Ayant repris mes études, j’ai dû décrocher un job étudiant et un poste de vendeur dans un magasin de vêtements me semblait adéquat. Les horaires sont flexibles, ce n’est pas le travail le plus éreintant et surtout, je peux mater sans grande difficulté. Depuis mon retour en ville, je sors progressivement du placard. Je pense que m’assumer soit plus difficile pour moi que pour mon entourage. Pour l’instant, je n’ai eu que de rares expériences. C’est ainsi. Il faut laisser le temps au temps. Pourtant, je sais que je plais : petit à l’aspect minet, j’ai les cheveux longs et une petite barbe. Un petit modèle de caractère comme j’aime me décrire.
Depuis quelques jours, je suis affecté aux cabines d’essayage. Rien de bien sorcier : placer les clients en cabine, les renseigner, récupérer les vêtements… J’affectionne ce poste. On y est en paix et on peut se rapprocher de la clientèle masculine sans paraitre équivoque. Je me souviens du jour où un homme m’avait fait rentrer dans sa cabine alors qu’il était torse nu. J’étais gêné et excité par la scène.
La journée se déroule sans faits marquants. Peu de clients viennent dans les cabines. Je tue le temps en rangeant les rayons autour et en jouant (discrètement) sur mon téléphone. En tant que vendeur, on a l’avantage de savoir où sont les angles morts des caméras.
En milieu d’après-midi, le magasin est presque vide. A part la mangeuse, nous sommes que quatre en magasin : une étudiante en caisse, une conseillère sur le floor, moi en cabine et Guillaume qui est affecté en renfort caisse et au rangement. Avec moi, il est le seul homme engagé dans le magasin. Grand, blond et musclé au torse très impressionnant, il est souvent dans la lune, parle doucement et est surtout adorable. J’ignore s’il est gay ou hétéro, je ne lui ai jamais demandé et j’avoue que ça ne m’intéresse pas.
A 16h, alors que je fais du cintrage dans le fond des cabines pour m’occuper, Guillaume débarque avec ses affaires.
— Tu as terminé ta journée ? lui demande ai-je.
— Oui, enfin. Je laisse mes affaires ici, je vais regarder pour un costume. Comme ça, tu me diras s’il convient.
Il se débarrasse et file en rayon. Je lève les yeux et admire ses fesses bien fermes. Il est beau quand même. Sa nonchalance accroit son charme. Ma queue commence à durcir lorsqu’il revient avec plusieurs modèles de costume et fonce dans une grande cabine située dans une partie fermée au public les jours sans affluence. Je l’entends se déshabiller et vois, sous le rideau, Guillaume ôter ses chaussures et son pantalon. Mon excitation est au maximum lorsque je me remets à la tâche plus pour me calmer que par amour pour mon travail.
Quelques minutes plus tard, Guillaume sort avec pantalon et veste. Je remarque qu’il a conservé son t-shirt dessous. Dommage.
— Qu’en dis-tu ? Ce n’est pas mal.
— Oui, lui dis-je. Tu veux un ourlet.
— Vas-y.
Guillaume va vers le miroir et monte quelques marches pour me permettre d’ajuster la longueur du pantalon. Epingles à la main, je me mets à ses pieds. Mes doigts sur sa cheville nue redémarrent mon érection à peine calmée. J’espère qu’il ne voit rien. Je suis habillé particulièrement (trop) serrant aujourd’hui.
Sa peau est douce et chaude. C’est agréable. Je m’attarde un peu trop sur l’ourlet avant de me relever, avant-bras devant mon sexe raide pour me rendre compte du résultat.
— Ca me convient, dit-il en souriant, je vais me changer.
Reparti en cabine, je reprends mes esprits et place mon sexe sur le côté pour masquer mon érection au maximum. Ma main à peine sortie de mon slip, Guillaume ouvre le rideau et m’appelle.
— Viens voir. Est-ce que la veste me va ?
Effectivement, elle semble étroite. Je tire le bas pour juger du tombé, tourne Guillaume vers moi et tente de fermer le premier bouton avec difficulté. Je passe mes mains sur son torse pour gagner de l’ampleur, sans succès. Mais quel torse ferme ! Mon dieu !
— Effectivement, c’est vraiment trop ajusté. Je vais t’en chercher une autre. Et une chemise aussi ! Ce sera mieux.
En rayon, je reste encore sous l’effet de ce premier contact. Mon érection est au maximum et commence à être douloureuse dans le jean serré. Je prends des vestes, une chemise et retour en cabine, en masquant au mieux ma queue apparente.
