L'été dernier, ma copine me propose de passer qqes jours près de Marseille avec une amie et son mec. Après nous être séparé durant qqes mois, nous avons décidé de réessayer ensemble. Du coup, même si je suis moyennement emballé à y aller, j'accepte pour lui faire plaisir. Le jour du départ, on retrouve Christelle et Adem, le couple d'amis de Justine (ma copine) et surprise, Ahmet le petit frère de Adem... J'avoue que les vacances s'annoncent pas top pour moi: J'ai 34 ans, Justine et Christelle en ont 23, Adem 22 et Ahmet en a à peine 19!! Je me demande vraiment ce que je vais faire avec eux, au vu de leur dégaine qui ne me plait absolument pas. En voiture vers le sud... chacun sa voiture, je les suis... voyage sans encombre!! Nous découvrons un appartement spacieux, posons les affaires... une grande chambre, sdb et une superbe vue sur la mer, une autre grande chambre donnant sur le parc, comprenant sdb partagée avec une troisième chambre plus petite. Ahmet choisit d'office la petite. Je me dis machinalement que Adem et Christelle prendront celle à coté de son frère, je prends mes sacs et me dirige vers la grande chambre lorsqu'il me barre la route:
Adem: " Attends attends grand chef!! tu vas où là??"
Il se tient droit devant moi, l'air fermé, bras croisés... nous sommes de même taille, dans les 1m90, mais il est bien plus costaud et "grassouillet" que moi... ...c'est parti pour un jeu de gros bras, j'explique calmement que je trouvais logique qu'il partage la sdb avec son petit frère etc etc etc (je passe les détails mais la discussion va durer près de 15 minutes), finalement Justine intervient et je dois capituler... nous avons donc la chambre du côté avec son frère, je suis furieux!! ça commence fort... après avoir tout rangé, fait les courses et pris nos repères, je me calme, ce n'est que pour y dormir... Ahmet vient me voir et me promet d'être discret, qu'il laissera la sdb en ordre etc etc... je trouve ça cool de sa part... il ne ressemble pas trop à son frère, plus petit il doit faire 1m75, 70Kgs pas plus... et un visage super sympathique!!
Il est déjà tard dans l'après-midi, on descend prendre l'apéritif au bord de la piscine de la résidence, il n'y a pas grand monde c cool!! Ahmet ne tient plus, enlève son pantalon et plonge à l'eau en boxer, il fait chaud, j'enlève mon t-shirt... je suis assez musclé car mon métier exige une bonne condition physique, je suis officier dans une brigade spéciale d'intervention... Adem me fixe et comme si il avait qqch à prouver, retire le sien pour dévoiler un corps imposant mais assez gras. J'ai bien compris qu'il cherche à s'imposer comme le mec du groupe, j'ai passé l'âge et ne réagit pas frontalement à son comportement provocateur mais me permet qqes tacles, auxquels il répond bien évidemment. Ahmet sort de l'eau, boxer blanc... trempé... un tissu transparent exhibant une virilité imposante, contrastant avec son corps si chétif!! Justine bloque une dizaine de secondes dessus avant de se reprendre... moi même ayant eu du mal à détourner les yeux de ce paquet si proéminent. Je jette un regard vers Justine, elle me fixe droit dans les yeux et éclate de rire... je me sens rougir et baisse les yeux, Je dois avouer que la nature ne m'a absolument pas gâté et me retrouver face à un "gamin" aussi bien fourni me met vachement mal à l'aise. Les filles se regardent et éclatent ensemble de rire... Adem, sourire aux lèvres,... assis fièrement, tel un mâle dominant face à moi... Ahmet se rhabille... j'ai l'impression que tout le monde connait mon complexe... Les conversations reprennent mais cette situation me rend inconfortable. Retour à l'appartement, il est tard et la fatigue se fait ressentir.
Je suis dans la sdb lorsque Ahmet rentre, nous sommes chacun en caleçon face au miroir... il me parle alors que je me brosse les dents et dans l'impossibilité de répondre... la gêne m'envahit car je ne peux m'empêcher de regarder cette grosse bosse dans le miroir qui déforme son sous-vêtement... et si il s'en rend compte?? et si il voit MA bosse si ridicule?? j'essaie de capter son regard mais mes yeux se dirigent vers son entre-jambe, soudain il se déshabille... une longue queue épaisse et large se dévoile... j'ai fini de me brosser les dents, je bloque qqes secondes sur ce membre avant de me pencher au-dessus du lavabo afin de recracher. Je respire un grand coup, je ne sais pas si il s'en est rendu compte... il file à la douche, je le regarde se frotter et agiter vigoureusement sa virilité. Je fixe le miroir, mon regard se penche sur mon torse pourtant imposant... mes cuisses musclées et puissantes... et puis cette pointe ridicule sous le tissu... à peine quelques cm... bien loin des 10. Je n'ai jamais été attiré par les hommes et malgré mon "handicape" j'ai toujours aimé les femmes, même si j'ai souvent été à la risée de nombre d'entre elles. J'avoue être décontenancé... Quoi qu'il, en soit, je sors de la sdb, non sans jeter un dernier coup d'oeil vers la douche. J'enfile un short et rejoins les autres au salon... Adem me voyant arriver me crie d'un ton assez directif:
Adem: "Hé!!! apporte moi la bouteille d'eau et les verres!!!"
Christelle lui précise qu'il pourrait être plus aimable ou le faire lui-même, ce à quoi il éclate de rire et répond:
Adem: "de quoi... je suis en vacances et je compte pas bouger le petit doigt!!!"
Encore chamboulé par ce que je viens de vivre, je lui amène ce qu'il me demande, et sers tout le monde.
Alors que je tends son verre à Adem, mon regard se dirige "involontairement" vers ses jambes massives, il est vêtu d'un petit short de sport noir au tissu si léger que son paquet, moulé entre ses grosses cuisses, laisse libre court à l'imagination. Complètement absorbé par ses pensées inhabituelles, je laisse tomber la bouteille d'eau à ses pieds... Je me baisse instinctivement pour la ramasser et me retrouve genoux au sol, visage à hauteur de ses énormes cuisses... un millier d'images me traversent l'esprit... comment est-il foutu, son frère, les filles, moi et mon minuscule sexe au milieu de ces deux mâles!!
Il pose sa main écrasante sur ma tête.
Adem: "vous voyez, il s'incline dès le premier soir... tu as un bon toutou Justine!!!"
Je me redresse vivement... "DE QUOI??? tu me prends pour qui???"... il se redresse également et approche son visage du mien, l'air agressif!!!
Les filles s'interposent et mettent directement fin à tout ça!! J'en ai assez pour un premier soir et me dirige vers la chambre..
Adem: "BONNE NUIT petit toutou.... » mais je n'ai pas entendu la fin de sa phrase, juste les fous rire faussement camouflés.
