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Baise sous la douche au club de sport

Il est 17h. Je sors du bureau. Je suis venu vers 9h ce matin pour pouvoir partir tôt le soir, une fois ma journée finie. Comme tous les jeudis soir, je sors du bâtiment pour me diriger vers le club de sport, de l’autre côté du parc d’entreprises. Le temps est gris et maussade, mais relativement doux. Du classique pour Londres à cette période de l’année. À cette heure-ci, il y a généralement peu de monde : je croise quelques employés qui sortent çà et là de leurs bureaux respectifs, mais le parc est en grande partie vide.

Arrivé au club de sport, je passe mon badge à l’entrée, sourit à l’employé de l’accueil et échange un « hi ! » amical, comme toujours. J’attrape une serviette au passage puis me dirige vers les vestiaires, au sous-sol. Peu de monde, là aussi. Je croise un ou deux mecs qui sortent, un autre qui vient d’arriver juste avant moi ; dans un coin du vestiaire, il y en a un qui s’est déshabillé. J’aperçois sa bite en passant, mais rien d’exceptionnel. En plus, le type est plutôt laid, probablement la quarantaine, un peu bedonnant. Je passe sans m’attarder et me dirige vers les casiers du fond, les plus proches des douches. C’est plus pratique quand on vient nager : moins de distance entre les douches et le vestiaire à la sortie, quand on est mouillé et qu’on frissonne. Et puis, on peut mater les allées et venues des mecs qui rentrent et sortent des douches. Parfois, certains sont très peu pudiques…

Je prends le temps de déposer mes affaires tranquillement, tout en matant du coin de l’œil. Peu d’affluence ce soir, comme je le disais, mais je vois tout de même quelques spécimens potables. Un beau black bien musclé, au paquet généreux, qui se met du déo à quelques casiers de là, vêtu uniquement d’un caleçon. J’admire l’air de rien ses abdos bien dessinés, sa queue bien moulée dans son calcif, son cul bombé et rebondi, mais ferme. En quelques minutes, il s’est rhabillé et quitte les vestiaires. Pour ma part, j’ai à peine délacé mes chaussures… Il faut dire que je prenais mon temps !

Un autre mec arrive dans mon coin, mais c’est un vieux chauve un peu gras. Pour le coup, j’accélère la cadence et me dépêche de sortir mon maillot, mes lunettes et mon bonnet de bain. En quelques minutes, je suis en tenue de bain et je me dirige vers les douches, loin du vieux barbon et de ses plis graisseux.

Je rentre dans la première cabine : c’est la mieux placée pour voir un maximum de mecs aller et venir. J’ouvre le robinet et l’eau commence à s’écouler. Et hop ! J’ai aussitôt envie de pisser. C’est dingue ! Chaque fois que je viens à la piscine, j’ai beau avoir été pisser avant de quitter le bureau, il suffit que je rentre sous la douche pour avoir de nouveau envie. Je sors ma bite du maillot de bain et je me soulage sous le jet d’eau, en visant la rigole pour éviter d’en foutre partout (mais en soi, ça ne changerait pas grand-chose). Je me savonne, dos tourné vers l’extérieur et je me caresse un peu la bite pour bien la nettoyer après avoir pissé. Elle gonfle un peu, mais je me contiens, sinon je ne suis pas près d’aller dans le bassin ! Je baisse la température de l’eau, sinon je sais que l’eau de la piscine me paraîtra trop froide ; puis je me retourne et laisse l’eau couler sur mes cheveux pour les mouiller avant de mettre le bonnet.

Comme je suis tourné vers l’extérieur, cette fois, je vois quelques mecs passer. De nouveau, c’est un joyeux patchwork : des blacks, des blancs, certains musclés, d’autres grassouillets… quelques vieux, mais il y en a peu à cette heure (Dieu merci !). Puis je décide de sortir de la douche et d’aller nager – après tout je suis venu pour ça !

Je passe la porte du bassin et là, agréable surprise, la piscine est pratiquement vide. Un vrai bonheur ! Rien qu’une nana un peu ronde dans l’allée « lente » près du bord. Même le hammam et le sauna sont vides. Le jacuzzi du fond, en revanche, contient déjà quatre ou cinq personnes. Le bruit des bulles fait toujours l’effet d’un vrai vacarme quand la piscine est si déserte.

