Premier épisode
Chapitre 2
Voici la suite de l’histoire puisqu’elle vous a plu – je réponds à tous vos mails.
Il est donc reparti chez lui le lendemain matin. Je profitais encore de son odeur restée dans les draps et du goût de son sperme dans ma bouche. Évidemment, je me suis masturbé puisque je n’avais pas joui après l’avoir sucé… Je me masturbe donc dans mon lit sur du porno, mais je n’étais pas vraiment concentré sur mon écran ; je repensais plutôt à ce qui s’était passé avec Denis. Je frotte donc ma bite sur mon coussin tout en me caressant la chatte et je finis par éjaculer une bonne quantité.
Il était déjà 11h et il faisait extrêmement chaud dans ma chambre qui est dirigée plein sud. L’été 2022 était vraiment infernal.
Ensuite, la journée passe et je n’osais pas trop envoyer un message pour lui dire que j’avais apprécié sa compagnie. Jusqu’à ce que lui m’en envoie un « j’ai passé une très bonne soirée avec toi, j’espère que toi aussi ». Donc me voilà aux anges. Je vous épargne tous les messages qui suivent, mais on comptait se revoir.
On a été mangé au bord du lac de Genève, au restaurant, dans des parcs… Plein de sorties à deux et tout se passait à merveille. Lorsqu’on se voyait, on restait toujours dormir chez l’un ou chez l’autre et bizarrement, après 5-6 rencontres, alors que la gêne avait disparu entre nous, on n’avait pas encore « baisé ». Donc que du soft et pas d’anal. Je voulais absolument qu’il me pénètre donc je lui en parle et on est ok tous les deux, je fonce au centre de dépistage pour être sûr et il nous suffirait d’attendre une petite semaine.
…
Je reçois enfin l’appel de mon médecin – tout est ok.
Super ! j’envoie directement un message à Denis afin qu’on se voie le plus vite possible. Oui, j’avais chaud à la chatte ; en même temps avec 35 degrés dehors, le soleil, les hommes transpirants, les chemises ouvertes qui laissent entrevoir un torse poilu… Rien qu’en me baladant en ville, j’avais de folles envies – tout m’excitait, mais je ne voulais que Denis (et sa bite).
Cependant, Denis me répond que ses parents ont décidé d’acheter des billets d’avion en dernière minute pour partir 10 jours en famille en Corse… Il vient d’une famille russe, comme je vous ai dit, assez conservatrice et je sais que c’est compliqué pour lui de dire non à sa famille. Ce n’est pas grave, on relativise et on se dit qu’après 10 jours on sera chaud comme la braise.
…
Il est parti. Moi je reste dans la chaleur de la ville, mais je lui parle tous les jours et ça nous a permis de nous découvrir encore mieux. J’ai appris qu’il aimerait que je porte des tenues sexy : lingerie en dentelle, hauts talons, jupe ou robe moulante, un maquillage discret… Ce qu’il ignorait c’est que j’avais une véritable collection de toutes ces choses. Alors je prépare mon plan : quand il rentre de Corse et qu’on se voit, je veux l’accueillir comme une bonne salope bien vulgaire. Je veux lui faire passer un seul message « prends-moi la chatte, fais-moi des enfants, dilate-moi et remplis-moi ».
Il ne restait plus que deux jours d’attente avant son retour de vacances et nous avions décidé de nous voir le jour même de son retour. Je voulais être très excité pour le jour J et je décide donc de ne plus me toucher. Je réfléchissais déjà à ce que j’allais porter et j’avais déjà une petite idée…
…
SMS : « J’ai atterri ! Je fonce chez toi dès que je sors de l’aéroport »
Enfin ! Je sais qu’on va enfin baiser, ma chatte va enfin pouvoir goûter à cette grosse queue. Je me prépare le plus vite possible : je fais un lavement, je prends une douche et me rase le corps entier, j’enfile un beau string noir en dentelle, un crop top, une mini-jupe qui fait très ‘écolière’ et des bas qui montent jusqu’à mi-cuisse.
Je me trouvais très sexy, je me contemple dans le miroir en l’attendant, je me touche la chatte et je l’imagine déjà en moi.