Alors que je pensais enfin dormir tranquille, Justine rentre à son tour et entame la conversation... je lui donne mon impression, on discute et selon elle, Adem veut juste faire le coq et montrer que c'est lui qui dirige... après une demi-heure, on clôture. Allongé dans le lit, on commence quelques câlins... elle me chauffe et alors que mon petit membre tendu s'offre à elle, elle lève la tête et me dit:
Justine: "tu as vu Ahmet à la piscine... c'était gênant, tu as vu sa grosse bite???".
Je n'en reviens pas qu'elle me parle de ça maintenant, je me sens rouge écarlate, elle tient ma queue entre ses doigts... je balbutie quelques syllabes hésitantes... elle continue: "désolé mon chéri mais elle paraissait si énorme! et il ne bandait pas!!! Je t'ai vu, tu as regardé aussi... c'était tellement drôle de voir ta tête devant ce gamin!!!". Je ne sais quoi lui répondre, je ne peux lui parler de cet instant à la sdb. Un long silence s'ensuit... sa main toujours posé sur mon intimité revenue à son état dérisoire.
Justine: "tu imagine si vous vous retrouvez nus ensemble HA-HA-HA... un grand gaillard comme toi et ta bite de 5cm, et lui..... ce serait trop marrant... enfin je veux dire....et d'après Christelle, Adem est monté comme un taureau... ça va te donner une idée de ce à quoi ressemble de vrais hommes Ha-HA-HA". Sans un mot de plus, elle se retourne... me laissant avec cette confusion et la gorge serrée.
Le lendemain, je me lève le premier... je décide d'aller à la boulangerie et prends de quoi déjeuner pour le groupe, la nuit m'a apaisée et je me dis que tout va bien se passer. A mon retour, ils sont tous là, heureux de me voir les bras plein de bonnes choses. A nouveau, Ahmet est vêtu d'un boxer bleu clair bien moulant, sa queue superbement dessinée sous un tissu léger, il flâne dans la pièce avant de s'asseoir parmi nous, je n'ose le regarder mais à chacun de ses mouvements, mes yeux essaient bien malgré moi de deviner la moindre partie de son corps. Une certaine excitation confuse s'empare de moi et à ma grande surprise, ma tige se tend dans mon short accentuant ma confusion. Les filles décident d'aller faire un peu de shopping dans le centre avant que nous n'allions nous promener dans la région, Ahmet va rejoindre des amis ailleurs... je vais devoir rester avec Adem un petit moment à l'appartement. Tous partis, Adem se lève de table et se dirige vers sa chambre pour se doucher.. je reste tranquillement assis pour terminer mon café!!
Ayant laissé la porte de sa chambre ouverte, je le vois faire des vas-et-vients entre l'armoire, le lit, la douche... soudain, il passe à nouveau mais en caleçon cette fois... mon sang ne fait qu'un tour, de profil et face à son lit, il prépare ses affaires, une bosse monstrueuse se distingue de ce corps déjà si bien bâti, je me laisse à le dévisager... mâchoire carrée, le teint mat, yeux noirs, les traits sévères... A 22 ans, ce "jeune homme" impose déjà l'obéissance... Il ne prête aucune attention à ma personne et se tient maintenant face à moi, à quelques mètres à peine... j'ai une vue imprenable sur son énorme paquet... je me sens mal à l'aise mais je ne peux m'empêcher de le mater. Il disparait et j'entends l'eau couler... Je me lève à mon tour et machinalement je débarrasse la table avant d'aller me doucher également. Nu devant le miroir, je regarde mon entre-jambe qui me fait honte. Je dois passer les 10 prochains jours avec ces deux gars virils au caractère dominant... ce qui normalement ne me pose pas de problème mais... cette fois-ci la situation est différente et me met dans un état jusqu'ici encore inconnu.
Cette journée va se passer sans réelle encombre, Visite, plage... rigolades avec les filles car Adem ne me calcule pas du tout malgré mes efforts pour discuter.
Il impose sa présence et le malaise qui m'envahit lui donne toute liberté pour s'affirmer comme le mâle du groupe. Après cette longue journée, retour à l’appartement, petit dîner cool et On va se coucher. Nous sommes réveillés par des cris et un boucan provenant de la chambre voisine... Christelle et Adem sont en train de baiser et il faut dire qu'ils ne font pas dans la discrétion... fatalement mon sexe se relève, non pas suite aux cris mais à l'idée de ce pieu dressé et fier... Justine s'en rend compte mais tout ce qu'elle trouve a dire, c'est qu'elle aussi aurait aimé hurler de la sorte et se faire défoncer par un homme... un vrai!!! Comme au premier soir, elle se retourne, me laissant à mon questionnement sur moi-même.
Le matin suivant, les filles ont découvert l'étage bien-être et décident de s'y rendre, Ahmet n'est pas rentré de la nuit... je suis à nouveau avec Adem, seul et apparemment les filles ont pris un abonnement pour tous les matins, ce sera donc une habitude. Rien ne change, on prend le petit-déjeuner sans un mot... le téléphone sonne, il se lève et entame sa discussion... il est planté au milieu de la pièce et mon regard est hypnotisé par ce relief qui déforme son pantalon, j'ai l'impression qu'il a gonflé par rapport à la veille, moi qui la trouvait déjà énorme... une queue épaisse se dessine clairement sous son jogging et je devine qu'il n'a simplement pas mis de caleçon, laissant son membre "respirer" aisément sous ce vêtement. Je vais rester tout le temps de sa conversation, pas moins de vingt minutes, à le mater... feignant de lire les nouvelles sur mon portable, ma tige dressée entre les jambes.
Il termine en précisant à son interlocuteur qu'il arrive, raccroche et va à sa chambre, je l'observe pendant qu'il s'agite près du lit...il y prépare vite fait un short, t-shirt et caleçon... c'est plus fort que moi, la porte grande ouverte m'offre un spectacle à la fois excitant et effrayant... à quelques mètres de moi, dos tourné, il ôte son t-shirt et laisse glisser son pantalon au sol... mon sang ne fait qu'un tour lorsque ses fesses dévêtues apparaissent... il disparait alors, nu, vers la sdb. Je me lève et, alors que j'entends l'eau couler, me dirige avec précaution vers sa chambre , je tremble, je ne me reconnais pas, j'avance pas à pas... la sueur coule de mon front... mon coeur bat aussi fort que lors de mes interventions importantes... je tente de regarder à l'intérieur et je n'aperçois que ces fesses robustes alors qu'il entre sous la douche!! Je reste planté là à l'observer, il frotte ce corps si puissant et viril, j'attends l'instant fatidique où il dévoilera son membre que j’imagine, de longues minutes à attendre et épier... ma petite bite dressée dans ma culotte voudrait exploser... Enfin j'en aperçois une partie... un bon gland de quelques cm d'épaisseur!! Je trépigne et tente d'en voir plus mais je crains de me faire repérer... sans que ce soit net, je vois un morceau de chair balloter dans tous les sens... malheureusement je n'en verrai pas plus et me retire de la pièce afin qu'il ne s'aperçoive de ma présence... à peine sorti que l'eau s'arrête... je me dirige vers la cuisine lorsqu'une voix s'élève derrière moi...