Je rentre dans l’eau lentement, par l’échelle, et frissonne un peu – l’eau a beau être bonne, c’est toujours un peu désagréable. La nana me regarde en souriant ; je lui retourne son sourire et me frictionne les bras pour indiquer que j’ai un peu froid. Puis je rejoins l’allée centrale pour commencer à nager.

Toujours personne, un vrai régal ! Je m’étire, puis je me lance dans quelques longueurs de crawl. Ça fait un petit moment que je n’ai plus fait d’exercice, et ça se sent un peu : je m’essouffle plus vite que d’habitude et je dois faire des pauses régulières. Il y a encore un mois ou deux, je pouvais enchaîner une dizaine de longueurs sans souci, mais dernièrement, je suis moins venu à la salle et à la piscine… et j’en paie le prix.

Mais au bout de quelques minutes, une fois échauffé, l’effort devient moins pénible. Je finis ma dizaine de longueurs de crawl et je reviens au bord pour faire un break avant d’enchaîner avec la brasse. Plusieurs mecs se succèdent autour du bassin ; certains viennent nager comme moi (ce qui gâche un peu mon plaisir, moi qui étais seul jusque-là), d’autres viennent simplement pour le jacuzzi, d’autres encore arrivent de la salle de muscu à l’étage et viennent profiter du sauna/hammam. Ce sont les plus beaux spécimens, en général. Il y a notamment un jeune rebeu finement musclé, la peau délicatement mate, qui s’engouffre dans le hammam avec sa serviette autour de la taille. J’ai le temps de faire une ou deux longueurs de brasse avant de le voir ressortir. Sans mes lunettes, il m’apparaît légèrement flou, mais je remarque quand même ses beaux pecs, ni trop gros ni trop petits, et son dos en forme de V parfait. Il se dirige sous la douche froide pour se rafraîchir après son bain de vapeur ; l’eau ruisselle sur son corps et il danse un peu sur place à cause de la température, mais je remarque malgré tout son torse bien galbé, ses abdos, sa peau luisante sous la lumière bleue de la douche… Il a une légère toison de poils noirs, pile entre les pecs. C’est vraiment le top : certains ont trop de poils sur tout le torse (moi le premier d’ailleurs) mais lui a juste ce qu’il faut pour faire ressortir ses pecs et lui donner un petit air viril sans effort. Plutôt belle gueule, aussi, avec l’air naturellement arrogant commun à de nombreux jeunes rebeus. Il doit avoir 25 ans à tout casser. Son maillot de bain est ample, dommage. J’aurais aimé distinguer la taille de sa teub.

Il termine sa douche glacée et retourne dans le hammam. Clairement, il doit aimer ça. Je reprends la nage, désormais accompagné d’un autre mec qui s’est glissé dans l’allée centrale avec moi. Heureusement, même en brasse, je vais plus vite que lui, je peux donc facilement le doubler et enchaîner les longueurs. Au bout d’un quart d’heure de plus, j’ai dû faire une bonne douzaine de longueurs sans m’en rendre compte. Je commence à être un peu fatigué. Pas super endurant, aujourd’hui ! Je décide de sortir et d’aller me réchauffer au sauna ; perso, je préfère la chaleur sèche au bain de vapeur moite du hammam.

Je me dirige vers la cabine recouverte de bois, et là, surprise : le joli rebeu est à l’intérieur, jambes légèrement écartées, sur le banc du haut. Il a dû lui aussi vouloir changer d’ambiance, mais de toute évidence, il a déjà eu le temps de suer dans l’autre cabine : son corps est luisant de transpiration, ce qui le rend encore plus sexy. Sa petite barbe bien taillée, sa gueule arrogante, ses beaux pecs et sa touffe de poils… il a tout pour faire mouiller les salopes comme moi.

