reconnaissais pas du tout mon petit copain. Certes dès notre premier rencard il m’avait dit avoir des envies particulières en matière de sexe et m’avait expliqué qu’il aimerait me soumettre et qu’il était sûr que je ferai un bon soumis, mais je lui avais alors expliqué que je ne me sentais pas d’être traité de la sorte pour l’instant et ça ne lui avait pas posé de problème. À partir de là, il avait toujours était très tendre avec moi pendant qu’il me baisait et semblait heureux de notre sexualité. Mais aujourd’hui, j’avais l’impression qu’il voulait rattraper le temps perdu depuis le début de notre relation.
Me sentant plus humilié que jamais et pourtant sentant ma mouille recouvrir mes vêtements qui étaient en dessous de mon sexe, je me mis à quatre pattes et avançai ainsi jusqu’à me retrouver devant ses genoux. Je n’osai pas le regarder dans les yeux.
-C’est une bonne petite pute que j’ai là, dit-il en me gratifiant d’une caresse sur la tête. Tu vas enlever mes chaussures maintenant. Avec la bouche.
J’entendais parfaitement le petit rictus dans sa voix, me donnant l’impression d’être encore plus sa chose à chaque instant. Je m’exécutai donc et saisi le ferret d’un de ses lacets et me mis à tirer en rampant vers l’arrière. Dans mon mouvement, je sentis ma bite frotter contre mon bas ventre, envoyant une décharge dans le gland, ma mouille recouvrant mon pubis et souillant mes poils.
-Continue salope.
Je m’approchai et fit de même pour l’autre chaussure, ressentant encore du plaisir en reculant, ce qui me fit gémir.
-Tu es bien là hein ? À ta place de chienne. À mes pieds.
-Oui, soufflai-je en gardant les yeux rivés vers le sol.
-Oui qui ?
-Oui... Maître, finis-je par dire après de longues secondes d’hésitation.
-Très bien salope, dit-il en m’ébouriffant de nouveaux les cheveux comme il l’aurait fait avec un chien. Tiens, comme ça tu ressembleras encore plus à la chienne que tu es.
À la fin de sa phrase, il défit sa cravate et me l’attacha autour du cou en gardant l’extrémité dans sa main. Il tira dessus pour me faire lever la tête, m’étouffant presque.
-Dis-moi que tu es ma petite chienne et que tu es à mes ordres.
-Je suis ta chienne... Je suis à tes ordres... Maître, ajoutai-je en voyant son regard s’assombrir.
-Très bien ! Enlève mes chaussures.
Il relâcha légèrement ma « laisse », me donnant du mou afin que ma tête puisse bien être au niveau de ses pieds. Sans attendre une seconde de plus, j’enlevai la première, puis la deuxième chaussure, dévoilant ses chaussettes noires qu’il avait porté toute la journée, une odeur de pieds emplissant ainsi mes narines. Cela me fit comme l’effet du poppers et je sentis mon visage et mes tempes chauffer sous l’effet de ces délicieuses effluves.
-T’aimes ça hein sale pute, lança Alexandre en voyant mon trouble. Renifle.
Il savait que je n’attendais que ça. Je ne me reconnaissais pas. Il avait vraiment réussi à faire ressortir le soumis qui sommeillait en moi depuis bien longtemps. J’allais saisir son pied gauche pour l’amener à mon visage lorsqu’il tira violemment sur la cravate.
-C’est à la salope d’aller à la source de son plaisir. Pas l’inverse. T’as pas à me toucher sans que je t’en donne l’ordre.
Je compris tout de suite que je devrais vraiment me rabaisser à même le sol et une fois qu’il relâcha son emprise sur la laisse improvisée, je plaquai mon visage contre son pied, m’enivrant de cette odeur qui m’excitait encore plus à chaque instant. Je n’avais jamais ressenti d’attirance particulière pour le fétichisme des pieds mais je dois dire qu’à ce moment-là, je compris pourquoi tant de personnes aimaient ça.
-Allonge toi sur le dos chienne, intima-t-il en lâchant complètement la cravate.
Une fois sur le dos, le visage vers le ciel, ou plutôt vers mon maître, je compris à quel point j’étais inférieur à lui. J’avais l’impression de n’être qu’une sous merde face à lui. Et ce n’était que le début. À cet instant, il plaqua ses pieds sur mon visage, me laissant inspirer son odeur de mâle alpha.
-Tu bandes comme jamais salope, sourit-il en voyant ma bite tendue et couverte de mouille. T’aimes ça hein. Je savais que tu serais une bonne petite soumise depuis la première fois que nos regards se sont croisés. Si j’avais su je t’aurais forcé la main depuis bien longtemps.
Je me contentai de respirer plus fort, m’imbibant un peu plus à chaque instant de cette fragrance que je trouvais absolument divine. Je sentais mes tempes me battre plus fort à chaque instant et mon gland produire de plus en plus de mouille.
-Bien. Très bien. Retire mes chaussettes. Avec la bouche.
Il joignit la parole au geste. Alex positionna sa cheville au niveau des lèvres afin que je puisse saisir l’élastique du vêtement entre les dents. Après s’être assuré que je mordais assez fort, il fit glisser son pied et réitéra l’opération pour le deuxième. Ses chaussettes tombèrent à côté de mon visage et il colla sa peau nue à même mes joues, saisissant mon nez entre ses orteils, ce qu’il le fit rire. Un rire cruel et moqueur. L’odeur était encore plus forte maintenant et je n’étais plus qu’une bombe à retardement, sentant qu’au moindre contact avec mon gland, j’éjaculerai des litres de sperme.
-Ouvre la bouche de pute, ordonna-t-il. Bien. Tire la langue.
Une fois ma langue sortie, il fit glisser ses pieds dessus. Le goût était fort et salé. Ce n’était pas déplaisant, bien au contraire. À partir de là, pendant une dizaine de minutes, il me fit lécher ses panards, s’amusant à faire passer ma langue entre ses orteils et m’écrasant parfois le visage contre le sol, me faisant d’autant plus comprendre que j’étais à sa merci la plus totale. Il finit tout de même par être satisfait du traitement que je lui administrais. Mon visage était imprégné de son odeur et couvert de ma salive qu’il avait prit plaisir à étaler. Il se pencha pour me regarder dans les yeux, s’imposant de toute sa puissance. Il avait un sourire toujours aussi cruel et pervers.
-C’est bien ma petite chienne. On va bien s’amuser ce soir tous les deux.
À la fin de sa phrase, il fit un sourire des plus sadique, me donnant des frissons autant de peur que de plaisir. Je n’étais vraiment pas au bout de mes peines.
J’espère que cette première partie vous a plu. Les personnages et l’histoire sont complètement inventés et tirés de mes fantasmes !
Au plaisir de lire ce que vous en pensez. À bientôt !
SaloPage
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