Adem: "Ho tu as foutu quoi toi?!?!?!" mon sang se glace, que faire??
Je me retourne et me retrouve devant un Adem complètement nu, serviette à la main masquant l'objet de toutes mes convoitises... son corps colossal... si il m'a vu, je suis foutu... je reste bouche bée devant cette masse de testostérone, ma gorge se serre et un frisson parcourt mon dos... je ne sais où regarder, mes yeux sont irrémédiablement attirés par son bas de ventre, espérant un inattendu lâcher de serviette... mais j'essaie de fixer son regard... sans savoir si il m'a vu, je sens mes jambes trembler face à son regard sombre.
Adem: "Quoi... tu as pas débarrassé la cuisine encore?? fais moi un café pendant que je me prépare!!!"
Sans contestation, je lui réponds d'une voix fluette que j'allais justement m'en occuper... Docilement, je lui prépare son café et le lui apporte, juste à temps pour voir disparaître son chibre dans son écrin. Son regard sombre me fixe alors que je me redresse... à ce moment-là, je suis certain qu'il à vu mes yeux sur son corps. Sans un mot, j'ai quitté sa chambre, tête baissée et totalement décontenancé, j'ai rangé et nettoyé la cuisine.
A mon tour je suis allé me doucher... à nouveau seul devant le miroir, la main fermée sur mes piètres attributs, les seules images qui défilent dans ma tête sont celles des 2 frères sous leur douche, tenant vigoureusement un membre énorme... symbole d'une masculinité absolue!! J'entends du bruit, il est parti... me laissant seul et ce sentiment d'infériorité qui se développe en moi.
Début d'après-midi, nous nous retrouvons en ville, les heures défilent et tout se passe normalement, on visite quelques endroits... Adem fait son petit chef évidemment, et lorsque je tente de donner mon avis, un regard suffit pour que je laisse tomber, je me découvre un comportement que je ne me connaissais pas, ce qu'il a rapidement compris.
On rencontre Momo, un de ces amis qui va nous accompagner un moment et avec qui Justine semble très heureuse de discuter.
Tard au soir, nous allons nous coucher, personne n'a vu Ahmet qui est en vadrouille depuis la veille. Je suis réveillé vers 2h, j'aperçois de la lumière sous la porte de la sdb, ok c'est lui qui est rentré... au bout de 1/4 d'heure, plus rien mais la lumière toujours allumée, j'attends encore 5 minutes puis me lève... frappe à la porte, pas de réponse!! Je pousse la porte et trouve Ahmet, endormi sur le sol, pantalon aux chevilles. Je m'approche de lui et tente de le réveiller mais, rien n'y fait... il est cuit!! Je le soulève sans aucun mal (il n'est pas bien épais), l'allonge sur son lit, termine de lui enlever son pantalon et ses chaussettes, ne lui reste que son boxer. Je m'attarde longuement sur cette bosse si révélatrice, suivant le moindre mouvement de sa queue distinctement dessinée. Il bouge, je me recule et décide de retourner dans mon lit mais avant de quitter la pièce, je me retourne vers lui... plus un geste et un corps offert à ma vue, je reviens sur mes pas, une petite pousse à l'épaule... aucune réaction... ma main se pose sur son ventre, toujours rien... une légère pilosité trace un chemin vers le bas ... ma main suit ce trajet, glisse sous l'élastique de son vêtement et touche du bout des doigts son gland!! Je transpire, j'ai chaud... un sentiment de peur et d'excitation s'empare de moi... allez je me lance et voilà ma main sous le tissu, je viens la poser sur l'entièreté de ce membre épais..."wouaw me dis-je au plus profond de moi..."... je resserre les doigts légèrement, c'est chaud, humide... le tissu me gêne et j'ai peur de le réveiller... je me retire lentement mais le contact de son gland à vif au creux de ma main me stoppe quelques secondes, je n'ai jamais tenu de sexe masculin autre que le mien et cet instant me chamboule totalement. Alors que je ferais mieux de partir, je veux profiter de ce moment au maximum et décide d'en voir plus... je fais glisser l'élastique de son calvin klein à mi-cuisses, m'offrant une vue unique sur son attirail. A nouveau je parcours le moindre recoin de cette zone, ma main pourtant imposante ne peut tenir entièrement ses attributs... une odeur virile et enivrante se dégage et m'attire à lui, je m'incline au-dessus de lui et mon nez se retrouve à hauteur de son bas-ventre... mon visage effleure son anatomie au gré des effluves corporelles, je suis pour ainsi dire le nez collé à ses couilles, je respire profondément ce parfum d'homme. Soudain il commence à bouger, je me relève rapidement... fausse alerte mais je n'ose plus rester et lui remonte le caleçon tout en caressant sa queue de tout son long. Je me suis recouché dans un état d'excitation incroyable, imaginant les prochaines occasions de tels moments.
Nuit étrange, je me suis repassé le film de ces derniers jours et ce trouble qui m'obsède envers les deux frères...
On se lève, tout le monde est là... Ahmet raconte sa soirée et ne se souvient pas de comment il a atterrit dans son lit... je lui raconte l'avoir retrouvé endormi dans la sdb et l'avoir allongé car c'était certainement plus confortable, et je m'arrête là!!! On rigole tous, l'affaire est réglée et on attaque la journée!!
Les filles font leur séance bien-être, Adem parle d'une salle de sport en sous-sol et chose incroyable, me propose de s'entrainer ensemble... Je dois avouer que la séance s'est très bien passée... évidemment je n'ai pas raté une occasion de mater son volumineux paquet généreusement mis en valeur sous son petit short de sport blanc.
Quelques promenades, quelques visites... on va faire les magasins, on regarde les fringues... il y a du monde, je vais dans une cabine et essaie un truc puis un autre... alors que je suis en petit slip, Adem entre brusquement... "fais chier d'attendre, il y a de la place ici!!!!"... je suis pris au dépourvu et reste figé devant lui, en moins de 10 secondes, il ôte t-shirt et pantalon... nous sommes à 20 cm l'un de l'autre, je baisse les yeux et ne peux lâcher cette anatomie qui se compare directement à la mienne!! Je rougis, lui n'y prête même pas attention mais l'étroitesse du lieu nous oblige à se rapprocher et son sexe frotte à plusieurs reprises le mien... Son regard est finalement dirigé vers mon entre-jambes et il remarque rapidement que ce qui se cache là-dessous n'est pas trop envahissant!!!
Je suis rouge écarlate, il me fixe sans avoir besoin de parler, ce sourire suffit pour confirmer l'emprise qui grandit à mon égard.