Au fond, il y a un autre mec, blanc, les cheveux blonds. Je ne le remarque pas de suite, mais il est pas mal dans son genre, lui non plus. Sur le banc du bas, deux nanas ont pris leurs aises et se sont allongées. En me voyant arriver, elles prennent conscience d’occuper un peu trop d’espace à elles seules et l’une d’elles se redresse. L’autre n’en a rien à foutre, visiblement, mais il y a quand même assez de place pour moi. Je vais au fond, sur le banc du haut, dans le coin vide de la cabine du sauna. Ça me place assez loin du rebeu, mais juste à côté du mignon petit mec blond, qui a calé son dos contre le mur et replié ses jambes, les bras sur les genoux. Lui aussi a les jambes écartées.

L’atmosphère est délicieusement chaude. Je sens mes muscles se détendre, la transpiration commencer à perler le long de mon dos. De l’autre côté, le rebeu change de position plusieurs fois. D’abord en tailleur, puis les coudes posés sur ses genoux, la tête dans ses mains. Il se masse le dos, faits quelques étirements et se passe la main dans les cheveux. Puis il se laisse un peu plus aller et s’avachit contre le dossier du ban. Vue dégagée sur ses pecs et ses beaux tétons noirs parfaitement dessinés, ses beaux abdos qui ressortent juste ce qu’il faut, et son short de bain qui, dans cette position décontractée, laisse entrevoir l’ombre discrète d’une forme de bite entre ses cuisses écartées, imprimée contre la toile.

La chaleur me fait un bien fou mais les idées se bousculent dans mon cerveau et j’ai la bite qui commence à palpiter. Alors que je mate discrètement le rebeu, l’une des deux nanas sort du sauna en enroulant sa serviette autour de ses cheveux. L’autre reste allongée sur le banc inférieur.

Je tourne alors mon regard, l’air de rien, vers le beau petit blond. De près, il est vraiment pas mal. Des beaux pecs aussi, un peu moins galbés que ceux du rebeu, mais plus que corrects. Le ventre plat, abdos moins visibles là aussi, mais la silhouette svelte. Ses bras sont musclés en proportion, avec de beaux petits biceps, mais sans être « gonflés ». Il a une petite barbe de trois jours d’un blond vénitien, les yeux bleu clair, et les cheveux courts. Il semble s’agiter un peu à côté de moi. Je le vois se caresser la poitrine, les cuisses et les cheveux en poussant de légers soupirs sous l’effet de la chaleur. Ça ne tarde pas à me chauffer, et je me mets en tailleur pour me masser la plante des pieds à côté de lui en poussant de petits soupirs à mon tour.

La deuxième nana finit par se redresser et par sortir, elle aussi, nous laissant tous les trois entre mecs. Le blond continue à se tripoter sans en avoir l’air, à côté de moi. Au moment où la nana est sortie, il s’est légèrement décalé et m’a effleuré la cuisse avec son pied, me jetant un petit regard accompagné d’un sourire comme pour dire « oh pardon ». J’ai souri en retour.

De l’autre côté, le rebeu fait des étirements à nouveau et fait rouler son cou pour détendre sa nuque. Moi, je me suis à demi-allongé contre le mur, dans le coin, exactement en face du blondinet qui est dans la même position. Mes jambes sont à demi repliés, j’ai un bras posé sur le genou et l’autre qui caresse ma cuisse gauche. Mon pied est presque collé à celui du blond, qui semble faire mine de n’avoir rien remarqué.

Je sens ma bite gonfler de plus belle… je me demande si ça se voit, dans cette position ? J’ai l’impression que le blond me zieute discrètement, mais je me suis déjà lourdement trompé sur ce genre de situation alors je préfère apprécier ce moment sans me faire remarquer… pour l’instant.

Il bouge à nouveau et cette fois, son pied effleure le mien pendant deux bonnes secondes, comme s’il me caressait en passant. Je ne dis rien et fais semblant de n’avoir rien senti. Mais une minute plus tard, je tente la même chose que lui et lui effleure le pied discrètement. Je vois qu’il me regarde et qu’il a vu mon geste. Il sourit légèrement. Je dis « oh, sorry », et il fait un signe de tête pour dire « no problem ».