Par-dessus ma tenue, j’enfile un pantalon et un t-shirt, car je voulais lui faire la surprise en me déshabillant. Le but était qu’il ne se doute de rien, pour lui provoquer la plus grosse érection de sa vie une fois qu’il voit ce que je porte en dessous. J’avais très chaud sous toutes ces couches, mais j’aimais sentir mon string devenir de plus en plus moite.
La sonnette sonne.
Je vais lui ouvrir avec empressement.
- D : Aaah salut bébé !
- A : coucou c’était comment les vacances ?
- …
On finit par prendre un verre de vin et il me raconte ses vacances. Je vous avoue que c’était compliqué de ne pas lui sauter dessus ; j’avais la chatte trempée, je l’observais quand il parlait, je regardais ses doigts contre le verre de vin et je les imaginais en moi, la façon dont sa moustache touchait ses lèvres, etc.
Après 45min, je me rapproche de lui et lui de moi et on comprend tous les deux le message. II me lance : « tu m’excites à mort chérie, mais je me suis pas lavé depuis hier et j’ai pris l’avion, etc. Je ne suis pas très frais ».
Sur quoi je lui réponds « J’aime bien quand tu pues, tu le sais. J’aime quand tes aisselles remplissent la pièce de ton odeur et quand ta bite sent la bonne queue, pas la savonnette. »
Je le vois sourire sur mes paroles et on s’embrasse à pleine bouche, je pousse la table pour pouvoir me mettre à califourchon sur lui. Il me tient le dos, me caresse les cheveux, soutiens mes grosses fesses. Il me donne ensuite une bonne fessée, en me disant « va dans la chambre, je vais fumer une clope et j’arrive ».
Le moment est parfait. J’enlève ma couche de vêtements normaux et me retrouve donc dans ma tenue sexy. Je me caresse les fesses et les cuisses en me regardant dans le miroir, elles sont vraiment grosses, mais bien rebondies et elles sont imberbes. Je touche mon string et je sens qu’il est vraiment mouillé – j’espère que ça ne le dérangera pas, surtout qu’il risque d’y avoir une odeur de « chatte qui a transpiré » ou plutôt « une odeur de bonne chatte ».
Je me couche sur le lit, sur le ventre et j’entends qu’il s’approche. J’étais très excité, et peut-être un peu gêné. Lorsqu’il passe la porte, il s’arrête net, il était en boxer et je vois que son boxer se déforme très rapidement – après 30 secondes son sous-vêtement était complètement déformé. Il n’a toujours rien dit, et il s’approche doucement – il me scrute de la tête aux pieds en s’arrêtant un peu plus longuement sur mes fesses.
Moi, j’adorais le pouvoir que j’exerçais sur lui à ce moment-là – il était en chien, en trans. Il me regarde dans les yeux et me dit « putain, t’es magnifique mon cœur ! T’es trop bonne, je veux te prendre en levrette comme une salope. Ma bite me fait mal tellement que je bande, regarde ».
Je n’hésite plus, il me montre sa bite. Je me relève et je la gobe, elle puait en effet bien la queue. J’avais faim de bite, je comptais l’envoyer au septième ciel ce soir. Je lui fais les meilleures gorges profondes que j’ai faites de ma vie, la bave coule de mon menton sur ses pieds. Il regarde sa queue disparaître dans ma bouche, puis il se penche pour me donner quelques fessées et j’ai droit à des « ouais, vas-y suce-moi putain, oh t’es vraiment une cochonne ». Il m’a dit qu’il n’avait jamais été sucé comme ça, j’étais très fier de moi, mais je sentais qu’il n’avait pas fini avec ma bouche…
En effet, il décide de me prendre la tête pour me baiser la gueule, je bave encore plus, mais j’adore me sentir utilisé. Sa queue me détruit le fond de gorge.
Je ne sais pas vous dire combien de temps il a passé à me détruire la bouche et la mâchoire – j’étais dans un état second tellement que je prenais de plaisir.