Adem: "Passes moi le t-shirt là" m'ordonne-t-il... désignant celui au sol!!! Je m'accroupis pour le lui attraper et mon visage s'arrête un court instant au niveau de sa taille, le temps nécessaire pour qu'un coup de rein de sa part ne me "décoche" un coup au visage.
Adem: "Je te raconte pas comment je les fais hurler toutes ces petites salopes!!! et elles en redemandent de la bonne teub, c'est pour ça qu'elles nous adorent... des petites frappes comme toi ne leur servent à rien!!!"
Je me relève, lui donne son t-shirt, désemparé par ses propos, je les acquiesce piètrement. Nos yeux se croisent à nouveau, la dureté de son regard m'impose son autorité... je fixe le sol... je me sens tellement minable que je me retourne et me retrouve face au miroir, dos à lui!! Je n'avais pas réfléchi à la suite et pourtant, Adem se retrouve collé à moi, logé entre mes fesses ... je suis pétrifié, son visage se reflète dans le miroir... un hochement de la tête m'indique que c'est lui le boss, ma tête se baisse en signe de soumission... sans pourtant savoir ce qui se passe dans ma tête, il prend clairement le dessus!!
En moins de 5 minutes dans cette cabine, il a posé les règles... règles que je vais devoir subir à l'avenir!!!
En sortant du magasin, il me donne les sacs et m'ordonne de les ramener à l'appartement pour que l'on soit tranquille... en m'attendant ils iront boire un verre en terrasse. Je me mets immédiatement en route sans un mot.
Il ne me faut pas plus de 5 minutes pour y arriver, je me dirige vers ma chambre pour y poser nos sacs, celle d'Ahmet est ouverte et je passe la tête à l'intérieur... tout est clos, une forte odeur imprègne la pièce... une odeur virile, exactement la même que dans tous vestiaires mais à cet instant, elle a une incidence particulière sur mes sens... je rentre, il y a des fringues de tous les cotés, je ne peux m'empêcher de ramasser un de ses caleçons et de respirer profondément... je n'aurais jamais cru faire ça un jour... je m'allonge dans son lit, là même où je lui ai caressé la queue la veille!!! L'excitation me monte, je reste étendu un petit moment... je me serais presque endormi mais j'entends la porte d'entrée qui s'ouvre, je saute hors du lit... je reconnais sa voix, celle de Ahmet!!! J'accours vers notre sdb mais la porte est verrouillée de l'intérieur, je suis bloqué ici...Il n'est pas seul, une voix féminine résonne... sous le lit: impossible... le placard: trop bas... je ne vois que les rideaux qui semblent épais... je me glisse derrière!! Je les entends discuter un petit temps puis plus rien, plus une parole mais du bruit... puis des pas... ils viennent... je ne vois rien mais les petits gémissements et autres chuchotements en disent long sur ce qui se passe! Aussi soigneusement que possible, je tire le rideau... Il est allongé sur une fille... ou plutôt une femme qui pourrait largement être sa mère... lui dévore les seins sous des gémissements intenses... sa main travaille avec ferveur une chatte accueillante... Sous cette apparence frêle de jeune homme doux et sympathique, je découvre un homme extrêmement dominant et directif, j'ai une vue imprenable sur son corps si chétif mais surtout sur une bite magnifique, large, fièrement dressée... il ne ménage pas sa compagne... sans un mot il la pénètre avec une maîtrise incroyable, elle hurle... je n'avais jamais entendu une femme crier autant de plaisir, ce gamin de 19 ans me donne une leçon qui confirme mon sentiment de ce matin. Pendant une demi-heure je n'aurai d'yeux que pour ce pilon qui va et vient sans jamais faillir. La fin est là, je n'ai rien raté de ce spectacle... il décharge sa semence d'un blanc épais et abondant, elle n'en perd pas une goutte et s'en délecte...
Elle: " oooh c'était tellement bon... les gars comme toi savez nous baiser... tu devrais apprendre à mon mari mais, il n'est pas aussi bien monté que toi!!! Si seulement il voyait comment tu m'as fait jouir!!!"
Ahmet: " Ha Ha... ça c'est clair, vos hommes sont de petites bites... juste bons à laisser de vrais mâles baiser leur salope de femmes!!! je parie qu'ils branlent leur quéquette devant nos queues et n'attendent qu'une chose, qu'on leur enfonce dans le cul de lope ... Ha Ha"
Il ne croyait pas si bien dire, mon pénis est prêt à exploser à la vue de son membre, à cet instant précis j'aurais tout donné pour être cette femme...
Ils sont repartis tout de suite après... sans même avoir remarqué ma présence!! Je fixe le lit et ses draps souillés, encore humide de leurs ébats... je passe mes doigts sur le tissu, le sperme encore tiède s'en décolle facilement au contact de mon index... il est épais et visqueux... Je sors de là, je dois me reprendre... une douche, je mange un bout et j'envoie un message à Justine: "hello, où êtes-vous?? je vous retrouve etc etc...". Quelques minutes plus tard, mon téléphone sonne, je réponds et c'est Adem:
Adem: " hey charlot, j'ai emmené les filles en bateau avec Momo et des potes, on revient plus tard... heuuu, tu pourras ranger un peu car on a laissé le bordel quand on est parti, je sais que tu aimes te rendre utile!! et mes draps sont pourris, fous les à la machine!! t'inquiète on va chouchouter ta femme!!! Ha Ha Ha..."
Il raccroche sans autre mot, il me prend vraiment pour la bonne... en même temps, je lui en ai laissé l'occasion!! Et bien évidemment, je l'ai fait!!!
En vrai femme d'intérieur, j'ai nettoyé, rangé l'appartement... lavé les draps, dont les taches rappellent les ébats de la veille, et fait le lit d'Adem... celle d'Ahmet n'a pas échapper à la règle, et lorsque celui-ci est rentré en fin de journée, j'étais fier de le lui montrer... je me sentais comme la petite épouse parfaite qui attendait son homme.
Ahmet: "Putain mec, c'est cool mais t'avais rien de mieux à foutre que de nettoyer!! pq t'es pas parti avec les autres???"... je change de sujet rapidement et lui invente une excuse à propos de mon absence.
On se pose sur la terrasse, on discute tranquillement... je file chercher une boisson à la cuisine et à mon retour, Ahmet est en boxer étendu sur le transat. Bien que j'en connaisse maintenant presque tout, mes yeux sont captivés par sa superbe anatomie... je fais un effort incroyable pour ne pas qu'il s'en rende compte mais c'est difficile... surtout qu'il me raconte en détail son expérience avec cette femme mariée...
Ahmet: "Grave mec, je l'ai déchiquetée la vieille... elle en voulait... son mari doit en avoir une petite, et ça ça aime les jeunes bien monté...etc etc etc... tu sais ce que c'est, à ton âge et avec le corps que tu as, tu as du en baiser un tas de pute!! elle a de la chance Justine avec une bête comme toi!!!! raconte un peu mec!!"