Le rebeu est toujours en train de pencher le cou de droite à gauche en étirant ses bras. J’admire au passage ses aisselles rasées et ses muscles qui roulent sous sa peau. Il semble jeter un œil de notre côté, puis se redresse sur le banc, le dos bien calé, bombant légèrement le torse. Il ferme les yeux pour savourer la chaleur.

De son côté, le blondinet continue son manège et cette fois je commence à me dire que ce n’est pas seulement mon imagination. Mais encore une fois, je préfère rester sage… pas envie d’avoir des ennuis avec le club.

Soudain, le blond se lève, s’étire un bon coup et se dirige vers la sortie du sauna en prenant son temps. Il prend plusieurs longues secondes pour enfiler ses sandales de douche, tourné vers moi avec un sourire, puis ouvre la porte et se dirige vers la douche froide.

Je ne sais plus quoi penser… mais dans le doute, je me dis que je vais le « suivre » sans en avoir l’air. J’attends qu’il finisse sa douche froide (je le vois de nouveau se masser le corps sous l’eau depuis l’intérieur du sauna) et qu’il se dirige vers les vestiaires. Je prends ça comme un signal.

Je passe devant le rebeu et sors du sauna, puis me dirige à mon tour vers les vestiaires. Généralement, j’évite la douche glacée qui est près de la piscine, elle est vraiment trop froide… Je préfère aller me rafraîchir dans les douches individuelles en réglant moi-même la température de l’eau.

Revenu devant mon casier, je vois le blond qui est en train de fouiller dans ses affaires à une rangée de là. Pas un regard pour moi. Peut-être que je m’étais trompé. Tant pis, je peux toujours me branler un coup sous la douche !

Je prends ma serviette, mon gel douche et mon shampooing, et je referme mon casier. Cette fois, j’avance jusqu’au fond de la double rangée de douches, et je choisis la dernière cabine. C’est mieux pour se branler discrètement, j’ai au moins un mur sur l’un des côtés plutôt que d’être entouré de cabines adjacentes.

J’entre et commence à faire couler l’eau, que je maintiens un peu fraîche pour évacuer la chaleur du sauna. J’enlève mon maillot de bain et le suspend sur la barre transversale, au-dessus de la porte, à côté de ma serviette. Et je commence à me savonner. Hum… finalement, c’est pas si mal en soi. Mon corps s’est bien détendu à la chaleur, je sens que j’ai pas mal nagé tout compte fait, car je ressens d’agréables tiraillements dans les bras et le dos. Ma bite commence naturellement à gonfler et je me caresse doucement avec la mousse du gel douche. Je ferme les yeux et repense aux deux petits mecs dans le sauna. Ça me fait bander encore plus dur, et je commence à me palucher sérieusement.

Je vois alors un mec s’approcher de la cabine d’à côté et accrocher sa serviette sur le crochet, au dehors. Je ne le reconnais pas tout de suite… mais c’est bien mon petit blondinet. Il est venu lui aussi tout au bout des douches et a pris la cabine juste à côté de la mienne… Vraiment, il me chauffe, ou quoi ?

C’est là qu’une idée me vient. Je repère mon ombre sur le sol carrelé de la douche, et je me tourne de façon à ce que la silhouette de ma bite dressée soit bien visible au sol, de son côté, en débordant sous la paroi opaque qui nous sépare. Et je continue à me branler doucement en faisant bien coulisser ma main sur mon chibre. Mes seize centimètres sont bien tendus. Mes doigts glissent sans effort avec la mousse, et je prends un pied d’enfer à me demander s’il voit cette ombre se dessiner sur le sol, juste à côté de lui. Si tout ça n’est qu’une coïncidence, on ne peut rien me reprocher, après tout ! Je suis juste en train de prendre ma douche…

J’entends l’eau couler de son côté, je vois ses pieds écartés qui reçoivent des giclées d’eau. Je continue mon petit jeu pervers en branlant ma bite, en écartant bien les jambes. L’un de mes pieds est presque de son côté de la paroi, mais je suis juste à la bonne distance pour rester correct. L’ombre de ma queue, par terre, dépasse carrément sur sa portion de douche… à moins d’être aveugle, je ne vois pas comment il pourrait la manquer. Pourtant, au début, il n’en montre aucun signe. Je commence à me dire que j’ai vraiment mal déchiffré les signaux, mais tout à coup… une ombre se dessine à son tour de son côté de la paroi. Une ombre longue et épaisse sur laquelle coulisse une forme de main.