Je lui donne les vêtements sans ouvrir le rideau de la cabine et reprends mes tâches. Ma gaule est bien retombée quand il me rappelle. Il ne va pas me lâcher !
— Ça ne va pas ? Lui demandais-je sans ouvrir.
— Rentre, j’ai un problème avec la veste.
J’ouvre et me retrouve face à Guillaume torse nu. Il tente désespérément d’ouvrir la veste. Il est mignon mais quelle tâche. Je lui prends des mains et galère tout autant que lui. Enfin ouverte, il met la chemise sans la fermer et se retourne pour que je lui passe. Elle lui va niquel. Mes yeux se posent sur ses pectoraux recouverts d’un léger duvet brun. Je reste fixe quelques secondes avant de lui dire :
— C’est parfait. Tu es bien mis en valeur.
— Ça te plait alors ? Me demande-t-il avec une intonation grave que je ne lui connaissais pas.
— Euh, oui. C’est très bien
Guillaume prend ma main et la pose sur son torse.
— J’ai bien vu que ça te plaisait, me dit-il en montrant mon pantalon qui cache à peine mon excitation.
— Oui, tu sais bien que tu me plais. Réaction normal !
Il me prend par la taille, me colle à lui et me bloque le long de la paroi de cabine.
— Tu fais quoi ?
Pour toute réponse, il m’embrasse.
— Pas dans les cabines ! Et si quelqu’un arrive ?
— Il n’y a personne, me dit guillaume en m’enfonçant sa langue dans la bouche.
Mon excitation est si forte que je réponds à son baiser avec la même passion. La frustration, l’interdit et surtout la peur d’être vu m’électrisent. Je lui fais tomber la chemise et la veste pour enfin pouvoir admirer ce mec. Il se recule légèrement, me toise avec un sourire. Je passe doucement ma main sur ses poiles, ses pectoraux et ses tétons. Un dieu grec. Mes doigts suivent sa ligne de poile jusqu’à son nombril. Pendant que je déboutonne son pantalon tout en le regardant dans les yeux, il m’ouvre la chemise et se rue sur moi.
En quelques secondes, mes fringues tombent et je me retrouve en slip, Guillaume collé à moi avec fougue. Il passe sur mes tétons, les pinces et les mordilles. Que c’est bon. Il se met à genoux et se jette sur ma queue encore emprisonnée. Il la suce et la lèche au travers du tissu. Mes mains lui maintiennent sa tête avec force, lui donnant le rythme. Pour augmenter ma frustration, je l’éloigne, sors ma queue. Alors qu’il tire la langue pour lécher le gland, je l’en empêche en lui tenant les cheveux. Son regard est furieux de désir. D’un coup sec, il empoigne mes fesses et m’amène jusqu’à sa bouche. Il enfourne ma queue et il accompagne le mouvement d’une main ferme. Retenir mes cris de plaisir est un supplice.
— Quelle fougue !
— Tu n’as encore rien vu, tu n’imagines pas ce que je vais te faire ! Me lâche t-il avant de reprendre ma bite en bouche.
Il salive abondamment tellement il est bouillant. Je ne veux pas jouir maintenant ! Mais je ne peux pas retenir un pro de la pipe. Mon gland heurte son palais et mes couilles tapent son menton. Il bloque en gorge profonde et se retire tout en me branlant. De la salive relie sa bouche à ma queue. Il reprend son souffle et se lève. A cet instant, je me rends compte de la bête qu’il est.
Il ne me lâche pas des yeux et se déshabille totalement. Je regarde sa queue raide, grosse d’au moins 19 cm avec de lourdes couilles sombres et poilues. L’appel est trop fort. A genoux, je la branle. Quel morceau ! Je passe mon nez le long de sa grande bite, jusqu’à ses poils abondants. Ma langue s’attarde longtemps sur ses couilles. Guillaume empoigne sa queue et se branle doucement. Je lève les yeux et vois sa tête baissée entre ses pectoraux. Qu’est-ce qu’il m’excite. Il recule et s’assoit sur le banc. Je le suis sans me lever, empoigne sa queue et la suce avec ardeur. Douce et veineuse, elle est trop bonne.
Guillaume profite du spectacle main derrière la tête, jambes écartées. Je tente des gorges profondes sans y parvenir. Sa queue est trop longue. J’accélère le mouvement. Je me retire et passe ma langue sur la bordure de son gland énorme avant de reprendre la fellation. Guillaume gémit de plaisir mais souhaite reprendre les rênes. De sa main ferme, il m’éloigne de sa queue et la tapote sur ma langue pendue avant de me l’engouffrer d’un coup sec. J’ai un haut le cœur qui me fait déglutir mais il s’en moque. Il me baise la bouche avec de puissants des va-et-vient. Manquant de m’étouffer, je me retire et le branle tout en lui léchant les couilles.