Moi: "oh tu sais, je suis assez banal comme gars, je suis assez réservé etc etc..." ... j'élude le sujet mais je ne peux m'empêcher de regarder son entre-jambe... il ne cesse de se frotter, d'y bouger... a chaque fois qu'il y glisse la main, sa bite apparait à ma vue, je suis écarlate... je bégaie sans arrêt et mon trouble se fait de plus en plus sentir!! Je pense qu'il s’en ai rendu compte car ses yeux sont fixés vers moi à chacun de ses mouvements!! Je lui propose alors de profiter de la piscine en attendant les autres, ça me permettra de m'échapper de cette situation. D'autant que à chaque sortie d'eau, son vêtement trempé m'offre un spectacle dont je ne me lasse pas.
Il est déjà assez tard quand Adem et les filles rentrent, ils sont toujours accompagnés de Momo, c'est le propriétaire du bateau. Un grand marocain très fin, il doit approcher les deux mètres...!! Présentations faites, Adem "inspecte" l'appartement et me félicite pour le nettoyage se félicitant auprès de son pote d'avoir trouvé un bon petit homme de ménage. Tous éclatent de rire sans que je n'ose réellement protester.
La soirée se passe, tout le monde passe un bon moment et je constate que Justine reste collée à Momo… elle me jette qqes coups d’œil mais se laisse de temps à autres caresser par cet homme aux airs de prédateurs. Confortablement installé dans le canapé, mon regard se porte entre ses cuisses ouvertes, et je ne peux qu’imaginer ce qui s’y cache.. laissant mon esprit s’y attarder… de mon sentiment de ne pas être à ma place au milieu de ces mâles je n’ose les interrompre, et fait mine de ne rien remarquer.
Il est tard, Aden propose à Momo de rester la nuit ici, il pourra dormir sur le canapé… personne n’a d’objections, et j’avoue une certaine joie lorsque Justine lui propose d’utiliser notre douche!! Je lui propose de l’y emmener et de lui passer un linge de bain… une fois dans la salle de bain, je n’ai pas le temps d’attraper une serviette qu’il s’est déjà débarrassé de ces vêtements… et je me retrouve face à lui, complètement nu, une belle et longue queue telle que je l’aurais imaginé… je suis interloqué et ébahi… il me remercie et reste là à discuter pendant que je louche littéralement sur sa bite… Justine arrive et lâche un « oh putain… c monstrueux!!! »… je me sens rouge et honteux mais Momo continue de parler malgré tout… au bout de 5 minutes il se décide à filer sous la douche… Justine me fixe, éclate de rire et s’adresse à lui: « désolé Momo, on t’aurait bien filer un truc à t’enfiler mais… ça sera trop petit!!! »
Il me regarde et lui répond que vu ma corpulence ça devrait plutôt être trop large, même si c’est pas nécessaire… et là elle insiste et sans se démonter, tout en fixant sa queue, lui dit « tu serais vraiment trop à l’étroit!!! »… s’ensuit un énorme fou rire des deux et pour moi une énorme gêne honteuse. Désarçonné par ses propos, j’ai quitté la pièce les larmes aux yeux.
Quelques minutes plus tard, je suis accoudé au plan de travail de la cuisine, Momo s’approche de moi… je tourne la tête et bien malgré moi, mon regard se dirige en premier sur son paquet… ce qui ne lui échappe pas.
Nos regards se croisent et je suis certain de ce qu’il voit dans le mien… je rougis, nous sommes seuls dans la pièce!!!
Momo: « he mec, c’est une chaude ta meuf!!! Faut s’en occuper… elle veut de la queue!!! Avec le cul qu’elle a, ça doit être une gourmande!!!! »
Du haut de ses deux mètres, il me toise… je ne sais quoi répondre… je me sens si mal devant ce grand maigrichon bourré de testostérone … je ne sais où regarder, je jette un coup d’œil autour de moi… mes yeux se portent à plusieurs reprises sur cette serviette bosselé par sa queue, je transpire… pas un mot n’arrive à sortir… il se rapproche soudain de moi, sa queue collée à ma cuisse… sa main agrippe mes fesses… je reste muet de stupeur… et me murmure à l’oreille: « peut-être que c’est toi la gourmande en fait… tu kiffes peut-être les grosses queues de rebeu dans ton commissariat!!! Ta petite femme dit que tu as un tout petit… tout petit… tout petit zizi»… et je sens sa main s’enfoncer entre mes fesses… Je suis paralysé devant cet aplomb et lui balbutie quelques « non »… sa main creuse encore un peu le tissu de mon short et se hasarde dans ma raie. Je sursaute en arrière… « non… heu… non arrête ça… »… immobile face à moi, je reste pétrifié de longues secondes… Justine apparait dans l'encadrement de la porte de chambre... il se dirige vers elle, alors que je reste figé, mais il revient sur ces pas... il esquisse un sourire, sa main glisse dans mon short et saisit mes attributs à pleine main...
Momo: " tu as la peau plus douce que toutes les chattes que j'ai baisé... " et pour cause, sous la demande de Justine, je m'épile le corps intégralement...
Pour la première fois depuis très très longtemps, je suis "a nu" devant un autre homme... ses doigts emprisonnent mon attirail ridicule.... il tire sur mon sexe insignifiant durant quelques secondes interminables et je me laisse totalement dominer. Je ne parviens pas à retenir ces larmes qui coulent sur mes joues... Je sais à ce moment là que je ne serai plus maitre de ma vie.
Momo: "Reste-là COMPRIS!?!?!"
Il rejoint Justine et ferme la porte... allongé sur le canapé, je les entends baiser, crier, gémir sans se soucier de moi ou des autres "cohabitants"... Je prie que personne ne sorte... que faire ou dire si Adem ou Ahmet débarque pendant que ma femme se fait retourner par leur pote juste à coté???
Le matin se lève, je n'ai pas fermé l'oeil et tout le monde semble encore dormir... Je vais dans la chambre et je les vois, ils sont encore allongé... ça pue littéralement le sexe... il est étendu de tout son long, son membre viril tendu et dressé sur son corps élancé... après avoir admiré Ahmet précédemment, je contemple la queue en érection d'un autre gars, elle me parait démesurée... je m'approche lentement et l'envie de la lui saisir est grandissante mais je n'ose pas... je vais rester 5 longues minutes à observer le moindre détail de sa masculinité. Soudain il bouge, je sors de la chambre effrayé de me retrouver face à lui... Au bout de 10 minutes, il arrive au salon et s’installe à coté de moi.
Momo: "Put... ta meuf sait ce que c'est un vrai keum maintenant... je te l'ai démontée ha-ha-ha... mais tu as certainement entendu!!! t'inquiète petite fiotte, ça restera entre nous tant que tu reste à ta place!!!!"
Je consent tête baissée... pile au moment ou Adem arrive!!!
Ils se mettent à discuter comme si de rien n’était en face de moi… après quelques minutes Adem « m’ordonne » d’aller chercher de quoi déjeuner et je me suis exécuté… à mon retour, Momo est parti.