Bingo.

Je continue à me branler en silence. Lui non plus ne fait pas de bruit. Ni lui ni moi ne voulons risquer d’être grillés par quelqu’un d’autre dans les douches. Je fais bouger ma bite, sans les mains, pour que l’ombre s’agite de son côté. Il fait de même. Les ombres de nos deux queues s’entrechoquent sur le sol carrelé comme deux sabres. Je reprends ma bite en main et fais glisser mon pied un peu plus sous la paroi, de son côté.

Il approche le sien et me caresse les orteils. Je frissonne de plaisir et lui rend sa caresse. Nos orteils s’entrecroisent un peu, la chaleur semble monter dans la cabine de douche, bien que je n’aie pas touché à la température de l’eau, qui est toujours fraîche.

Soudain, une idée me vient. J’enlève mon pied et me retourne. Puis je plaque mon cul contre la paroi opaque. Normalement, on ne peut rien voir (c’est le but !) mais je me dis que la silhouette de mes fesses collées contre le verre doit tout de même se deviner au travers. Comment faire autrement pour lui faire comprendre que je suis passif et en manque de bite dans mon trou ? Au début, il continue à se branler. Par terre, je vois sa main caresser sa teub, entre mes jambes écartées. Puis il bouge à son tour et ses pieds s’alignent derrière les miens, orteils de mon côté. Je ne vois plus l’ombre de sa bite. Je comprends qu’il l’a plaquée lui aussi contre la paroi, juste en face de mon trou. Je recule un pied pour que mon talon vienne toucher ses orteils. Je sens ses doigts de pied s’agiter.

La situation m’excite, alors je me penche carrément en avant, le torse vers le bas, et je cogne contre la paroi légèrement avec mon cul. Je suis sûr qu’il entend et qu’il sent l’impact et les vibrations chaque fois que mes fesses viennent heurter le verre. Je l’entends même pousser un vague gémissement, très discret. Alors je prends les devants et passe ma main sous la paroi, pour lui faire signe de venir avec mon doigt. Puis je me redresse.

Pendant quelques minutes, il ne se passe rien. Est-ce qu’il hésiterait ? C’est compréhensible… n’importe qui pourrait voir notre petit manège, si on n’y prend pas garde. Je me retourne du côté de l’arrivée d’eau et je monte la température. Le jet devient brûlant, par contraste avec l’eau fraîche, et tout mon corps frissonne de plaisir sous cette chaleur soudaine. Je sens ma bite palpiter encore plus ; je n’ai pas débandé d’un iota.

De son côté, j’entends qu’il a coupé l’eau. Il va sortir, mais il ne m’a fait aucun signe pour confirmer qu’il venait ou non. Il a peut-être peur de se faire choper. Je me concentre sur ma douche mais je garde un œil au-dehors par la porte vitrée, à demi-opaque elle aussi, mais qui laisse entrevoir l’extérieur au niveau des yeux. Ma serviette est toujours sur la barre transversale au-dessus, avec mon maillot.