Il se retire et je m’écroule sur le lit. Il me rejoint et me lance « tu veux prendre dans la teuche ? », ni une ni deux, je lui dis que oui. Mais je lui dis d’y aller doucement au début.
Sur quoi il me dit « t’en fais pas, d’abord je te fais l’amour pour bien t’ouvrir, après ça je te prendrai comme une chienne. Mets-toi sur le dos maintenant ».
Je l’écoute et je lui fais confiance. Je me mets sur le dos et lève les jambes. Son visage descend vers ma chatte, je sens sa respiration contre mes grosses fesses et j’ai immédiatement la bite qui se tend et les yeux qui roulent de plaisir. Il me renifle le string et le lèche par la suite « elle a une odeur formidable, jvais te la bouffer toute la nuit ». Et oui, j’ai de la chance, parce qu’il me la bien broutée… Chaque coup de langue était magique et sa barbe me titillait le trou et les fesses.
Il se relève ensuite pour m’embrasser et là je sens et je goûte à ma chatte ; c’est vrai que l’odeur était très excitante.
En m’embrassant, il tend le bras vers le lubrifiant et s’en enduit la verge ainsi que ma chatte. Il se repositionne afin que sa bite soit devant l’entrée de ma teuche, il pose mes pieds sur ses épaules ; je sens l’humidité de son gland rencontrer l’humidité de ma chatte. Il me titille la chatte avec son gros gland qui avait l’air d’être au bord de l’explosion.
Je sens qu’il pousse doucement sa bite contre mon entrée en me regardant et je lui fais signe que c’est bon. Il pousse plus fort et je sens qu’elle est rentrée ; quel plaisir, je n’avais aucune douleur. Je crie tellement que c’est bon pendant qu’il s’enfonce de plus en plus loin jusqu’à ce qu’il arrive au bout et qu’il s’effondre sur moi. Je sentais son souffle dans mon cou, ses poils pubiens contre ma chatte et par-dessus tout je sentais sa bite qui me remplissait. Elle était si dur, il était vraiment très excité et moi aussi ; je voulais m’offrir à lui, je ne voulais que ça. Il commence à bouger lentement puis y va de plus en plus vite.
D : oui putain ta chatte est tellement chaude
A : vas-y fais-toi plaisir, elle est à toi
Ses hanches tapaient contre mes fesses et ça faisait pas mal de bruit. Mes cuisses et mes fesses bougeaient dans tous les sens à cause de ses coups de reins. Ses 19cm entraient et sortaient comme dans du beurre. Il n’hésitait pas à m’écarter les fesses lorsqu’il sortait sa bite pour voir ma chatte hyper dilatée et ensuite y replanter sa queue jusqu’au bout.
Je n’ai pas eu mal à un seul instant. Que du plaisir, c’était merveilleux.
On a évidemment baisé pendant longtemps, très longtemps. Enfaite Denis n’arrive pas à éjaculer en me baisant, seulement quand je branle frénétiquement sa queue bien épaisse. Ça ne me dérange absolument pas, puisque j’adore boire son sperme.
Donc ça a duré longtemps, il m’a retourné sur le ventre puis m’a pris en levrette. Ma chatte bâillait, elle était complètement détruite, il crachait dedans et son crachat ne touchait même pas les bords. Il m’a bouffé le cul plusieurs fois entre deux positions ou pendant une pause, je le suçais aussi, on se câlinait, il fumait, on s’embrassait… C’était la plus belle baise de ma vie jusqu’à là. On a fini par éjaculer tous les deux, lui dans ma bouche et moi sur lui pendant qu’il me baisait ; les quantités étaient énormes et l’appartement entier puait le sexe.
On a fini par s’endormir tellement qu’on était épuisés. Le lendemain matin, tout se passe bien (sauf pour ma chatte qui me fait mal et mes cuisses courbaturées), on décide d’aller manger dehors et de faire une promenade dans Genève.
Je me sentais bien à ses côtés, j’adorais quand on marchait et qu’il me touchait les fesses discrètement et me chuchotait « mmmh ce gros cul, je vais encore te prendre quand on rentre ».
C’est tout pour cet épisode.
AlessandroGeneve
alessandro.geneve@outlook.be