Je n’ai donc aucune idée de ce qui avait été dit…
Il est décidé que ce sera journée plage aujourd’hui… je n’ai pas prononcé un mot de la journée… Je n’ai eu aucun échange avec Justine, si ce n’est des regards méprisants et vainqueurs… elle sait qu’elle a fait de moi un mec à présent soumis à ces caprices.
Il est certain que tout le monde l’avait entendue cette nuit mais personne ne savait la vérité de ce moment à part nous deux (et Momo). Son regard m’est insoutenable… je passe donc la journée muet, le regard rivé sur le sol ou à contempler autour de moi… et mater tous ces gars au maillot plus ou moins gonflé… confirmant mon statut de « sous-homme », déclaré la veille par Momo.
Le temps me parait une éternité et un soulagement éclate en moi quand nous décidons de rentrer. Je me suis isolé dans la chambre, prétextant me sentir faible.
Sans se soucier de quoi que ce soit, ils sont partis dîner et passer leur soirée ailleurs.
Ils sont rentrés tard, Justine ne s'est pas préoccupée de moi.
Le rituel est le même... je me lève, je vais à la boulangerie, on déjeune et les filles partent faire leurs soins. Ahmet s'en va mais néanmoins prend de mes nouvelles et discute 5 minutes avec moi. Adem, confortablement installé dans le canapé, regarde la télé. Pas une parole donc je me lève pour aller prendre ma douche et pourtant, avant que je n'entre dans ma chambre, il m'interpelle. Surpris, je me retourne et reste planté une trentaine de secondes avant qu'il ne s'adresse à moi. Bien qu'il garde son regard sévère, il demande si je vais mieux et me propose à nouveau de l'accompagner à la salle de sport... ce que j'accepte. Il me laisse retourner à ma chambre, non sans d'abord "m'exiger" un café et me rappeler de débarrasser la table sur un ton assez directif. Bien que je ne sois pas habitué à me soumettre à qui que ce soit aussi facilement, je sais au fond de moi ce qui provoque cette obéissance. Je dépose sa tasse sur la table et file me laver. A mon retour, je m'occupe de tout débarrasser pendant qu'il va se changer... je commence à connaitre ses habitudes et jette un oeil au travers l'espace que laisse la porte entrouverte... je lui suis tellement insignifiant qu'il ne me calcule pas du tout... debout face à son couchage, sa tenue de sport prête sur le matelas, il laisse descendre son jogging pour me dévoiler encore une fois un fessier robuste, à chaque mouvement de jambes pour se dépêtrer de son vêtement, je vois apparaître une belle paire de couilles bien lourdes... je suis persuadé que ma main pourtant de belle taille, ne pourrait les maintenir. Mon minuscule paquet se contracte à la vue de cette force mâle absolu. Il se retourne enfin après avoir enfilé un slip moulant parfaitement son anatomie, arborant une queue plus large encore que je n'imaginais, reposant sur deux balloches pesantes.
Quelques minutes plus tard, nous descendons à l'entrainement... je n'aurai d'yeux que pour cette protubérance étirant le nylon de son short. Une heure à alterner les regards discrets, les exercices et les conversations faussement intéressées.
Retour à l'appartement, la matinée est bien avancée et après nous être désaltérer, je fonce me laver. Quelle surprise lorsqu'à mon retour, il est téléphone à la main, allongé sur son lit, toujours vêtu de son petit slip exacerbant sa puissance et attisant ma convoitise. De là où je suis, il ne peut me voir mai j'ai une vue directe sur son anatomie intime... ma patience va être récompensée lorsque, sa main alors posée sur sa cuisse remonte et se glisse sous le tissu pour aller frotter son membre imposant et ainsi le libérer de toute entrave. Sa queue majestueuse repose sur son bas-ventre, un gland nu et gonflé à la testostérone, qui à lui seul doit être plus gros que mon sexe, vient glorifier le tout... le tout supporté par un paquet bien rempli au duvet foncé. Une poignées de secondes qui confirme ma condition de lopette. Encore ignorant de ma présence proche, il se débarrasse du peu qu'il porte et se redresse, affichant sa force pour mon plus grand bonheur, et disparait dans la pièce voisine. je ne parviens pas à rester en place et dès que l'eau coule je me dirige vers la chambre dans l'espoir d'en voir plus. Son téléphone sonne et je bloque à un mètre de la porte... il déboule dans la chambre totalement nu, ruisselant, son colosse entre les cuisses et saisit son téléphone pendant que je reste pétrifié, le front en sueur et dans l'incapacité de détourner mon attention de son corps. Portable à la main, son regard se porte sur moi et se durcit... il s'avance et me claque la porte au nez... je suis désemparé car je ne sais pas ce qu'il va maintenant penser de ma présence. Il réapparaît une bonne vingtaine de minutes plus tard et sans lui laisser le temps, je lui propose un café en ajoutant que c'était l'objet de ma venue quelques instant plus tôt. Je réussis donc à masquer les événements. Les filles arrivent dans la foulée et nous décidons de sortir dîner. Ma tête est remplies d'images, Ahmet... Momo... et Adem au centre défilent en moi... je suis agenouillé au milieu d'eux, quéquette à la main, et ce tableau est assez révélateur du sentiment qui se développe en moi. Depuis son dernier appel, il est resté visage fermé et se montre presque agressif avec nous, y compris avec Christelle. Dorénavant résigné, ma voix se fait fluette lorsque je m'adresse à lui et mon regard semble chercher son approbation à chacune de mes actions. Au vu de l'ambiance électrique à table, ils décident de passer la journée ensemble et Justine m'indique que l'après-midi est déjà programmée sans m'en dire plus.
Les couples se séparent et je la suis tout en essayant vainement d'en apprendre plus. Au bout d'une bonne demi-heure, nous arrivons devant 3 barres d'immeuble assez moches. On rentre dans la deuxième, direction 8ème étage, je n'ai toujours aucune idée de où nous sommes et elle frappe à une porte. Un jeune black nous ouvre et nous laisse entrer... un deuxième jeune rebeu est installé dans le canapé et nous salue. Je demande pour la vingtième fois à Justine ce qu'on fout là, elle me répond de fermer ma gueule, sous la mine ahurie des deux jeunes locataires présumés. Une autre porte s'ouvre et Momo déboule de là, je me décompose... sous mes yeux il embrasse à pleine bouche "ma" femme, en guise de salutation, j'ai droit à 2 petites claques au visage et on m'indique un fauteuil où m'asseoir. Il me présente ses coloc, Emile et Farid et, tout en malaxant les seins de Justine, leur précise que je suis son mec... enfin "mec"!!!!