Ça y est. Je le vois sortir. Il prend sa serviette qu’il avait accrochée au-dehors. Je le vois se rapprocher de ma cabine l’air de rien. Il regarde furtivement à gauche et à droite. Puis d’un coup, il tire la porte de ma cabine et rentre à toute vitesse. Je l’attire à moi et colle son corps contre le mien, puis je m’empresse de déployer la serviette entièrement sur la barre, pour qu’elle cache complètement la vue du dehors. Il met sa propre serviette par-dessus la mienne, pour qu’on ne voit pas qu’il y en a deux, puis se retourne à nouveau vers moi et écrase ses lèvres sur les miennes. Sa langue ouvre ma bouche et vient se tortiller avec la mienne dans tous les sens, pendant qu’il me caresse et me palpe le cul. J’essaie de ne pas faire de bruit pendant qu’on se roule une pelle, mais je pousse quand même des petits gémissements légers et je me frotte contre lui en ondulant les hanches et le cul pendant qu’il me tripote. Ça semble bien l’exciter, mais il s’arrête de m’embrasser pour me faire signe de me taire, avec un doigt devant sa bouche. Je hoche la tête en essayant de reprendre mon souffle. L’eau brûlante coule toujours sur nos deux corps, nos bites sont au garde-à-vous. Il attend que la pression retombe un peu puis vient se coller à moi et m’embrasser le cou, me lécher l’oreille droite, mordiller le lobe… pendant ce temps, sa main s’active sur ma bite et je fais de même sur la sienne, tâtant ce beau morceau de chair pour la première fois. Bonne queue, comme je l’avais deviné d’après son ombre : raisonnablement épaisse, le gland rose et gonflé, bien décalottée, droite, sans doute 17 ou 18 centimètres… un vrai régal !

Je prends nos deux bites dans ma main et les fais coulisser ensemble. Il kiffe et rejette la tête en arrière en un soupir silencieux. Puis je m’agenouille sous la douche, dans le coin, côté mur, pour lui gober la queue. Il sourit et place ses mains sur ma tête en me caressant les cheveux. Je lui lèche le gland et fais le tour avec ma langue, en titillant le méat. Il se mord la lèvre ; visiblement, ça le chauffe bien. Tout à coup, il me regarde avec un clin d’œil pendant que je le suce, puis enfonce sa queue dans ma bouche avec un mouvement de bassin. Je m’y attendais : j’accuse le coup et ouvre bien ma gorge pour le recevoir. Il n’a pas été brusque, mais c’est désormais lui qui donne le rythme : il fait des va-et-vient dans ma bouche bien baveuse, en mouvements amples, et me tape le fond de la gorge. Une ou deux fois, je le retiens de peur d’avoir un renvoi (ce qui ferait trop de bruit), mais il ralentit simplement pour me laisser reprendre mon souffle, puis enchaîne avec de petits mouvements secs, en se branlant la bite sur le bord de mes lèvres. Je le regarde dans les yeux pendant qu’il me baise la bouche, il me caresse la joue et continue à me pilonner la gueule.

Au bout d’un moment, je fatigue un peu, alors je lui sors la bite de ma bouche et me relève. Il me roule un bon patin pendant trente secondes ; ses doigts fouillent ma raie et titillent mon petit trou… je sens son index entrer lentement et me caresser la prostate. Je lui passe mon gel douche. Il se savonne les mains et me nettoie la chatte en massant bien autour avec ses doigts. Puis il me retourne vers le jet d’eau et rince mon cul. Je le sens derrière moi, la bite tendue, qui masse mon petit trou et se branle de l’autre main. Ça m’excite comme jamais, je n’ai qu’une envie, c’est qu’il m’encule.

Mais d’un coup, il s’immobilise. Je tourne la tête. Il me met la main sur la bouche délicatement et me fait signe à nouveau de ne pas faire de bruit. Un autre mec est entré dans la douche en face de la nôtre, tout au bout des deux rangées. On est forcés de ralentir la cadence et de se faire discrets. Je continue à lui masser la queue et les couilles, et il me suçote la nuque tout en gardant un œil sur l’extérieur, en écartant légèrement nos deux serviettes. Le mec dans la cabine d’en face est de dos et se savonne. Il semble ne rien avoir remarqué.

Au bout de cinq minutes, l’inconnu a fini sa douche et sort, la serviette autour de la taille. C’était le rebeu du sauna. Il s’éloigne en sifflotant, et on pousse tous les deux un soupir de soulagement. Les doigts du blondinet retrouvent le chemin de mon trou de chienne et recommencent à fouiller. Ma chatte s’ouvre progressivement, mais il n’en a pas fini avec moi. Je cambre mon cul. Il s’accroupit et commence à me bouffer le cul comme un dieu. Je me mords la lèvre pour ne pas gémir comme une femelle, mais c’est trop bon !