Concentré, je sens tardivement ses doigts passer sur ma raie. Au moment où je le regarde, Guillaume se retire, crache de la salive sur ses doigts et me titille mon trou. J’écarte mes fesses pour lui laisser le passage libre. Il en profite pour m’enfoncer un premier doigt. La douleur est fulgurante. Il comprend et va doucement, attendant que je m’y habitue avant d’ajouter un deuxième et un troisième doigt. Je m’accroche sa jambe, visage presque au sol. Je veux encaisser. Peut-être que cette situation ne se reproduira plus. Guillaume accélère. Je finis par m’habituer même si la sensation est peu agréable.
Brusquement, il me redresse dos à lui, écarte mes fesses, et mets sa langue dans mon cul. Il fouille mon intérieur avec la même vigueur. Je sens mon anus gonfler et chauffer. Je n’en peux plus, je le veux en moi. Je me retourne face à lui, le plaque à la paroi, mets mes genoux de chaque côté sur le banc, et m’empale doucement. Nos langues s’entortillant, nous gémissons de plaisir le plus discrètement possible. Mon cul prêt à accueillir sa queue avec dignité, je me redresse subitement pour l’enfoncer jusqu’aux couilles. Je suis surpris d’y parvenir. Je vais en profiter.
Je débute la baise tranquillement puis j’accélère avant de ralentir à nouveau. D’un rythme soutenu, je monte mon bassin au maximum pour prendre tout sa longueur le plus rapidement possible et réitère le mouvement en rythme. Guillaume m’enserre les hanches et prend la direction. Je suis sa objet. Il m’empale avec violence, nos bouches l’une contre l’autre. Mon cul en l’air, il le bloque et se déchaine dans mon anus totalement ouvert. Ne m’y attendant pas, je pousse des cris dans son torse. Je ne sais plus où j’en suis tellement c’est intense.
Il me relâche dans un dernier mouvement brusque et je retombe sur sa queue, reprenant la baise plus calmement. En sueur, je me décolle de lui pour souffler. Mais Guillaume ne l’entend pas ainsi. Il me serre violement et se jette sur ma bouche. Il est insatiable ce gars.
Alors que sa langue fouille ma bouche, il passe ses bras sous mes genoux, me saisit de chaque côté des fesses et se lève, sa queue toujours en moi. Je n’ai pas le temps de réaliser que je me retrouve contre la paroi de la cabine genoux collés au torse. Tout en m’embrassant, Guillaume m’encule sans contrainte, multipliant les coups de bassins. Nous faisons de plus en plus de bruit. Et si quelqu’un sans aperçoit ? J’entends le téléphone de la cabine sonner, certainement la manageuse qui me cherche. Guillaume ne s’en préoccupe pas. Il s’éloigne de la paroi et, en me tenant toujours, multiplie les allers-retours dans mon cul, en se retirant totalement et m’enculant au plus profond. J’ignore combien de temps cet assaut a duré, mais c’est tellement intense que j’ai perdu mes repères.
Sans crier gare, je sens subitement un liquide abondant m’envahir. Guillaume ralentit et contient un cri de jouissance dans ma bouche. C’est un délice. Ne tenant plus sur ses jambes, il se laisse tomber sur le banc, se maintenant en moi. On reprend notre souffle doucement en restant l’un contre l’autre lorsque le haut-parleur du magasin demande une conseillère de vente à l’accueil.
Sans y prêter attention, on reste dans notre position. Mais il faut bien revenir à la réalité. Je me lève, totalement fourbu et Guillaume fait de même. En regardant son torse et ma queue, je m’aperçois que j’ai éjaculé sur lui. Je lui en fais la remarque mais il me dit qu’il s’en moque en souriant et se rhabille.
Nous sortons de la cabine. Visiblement personne n’est venu. Heureusement. Je me remets au cintrage et Guillaume sort de la cabine avec le costume me disant qu’il le prend et part en caisse. Il est peut-être gêné me dis-je, ce qui explique son soudain mutisme.
Dans les mois qui suivent, on n’a jamais reparlé de cette séance d’essayage même si, je l’ai constaté, Guillaume est devenu très tactile. Ça ne me dérange pas bien au contraire. Je garde espoir qu’il ait besoin d’une nouvelle veste bientôt, qui sait ?
N’hésitez pas à me faire part de vos remarques et à parcourir mes autres histoires. A bientôt.
Ange-02
angeday02@gmail.com
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