Va s'ensuivre une flopée de questions auxquelles je n'ai pas le temps de répondre, Justine se faisant un plaisir de fournir à ces deux gamins les réponses toutes plus humiliantes les unes que les autres. C'est ainsi qu'elle va leur confier le moindre de mes complexes et habitudes qui régissent notre couple depuis des mois, la gêne qui m'envahit face au moindre signe d'intimité masculine, mon impossibilité à me déssaper devant quiconque, y compris mes gars de brigade ou même mes amis proches, et bien évidemment la nuit où je suis resté dans le salon pendant qu'elle était avec Momo!! Un quart d'heure à fixer le sol sous les éclats de rire humiliants d'une assemblée attentive. Les deux jeunes n'y croient pas mais malgré tout, la supériorité se lit dans ces yeux rivés sur moi.
Momo s'approche de moi, je lève brièvement les yeux mais les baisse instantanément devant son air méprisant. Sans un mot, il agrippe mes cheveux et me tire violemment de mon assise, mes 95Kgs décollent quasi sans peine et je me retrouve presque à 4 pattes devant un public hilare. Sa main posée sur ma tête exerce une pression vers le bas et c'est sans résistance que mon visage se retrouve à quelques cm de ses sneakers blanches.
Momo: " Allez mon Capitaine, ne m'oblige pas à te le demander... montre que tu n'es pas si con que ça!!!!"
Je reste figé dans cette position, il veut s'amuser et montrer à ses jeunes spectateurs qui est le boss mais une partie de moi résiste encore et ne veut lui donner satisfaction... peut-être que si je refuse, il va en rester là, que l'humiliation est suffisante.
Une claque s'abat sur moi, une deuxième... et là il me hurle dessus: "Putain sale bâtard, tu vas me lécher les bask et après j'irai défoncer ta meuf comme jamais!!!!".
Si Emile et Farid me paraissent inoffensifs, je sais par expérience que Momo est du genre à aller au bout des choses et que je ne sortirai pas sans avoir obéi, d'autant que Justine le soutient et le pousse à me faire plier, ajoutant que les "p'tites bites" de mon genre doivent comprendre où est notre place et que notre rôle devrait être de servir de vrais mecs. Ces paroles auront raison de moi et je m'incline afin de lui lécher ces chaussures.
Momo: "voyez les gars, j'ai sa bénédiction pour jouer avec sa femme... c'est pas un bon bâtard çà quand même!?!"
Cela fait, Il m'ordonne de me relever tout en rejoignant Justine, je m'exécute et reste planté au milieu tout en remarquant Justine ranger son téléphone, une crainte m'envahit à l'idée qu'elle aie immortalisé la scène. Farid faisant part de son étonnement et de ses interrogations quant à ce qu'il vient de voir et entendre, Momo intervient, se retourne à nouveau sur moi et m'ordonne de me déshabiller. A ces mots, je rougis et me décompose... je bégaie, le supplie d'en rester là, que j'ai obéi et qu'il a Justine tel que c'était prévu. Je dégouline de sueur, effrayé à l'idée de me dévoiler aux yeux de tous, je peine à retenir mes larmes mais mes yeux trempés et brillant me trahissent. Et c'est Emile qui s'approche et me murmure à l'oreille: " IL t'a dit de te foutre à poil, donc tu enlève tout çà et vite... sinon ça va très mal se passer pour toi!!!!"... Farid se lève à son tour et fais un pas... les larmes commencent à couler, je lève les yeux au plafond et agrippe le bas de mon t-shirt... le jette sur le coté.
Emile esquisse un sourire, retourne s'asseoir pendant que je retire chaussures et chaussettes, un à un je déboutonne mon froc, je fixe le plafond en tentant de ne pas fondre en larmes et ne remarque même pas que Justine filme le tout, je respire un grand coup et le laisse glisser sur le parquet de la pièce. Je me dis qu'ils vont en rester là, que c'était juste pour m'emmerder mais que ça leur suffira. Instinctivement, je pose mes mains sur mon pénis encore dissimulé par mon boxer.
Je sens les larmes couler légèrement sur mes joues et les prie d'en rester là et de me laisser partir mais rien n'y fait. Les minutes s'écoulent et me paraissent des heures... au tour de Farid de s'approcher de moi, me contourne, m'observe... me "complimente" sur mon corps costaud et bien bâti, mais s'interroge sur ma peau épilée de près et aussi douce que celle d'un bébé... et se représente devant moi, son visage est à la hauteur de ma poitrine... constate mes joues humides... je baisse les yeux afin de capter les siens, un regard doux et sombre à la fois... il m'exige de continuer mais je suis paralysé, les mains solidement croisées devant moi... à son tour, il me retourne une gifle.
Farid: "tu sais, des connards de toute sorte on en a maté bien d'autres que toi... dis-toi bien que nous sommes entre nous pour le moment, mais si tu préfères, on te descend dans notre petite Room en sous-sol, et je te laisse imaginer quel genre de discussion mes frères de la cité voudront avoir avec un beau et grand Capitaine en visite chez nous. Et crois moi, je suis convaincu que ta jolie bouche sera l'un de leur sujet préféré, sans parler de ton cul généreux. Tu sais comment ça se passe n'est-ce-pas!!! Je peux t'assurer que quelques collègues à toi y sont passés et maintenant, ils tournent comme de bonnes putes dans tous Marseille!!! Je sais que tu sais, à Paris aussi tes hommes se font loper dans vos cités!!! ha-ha-ha"
A nouveau, je sens mes forces m'abandonner et les implore de ne pas me faire çà, de na pas me "faire de mal"...
Je capitule et me plie à leur volonté... une main toujours posée sur mon sexe, je tire sur mon boxer et le laisse glisser à mes pieds. Ils ont gagné et lorsque Farid m'ordonne de mettre les mains sur la tête, je n'oppose aucune résistance et livre mon corps en pâture, je fonds en larme sous les railleries et insultes de l'assemblée. Si Farid refuse de me toucher dans un premier temps, Emile ne cache pas sa volonté de me ridiculiser et s'approche de moi, agrippant entre ses doigts mon pénis aux dimensions microscopiques. Emile n'est pas très grand non plus, environ 1m65 et certainement en léger surpoids. Il tire sur mon sexe insignifiant, malaxe mes testicules aux proportions lilliputiennes...
Emile: "Putain mec, ta queue disparait sous mon doigt, j'ai jamais vu quelque chose d'aussi petit... et pourquoi tu rases ta bite bordel??? mais merde, tu te rases le cul aussi... mais t'es une vraie gonzesse quoi!!!!!" il accompagne ses propos en glissant sa main rapidement dans ma raie... je suis couvert de honte...
Momo vient à son tour... les émotions se chamboulent et le stress a pris possession de moi... je me sens petit face à lui... ses gros doigts chopent à leur tour mon pénis!!! Momo: "pffff Capitaine!!! il y a combien là... 4?? 5cm?? je suis certain que tu as déjà mesuré ta quequette!!! Ha-Ha-HA!!!
Justine: "OUIIIIIII je l'ai surpris une fois chez nous occupé à se mesurer... il croyait que je ne l'avais pas vu mais c'était à mourir de rire!!! ha-ha-ha!!!!"