Très vite, je lui fais signe que je n’en peux plus et que je veux qu’il me baise. Il se relève, vient se coller derrière moi et me plaque contre le mur de la douche, sa main sur la mienne, collée contre la paroi. Il approche son visage de mon oreille et me chuchote : « Are you on Prep ? ». Bien sûr que je prends la Prep. Justement pour ce genre d’occasion ! Je hoche la tête et lui tends ma bouche pour qu’il m’embrasse. Il me fourre sa langue entre les lèvres et commence des mouvements de bassin contre mon dos. Sa queue coulisse sur mon petit trou qui palpite, et j’ai les jambes qui flagellent. Que c’est bon de sentir une bite sur ma chatte ! Il réintroduit un doigt savonneux et me titille le cul pendant encore quelques secondes puis, constatant que je suis bien ouvert, présente son gland à l’entrée de mon trou et commence à pousser lentement.

Mes chairs s’écartent peu à peu et je sens son gros gland passer la porte de mon cul. C’est très légèrement douloureux, mais il a bien pris son temps pour me préparer et j’ai connu bien pire ! Une fois le gland passé, il fait coulisser sa bite en moi centimètre par centimètre, mais le plus dur est fait : le reste rentre comme dans du beurre et je pousse un soupir de plaisir, toujours plaqué contre le mur. L’eau chaude continue de couler et son bruit dissimule nos deux respirations saccadées.

Il s’accroche à mes hanches et fais des mouvements amples et langoureux pour bien démarrer ; je sens ma chatte palpiter de plaisir sous ces coups de boutoirs lents et méthodiques. Mon cul chauffe et ma bite gonfle encore plus. À chaque passage, ma prostate est agréablement stimulée et je me retiens de couiner tant sa bite me procure du plaisir. Je halète, la tête légèrement en arrière, le dos cambré, le cul offert, et il mordille à nouveau mon oreille pendant qu’il me baise, puis me roule un bon patin pendant quelques secondes tout en continuant à me labourer lentement.

J’ondule en rythme et je tortille un peu mon cul pour lui dire à quel point je prends mon pied. Il semble prendre ça pour un signal d’accélérer et commence à aller plus vite, faisant des va-et-vient plus rapides et plus secs. Je dois de nouveau me mordre la lèvre pour ne pas gémir. Il prend une cadence soutenue et mon cul n’est bientôt plus qu’un trou comblé par sa bite ; j’entends son pubis claquer contre mes fesses, produisant des bruits mouillés sous le jet d’eau de la douche. Je me branle doucement pendant qu’il m’encule comme une chienne et ma bite me fait vibrer de plaisir en même temps que mon cul se fait combler. Je tends un bras en arrière pour palper son cul qui s’active contre le mien, je malaxe ses fesses et y enfonce mes ongles. Je le vois afficher un petit sourire pervers et complice, et il passe sa langue sur ses lèvres pour me montrer à quel point il kiffe mon trou. Je resserre mon anus et je l’entends murmurer « oh fuck… ! ». Apparemment, il semble apprécier. Une de ses mains continue d’agripper ma hanche, l’autre vient enfoncer deux doigts dans ma bouche, comme dans celle d’une pute qu’on remplit sans ménagement par tous les trous. Je lui suce les doigts et il s’active encore plus. Cela commence à faire un peu de bruit, mais je m’en fous : je m’ouvre complètement et lui tend mon cul au maximum.

Il me pilonne encore une bonne vingtaine de secondes sans ralentir puis je l’entends dire doucement « I’m coming ! ». J’empoigne ma bite qui n’attendait que ça et je me branle furieusement pendant qu’il donne tout ce qu’il a dans la dernière ligne droite. Soudain, il se raidit et me donne plusieurs grands coups violents jusqu’au plus profond de mon cul. Une douce chaleur envahit mon ventre et je jouis du cul comme une chienne. Ma bite explose et mon jus vient s’écraser contre le mur de la douche. Des secousses de plaisir me parcourent le cul et je dois m’appuyer au mur de ma main libre pour ne pas m’effondrer, tant mes jambes tremblent. Lui s’est penché sur moi, son ventre collé contre mon dos, sa bite toujours en moi, et il souffle dans ma nuque tout en m’embrassant légèrement le cou. On plane ainsi quelques secondes avant de redescendre.