Momo: "alors petit petit chien... tu vas nous donner la réponse exacte hein!!!!"
Je suis bien obligé de lui répondre et de lui confirmer mes 5cm. Mes jambes flanchent et je me retrouve agenouillé, anéanti. Il éclate de rire et se délecte de la situation... Momo: " alors là c'est toi qui en demande!!!"
Sa main tire fermement ma tête en arrière, il penche son visage au-dessus du mien, tire plus fort... inconscient de la suite, je laisse échapper un petit cri de douleurs et ouvre la bouche... à cet instant, il me crache un molard qui atterrit directement au fond de la gorge... je manque de vomir mais une deuxième salve vient envahir ma bouche!! Il est en train de faire de moi sa chose, mon corps ne m'obéit plus.
Cette humiliation me cloue au sol et alors qu'il maintient ma tête dans cette position, il saisit ma main et vient la poser sur sa hanche...
Momo: "c'est ça que tu aimes petite lope, mater de bonnes grosses teubs... je t'ai vu l'autre soir, tu bavais comme une cochonne devant moi... tu étais toute mouillée alors vas-y, descend mon froc et montre que tu es une belle femelle docile!!!!"
Je ne dois pas chercher bien loin en moi pour admettre qu'il a raison... il y a 10 jours, je n'aurais jamais imaginé ça... je m'étais habitué à cette vie privée remplie de frustrations mais professionnellement, je donnais le change et était respecté de tous... et même si je matais inconsciemment çà et là, jamais je n'aurais été aussi loin. Aujourd'hui c'est différent et poussé par cette excitation, quoique effrayé, je saisis le cordon de son jogging et le lui baisse fermement... sa longue queue me jaillit au visage, son paquet ballote entre ses cuisses... des boules que je devine bien pleines!!!
Toujours sous le regard amusé de Justine et des deux autres jeunes, ma tête soumise à la force de sa main, il tapote mon visage avec sa lourde queue.
Farid: "ooooh frère, tu fais quoi... t'es Pd?? tu vas pas te faire ce mec quand même!!!!"
Il éclate de rire, leur prononce quelques mots que je comprends pas, prend son chibre à pleine main et me fixe de toute sa hauteur... il m'ordonne d'ouvrir grand la bouche... je ne peux me résoudre à lui obéir... pas çà... pas moi!!! Alors que je tente de résister, il me gifle violemment sans s'interrompre... je cède et ouvre la bouche aussi grand que possible!! Il attire une dernière fois ma tête à lui et introduit non pas sa queue, mais ses couilles dans ma bouche... j'ai l'impression que je vais étouffer... je suis totalement désemparé et humilié... je lui mange les couilles à pleine bouche pendant que sa queue repose sur mon visage...
Momo: "fais bien gaffe à ta gueule ma petite salope, si il m'arrive le moindre pépin tu es mort !!! Vous voyez les gars... il est pas question que je me fasse pomper par un mec... c'est pas mon truc... par contre, je peux vous assurer que baiser une meuf donc le gars m'a bouffé les couilles juste avant, c'est grave kiffant!!! Et puis, si c'est un Capitaine qui s'y colle... ça pourrait presque m'exciter!!! Et vous savez quoi les gars, le jour où un clébard comme lui vous bouffe les boules, vous pouvez être certain que vous le tenez à jamais!!! t'es une bonne cahba toi.... Fais bien tourner ta langue de flic autour, je veux la sentir me caresser le moindre millimètres de mes burnes... dis-le que tu es bien à ta place là... que tu es une bonne petite pute à queue!! J'en connais qui vont adorer s'occuper de ta petite gueule... tu serais une poule de luxe ici... avec un bon cul vierge et étroit!!!
A ces mots, je panique et mes yeux l'implore de ne pas aller jusqu'à là... il sourit!!
Justine s'approche de nous, portable à la main... elle filme depuis le début... Elle éclate de rire et fait remarquer à tous que je bande. Je pense que je ne pourrai pas tomber plus bas. Sous la pression du groupe et les moqueries unanimes, je branle ma petite tige toute dure... quelques minutes suffiront pour laisser jaillir quelques gouttes d'un liquide transparent. Enfin Momo me libère...
Farid: "chouf frère, on dirait de la mouille de meuf... en fait t'es vraiment une meuf... t'as une chatte... une bonne chatte de salope!!!"
Humilié, soumis et souillé, je suis resté sur le parquet... Momo s'est empressé d'emmener Justine dans sa chambre et m'a abandonné!!! je vais rester une dizaine de minutes dans cette position. Je me redresse, Farid et Emile sont toujours là et je n'ai aucune idée de ce que je dois faire. Je tente de rassembler mes affaires qui sont éparpillées dans la pièce. Alors que je me dirige vers un coin où se trouve mon caleçon, Emile m'interpelle
Emile: "hé hé la petite bite, qui t'a dit de bouger... reste là!!!"
Conscient que je ne broncherai pas même si je suis bien plus costaud que lui, il me pousse violemment à deux reprises et me ramène au milieu de la pièce..
Farid vient à son tour... son regard qui me semblait si doux est à présent glacial et autoritaire... je suis aux mains de ces deux gamins... A coté, Justine hurle de plaisir...
Farid: "tu entends comme elle prend cher ta meuf... ça t'as jamais connu ??? J'ai bien envie de te faire gueuler comme elle... ça te dirait de jouir comme une bonne truie?!?! On pourrait peut-être s'amuser... fous-toi à 4 pattes, mes potes m'ont déjà dit que les condé pleuraient comme des pucelles mais qu'ils en redemande de la bonne queue dans leur cul!!!! J'ai jamais fait dans le mec mais, toi t'es pas vraiment un mec!!!"
Ils m'imposent de me mettre à 4 pattes... je m'exécute en les implorant de ne pas me faire ça, je ne suis pas gay leur dis-je à plusieurs reprises... une main s'aventure dans ma raie trempée de sueur, sans aucune précaution elle s'enfonce entre mes fesses bombées et musclées... Farid: " wouaw c'est plus doux qu'une chatte de meuf... amène toi frère!!!"
Ils sont tous les deux autour de moi à me tripoter de partout... une main se glisse entre mes cuisses pour se saisir de mon paquet... une autre coulisse dans ce qu'ils nommeront dorénavant ma chatte... à chacun des passages, elle frôle mon oeillet encore vierge et m'électrise.... une main se fait plus précise et insistante, je sursaute lorsqu'elle s'attarde près de mon orifice... une première pression se fait sentir, je sursaute à nouveau et me cambre...
Emile sort sa queue et se place devant moi... Farid lui demande ce qu'il fout mais rigole et continue à me chauffer la raie... Soudain je prends réellement peur et me redresse... en 5secondes, je rassemble mes affaires et m'enfuis, complètement dévêtu, de l'appartement sous les fous rire de mes deux compagnons de jeu
Titefrap
salocinphil@gmail.com