Il décule lentement, et j’ai l’impression que mon trou est vide pendant quelques secondes, le temps de libérer pleinement sa bite. Il me retourne et m’attire contre lui. On reste ainsi immobiles à se câliner pendant quelques minutes, toujours sous l’eau chaude.

Quel pied ! J’ai rarement joui aussi fort. Mon blondinet sait y faire. Il me savonne de nouveau, me dépose un baiser sur la bouche, et masse mon corps avec la mousse puis me laisse me rincer. Il m’enfonce deux doigts dans le cul en me roulant un patin et les ressort, tout graisseux de foutre, pour me les montrer avec un sourire coquin. Je ris tout bas et lui mets une petite claque discrète sur le derrière avec un clin d’œil. Il me demande à voix basse si j’ai aimé ça ? Je lui dis que j’ai adoré et qu’il baise comme un dieu. On finit de se laver, puis, précautionneusement, il sort le premier avec sa serviette. Apparemment, tout est calme. Une seule autre cabine est occupée, au tout début de la rangée. J’attends encore un peu en me séchant.

Entre les premières minutes de douche solo et notre séance de baise, ça doit bien faire plus d’une demi-heure que je suis sous l’eau ! J’ai les doigts tout fripés, le cul explosé, la bite repue de plaisir et les jambes raides à force d’être cambré dans la même position… et j’ai adoré ça.

Je sors et me dirige vers les vestiaires. Il est devant son casier, déjà à moitié rhabillé. Il me fait un discret clin d’œil et un signe de la main, en levant le pouce. Je souris et m’empresse de me rhabiller à mon tour et de ranger mes affaires. Il semble à moitié m’attendre. Une fois qu’on est tous les deux fins prêts, il part un peu devant tout en vérifiant que je le suis. On monte les escaliers jusqu’à l’accueil, puis on passe le portique l’un après l’autre. Dehors, il me fait un signe discret et on va se mettre un peu à l’écart.

Là, il m’embrasse de nouveau, hors de la vue des gens, puis me dit qu’il a vraiment kiffé et qu’il voudrait me revoir. Je lui dis que c’est bien ce que j’espérais et je lui file mon numéro. Il m’envoie un rapide message sur Whatsapp pour confirmer, et on se dit à très vite. Il part vers le métro ; je pars de l’autre côté du parc, vers les bus.

J’espère qu’on remettra ça… et pas forcément au club de sport !

Alex

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Mon journal intime Chopassif
Premier pas Rik71
Le vendeur et la cabine d’essayage Glenn
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Les séries : 65 pages

L’enterrement de vie de garçon | 2 | +1 JulesP
1 | 2
Vie étudiante | 5 | +1 Alexandre
1 | 2 | 34 | 5
Le vrai visage de mon fils | 5 | +1 Adreprofeco
1 | 2 | 3 | 4 | 5
Arthur et Maxime | 12 | +1 Sylvainerotic
1 | 2 | 3 | 4 | 5 | 6 | 7 | 8 | 9 | 10 | 11 | 12 FIN
En groupe à la piscine | 3 | +1 Meetmemz
1 | 2 | 3
Mon beau-frère | 18 | +1 Meetmemz
1 | 2 | 3 | 4 | 5 | 6 | 7 | 8 | 9 | 10 | 11 | 12 | 13 | 14 | 15 | 16 | 17 | 18
L’ensemenceur | 4 | +1 Meetmemz
1 | 2 | 34
L’amant de ma femme | 8 | +1 Meetmemz
1 | 2 | 3 | 4 | 5 | 6 | 7 | 8
Bénévolat en Australie | 8 | +1 Meetmemz
1 | 2 | 3 | 4 | 5 | 67 | 8

ET CE N'EST PAS TOUT !
Il y a 115 pages en + ici

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Rêve ou réalité, ces histoires ne sont pas un art de vivre
N’oublie pas les dangers d'une relation sexuelle sans protection,
que tu sois sous Prep ou pas.
PROTEGE-TOI ET METS DES CAPOTES !

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L'Impact Bar | Cruising gay à Paris'

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